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Marifè Santiago Bolaṅos

Table ronde - 28 juillet 2014. Des regards qui changent le monde Les enfants, les villes. XXX Rencontre Internationale Des Éducateurs Freinet – RIDEF. Marifè Santiago Bolaṅos Escritora, Doctora en Filosofía , Profesora de Estética y Teoría de las Artes

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Presentation Transcript


  1. Table ronde - 28 juillet 2014 Des regards qui changent le monde Les enfants, les villes XXX RencontreInternationaleDesÉducateursFreinet – RIDEF Marifè Santiago Bolaṅos Escritora, Doctora en Filosofía, Profesora de Estética y Teoría de las Artes (Universidad Rey Juan Carlos-IUDAA, Madrid)

  2. L’achitecte Jordi Ludevid, dans un article paru en Espane en avril 2014, ‘Vers la construcciòn de ‘urban friendly’, réfléchit sur comment penser à une ville qui recherche le bien-être et la sécurité de ses habitants. Ce qui signifie rélier dans un projet de milieu urbain la patrimoine cuturel, les besoins individuels, la cohabitation, la memoire actualisée pour procéder vers le futur. Pag. 2/17

  3. Le bien-être des garçons et des filles peut jaillir de ces reflexions civiques, aussi que des convinctions du pédagogiste Francisco Giner de los Rìos ( l’authentique rèvolution naît de l’esprit). Pag. 3/17

  4. Dans l’année 2013-2014 l’Institut Universitaire de Danse ‘Aicia Alonso’ de l’Université Rey Juan Carlos de Madrid ( cours de Pédagogie des Arts Audiovisuels et de la dans) a signé une convention avec une ècole d’enseignement special publique. Pag. 4/17

  5. Le collège est frequenté par 200 individus vulnérables comme nous, mais, plus que nous, soumis à une depéndence absolue. ‘Etre’ seul est diffèrent que de ‘rester’ seul: celui ci est c’est un état transitoire, situé dans le temps: tandis qu’”être” seul est une condition permanente. “Ethos”a la même racine de “abri”. L’éthique c’est le lieu qui, symboliquement, offre un abri, de façon qu’un être humain puisse se sentir abrité. On est, parce qu’on ‘est’ avec les autres. Pag. 5/17

  6. Le niveau maximun d’éthique est donné par les situations partagées dans lesquelles on agit sans rien attendre en retour, dans lesquelles l’individu vers lequel tu fais une action est autonome: actions qui constituent ‘abri’ pour des êtres vulnérables, personnes âgées faibles, malades mentaux, personnes handicapées, garçons et filles,... Pag. 6/17

  7. L’école ‘Joan Mirò’ se situe dans un quartier périphérique pas pour sa collocation géographique, mais parce qu’il y a dedans toutes les périphéries de notre monde. C’est un milieu déprimé, touché par le chômage et la marginalisation (les pouvoirs qui étouffe ceux qui sont plus en bas dans l’échelle sociale). Les ordures au sol signalent manque de solidarité et d’acceptation, aussi si les arbres sont verts. Pag. 7/17

  8. Exclusion, marginalisation, desespoir: un paysage toujours plus souvent cotidien dans une Europe qui avait rêvé des valeurs tels que les ‘droits humains’ ou la solidarité. Beaucoup d’être humains passent leur vie en acceptant des conditions contre lesquelles ils ne peuvent ou ne savent même pas se rebeller. Je pense tout ça tandis qu’un matin je vais avec mes étudiants/tes et un petit groupe d’élèves et des professeurs au centre culturel pour un projet auquel nous avons dommé le nom d’‘Utopia’. Pag. 8/17

  9. Et là une adolescente, affectèe d’infirmité motrice cérébrale, condamnée à un fauteuil roulant, sourit avec douceur en éxpliquant qu’est ce qui a signifié pour elle travailler pendant le cours avec des danseurs professionnels qui lui on fait oublier l’obstacle qui bloque ses jambes. Un très élégant danseur la solève vers les abîmes indescritibles du pas de danse y son tutu de ballerine s’élève comme un oiseau libre. Pag. 10/17

  10. La ville de l’enfance surgirait d’ici. Rejoindre un droit concret signifie le gagner une fois pour toujours pour toute l’humanité: l’obtenir pour un enfant signifie gagner du terrain contre la mesquinerie et l’egoïsme. Si la ville s’entrelace des gestes complices qui la rendent ‘ville éducatrice’, ‘villes des enfants et des filles’, alors ce sera ‘abri’, c’est-à-dire ‘éthique. Pag. 11/17

  11. Et l’on entendra encore la voix de cette merveilleuse danseuse avec infirmitè motrice cérébrale, avec des jambes qui ne l’obé>issent pas, qui dit: ‘Merci parce que j’ai volé...’ Pag. 12/17

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