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Quelques textes à ne pas prendre au sérieux

LES MOTS S’AMUSENT. Quelques textes à ne pas prendre au sérieux. Par Billyben. CLIQUEZ SUR LA BANIERE SELECTIONNEE. CLIQUEZ SUR LE PAVILLON DE VOTRE CHOIX. UNE CONFIANCE AU COURANT. AVIS A LA POPULATION. LES GENS SONT MEDISANTS. NE PAYE PAS QUI VEUT. STOP. DU N'IMPORTE QUOI.

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Quelques textes à ne pas prendre au sérieux

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  1. LES MOTS S’AMUSENT Quelques textes à ne pas prendre au sérieux Par Billyben

  2. CLIQUEZ SUR LA BANIERE SELECTIONNEE CLIQUEZ SUR LE PAVILLON DE VOTRE CHOIX UNE CONFIANCE AU COURANT AVIS A LA POPULATION LES GENS SONT MEDISANTS NE PAYE PAS QUI VEUT STOP DU N'IMPORTE QUOI UNE JOURNEE TROP...... NE RIEZ PAS! ESPACE REVE

  3. En cherchant à payer la facture telephone de la connerie de l’homme est née ce texte : NE PAYE PAS QUI VEUT Ca fais une plombe que je patiente dans la file de ce guichet ! Soudain !... un sifflement m’agace : « Pssst ! msieur,ça va déjà être votre tour » sur ce , je fais demi-tour et dit : « vous avez de l’humour,par les temps qui courent, y’a pas un jour où l’on n’est prit de cour ,le temps nous joue des tours» puis me retourne. -« vous avez peut-être le temps ? « répliqua t-il !  -Je le regarde et dis : »vous m’en direz tant !...Vous parlez bien du même temps que tout le monde prend et que personne ne retrouve quand vient le moment de partager ce temps ». Tenez : « ce matin j’avais le temps, et là je perd mon temps et personne ne sait où il va…même que souvent on le retrouve…vous y comprenez quelques choses vous, d’ailleurs plus le temps passe, plus on en a ; du temps » alors je lui fais : « attendez, et vous en aurez aussi !... ». Savez pas la meilleure ? : « Il parait qu’il y a des gens qui ont du temps à revendre, si, si, on dit aussi que le temps c’est de l’argent, ben, je comprends mieux pourquoi mon porte- monnaie est vide ! …Ma sœur me dit toujours que je perds mon temps ! ». Page suivante

  4. J’ai du bol, ce matin j’ai pris tout mon temps, et pour traiter comptant je me suis dis je fais un tour,en même temps je pousse jusqu’au détour par derrière la cour pour ne pas rater mon tour et payer la facture en cours et j’éviterais un autre débours  SUIVANT ! Cria la voix dans le guichet !...A qui le tour ? Je franchis la ligne de discrétion : et fais «  bonjour, c’est à moi », « et bien c’est pour quoi ? »Réponds la voix ! -« je viens régler ce que je dois, suis-je au bon endroit ? » Et je pose mon doigt sur le papier que j’ai posé là sur la planche de bois. Il me montre son doigt qu’il pointe vers le toit, mon regard suit son sillage jusqu’au-dessus cette fois et là je vois : bureau de recouvrement « très bien ma foi, voici les deniers pour le roi » Il me dit : « vous réglez comment ? » -« a contre cœur, je me résigne, voici prenez tant qu’il est temps » Mais le receveur s’indigne et me raconte «ici l’argent n’est que du vent ! » je l’interroge « pardon, je ne comprends pas ! Attendez… on la refait je suis inquiet » « Monsieur, sur le papier ; la somme qu’on me demande de payer, voici l’argent, je vous prie, encaissez ! » il me fait « n’insistez pas, votre paiement on le prend pas » Page suivante

  5. je lui dit : »monsieur, mon argent n’est pas fait de bois,comprenez moi ;cette monnaie là, c’est en France qu’elle à cours ,pour tout paiement elle intervient a chaque fois » mais c’est un comble : » on m’ordonne de payer, je viens m’exécuter,on m’empêche de régler……..peut-être que des bananes seraient plus estimées,c’est insensé soyons sérieux, dans ce guichet c’est un fou qu’ils ont enfermé ; ou peut-être un ange qui vient nous révéler comment payer sans dépenser, ma foi, peut-être qu’au guichet de la gare ,m’accorderai-t-ils plus d’égard pour la facture téléphone et enfin payer mon retard ? En France on n’a pas de pétrole mais on a des idées, et quelles idées ! De première classe, on craint pas le ridicule, payez vos dus mais sans argent ! Comment ? L’histoire ne le dit pas On vit une époque formidable BILLYBEN2/05/08 RETOUR

