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LA SBF DANS LES PROGRAMMES

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    1. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    2. LA SBF DANS LES PROGRAMMES Ce document propose : des thèmes de travail, des situations d’apprentissage et des évaluations pour les niveaux 1 et 2 des programmes collège. AU COLLEGE (B.O N-°6 du 28/08/2008) Niveau 1 Niveau 2 Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    3. PROGRAMME COLLEGE Niveau 1 B.O N-°6 du 28/08/2008 Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    4. PROGRAMME COLLEGE Niveau 2 B.O N-°6 du 28/08/2008 Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    5. s Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    6. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    7. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    8. sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    9. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    10. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    11. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    12. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    13. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    14. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    15. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    16. Elaborer un projet d’action Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    17. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    18. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    19. Elaborer un projet d’action Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    20. Apprendre à juger et à arbitrer Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    21. Apprendre à juger et à arbitrer La capacité à juger et à arbitrer en boxe est importante pour plusieurs raisons : 1) C’est l’acquisition d’une autonomie des élèves qui permet : la gestion des rencontres (assauts libres ou à thèmes…) et donc une délégation partielle du contrôle de la séance par le professeur, ce qui lui permet de prendre du recul pour observer l’ensemble de la classe en situation. 2) Elle implique une appropriation des règles spécifiques (notion de touche contrôlée, de distance, les armes et les cibles autorisées...) par l’observation que nécessite l’acte de juger et /ou d’arbitrer. 3) Elle permet une meilleure responsabilisation et un respect accru des règles en tant que tireur. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    22. Assurer la sécurité des tireurs Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    23. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    24. désigner un vainqueur Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    25. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    26. Savate Boxe Française Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    27. Introduction Quels sont les risques de blessure ? Nous n’abordons ici que la pratique de la Savate boxe française en milieu scolaire où la seule forme de confrontation autorisée est l’assaut : toutes les touches doivent être contrôlées . Les blessures les plus courantes restent cependant : 1) des contusions : leur gravité est liée à la zone touchée, elles sont plus fréquentes chez le débutant. 2) des entorses de la cheville et des fractures du métatarse dans une proportion moindre. Le traitement didactique de l’activité, une démarche pédagogique adaptée au profil de la classe et l’organisation matérielle limitent ces risques. Suite Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    28. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessure, leurs causes et comment les limiter. Quelles sont les causes et les situations adaptées? . Sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    29. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessures, leurs causes et comment les limiter 2-1) Les coups insuffisamment contrôlés liés aux débordements affectifs Ces débordements se traduisent par un engagement physique trop intense (crispation du corps, des avancées soudaines et désorganisées en direction de l’adversaire) notamment dans les situations d’opposition. Ce comportement peut être lié à la crainte d’un adversaire, la peur d’être touché , la crainte du regard des autres, la peur de perdre; le refus du contact d’un coup même s’il est contrôlé. Les solutions pour limiter ces débordements: - L’aménagement et la dédramatisation de l’opposition - Les situations de coopération -La gestion du groupe sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    30. Les solutions pour limiter ces débordements: Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    31. Les solutions pour limiter ces débordements: Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    32. Les solutions pour limiter ces débordements: Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    33. