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Un grand merci à toutes les personnes qui, par leurs témoignages,

Un grand merci à toutes les personnes qui, par leurs témoignages, ont fait avancer cette recherche. ESCAÏS & OSTALS de Haute-Viadène. D’après les recherches de Jean-Michel ARCHAMBEAU. Noms d’Escaïs ou Escaïre-noms. Définitions, constats et exemples Sources : où les trouver ?

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Presentation Transcript


  1. Un grand merci à toutes les personnes qui, par leurs témoignages, ont fait avancer cette recherche.

  2. ESCAÏS & OSTALS de Haute-Viadène D’après les recherches de Jean-Michel ARCHAMBEAU

  3. Noms d’Escaïs ou Escaïre-noms • Définitions, constats et exemples • Sources : où les trouver ? • Origines : d’où proviennent-ils ? • Le cas de Sainte-Geneviève

  4. Selon les dictionnaires • Vient du patois rouergat faisant partie du dialecte languedocien. Veut dire « Sobriquet ». (Dictionnaire occitan-français de Louis ALIBERT) • Sobriquet : Surnom familier généralement moqueur (Dictionnaire Le Robert). • N.B. Parmi les escaïre-noms recensés sur le canton de Ste Geneviève, ces surnoms sont rarement moqueurs.

  5. Selon nos constats • En général, autrefois, on donnait à la maison le surnom (ou sobriquet) ou bien le nomdefamille ou encore le prénom du chef de maison : celui qui avait fait construire cette habitation et/ou qui l’habitait. Le chef de famille pouvait être un homme mais aussi une femme. • Suite à l’abandon d’une maison dû à diverses causes (exemples : incendie, décès du dernier habitant) et si la maison est inoccupée pendant longtemps, elle peut perdre son « escaïs », son nom, personne ne se rappelant comment elle se nommait autrefois. • Les escaïs permettent de différencier des familles portant le même patronyme et dont les membres portent le même prénom. Ils permettent aussi d’identifier clairement deux branches d’une même famille.

  6. Exemples • Cas de la maison dite «Chez  MAZARD » à La Borie d’Orlhaguet. • L’étude du cadastre napoléonien (terminé le 10 juillet 1841 pour la commune de Ste Geneviève) nous permet de situer la date de sa démolition en 1859. Juste avant cette date elle appartenait à une famille CHAUDIERES. • En comparant ce cadastre avec l’état des lieux tel qu’il se présente de nos jours, nous nous sommes rendu compte que cette maison a été reconstruite exactement sur ses bases anciennes et elle se trouve exactement au même endroit qu’avant sa démolition en 1859. • Le nom de cette maison était perdu. Nous avons pu déterminer qu’il provient du patronyme d’une famille qui l’habitait au moins dès le 17e siècle.

  7. Exemples 2. Cas de la maison dite «chez  Bezamat » à Espinasse. BEZAMAT est le nom d’un habitant de Montpeyroux qui est venu se marier en 1858 à Ste Geneviève et vivre dans la maison de sa femme, une fille de Pierre-Jean CAYRON ( 1866). Pierre-Jean CAYRON était le propriétaire de cette maison avant que ce BEZAMAT y vienne pour gendre. Par la suite les habitants des alentours ont pris l’habitude d’appeler cette maison « la maison de BEZAMAT », alors qu’elle devait avoir un nom beaucoup plus ancien puisque habitée avant 1858 par la famille CAYRON, comme nous le précise le cadastre napoléonien. Nos recherches nous ont permis de déterminer que cette maison appartenait jadis à la famille de Foy PONS épouse de ce Pierre-Jean CAYRON, laquelle descendait de BÈS dits « Parro ». « Parro » était donc l’ancien « escaïs » oublié de cette maison et devenu « Bezamat » après 1858.

  8. Conclusions (1) • Un escaïs est le plus souvent le nom d’une maison. Il s’applique aussi à son propriétaire. • Une maison peut porter, au cours du temps, un, deux ou plusieurs noms différents • selon les évènements qui s’y rapportent. • selon la mémoire des habitants des environs.