  6. DU N’IMPORTE QUOI ! 13/03/08Ici, nous sommes entre nous, n’est-ce pas ? -On parle de rien et de tout ! -De vous à moi…Parlez de tout, c’est une histoire de fous ! Alors parlons de rien et puis c’est tout !... -Mais parler de rien, ça en dit long, alors qu’il faut faire court ! -Tenez : « un bon discours c’est plutôt long, alors qu’on le dit court ! » -Je vous l’ai dit ; c’est une histoire de fous, et là je vous parle de tout !... -alors, parlons de rien c’est plus courant ! -à propos « courant », vous avez remarqué dans la rue ? Les gens sont fous! Ils courent tout le temps.Si vous leur poser la question, ils vous répondent : « c’est pour se tenir au courant » -c’est le cas de le dire, mais…au courant de quoi ?  -Je me dis tiens ! Cours donc voir le voisin, il est pion dans un collège, il est souvent dans la cour, il suit tous les cours, si, de son école jusqu’à la bourse en passant par le tennis et la chasse..à cour bien sûr, enfin, un fêlé tout court quoi,dans les deux sens du terme. -il me dit : « tu viens courir ?  J’ai un parcours qui vaut le détour » -je me suis dis : laisse le courir ! La terre est ronde, il repassera par là ! Page suivante

  7. - déjà au lever ce matin : pas d’eau courante, au petit déj. Un café court et à coté un télégramme : j’arrive dans une heure j’accours !.......C’était le voisin dis donc, à courir autour de la terre il a remonté le temps, c’est pas monnaie courante ! -  mon fils passe en courant d’air : «pour mon exam, j’ai un recours »  -ah ! Que je lui fais !  -sa sœur le suit en me criant : « n’oublie pas les courses, j’ai une affaire en cours ! » - ah ! Que je refais ! -Mais dites ! Vous ? Vous avez un peu de temps ?..... - Bien…. alors je continue. -Vous savez que la nuit, quand tout est silence, il y a un monde qui cours aussi. Je vous assure il y a les coureurs de jours et les coureurs de nuit. -Seulement eux, c’est particulier, c’est aux toilettes qu’ils courent…Ah ! Vous souriez, mais il ont du mérite croyez moi et je ne dis pas ça parce que je fais parti du club !    Quand vous êtes à milles lieues sous les draps et que loin dans le sommeil  le petit besoin arrive et vous tire par les pieds et quand enfin un neurone vexé vient tambouriné dans votre tête et déclenche en vous le plan d’urgence.C’est à cet instant que vous réalisez :……… …..( on en revient à notre sujet) la gravitée sur l’échelle des millibars, que dans vos trippes la courante s’est installé. Page suivante

  8. Branle bas de combat ! Alerte rouge ! N’espérez aucun secours, la course contre la montre a commencé : courir ! Courir ! Oui mais comment ? Pas même marcher est déjà possible, c’est parkinson qui me retiens cloué……. -ça fait peut-être sourire, mais on n’est pas fier, quand l’instant est en cours ! -je me suis dis : « essaie toujours, c’est ton seul recours  » alors séance tenante, j’arrache la couvrante, j’écarte trois assaillants dans la tourmente (eh oui ; l’apesanteur, la maladie et la douleur) et là selon toutes attentes je me retrouve, genoux et poignées sur la moquette, tel un athlète dans le starting bloc ; à ce moment là, il s’agit de ne pas mettre les pieds dans le plat ! Comprenez moi ! Les projecteurs sont resté éteints et la courante à pris de l’avance, et donc, méfiance……enfin tenez vous au courant ! -c’est l’instant où j’ai compris que mes chances d’arriver à temps, étaient inversement proportionnelles à la distance qui me séparait du lieu convoité ; pour résumer  en gros : 8500 millimètres de chance inverse ; c’est là qu’est né la course du Indoor Night Steeple avec handicap bien sûr !parce que , avec parki sur le dos, une  courante qui tricote avec les boyaux et les articulations de « toutencamon », si ce n’est pas du handicap ça ? Sans compter que ce genre de courses se termine souvent sur terrain glissant. Je ne vous fais pas de dessin !... Page suivante

