1 / 14

TNS et Analyse Spectrale

TNS et Analyse Spectrale. III. La Transformée de Fourier Rapide IV. Analyse Spectrale de Signaux Aléatoires V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP VI. Estimation spectrale paramétrique. I. Le DSP : Introduction. II. La Transformée de Fourier Discrète.

deliz
Download Presentation

TNS et Analyse Spectrale

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. TNS et Analyse Spectrale III. La Transformée de Fourier Rapide IV. Analyse Spectrale de Signaux Aléatoires V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP VI. Estimation spectrale paramétrique I. Le DSP : Introduction II. La Transformée de Fourier Discrète

  2. module de la réponse en fréquences de boxcar 1 0.9 0.8 0.7 0.6 mod 0.5 0.4 0.3 0.2 0.1 0 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 freq. reduite V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP 1) Utilisation des fenêtres temporelles en analyse spectrale - La TFD implique l ’utilisation implicite d ’une fenêtre rectangulaire sur les données. équivalent à avec - L ’inconvénient de la fenêtre rectangulaire est son premier lobe secondaire à seulement -13 dB sous le lobe principal et une pente des pics suivants à -6 dB /octave. Ceci est très gênant en cas de signal faible de fréquence voisine d ’un signal fort. - L ’avantage de la fenêtre rectangulaire est son lobe principal le plus étroit et donc une résolution fréquentielle maximale pour un nombre de points donnés. » N=128;w=boxcar(N);N1=2048;W=fft(w,N1);mod=abs(W(1:N1/8));f=[0:N1/8-1]/N1; » plot(f,mod/N), axis([0 0.125 0 1])

  3. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP - De nombreuses fenêtres temporelles ont été proposées pour améliorer ce point (diminution des lobes secondaires au prix d ’un élargissement du lobe principal). Les plus utilisées sont : - La fenêtre de Hanning (ou cosinus surélevé) lobe secondaire le plus élevé :-31 dB, pente -18 dB/octave - La fenêtre de Hamming lobe secondaire le plus élevé :-41 dB, pente -6 dB/octave - La fenêtre de Blackman combine les 2 précédentes lobe secondaire le plus élevé :-57 dB, pente -18 dB/octave - La fenêtre de Kaiser est aussi très employée I0[ ] est la fonction de Bessel modifiée d ’ordre 0 de première espèce et b un paramètre de compromis entre largeur du lobe principal et niveaux des lobes secondaires. En pratique 4 < b < 9

  4. fenêtre de hamming module de la réponse en fréquences de hamming 1 0 0.9 -10 0.8 -20 0.7 -30 0.6 -40 amp 0.5 dB -50 0.4 -60 0.3 -70 0.2 -80 0.1 -90 0 0 20 40 60 80 100 120 140 -100 indice 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 freq. reduite module de la réponse en fréquences de blackman module de la réponse en fréquences de hanning 0 0 -10 -10 -20 -20 -30 -30 -40 -40 dB -50 dB -50 -60 -60 -70 -70 -80 -80 -90 -90 -100 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 -100 freq. reduite 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 freq. reduite V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP » N=128;w=hamming(N);N1=2048;W=fft(w,N1);mod=abs(W(1:N1/8));f=[0:N1/8-1]/N1; » stem(w) » plot(f,20*log10(mod/max(mod))), axis([0 0.125 -100 0])

  5. module de la réponse en fréquences de kaiser pour beta=9 module de la réponse en fréquences de kaiser pour beta=4 0 0 -10 -10 -20 -20 -30 -30 -40 -40 dB -50 dB -50 -60 -60 -70 -70 -80 -80 -90 -90 -100 -100 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 0 0.02 0.04 0.06 0.08 0.1 0.12 freq. reduite freq. reduite V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP Ex. : Tracer les fenêtres de Kaiser en temps et en fréquence pour b = 4 et b =9 En déduire le niveau du lobe secondaire le plus élevé et la pente

  6. fft des 3 sinusoides signal déterministe de 3 sinusoides 80 2 70 1.5 60 1 50 0.5 mod. 40 amp. 0 30 -0.5 20 10 -1 0 -1.5 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 freq. réduite 0 20 40 60 80 100 120 ech. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP Ex. : Transformée de Fourier d ’un signal déterministe comprenant 3 sinusoides d ’amplitude différente. Utilisation du zero-padding (remplissage de zéros) et d’une fenêtre temporelle. »N=128;A1=1;A2=1;A3=0.01;f1=0.1;f2=0.11;f3=0.3;k=[0:N-1]; » x=A1*cos(2*pi*f1*k)+A2*cos(2*pi*f2*k)+A3*cos(2*pi*f3*k); » X=fft(x,N);plot([0:N/2-1]/(N),abs(X(1:N/2))) » X=fft(x,2*N);plot([0:N-1]/(2*N),abs(X(1:N))) » X=fft(x'.*hanning(N),N);plot([0:N/2-1]/(N),abs(X(1:N/2)))

  7. fenêtrage du signal par Hanning fft des 3 sinusoides avec Hanning 1.5 30 1 25 0.5 20 amp. 0 mod. 15 -0.5 10 -1 5 -1.5 0 20 40 60 80 100 120 140 ech. 0 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 freq. réduite fft des 3 sinusoides avec Hanning et zero-padding 30 25 fft des 3 sinusoides avec zéro-padding 80 20 70 60 mod. 15 50 10 mod. 40 30 5 20 0 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 10 freq. réduite 0 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 freq. réduite V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP Ex./suite : Transformée de Fourier d ’un signal déterministe comprenant 3 sinusoides d ’amplitude différente. Utilisation du zero-padding (remplissage de zéros) et d’une fenêtre temporelle.