  9. Conclusions (2) • Une maison peut porter • un nom de famille (nom porté par celui qui a construit la maison) • un nom d’escaïs (vrai sobriquet) • Un même nom de maison peut se retrouver dans plusieurs endroits différents, plusieurs villages. • Exemple : • Chez madame TEYSSEDRE à la Vaysse Haute : « Chez Moutou » • Chez monsieur BOUYSSOU à Paulhac : « Chez Moutou » • N.B. Madame TEYSSEDRE nous a confirmé un lien de parenté ancien entre les habitants de ces deux maisons.

  10. Les sources (1) • Vieux cadastres (descriptifs) ou Compoix (compoids) : n.m. Notamment dans le Sud de la France (Languedoc), registre public servant de cadastre permettant d’établir l’assiette de la taille et autres impôts. • Sur ces registres se notaient la description, la situation des terres, les noms des tenanciers, etc. (17e – 18e siècles).

  11. Les sources (2) • Terriers : n.m. État descriptif des droits et biens d’un seigneur à une date donnée. (Cet état contient la liste des terres de la seigneurie, avec leur superficie, les redevances qui y sont assujetties et dues par leurs tenanciers. C’est l’ancêtre du cadastre. Les terriers étaient périodiquement renouvelés pour éviter leur prescription. (Comme pour les compoix, on en trouve de nombreux aux AD, notamment dans les séries C, E, G et J.)

  12. Les sources (3) • Liève : n.f. Extrait de terrier qui énonçait les héritages d’une seigneurie, d’une abbaye, les noms de leurs tenanciers, les redevances qui y étaient attachées et qui était utilisé par le receveur des droits seigneuriaux ou abbatiaux pour encaisser les sommes dues.

  13. Les sources (4) • Cadastre napoléonien (dans de rares cas) : Base de l’impôt foncier, il a été mis en place en 1808. Dans les matrices cadastrales, on peut trouver des noms de maisons qui suivent les noms des propriétaires. (Consultable aux AD, en série P.) • Registres paroissiaux : Baptêmes, Mariages, Sépultures (BMS), avant 1790.

  14. Les sources (5) • Registres du vieil état civil : Naissances, Mariages, Décès (NMD) entre 1790 et 1840. (Sous-série 2E)

  15. Les sources (6) • Registres des notaires. Consultables aux AD (Sous-série 3E ou série E – sous-série 1E)

  16. Les sources (7) • Recensements (ou dénombrements). Le premier recensement général de la population date du 16 mai 1860. Autrefois, les recensements comptabilisaient les feux (foyers) sans précision des patronymes, à un moment et pour un territoire donnés. • Recensements pour service militaire. • Actes de justice (jugements, arrêts, etc.). (Séries B et U) • Auprès de nos Anciens qui ont gardé la mémoire des noms et des lieux qui s’y rattachent.

  17. Origines (1) Un nom d’escaïs ou escaïre-nom peut venir : d’un patronyme :  chez VACARESSE à Rouchaudy de Graissac (maison de Mme DUBOR)  chez FROMENT à Orlhaguet (moulin tenu par la famille BARRIÈ dite « Froment » en 1664)  chez COUDOUEL à Bénaven (maison de M. GUITARD)  chez GASTAL à Bénaven (maison de M. Henri GOUTAL)  chez VALETTE aux Rosières  chez MAZARD à La Borie d’Orlhaguet  chez de CHAUMEIL aux Enfruts (selon CM du 15/02/1779 devant Pierre VAYSSIER notaire royal, fait « dans la maison dite de Chaumeil aux Enfruts entre Sieur Jacques BARTHE de La Bouscarie de St Gervais et honnête fille demoiselle Anne de CHAUMEIL, fille de noble Jean-Pierre de CHAUMEIL et de feue Jeanne JALBERT, présente maison »)

  18. Origines (2) d’un prénom (nom de baptême) :  chez MATHELY aux Puechs d’Orlhaguet (Famille COUDERC)  chez MATHELYN (MATHELY) à Carmensac (anciennement chez PONTIER, de nos jours DI MEGLIO)  chez LUC à Vitrac (maison BOUNIOL) – Chez Luc FRANC  chez JEAN LUC à Cissac (maison PELAPRAT)  chez FLEURET au Viala (maison FONTANIER)