  9. -bon, j’en reviens à l’affaire courante : quand j’y pense, ben oui,j’ai eu du bol, figurez vous que l’histoire était couru d’avance !Disqualifiée, la courante : départ anticipé,du coup elle est partie trop tôt ; résultats elle manquait de pression la récurrente et au final dans mon arrivée triomphale avant d’ouvrir le bal,pas même une main courante,pour me hisser sur le trône et là seul avec ma conscience en attendant l’animal j’ai eu le temps d’inventer ce texte de carnaval. -Un temps pour la morale ? Pourquoi pas ? -Ne pensez pas gagner du temps à courir comme ça jour après jour, profitez de la vie, ça vaut le détour, car  là où mène votre parcours, on y reviendra tous un jour. Une dernière chose : si après tant d’effort, notre héros a réintégré son lit douillet et s’est consolé dans les bras de Morphée, notre courante elle après avoir soufflé, est d’attaque pour mettre la deuxième couche ; mais celle là, je vous en fais grâce. RETOUR

  10. UNE JOURNEE TROP… Ce matin, à l'heure où les premiers rayons du Soleil transperçaient la brume, le petit Tibilly s'affairait déjà dans la cuisine, son humeur fraîche et joviale le poussait à siffloter tel un troubadour, ou plutôt devrais-je dire souffleter gaiement à imiter ce saltimbanque. Il avait entrepris de préparer le petit déjeuner pour sa maman ; une tâche un peu ardue pour un garçon de cinq et demi. Il eut tôt fait de trouver ses limites et entraîna en renfort sa grande soeur dans ses intentions. On ne sait quelle mouche l'avait piqué jour ce jour là, il était vraiment d'une humeur exceptionnelle, la joie de vivre qu’on lisait dans ses yeux contaminait son entourage. Un début de journée idyllique qui vous réconcilierait avec votre pire ennemi. Les mauvaises langues diraient : une journée qui démarre trop bien ! Quoiqu’il en soit, ce matin là, un procèss impeccablement huilé le transporta du réveil jusqu’à sur le chemin de l’école. Il arborait sans le quitter un instant, le masque de l’enfant qui croque la vie a pleines dents.Il dégageait un bien-être communicatif qui attirait ses petits camarades dans son magnétisme, en somme ce jour là il faisait bon près de Tibilly. Même la maîtresse n’en était pas du reste, tellement elle fût émue par la gaîté qui émanait des yeux écarquillés du petit bonhomme… Page suivante

  11. Notre histoire nous entraîne dans la cour de l’école, à l’ombre du préau où Tibilly s’empressas de rejoindre un petit groupe de camarades, pour ensemble laisser échappé la pression. Ils se tenaient là comme un vrai groupe de discussion de grande personne. Un tel donnait de la voix : « moi mon papa il a encore rapporté une coupe de son tournoi de tennis » Lucas à son tour : « le miens c’est le meilleur ; il a marqué trois essais au derby de l’est, il est géant » Tibilly avait cessé de sourire, il fut soudainement envahit d’un sentiment de mal être, son regard évitait de croiser celui d’un camarade, il semblait cherchait quelque chose sur le bout de ses chaussures ; il redouta tellement une certaine idée, qu’elle lui arriva comme une claque dans la figure : - « Et toi, Tibilly, ton papa … il fait quoi comme sport ? » Tibilly fut frappé d’un grand moment de solitude, il en suivit un lourd moment de silence, pour enfin lancer innocemment : « OH ! Moi, mon papa depuis qu’il fait du parkinson…il a arrêté de jouer au football, depuis il ne va plus faire ses footings, même les randonnées il a mis une croix dessus….. » «  c’est américain ça comme sport, hein ? »s’écria Arnauld son vis-à-vis, en lui coupant la parole «  La vaaaache ! »poursuivit Lucas « ça doit être géant comme truc, ça lui prend tout ce temps… quel méga sport ! » Page suivante