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessures, leurs causes et comment les limiter 2-2) Les coups insuffisamment contrôlés liés aux déséquilibres Chez les débutants, les déséquilibres sont fréquents lors de l’exécution de coup de pied. Ces déséquilibres se font dans le sens du coup déclenché, provoquant un rapprochement dangereux vers l’adversaire car incontrôlé et désorganisé (ouverture écartement des bras; la tête et le corps deviennent des cibles « ouvertes » faciles à atteindre). Ces déséquilibres s’expliquent par le fait que la plupart des débutants, lors des déplacements, et lors de l’exécution d’un coup, placent le poids de leur corps sur la jambe avant . Il leur est donc difficile d’exécuter un coup sans déséquilibre avant, ainsi que de pivoter sur les coups latéraux qui nécessitent un transfert d’appui .Ceci explique aussi que les débutants privilégient l’utilisation de la jambe arrière. Concernant les coups de poings, les déséquilibres, moins systématiques, sont dus à l’inclinaison du buste dans le sens du coup, créant un engagement du poids du corps vers l’avant. L’amélioration de l’équilibre passe par: - L’acquisition du transfert du poids du corps sur sa jambe d’appui dans l’exécution des coups de pieds - L’acquisition de la touche en rebond - L’acquisition d’une mobilité équilibrée Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    34. L’amélioration de l’équilibre Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    35. L’amélioration des déséquilibres Acquisition de la touche en rebond Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    36. L’amélioration des déséquilibres Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    37. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessures, leurs causes et comment les limiter 2-3) Les coups insuffisamment contrôlés liés à une distance trop proche de son adversaire dans la délivrance d’un coup La distance optimale correspond à la longueur du segment qui délivre le coup pour les fouettés, les chassés et les directs. L’arme atteint alors sa cible en fin de trajectoire avec une vitesse diminuée (segment tendu) ce qui facilite la touche en rebond et le réarmé du coup. Le tireur débutant identifie difficilement sa distance (son allonge) en poing et en pied et se place souvent trop près pour toucher : c’est un des facteurs de la non maîtrise de la touche Savate boxe française. Pour travailler l’acquisition d’un placement et d’une touche à distance optimale: Favoriser la répétition d’impacts des touches sur cibles immobiles puis mobiles , en alternant des situations simples (coopération) et complexes (opposition aménagée) Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    38. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessure, leurs causes et comment les limiter. 2-4) Les coups insuffisamment contrôlés liés aux coups « fourrés » En assaut, où les rôles d’attaquants et de défenseurs sont imbriqués, on constate que les débutants attaquent de manière simultanée, en avançant en direction de l’adversaire. Les deux segments s’entrechoquent alors en début de trajectoire du coup et à pleine vitesse: poings contre poings ou tibias contre tibias pour les coups de pieds. L’impact est dès lors douloureux. Ce comportement est souvent qualifié de « boxe en aveugle » ou boxe « réflexe » : le tireur débutant « touche pour ne pas être touché ». Comment limiter les coups fourrés et passer d’une boxe en aveugle à une boxe « réfléchie » avec une prise en compte des actions de l’adversaire en assaut ? Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    39. Comment limiter les coups fourrés et passer d’une boxe en aveugle à une boxe « réfléchie » avec une prise en compte des actions de l’adversaire en assaut : Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    40. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessure, leurs causes et comment les limiter. 2-5) Impacts fréquents sur des zones corporelles liés aux problèmes de mobilité. Les problèmes de mobilité chez le débutant s’expliquent par le fait que celui-ci est essentiellement centré sur la délivrance des coups . Il se trouve par ailleurs dans un état de crispation plus ou moins important. Cela se traduit par des déplacements lents et créant des déséquilibres (marche et/ou croisement des appuis).Le buste est plutôt « incliné » vers l’avant. Cette mobilité réduite expose le corps « cible » aux coups , puisqu’une cible peu mobile est plus facilement atteignable. Comment améliorer la mobilité du tireur: - travailler des déplacements variés - faire prendre conscience que des déplacements rapides et équilibrés permettent de protéger le corps « cible » sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    41. Comment améliorer de la mobilité du tireur ? sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    42. Comment améliorer de la mobilité du tireur: sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    43. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessure, leurs causes et comment les limiter. 2-6) Impacts sur des zones corporelles sensibles ou interdites liés à un problème de précision La situation d’opposition la plus complexe sur le plan bio-informationnel en Savate boxe française est l’assaut car le degré d’incertitude lié aux actions et réactions de l’adversaire est au maximum. Le débutant éprouve des difficultés à traiter un nombre trop important d’informations, à choisir et à programmer une réponse motrice adaptée dans un temps disponible très court. Le manque de temps qui en résulte implique un manque de maîtrise technique et de précision, et des zones corporelles sensibles peuvent être atteintes. Comment améliorer la précision des touches chez le débutant: - Baisser la charge bio-informationnelle des situations - Choisir des cibles corporelles « moins sensibles » à l’impact sommaire Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    44. Comment améliorer la précision des touches chez le débutant: Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    45. Un enseignement sécuritaire: quels sont les risques de blessure, leurs causes et comment les limiter. L’ instabilité des appuis est souvent liés à des problèmes d’ordre matériel: Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    46. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    47. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011 EVALUATION SBF NIVEAU 1