  8. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP 2) Estimation de la DSP a) Le corrélogramme simple - La DSP , donc si on a un bon estimateur de la fonction d ’autocorrélation, en prenant la TF, on aura un bon estimateur de la DSP - On a 2 estimateurs non biaisé et biaisé de l ’autocorrélation, - On garde l ’estimateur biaisé. Le corrélogramme simple est défini comme la TF de l ’autocorrélation :

  9. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP - Calcul du biais du corrélogramme simple : est un estimateur biaisé. - Calcul de la variance du corrélogramme simple : - La variance du corrélogramme ne dépend pas du nombre de points N. Cet estimateur est inconsistant. A constante de proportionnalité

  10. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP b) Le périodogramme simple - La DSP - si on supprime l ’opérateur espérance E et qu ’on le remplace par l ’ estimateur de la fonction d ’autocorrélation, sur les N données disponibles et qu ’on développe, on obtient un nouvel estimateur , directement à partir des données. - On définit le périodogramme simple : - est un estimateur biaisé de la DSP - La variance est proportionnelle à la DSP, donc le périodogramme est un estimateur inconsistant de la DSP - Le corrélogramme simple et le périodogramme simple sont égaux en théorie.

  11. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP c) Le périodogramme moyenné - L ’idée est de réduire la variance des estimateurs précédents par moyennage sur des estimateurs indépendants. - On divise les N données en L sections successives de M observations chacune. on calcule M périodogrammes simples qu ’on moyenne pour obtenir le périodogramme moyenné : - est un estimateur biaisé de la DSP (plus M est petit, plus le biais est important) - La variance est proportionnelle à la DSP, mais diminue quand L augmente. - Il faudra trouver un compromis biais-variance

  12. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP d) Le corrélogramme lissé - On réduit la variance des estimateurs spectraux par lissage en fréquence, ce qui revient à multiplier par une fenêtre temporelle. - On prend l ’estimateur de l ’autocorrélation qu ’on multiplie par une fenêtre de longueur 2*M- 1 avec M < N. - On définit le corrélogramme lissé : - w(k) doit être paire pour que l ’estimateur de la DSP soit réel et positif. -L ’énergie de la fenêtre doit être égale à 1 : - est un estimateur biaisé de la DSP (plus M est petit, plus le biais est important) - On peut définir également le périodogramme lissé (fenêtre w(k) d ’énergie 1) :

  13. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP e) Le périodogramme de Welch - On combine les périodogrammes moyenné et lissé. - On divise les N données en L sections successives de M observations chacune multipliée par une fenêtre w(k). - On calcule M périodogrammes lissés qu ’on moyenne pour obtenir le périodogramme modifié dit de Welch : -C est un facteur de normalisation dû à la fenêtre w(k) - En pratique on utilisera la FFT et M sera une puissance de 2. - La variance diminue quand L augmente mais la résolution fréquentielle diminue aussi. - On autorise un recouvrement (overlap) des sections pour améliorer la résolution fréquentielle. - la fonction psd (ou spectrum) de matlab utilise par défaut M=256, un overlap de 50% et une fenêtre w(k) de Hanning.

  14. DSP des 3 sinusoides bruitées 400 tracé des 3 sinusoides bruitées 350 4 300 3 250 2 amp 200 1 amp 150 0 100 -1 -2 50 -3 0 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 -4 freq. red. 0 500 1000 1500 2000 ech. DSP des 3 sinusoides bruitées 1 DSP des 3 sinusoides bruitées 1 0.9 0.9 0.8 0.8 0.7 0.7 0.6 0.6 amp amp 0.5 0.5 0.4 0.4 0.3 0.3 0.2 0.2 0.1 0.1 0 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0 freq. réd. 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 freq. réd. V. Méthodes Classiques d ’estimation de la DSP »N=2048;A1=1;A2=1;A3=0.01;f1=0.1;f2=0.11;f3=0.3;k=[0:N-1]; » x=A1*cos(2*pi*f1*k)+A2*cos(2*pi*f2*k)+A3*cos(2*pi*f3*k); » x=x+1.*randn(1,N); Tracer la DSP du signal x(k) » NFFT=N;NOVER=0,WIND=hanning(NFFT);P=SPECTRUM(x,NFFT,NOVER,WIND); » f=[0:length(P)-1]/NFFT;plot(f,P(:,1)) » NFFT=128;NOVER=0,WIND=hanning(NFFT);P=SPECTRUM(x,NFFT,NOVER,WIND); » NFFT=1024;NOVER=7*NFFT/8,WIND=hanning(NFFT);P=SPECTRUM(x,NFFT,NOVER,WIND);

More Related