  12. Tibilly n’avait pas la force de relever la chose pour plus de précision, pas de suite, non vraiment pas, durant la fraction de seconde qui précéda il prit conscience de la dramatique qui se jouait sur la scène de sa vie, pourtant il lui fallait donner une réplique à ces regards qui se posèrent sur lui : sauver les apparences voilà pour le présent ; pensa t-il ! en remontant péniblement les coins de sa bouche , il esquissa un sourire artificiel qui pour l’immédiat interpréta une chute à la discutions, aux yeux de la petite assemblée.Tibilly n’en demanda pas son reste.Il baissait la tête ,fit quelques pas sur le coté, discrètement il quitta la ronde et chercha à s’isoler ! De retour dans la salle de classe, la métamorphose du garçon n’échappa point à la maîtresse qui aussitôt alla s’en enquérir ; mais Tibilly ne lâcha pas un mot, tête bêche sur la table, son visage n’avait plus d’expression ; de quoi vous donnez des frissons dans le dos à revoir l’image de ce bonhomme à son arrivée. Mais Tibilly luttait avec lui-même, tout se bousculait dans sa tête, il lui fallait résister contre son gré, surtout ne pas craquer, sa fierté de petit homme le lui interdisait ; pourtant il n’avait qu’une envie : celle d’éclater en sanglots, mais il prit sur lui et du revers de la main il essuya une larme qui perlait sur sa joue, il tenait bon ! Un détail que cette épreuve, puisqu’il lui faudra porter cette croix durant toute sa vie. Page suivante

  13. On imagine aisément la souffrance de sa maman en recherchant son petit bonhomme à la sortie, s’attendant à voir son garçon débordant d’énergie…et là encore Tibilly resta de marbre comme s’il n’avait plus rien à attendre de la vie. Ce jour là, il garda pour lui le secret de sa douleur ! Et le soir dans sa chambre, derrière les carreaux de sa fenêtre, il regardait vers les étoiles : sans importance, le fait qu’il n’ait pas tout dit à ses camarades, il savait bien qu’il lui faudra le faire un jour ; non ! Ce jour là une plaie s’était ouverte dans son cœur, une plaie qui sans doutes ne se refermera que bien plus tard, voir peut-être jamais ! Il compris que jamais il n’aura un papa comme ceux de ses petits camarades,un papa qui sais tout faire à l’image duquel, un petit garçon bâtit sa vie… Le lendemain Tibilly n’y tenait plus : il s’effondra en larmes dans les bras de sa maman qui eut toutes les peines du monde à lui redonner un sourire, durant les jours qui suivirent. RETOUR

  14. LA GYM DES MOTS : « lait j’en son mes dix ans !», dit et mont voix in gens !cent cesse atout boude chants….. -vous avé ! Mois ce queue jean di, lé j’en ledise au si :tend avison divers gens ! -sigean ment dix et tant !..................... OH PARDON ! j’ai oublié le décodeur………..VOILA ! « Les gens sont médisants ! », disait mon voisin Jean! Sans cesses à tout bout de champs…. -vous savez ! Moi ce que j’en dis, les gens le disent aussi : tant d’avis sont divergents ! -Si Jean m’en disait tant ! J’en entendais tellement, les gens disaient de lui, ce Jean est épatant -quoique l’on n’en dise, si tenté que l’était Jean, cela fait dix ans qu’il médisait les gens ! Alors, vous m’en dirait tant, depuis dis ans que j’entends dire des « on dit » sauf les jeudis ; car les jeudis,Jean voyait des gens, et il me disait rien ! Et j’en étais que bien ! Page suivante

  15. Pensez donc, je ne lui enverrai pas dire ! Vous voyez ? Car tout ce temps, pour rester poli je lui prêtait l’oreille, et lui me tendait la main, j’aurais préféré qu’il me rende l’oreille, vous voyez ?un peu comme, dent pour dent ! Oreille pour oreille !à la limite : bon pied bon œil ! Mais là : bonne oreille bonne main, ça ne le fais pas !.... D’ailleurs je ne sais pas si vous l’entendez de la même oreille !sinon je vous prête la mienne ? -si j’ai l’ouïe fine !....ainsi vous ouïriez ce que j’ois !et on resterait à l’écoute. Comprenez moi je voudrais pas ouïr que Jean a ouï ce que j’ouïs durant dix ans, oyez vous ? -Je vous l’accorde, le plaisir d’ouïr est fort et c’est pour ça que j’ouis beaucoup Comment vous dîtes ?………de tout ce temps qu’il fallait que j’ouïsse , il en découle que j’entends  moins à présent ! -un hommage a Raymond ? -Monsieur, s’il vous plait !et je m’incline !un maître qui d’un rien nous faisait rire ! -Alors pensez donc ! …trois fois rien… Juin 2008 RETOUR