  19. Origines (3) d’un diminutif (de prénom) :  chez JOANIOU – racine Jean- à Espinasse (maison MAJOREL)  chez JOUANDOU à Vabres  chez PIERREÇOU au Born de Vitrac (maison dite aussi PIERRET au 18e siècle)  chez CATINEL à Lacalm ou encore à Banes de Graissac (famille RIGAL-LOUVRIER)  chez CATIN à Banes (maison SABA)

  20. Origines (4) d’un métier :  Lo Fabre (le forgeron)  Lo Cardayre (le tireur de laine) – Orlhaguet, Les Barrières  Lo Taillur (le tailleur) - Vernholes  Lo Sastre (le raccommodeur de vêtements) au Born de Vitrac  Lo Tengieyre (le teinturier) à Ste Geneviève  Piquepeyre (ancienne maison SIRVEN au Quié, qui a été démolie)  Lo Bourdié (le métayer : métairie de l’Albaret)  Lo Bouriayre (le métayer : au Born de Vitrac)

  21. Origines (5) d’un lieu (de provenance) :  chez Jean de Laussac ou chez Laussac (vieille maison PERIER à Vernholes)  Gabach (le lozérien)  Paulhac (maison FABRE au Quié, très vieil escaïs)  Le Bourdalais (maison CHAMPREDONDE à Vitrac)

  22. Origines (6) d’un lieu où le propriétaire ou tenancier avait l’habitude d’aller travailler :  L’Espagnol (à Ste Geneviève, Graissac, Orlhaguet, Les Capelles)  Le Parisien (à Falachoux de Vitrac) d’un lieu particulier :  Peyregran (à Vernholes)  Lo Fau (au Fau de Bénaven, à Rouchaudy) – du nom de l’arbre : le hêtre.  Le Mazet (= petit mas, qui a fini par devenir l’escaïs du tenancier de la terre où se trouvait cette maison – untel dit Mazet)  Lo Caminado (= le presbytère)

  23. Origines (7) Du caractère de certaines personnes :  La Trone (à Védrines de Vitrac, au Quié de Graissac)  Lo Ganèl (= moqueur, bluffeur, trompeur, railleur, goguenard voire traître) – étymologiquement vient de l’occitan ancien « ganhar » = railler (Dictionnaire occitan-français de Louis ALIBERT) d’une espèce animale :  Lo Cat Negre (= le chat noir, à Vernholes : le vieille maison BOUSQUET anciennement dite aussi « Thibaud » - Double escaïs !!!)

  24. Origines (8) d’une particularité physique ou à l’importance d’une personne :  Raymond Gran (à Ste Geneviève, ancien nom de la maison JOANY(?))  Monsieur Jacques (à Ste Geneviève, Pierre FONTALBAT, école privée ou « couvent »)  Lo Pape (vieille maison au-dessus de chez CHARDENOUX à Lacalm) d’un type de maison :  Barraco (chez RIGAL à Lacroix Rouge)

  25. Origines (9) escaïs non élucidés :  Catouo (Maison CARBONNEL à Cissac de Cantoin)  Moriou (chez VAYSSIER à Cissac de Cantoin)  Ziniou (chez VALADIER à Niergourg) •  Plone (chez COHEN à Rouchaudy) •  Peneque (chez GIRBAL à Lacalm) • Lo Tic (chez GIRBAL à Lacalm) • Boer (chez AMPOULIER à La Borie de Graissac : Les anciens ne savent plus !) •  Lamistat (chez VENZAC à Lacalm) •  Cotolo (chez Baptiste SALTEL à Lacalm)

  26. Le cas de Sainte-Geneviève Le point de départ (1) A Sainte Geneviève, au départ de notre recherche, nous ne connaissions avec certitude que deux noms d’escaïs que nous avons su situer :  Valetou  Courtino

  27. Le cas de Sainte-Geneviève Le point de départ (2) Courtino Valetou

  28. Le cas de Sainte-Geneviève La méthode (1) Pour situer des maisons portant des noms d’escaïs, il faut partir d’un point fixe. Il faut également une famille, qui est connue vers 1665, (date de la rédaction du compoix de la Baronnie de Bénaven dont une grande partie de Sainte Geneviève faisait partie) et dont les descendants sont aussi connus au temps de la rédaction du plan napoléonien (1841 pour Sainte-Geneviève). Après lecture attentive des deux documents, la famille DUBERTHIER, chirurgiens et bourgeois du village de Ste Geneviève, est retenue.

