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GLYCEMIE : REGULATION DIABETTE ECT

GLYCEMIE : REGULATION DIABETTE ECT. Glycogène hépatique. Glycémie = une constante de l’organisme = 1 g.L -1 de sang. Histologie du foie. Une circulation particulière au niveau du foie. Le pancréas : localisation. Le pancréas : expériences. Histologie du pancréas. Insuline et glycémie.

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GLYCEMIE : REGULATION DIABETTE ECT

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Presentation Transcript


  1. GLYCEMIE :REGULATIONDIABETTEECT

  2. Glycogène hépatique

  3. Glycémie = une constante de l’organisme= 1 g.L-1 de sang

  4. Histologie du foie

  5. Une circulation particulière au niveau du foie

  6. Le pancréas : localisation

  7. Le pancréas : expériences

  8. Histologie du pancréas

  9. Insuline et glycémie

  10. Glucagon et glycémie

  11. Synthèse et hydrolyse du glycogène (En bleu : la voie « hydrolyse » ; en rouge la voie « synthèse » )

  12. Action des hormones sur les enzymes hépatiques

  13. Glycémie et pancréas

  14. Schéma de régulation : la glycémie règle la glycémie !

  15. Les deux types de diabètes

  16. Les deux types de diabètes : origine

  17. Ilots de langerhans de DID

  18. DNID

  19. DNID ET ENVIRONNEMENT

  20. Le cas des Pimas

  21. Le cas des Pimas : suite

  22. Maladie de l’urbanisation, de la sédentarité, de l’obésité Le diabète de type 2 est bien une maladie des pays industrialisés.Des recensements précis montrent que c’est l’Afrique qui compte le moins de diabétiques de type 2 (2,4 % de la population), et c’est en Amérique du nord que la situation est la plus critique : près de 8 % de la population est concernée. L’accès permanent à une nourriture riche et abondante et, surtout, la diminution de l’activité physique sont les facteurs principaux de cette flambée du diabète de type 2.

  23. DNID et environnement : suite

  24. Les causes génétiques du DID

  25. Système HLA

  26. DID & immunologie

  27. Des facteurs environnementaux déclenchants le DID sont probablement à l'origine du déclenchement du processus auto-immunitaire. Ils pourraient expliquer « le gradient nord-sud » du DID : en effet, un enfant finlandais a 7 à 8 fois plus de risque de développer un diabète insulino-dépendant qu'un enfant français. Ceci est en faveur de l'existence de facteurs environnementaux bien que les facteurs génétiques puissent également rendre compte de ce gradient. Le rôle des virus dans la pathogénie du diabète de type 1 est suspecté mais non démontré. En faveur de cette hypothèse, la haute prévalence du diabète de type 1 (environ 20 %) en cas de rubéole congénitale ou la présence du virus coxsackie B4 isolé dans le pancréas d'enfant décédé lors d'une acido-cétose inaugurale. Certains virus pourraient présenter un antigène commun avec des protéines de cellule B (virus coxsakie ou cytomégalovirus).

  28. Le nombre de cas de diabètes

  29. Pourcentage de diabétiques dans la population

  30. DID - TRAITEMENT Le traitement associe régime et médicaments hypoglycémiants. L'alimentation du diabétique Actuellement, on ne parle plus de "régime diabétique" mais d'alimentation adaptée aux diabétiques. En effet, le diabétique peut, à quelques détails près, s’alimenter normalement, à condition que cette alimentation soit équilibrée. Les objectifs recherchés sont au nombre de trois : Assurer un équilibre nutritionnel correct ; Eviter des variations trop importantes de la glycémie : il faut " mesurer " les glucides et adapter sa dose d’insuline rapide à chaque repas ; Quelques particularités La régularité des horaires de repas est un facteur important d’équilibre glycémique. En cas d'activité sportive, le régime doit être adapté. La ration énergétique totale et donc la ration glucidique seront augmentées. Une collation supplémentaire avant et après l'effort est souhaitable.

  31. DID – TRAITEMENT suite Le traitement par insuline L'insuline est le seul médicament du diabète insulinodépendant. Sulfamides et biguanides n'ont aucun intérêt en dehors de la période initiale de rémission éventuelle. Depuis une dizaine d'années, les techniques de fabrication et de purification de l'insuline ont été révolutionnées. Actuellement le moyen le plus simple est le stylo à insuline. Ainsi, il permet une injection très facile et pratiquement indolore. Le dosage est uniformisé : 100 unités par ml. L'insulinothérapie par pompe C'est le traitement imitant le mieux la sécrétion physiologique d'insuline. L'insuline est perfusée de manière continue à l'aide d'un pousse-seringue miniaturisé portable à piles. Le débit de base est modifiable et des suppléments de dose sont prévus au moment des repas. Développé aux alentours des années 1980, ce traitement par pompe s'est imposé depuis 1985. L'infusion d'insuline se fait par voie sous-cutanée ou intrapéritonéale. Les traitements associés L'exercice physique est indispensable : on conseille un minimum hebdomadaire de trois séances d'activité physique de deux heures chacune ; Le médecin doit traiter l'hypertension artérielle et l'hypercholestérolémie associées ; Le patient doit impérativement arrêter de fumer.

  32. DID- Les perspectives d'avenir - Le pancréas artificiel ou pompe à insuline - Les greffes de pancréas (très difficile) - Les greffes d'îlots de Langerhans dans le foie

  33. Obésité ou surpoids ? L'index de masse corporel ou IMC Formule permettant d'évaluer l'obésité : IMC= Poids (kg) / (Taille (m))2. Par exemple, pour une personne de 82 kg et 1,60 m, l'indice de masse corporelle est égal à 82 / (1,60)2= 32. N.B. : formule est applicable chez l’adulte de 18 à 65 ans.

  34. Obésité : une épidémie mondiale 1,7 milliard de personnes en surcharge pondérale dans le monde en 2003, 300 millions d'obèses soit 100 millions depuis 1995 : l'OMS n'hésite plus à parler d'épidémie, une première pour une maladie – le terme fait débat – non contagieuse ! Le nombre d'obèses a triplé en vingt ans aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Mais aucun pays n'est à l'abri : une personne obèse sur trois vit dans un pays en voie de développement. En France, ce sont 11,3 % d'adultes qui sont aujourd'hui obèses, soit environ 5,3 millions de personnes. Et ce nombre augmente de 5 % par an depuis 1997 ! En tout, 14,4 millions de Français sont en surpoids : nous avons pris en moyenne 1,7 kg et 2,6 cm de tour de taille en six ans. Les bambins sont aussi concernés : le nombre d'enfants en surpoids a quadruplé depuis les années 60, pour atteindre 13,6 % de la population française. Source CNRS

  35. FIN

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