  16. AVIS A LA POPULATION Un récent sondage a démontré que certaines choses qui nous semblent indispensables, peuvent aussi être la cause d’un désastre dès que l’on franchit une certaine limite. Il s’agit en l’occurrence de l’utilisation d’une drogue par l’être humain, dont les effets dévastateurs ont été, jusqu’à présent, tenu secret par les autorités sanitaires à l’échelle mondiale. L’avènement des technologies actuelles et la médiatisation a outrance ont multiplié les conséquences désastreuses de ce fléau au point d’en avoir été le sujet principal lors du dernier sommet du « G.N. » réunissant les grands de ce monde.L’événement est de taille ; le protocole a fait savoir, qu’à l’unanimité tous les dirigeant du monde étaient d’accord sur la nécessité de dévoiler au grand public la nature et les effets de la drogue en question. Une drogue dont nous sommes tous des victimes potentielles et qui a doses raisonnables reste indispensable à notre vie. Elle a été classée en tête de liste des produits dangereux, loin devant l’alcool, le tabac, etc.….. Page suivante

  17. A chaque instant elle fait de nouvelles victimes dans le monde ; oui !le fléau n°1 se nomme : le rire. Aujourd’hui à nouveau on sait combien elle sera longue, la liste de ceux qui vont être « mort de rire » ! …….Bon, de source solennelle, un saint d’esprit nous a rapporté en direct du paradis les faits suivants : il semblerait que notre regretté Raymond Devos soit à nouveau hanté par son percepteur, ce dernier se tords de rire rien qu’à la lecture du montant de la nouvelle taxe d’hilarité qui lui est dû, un rescapé du rire qui ne doit pas son salut au mérite. Il n’est point étonnant qu’après ceci les gens ici –bas se posent la question : où faut il aller pour rire ? Je verrai bien une croisière au large La tendance actuelle est de prendre la mer, mais, imaginez vous à bord d’un tri-marrant ! Là pour sûr vous êtes mort de rire, forcement c’est du rire par trois. Cela prête à sourire, n’est ce pas ? D’ailleurs c’est préférable car qui prête à rire n’est jamais sûr d’être remboursé ! Quelle folie, cette « épidemilarente », si par malheur vous héritez d’un sourire condescendant, vous seriez fou d’en rire, car la réplique sera peut-être un rire aux larmes ou à défaut un rire en coin ; Soyez sur vos gardes, le danger menace, sachez reconnaître une blague tueuse ! Savoir rire, c’est rire plus longtemps ! Préférez un rire de 1ere classe à une série de rires de bas étages Page suivante

  18. Si par malheur vous êtes pris d’un fou rire ne contaminer pas les autre, leur vies en dépend ; La manipulation des textes comiques est dangereuse et sera soumis à une réglementation sévère. N’oubliez pas ! plus on est de fou, plus on est proche d’une issue fatale ! Un rire ça va, mais trois, bonjour les dégâts Rira bien ! Qui rira moins ! Mieux vaut en sourire qu’en rire ! Blagues, devinettes, histoires drôles seront classées sous X Sachez rire avec modération ! N’a pas le droit de faire rire qui veut, exigez une licence officielle Mettez le rire hors de la portée des enfants ! Dans un restaurant, exigez une table non rieur Chaque objet pouvant entraîner un rire mortel devra porter la mention : « le rire tue » Ne risquez pas votre vie face aux éclats de rires, sortez couvert ! Conclusion : si après avoir lu ce texte, vous êtes décide à rire d’avantage, vous êtes irrécupérables, OUI irréversiblement normal Pour votre santé, riez plus ! NOTA : toute ressemblance avec des faits réels, est totalement involontaire Vous pouvez reprendre le cours normal de votre vie……….GAG. RETOUR