  29. DUBERTHIER Le cas de Sainte-Geneviève La méthode (2) La famille DUBERTHIER vit à Ste Geneviève depuis très longtemps (au moins 200 ans avant la rédaction du plan napoléonien). Les registres paroissiaux permettent de connaître l’escaïs de cette famille : « Devèze ». Mais où habitaient-ils ? Une forme géométrique (ci-dessous rectangle) représentera la maison DUBERTHIER.

  30. Jardin de Me Arnaud DUBORN N E O Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre CROS S Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (1) La partie du compoix concernant cette famille décrit leurs biens de la façon suivante : « Maître Pierre DUBERTHIER chirurgien dit « Devèze »  tient une maison couverte de tuiles. Elle confronte » : • du levant (est) avec les chazals des héritiers de feu maître Isac VIGNES • du midi (sud) rue publique allant dudit Ste Geneviève à l’Albaret • du couchant (ouest) maison de Pierre CROS • du septentrion (nord) jardin de maître Arnaud DUBORN Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien

  31. Jardin de Me Arnaud DUBORN François ASTRUC N E O Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre CROS Place publique S Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (2) Le compoix décrit ainsi les biens des héritiers de Maître Yzac VIGNES * : « Tient deux chazals de maison qui confrontent » : • du levant avec la place publique • du midi rue publique allant à l’Albaret • du couchant maison de Pierre DUBERTHIER chirurgien • du septentrion maison de François ASTRUC Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien * Yzac VIGNES (x Jeanne SOULTRAC) sont les parents de Jean VIGNES (x Paule GUITARD)

  32. Rue publique Jardin de Me Arnaud DUBORN N E O Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre CROS S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (3) François ASTRUC dit Montalayrac * : « Tient une maison couverte de paille, un petit jardin et un chazal, qui confrontent » : • du levant avec la place publique dudit lieu (= Ste Geneviève) • du midi chazal de feu maître Yzac VIGNES • du couchant jardin de Me Arnaud DUBORN • du septentrion rue publique François ASTRUC dit Montalayrac Place publique Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret * Montalayrac se trouve près de Fournels en Lozère (1 seul Montalayrac trouvé !)

  33. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (3bis)

  34. Jardin de Me Arnaud DUBORN François ASTRUC dit Montalayrac Jardin de Me Arnaud DUBORN N E O Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre CROS dit Barbié Jean VIGNES notaire S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (4) Pierre CROS dit Barbié : « Tient une maison couverte de paille, elle confronte » : • du levant avec la maison de Pierre DUBERTHIER chirurgien • du midi rue publique allant de Ste Geneviève à l’Albaret • du couchant avec la maison de maître Jean VIGNES notaire • du septentrion avec le jardin de maître Arnaud DUBORN Rue publique Place publique Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  35. Jardin de Me Arnaud DUBORN N Jardin de Raymond CHASTAN Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Antoine BARBÈS Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (5) Maître Jean VIGNES, notaire royal et Paule de GUITARD mariés *: « Tient une maison et étude confrontant » : • du levant avec la maison de Pierre CROS • du midi rue publique • du couchant maison d’Antoine BARBÈS • du septentrion jardin de Raymond CHASTAN Rue publique François ASTRUC dit Montalayrac Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret • Jean VIGNES et Paule GUITARD se sont mariés par CM devant BALDIN notaire royal à Graissac,le 2 mars1658 …

  36. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (5 suite)

  37. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (5 suite) • Le même jour (2 mars 1658), maître Jean GUITARD, notaire et père de Paule GUITARD, pour la dot de sa fille, transmet son office de notaire à son nouveau gendre Jean VIGNES (Résignation d’office).