    48. SBF Evaluation N2/N3 Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    49. Savate Boxe Française Connaître l’activité Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    50. Technique Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    51. Histoire Les origines L’évolution d’une technique de combat de rue vers un sport constitué Evolution structurelle 1)Vers un sport fédéré 2)Vers une discipline scolaire Evolution pédagogique Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    52. Les origines Dans l’antiquité, au moyen-âge et jusqu’au XVII siècle (début de l’ère moderne en Europe) il était fréquent de régler ses querelles à coup de pieds, de bâtons, sans techniques bien élaborées par ailleurs. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    53. L’évolution d’une technique de combat de rue vers un sport constitué Au début du 19ème siècle, se développe en France des techniques d’attaque et d’auto défense, répondant à un état d’insécurité important : Le « chausson » dans le midi (une méthode utilisant exclusivement les pieds) et la « savate » dans le nord, une méthode utilisant des coups de pied et des coups portés avec la main ouverte pour se protéger. Cette technique est reprise et formalisée par un des meilleurs praticiens de la bagarre de rue à Paris, Michel dit »Le Pisseux ». Longtemps, la savate est considérée comme une pratique de voyou , « un genre de combat crapuleux »(CHARLEMONT « traité de la boxe française »1877) pour les couches sociales dominantes. Charles LECOUR puis Joseph CHARLEMONT s’approprient la technique de la boxe anglaise(décriée mais reconnue comme un sport noble) et la combinent avec celles des coups de pieds « de l’inavouable pratique de la savate ». De cette codification naît la boxe française. C’est également un premier pas vers l’ennoblissement de cette pratique qui devient alors convoitée par les bourgeois et les aristocrates. Elle acquière également une légitimité grâce aux notions de virtuosité du geste associées à l’efficacité qui la rendent « éducative » . Les vertus de cette nouvelle « escrime » convergent avec les exigences des grands appareils de formation, comme l’armée où elle fait son entrée en 1894 (l’école de Joinville).   La boxe Française passe « de moyen de défense » à un sport très populaire (grâce notamment à des combats mondiaux médiatisés) jusqu’à la première guerre mondiale… Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    54. 1)Vers un sport fédéré Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    55. 2)Vers une discipline scolaire En 1966 l’enseignement de la Boxe française fait son entrée notamment dans le milieu universitaire. En 1979, La BF Savate devient une option possible au CAPEPS, cet évènement est important pour le développement de la Savate dans le milieu scolaire.. . En 1998, la boxe française est citée (sans être développée) parmi les sports de combat à enseigner dans les programmes nationaux de collège. En 2002, la Savate boxe française fait partie des compétences culturelles à développer dans les programmes nationaux des lycées G T et P . En UNSS, la pratique de la boxe française se développe (très inégalement selon les régions) et permet l’organisation des premiers championnats de France scolaires en 1993. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    56. Evolution pédagogique Bien qu’issue du combat de rue, la boxe française n’est paradoxalement pas devenue « un vrai sport de combat » dans son enseignement et cela jusqu’à la fin des années 70. En dehors  des combats populaires (fin du 19ème et début du 20ème siècle), les situations de duels se pratiquent peu dans les salles où s ‘enseigne la BF. Les exercices sont stéréotypés et la touche est sévèrement contrôlée. Les gestes d’attaque sont imposés, les parades et éventuellement les ripostes aussi. Cette forme de travail gymnique se généralise… Cet enseignement basé sur l’acquisition d’une technique privilégiant l’esthétique plus que l’efficacité, l’utilisation d’exercices décomposés et décontextualisés perdure jusque dans les années 8O. Cet enseignement est d’une part inspiré des sciences dures qui prédominent alors (la physiologie et l’anatomie) jusque dans les années 60 pour l’ensemble des disciplines sportives (la répétition de gestes de boxe dans le vide peut être comparée à l’apprentissage de la brasse hors de l’eau qui se pratiquait en natation au début du 20ème siècle) . D’autre part, la volonté fédérale en 1973 de renforcer le côté éducatif de discipline et principalement en direction des jeunes, confine l’enseignement de la BF à l’apprentissage gestuel pour écarter tout danger. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    57. Evolution pédagogique L évolution des mentalités et la prise en compte des sciences humaines ont fait évoluer la conception de l’apprentissage en général et influencé l’enseignement dans le milieu scolaire et bientôt fédéral. C’est dans les années 80 surtout que le traitement didactique de la boxe française savate ainsi que les procédures pédagogiques sont orientées par la montée des sciences humaines et la prise en comptes de données scientifiques telles que la théorie de la prise d’information. Les méthodes d’enseignement accordent alors une attention plus importante aux processus mis en œuvres par l’individu qu’aux réalisations gestuelles comme finalité . Cette conception cognitiviste de l’activité est particulièrement bien mise en œuvre par Christian Lalès, alors professeur à l’UREPS puis à l’UFRAPS de Grenoble. dans les années 80 puis 90. Il fait de nombreux émules parmi les professeurs d’EPS qu’il a formé. Il écrit un livre « Comprendre pour enseigner la SBF » en 2005. Cet ouvrage est une véritable réflexion de fond sur la Savate et son enseignement en club et à l’école. Il est le fruit d’une longue et riche expérimentation de terrain dans le monde scolaire et fédéral INTERVIEW de Christian Lalès (sur DVD) Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    58. Evolution pédagogique EN CLUB, Si l’aspect tactique et l’efficacité technique deviennent plus importants dans l’entraînement des compétiteurs se préparant au combat dans les années 80 et 90, l’enseignement de la BF en club reste basé sur un apprentissage privilégiant la  technique et la codification des situations d’opposition. A la fin des années 90, puis au début des années 2000, la démarche pédagogique qu’impulse la fédération dans ses stages fédéraux ainsi que dans son « mémento Formation , 2004 » est basée sur la mise en place de situations « ouvertes » et complexes (sur le plan bio-informationnel) où le professeur guide ses élèves et favorise ainsi l’adaptation , la recherche de solutions et la construction de sa propre boxe …. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    59. Evolution pédagogique A L’ECOLE, Dans l’ enseignement scolaire de la boxe, on perçoit (d’après plusieurs bilans de formation continue dans l’académie de Grenoble) une résistance des professeurs d’EPS à mettre les élèves en situation d’opposition, contrairement à ce qui se passe au niveau des activités de combat de préhension. Passer par une certaine maîtrise technique avant de s’opposer en assaut est souvent la démarche choisie. En combat de préhension, il est courant de voir dans le traitement didactique de l’activité la mise en place de situations d’oppositions aménagées dans lesquelles l’élève découvre et acquière les compétences souhaitées (comme l’utilisation du poids du corps) tant sur le plan technique que tactique. En Savate, l’ enseignant valorise encore trop souvent des situations de coopération très techniques. Ce DVD ( la partie 2) « enseigner » proposent des situations de boxe où l’opposition est souvent aménagée mais toujours présente , quel que soit le niveau des élèves (N1. N2. N3) Les compétences visées par ces situations sont toujours techniques et tactiques Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    60. Glossaire technique Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    61. Glossaire technique FEINTE : Action qui vise à provoquer un acte réflexe de l'adversaire pour découvrir une cible Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    62. Analyse théorique d’une confrontation A partir du document «  logique interne de la boxe française savate » de Christian LALES 2 phases : phase d’attente ( préparation d’attaque ou attitude passive)/ phase d’engagement Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    63. Analyse théorique d’une confrontation Préparer l’attaque Contre – attaquer Esquiver/ parer Attaquer – suivre riposter Dégagement Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    64. Analyse théorique d’une confrontation ANALYSE DE CHAQUE PHASE 1) Sortir de l’axe : décalage, débordement 2) Provocations : provoquer le coup adverse et réagir pour attaquer 3) Feintes : liaison rapide de 2 coups dont le premier n’est qu’esquissé 4) Simulations : ensemble de coups donnés sans intention de toucher Enchaîner en fonction du comportement adverse et donc de l'évolution de la distance ( s’il rompt, défend sur place, décale, avance) 1)Dégagement du corps à corps à la distance de direct en résistant à la pression puis rompre à demi distance(uppercut ; crochet), puis rompre à nouveau (direct) 2) Se dégager de la distance poing à la distance pied : en arrière, latéralement + pied 3) Se dégager de la distance pied à la zone « hors distance » : chassé d’arrêt Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    65. Description des coups de pieds Les coups de pieds Les fouettés : Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    66. Description des coups de pieds Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    67. Description des coups de poings Ils s’exécutent du poing avant ou arrière La seule surface de frappe autorisée pour toucher est le devant des poings (la tête des métacarpes et la première phalange de 2°,3°,4° et 5° doigts) Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

    68. Florence LIPRANDI, professeur d'EPS, FPC 2011

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