  19. NE RIEZ PAS ! Il faut que je vous raconte un truc, J’étais dans ma voiture pour rentrer chez moi, je ne sais ce qui m’a pris ce soir là, mais j’eus l’idée d’invité à bord’ un auto-stoppeur qui se trouvait là : Il ne semblait pas très ravi au premier abord, il me confia de suite qu’il n’avait pas pour habitude de monter dans une si petite voiture. -Je n’ai pas apprécié, mais il avait le mérite d’être franc. Il ajouta : vous n’avez pas idée du mauvais goût des gens surtout en matière de désodorisant, d’ailleurs, la plupart utilise le même que le votre. Les instants avenirs me semblaient prometteurs ! Le mot « critique » lui semblait familier, et d’emblée il attaque un gros dossier : »le parfum, j’adore ça, il ne faut pas qu’il soit trop cher, moi je mets «  Monsieur de Givenchy de GIVENCHY, ouaichh  » !.... Très intrigué, j’affûtais mon odorat pour déceler dans l’ambiance cette nouvelle fragrance, mais rien n’y faisait, bien que, un court instant je percevais une certaine arrogance, qui me parlait plutôt de : « JEMLAPETTE de YVES ENCHIE » Quand les hommes parlent de parfums c’est souvent en rapport à leurs conquêtes féminines! A entendre les noms des nouvelles eaux de toilettes, je m’y perds un peu ; Page suivante

  20. ; alors quand mon passager me dit : aucune, ne lui résiste quand il porte « BLACK HERPES de PACO CABANNE » ou même encore quand il mets : « RIVES MOCHES de YVES ST FLORENT » elles tombent toutes dans ses bras ! Je reste un peu perplexe. Je doute fort que grâce à « JE FLEURE LE MÄLE de JEAN-PAUL PITIE  »  ou encore « EAU DE CHIAS for men de ROCHIAS » on trouve une quelconque assurance pour soi même. Alors plutôt encore « AZERO POUR L’HOMME » histoire de partir sur une bonne base !: Un instant, il me semblait opportun que je donne ma réplique ! Mais non, cette personne se suffisait bien à elle-même, il me fallait juste lui prêter une oreille attentive. Et ainsi ce soir là je sus que bien des hommes se gomme le visage avec « EXFOLIANT DOMMAGES PROFONDS de MAXTER of CAROLINE»et utilisent le masque anti-âge de NIKEL, j’ai nommé : « SALE GUEULE N°1 » Et que certains, se dissimulent derrière »DEO NUL, déodorant invisible de MARCO SARUSSI" Pour jouer les don juans. Il faut bien souligner que c’est en pensant à vous mesdames, que les Hommes emploient sous la douche: »DUO GEL LOUCHE, spécial déplacements de MAN-U » Page suivante

  21. Ceci dit, si après avoir traiter leur cheveux avec »HELP-ME Shampoing de MAN-U ( la performance des soins pour l’homme), et s’être enduit d’huiles sensuelles tel que: »RESIDUS D’AMOUR de KAMASUTRA » vous êtes toujours insensibles à leur charme, alors ne doutez pas que pour vous, il sera prêt à se payer le grand jeu : »le KIT COMPLET ULTIME SAUVETAGE » pour effacer les grands ravages de leur visage, et je me permets d’ajouter : car vous le valez bien !. MORALITE :peu importe la situation, voulue ou pas,en se laissant surprendre, on a toujours à y apprendre, ou presque !……………………………. Maintenant que je vous dis cela ! Je me demande si mon auto stoppeur était bien sincère ? GAG !........................ octobre 2008 RETOUR

  22. UNE CONFIANCE AU COURANT. Pour nous tenir au courant, nous sommes allé au tabac prendre le journal. Nous marchions tranquillement quand nous nous sommes vus dépassé par un groupe de personnes qui couraient. Pour tout vous dire, tous ces gens qui courent, je m’en méfie quelques peu. Vous comprenez ? J’ai souvent entendu dire : « les gens sympas, ça ne courent pas les rues »  alors forcement ! D’un certain point de vue, cela me rassure un peu, vu que l’on m’attribue souvent un manque de rapidité … Vous l’avez sans doute déjà entendu, vous aussi, cette expression ! Assurément, c’est un bruit qui coure ! Ou alors, vous êtes vraiment trop rapide pour qu’il ne vous rattrape !....... - « Mais Non ! Oh pardon ! On pourrait penser par déduction que la sympathie est inversement proportionnel à la rapidité d’une personne ... » - « Ne me faites pas dire ce que je ne veux pas dire, non, Euh…………vous trouve très sympathique …..  Voir………un tout petit peu lent, si je peux……..oh ! À peine ! » A force de « on dit » j’avais décidé de ne plus être au courant ! Page suivante