  38. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (5 suite) • Le 17 mai 1639, Jeanne CARBONNEL et Jean GUITARD, mère et fils sont propriétaires de la maison dite « de Gary » (à côté de ce qui sera plus tard l’office et maison de Jean GUITARD). - Devant Pierre FRANC notaire royal à Ste Geneviève – • A cette date (1639) la maison dite « de Gary » confrontait le petit pré de Jean FRANC docteur (à la place du jardin CHASTAN), ainsi qu’une étable, jardin et un potager qui appartenaient aux deux tenanciers cités plus haut. • Donc l’office notarial et la maison ont dû être construits plus tard par maître Jean GUITARD notaire royal.

  39. Rue publique Jardin de Me Arnaud DUBORN Jardin de Raymond CHASTAN, marchand N Jardin de Raymond CHASTAN Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal Rue publique E O Antoine BARBÈS Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (6) Antoine BARBÈS dit Gary : « Tient une maison couverte de tuiles confrontant » : • du levant avec la maison de maître Jean VIGNES notaire • du midi rue publique • du couchant rue publique • du septentrion jardin de Raymond CHASTAN, marchand François ASTRUC dit Montalayrac Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  40. Rue del Four Rue publique Jardin de Me Arnaud DUBORN Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Jardin de Raymond CHASTAN, marchand N Rue del Four Rue publique Jardin de Raymond CHASTAN Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Antoine BARBÈS Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (7) Raymond CHASTAN, marchand : « Tient un jardin appelé del Four confrontant » : • du levant avec jardin de maître Arnaud DUBORN • du midi avec maison de maître Jean VIGNES, notaire • du midi avec maison d’Antoine BARBÈS (dit Gary) • du couchant avec la rue del Four • du septentrion avec la rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  41. Four et fournil communs (banaux) ? Jardin de Me Arnaud DUBORN N Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (8) Maître Arnaud DUBORN, praticien (= avoué) : « Tient un jardin appelé de l’Orte confrontant » : • du levant avec chazal de François ASTRUC • du midi avec maison de Pierre DUBERTHIER, chirurgien • du midi avec maison de Pierre CROS • du couchant jardin de Raymond CHASTAN, marchand • du septentrion avec la rue del Four Rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Jardin de l’Orte de Me Arnaud DUBORN Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Rue del Four Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  42. Jardin de l’Orte de Me Arnaud DUBORN N Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (9) Que constatons-nous ? • Ce quartier est délimité par : • La rue de l’Albaret • La rue du Four • La place publique Four et fournil communs (banaux) ? Rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Rue del Four Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  43. Jardin de l’Orte de Me Arnaud DUBORN N Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (10) Pourquoi « rue du Four » ? Une consultation du plan cadastral de 1841 signale une parcelle n° 103 située en plein milieu de la rue pas loin de l’église, entre les actuelles maison JANY et CHICHARD, voisines de celle de maître COUDERC, notaire. Four et fournil communs (banaux) Rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Rue del Four Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  44. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (10 suite)

  45. Jardin de l’Orte de Me Arnaud DUBORN N Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (11) Vérification Une vérification sur la matrice cadastrale du plan napoléonien de 1841 donne les habitants de Ste Geneviève comme propriétaires de cette parcelle n°103. Elle correspond à un four avec fournil (détruit en 1852). Le four banal est bien identifié ! Four et fournil communs (banaux) Rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Rue del Four Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

  46. Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (11 suite)

  47. Jardin de l’Orte de Me Arnaud DUBORN N Jean VIGNES (x Paule de GUITARD) notaire royal E O Pierre CROS dit Barbié S Le cas de Sainte-Geneviève Construction du quartier (12) Les lieux publics La rue publique allant de Ste Geneviève à l’Albaret correspond à la rue des Barrages actuelle. La place publique correspond à la place de l’Église actuelle. La rue du Four correspond à une partie de la rue de Thénières et à une partie de la rue de l’Église d’aujourd’hui. Four et fournil communs (banaux) Rue del Four François ASTRUC dit Montalayrac Jardin del Four de Raymond CHASTAN, marchand Rue del Four Place publique Chazals des héritiers de + Me Isac VIGNES Pierre DUBERTHIER di t Devèze, chirurgien Antoine BARBÈS dit Gary Rue publique de Ste Geneviève à l’Albaret

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