  23. Quand on m’interrogeait ? Je répondais : « sais pas ! Aucune idée ! » du coup on me disait : - « Ca va…Oh ! Quel sale caractère » Faudrait savoir….. Quoi !.....c’est vrai ! Et en même temps, savoir, c’est être au courant »……. Il parait que l’on a sauvé un gars, qui voulait rester au courant sans en avoir l’air ! ……Il a failli étouffer ! Beaucoup disent qu’il n’était pas dans le vent. Aujourd’hui, comment peut-on être dans le vent, sans être au courant d’airs ? Regardez tous ces nouveaux (apprentis) chanteurs dans les castings ! Ils connaissent la musique, ça marche pour eux, on les trouvent sympas, jusqu’au jour où ils commencent à concourir ! Et là forcement on les aime déjà moins… Ah non ! C’est pas le « con » c’est plutôt le « courir » qui dérange dans le mot ! Pour revenir à nos coureurs, il faut noter que statistiquement, s’ils vous passent une deuxième fois, ils sont encore plus rapides. Donc par déduction, si j’ose, carrément antipathiques. Ma curiosité me poussa à interroger l’un deux : - « Alors, pourquoi courir si vite ? » il répondit : « vu les ragots, il faut absolument éviter de se faire rattraper par la rumeur » Page suivante

  24. - « pourtant, il vous suffit de marcher et ainsi la rumeur vous précède ! » -le coureur : « mon pauvre monsieur, vous n’y pensez pas ! Une rumeur qui vous précède, ça vous suit partout » Et chacun sait qu’il n’est pas facile d’avouer à quelqu’un que l’on est suivi. On a tôt fait de vous allouez une case en moins ! - « vous avez essayé le vélo ? » - « ben Non ! On reste toujours des coureurs…Il faut savoir que les cyclistes sont tout de même champions dans le domaine de la poursuite !et de ce fait, être suivi dans le monde de la pédale…Enfin, vous comprenez ? Même si on est un peu plus dans le vent, il s’agit d’un autre air ! ». J’aimerais bien comprendre pourquoi ils veulent tous être le moins sympa ? J’ai ma petite idée la dessus : peut-être tout simplement parce que tous les gens sympas, l’envie. What else ?( quoi d’autre ?) RETOUR

  25. ESPACE REVES Le 18/06/2009 Il nous arrive a tous d’avoir la tête dans les étoiles, certains plus que d’autres,mais le « must »est de pouvoir vous y emmener !Suivez moi, je vous prie. Au rond point des éclipses, vous sortez sur « shuttle avenue », au premier carrefour, vous poursuivez tout droit en laissant sur la droite le chenal céleste qui conduit vers la lune, au rond point suivant vous emprunterez la voie « galactica », mais prenez garde a ne pas sortir trop tôt, au quel cas, vous seriez mené sur l’étoile « Lemurion » ;une perte de temps inutile et pas même de quoi se restaurer avec le risque de croiser une forme de vie étrange, définie par l’appellation de lémuriens et comme leur nom l’indique : ils « l’aiment rien » ; ces êtres ne connaissent pas la nourriture à notre façon. Je referme la parenthèse, pour revenir sur la voie « galactica » que vous suivrez durant 421 années pour enfin, tout au bout, être pris en charge, sur la plateforme de transfert, plus célèbrement nommée : « météorites killer » ; ne cherchez jamais à court-circuiter ce complexe « high tech, car lui seul sait prévoir et gérer les déluges de météorites dans le chenal du même nom, qu’il vous faudra traverser pour atteindre la galaxie du centaure.Je me suis laisser dire que de temps à autres on peut voir passer des restes d’ossements en orbite, et qui témoignent de l’obstination et de la vulnérabilité humaine. Il n’est pas vain de le rappeler. Page suivante

  26. Dès le Chenal des météorites franchi,environ à 9 heures, pour utiliser le jargon aéronautique, vous apercevrez , une étrange planète très sombre qui fait beaucoup parler d’elle en ce haut lieu touristique, juste aux abords de la galaxie du Centaure .Elle est connue sous le nom de la planète noire. Son accès est interdit, elle a été classée : zone de non lieu, soit disant par mesure de sécurité. Par ailleurs une forte légende s'y trouve rattachée. Selon cette dernière, quand la brume se fait intense autour de cet astre, la planète laisserait la place a un gigantesque trou noir, que l’on qualifie dans la légende, de porte des étoiles. En effet, quand on prend le temps d’y écouter le silence, on jurerais entendre des voix de fêtards, des rires, des cris de joies et la légende affirme que dans certains labs temporels, des flots de personnes viendraient glisser au travers de cette porte dans l’abîme sidéral, pour venir s’y détendre dans un repos bien mérité, après une vie bien remplie. Et accrochez vous, il semblerait que la plus part viennent de la terre. croyez moi, c’est a s’y méprendre, j’ai eu l’occasion de me plonger dans ce silence,,je me rappelle très bien des paroles parvenues à mes oreilles ,j’en étais presque choqué : « laisses ta sœur tranquille, va descendre les poubelles, tu as sorti Laîka ?» Oui ! Laîka, c’était le nom de notre boxer !...... Vous avez compris, on y entendrait les siens, ceux qui sont partis on ne sais où. Page suivante

  27. Mais reprenons nos esprits, nous poursuivons notre périple pour arriver au croisement des trois galaxies et pour les nommer : la galaxie de Cassiopé, celle du Mentor, et bien sûr celle du centaure. A cet endroit, si les conditions vous sont favorables, vous pourrez vous impregnier d’images inoubliables. Car c’est là-bas que le soleil vous dévoilera son aspect le plus magnifique comme s’il se confiait en ce lieu tout en étant distant ; peut-être l’endroit où il est né ! Qui sait ? Certains habitués ont relevé une nuance un peu verdâtre dans la couleur actuelle du soleil,un peu comme s’il éprouvait de la jalousie, peut-être une légende naissante, il parait qu’un certain poème……………….. Evidement, vous allez me dire mais ce trajet est interminable !j’aimerais vous répondre que dans l’immensité de l’univers, la notion du temps n’a aucune comparaison possible avec celle de notre terre. Et c’est a cet effet que notre prochaine étape est vitale dans cet infini au cœur des étoiles.. Donc passage obligé au méga pôle de traitement anti-temporel. Rassurez vous, rien de bien compliqué, le traitement appelé :TIMESOFT GAMA XC 343 se réduit tout simplement au passage dans un SAS , don c à peine le temps de réaliser. Fabuleux n’est ce pas ? Il serait tout de même dommage, si au retour de votre visite extra terrestre, « TOUTANCAMON » soit plus jeune que vous ! Page suivante

  28. Bien, sans en abuser, du temps bien sûr, il nous faut embarquer dans la prochaine navette : « univers 622 »qui nous rapprochera de notre point de chute, dans la baie des anges, après un court instant de 500 années lumières. Nous sommes donc à l’extrême de la galaxie de Cassiopé porte nazaret. Un vrai paradis, si vous cherchez un lieu de villégiature, c’est une aubaine à saisir ! Pour l’anecdote : en passant par la rue des étoiles dans la baie des anges, il y a peu de temps, j’y ai trouvé une pièce d’or ; oui ! C’était un Napoleon, vous vous rendez conte ?Celà représente tout de même un bon,de quoi y trouver villégiature ! Pourquoi ? ben voyons, un Napoleon, c’est toujours un bon appart ! Bon d’accord, une pièce, ça fait petit, mais cela reste une affaire en or ! Nous voici donc, porte Nazaret. il y a un restaurent qui vaut le détour, vous verrez en y entrant, prenez les quelques marches sur la droite pour descendre et en passant la porte, vous vous retrouverez les deux pieds sur terre. Il ne vous reste plus qu’à oublier les bêtises que je vous ai racontées. Néanmoins, j’espère que ces quelques lignes ont su suscité votre imagination, et vous ont fait passer un agréable moment Vous pouvez maintenant, reprendre le cours normal de votre vie. RETOUR

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