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ORGANISÉ PAR LA NETSCOUADE

Ville & usagers : nouvelles complicités. ORGANISÉ PAR LA MAIRIE DE PARIS. ORGANISÉ PAR LA NETSCOUADE. #smwvilles. LUNDI 18 FÉVRIER 2013 -14H-18H30. AUDITORIUM DE L’HOTEL DE VILLE. L es 2 questions de l’expédition Alléger la ville

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Presentation Transcript


  1. Ville & usagers : nouvelles complicités ORGANISÉ PAR LA MAIRIE DE PARIS ORGANISÉ PAR LA NETSCOUADE #smwvilles LUNDI 18 FÉVRIER 2013 -14H-18H30 AUDITORIUM DE L’HOTEL DE VILLE

  2. Les 2 questions de l’expédition Alléger la ville Quelle peut être la contribution d'une innovation ascendante et décentralisée à l'objectif d'une ville durable et désirable ? Quelles idées neuves, quelles transformations, quelles avancées vers la "ville durable" émergent-elles (ou pourraient-elles émerger) de l'innovation décentralisée ? Comment contribue-t-elle à impliquer activement les citoyens dans la construction de la ville durable ? Qu'est-ce qui doit changer si l'innovation décentralisée devient l'une des priorités ? Dans quelles conditions peut-elle se développer plus fortement / passer à l'échelle / s'articuler avec d'autres initiatives, ainsi qu'avec les grands dispositifs urbains ? Comment les modèles "top down" (smart city, etc.), les infrastructures et les infostructures, la gouvernance urbaine, doivent-ils évoluer pour rendre cela possible ? Quels nouveaux rôles pour les acteurs publics ?

  3. La ville légère, de multiplesinitiatives « bottom-up »… Des actions spontanées : Des capteurscitoyens (Barcelone, Citypulse, Float - capteurcerf-volant) la consommation collaborative, usage et partage / P2P Les circuits courts : Cradle to cradle, maisaussi AMAP, Ruche qui ditoui! Des projets “open source” : open energy / projets open source locauxoucommunautaires Le crowdfundingcomme levier de l’innovationascendante Des lieuxéphémères, pop-up : commerces, espaces de restauration, librairies... La visualisation des flux et des data Des dispositifshackables / hackés : stationnement via Kinect Des espaces pour l’innovationascendante, autour du “faire” : Makerspaces, FabLabs... De nouveaux lieux pour de nouveaux services : Repair Café, etc. Et parfoismême, l’innovationsouscontrainte... Detroit. Des actions et initiatives qui s’articulent déjà avec les autorités (la villelégèreexiste déjà !) : Des lieux publics “mutants”. Des bibliothèques se transformant en Fab Labs, devenant des lieuxfournissant un accèsàl’information, au idées, maisaussi aux technologies. Le crowdsourcingcommemoyen de participation “urbaine” Des invitations au “hacking” (AppelàprojetMairie Paris, SF Better Streets) L’open data / applications àpartir de donnéesouvertes L’apparition du Chief Innovation Officer

  4. Potentiel de la multitude et de la surtraitance • A l’image de l’internet, déporterl’intelligenceà la périphérie des systèmesurbains • Open Data, hackathons…. • API : ouvrir les données, les applications… • “Hacker la ville” : Paris, Montréal… • Des outils, des représentations, des index pour faciliterl'usage de cesressources par des acteurs non spécialisés Plug-in City : la ville « à terminer » Concevoir des systèmesurbainsouverts, actionnables et améliorables par les utilisateurs • Comment ajouter du jeu, et des joueurs, dans les systèmesurbainsintelligents ? • Faut-ilseulement optimiser les systèmesurbains, ou les transformer, ou les deuxà la fois ? • Comment ouvrir les systèmesurbains pour les améliorerà la marge, la périphérie ? • Quellesméthodes, quelsoutilsjuridiques, quelséquipementssontàconcevoir et déployer pour atteindrecetobjectif ?

  5. Une multitude d’initiatives locales, “partielles” • Concevoir des passerelles entre les initiatives • Cartographier les ressources, les initiatives et les acteurs du territoire • Des outils, des espaces, des dispositifs de pollinisation • Permettre des partenariatslégers Micro/local/partiel : l’espace des micro-coordinations légères Prendre la mesure des innovations locales et favoriserleurs articulations et la “pollinisation” • Comment mettre ces initiatives en réseau? Comment leur donner les moyens de se développer ? • Comment rendre « duplicables », adaptables ces micro-initiatives? Comment favoriser leur pollinisation ? • Comment cartographier les ressources locales, horizontales ? Quels outils doit-on concevoir pour réaliser cette cartographie? • Quels nouveaux dispositifs physiques et numériques doit-on mettre en place pour accompagner, outiller et stimuler l’innovation ascendante ?

  6. Méthodesd’innovationouverte et de coproduction • Développement agile : réactivité, plasticité, expérimentation, apprentissage • S’appuyersurl’agilité des citadins : initiatives “ludiques”, détournement, temporalitéscourtes et éphémères, engagement “par projet” • Modèle du libre et l’innovation collaborative • Des dispositifs pour le “learning by doing” • Laboratoires de usages commelieux de friction La ville agile Hybrider les cultures de l’innovation, pour permettreàtous les acteursurbains de devenir “agiles” • Quellesidéesneuvespeuventémerger? Comment la ville et les opérateurspeuvent-ilss’inspirer de l’agilité des initiatives citoyennes? Comment impliquer les citoyensdanscetteville “agile”? • Quelslieux, quelsdispositif, quelsoutilsdoiventapparaître pour permettrel’hybridation des cultures des différentsacteurs? • Quelsoutils et équipementsdoivent-êtremis en oeuvre pour faciliter le développement de nouveaux services, dispositifs de manière agile ? • Quelniveaud’intégration de cesméthodes “agiles” les acteurs publics et privéspeuvent-ils adopter?

  7. Baisse des ressources financières, énergétiques, spatiales • Des communautés déjà engagées dans la frugalité • Des espaces pour la réparation, le recyclage, la redistribution • L’exploitation de « l’excesscapacity » • « Formfollowsenergy » vs « Formfollowsfunction » • Une logistique « frugale » • Le numérique facilitateur de la frugalité Une frugalité désirable : faire mieux avec moins? Faire mieux avec moins, tout en rendant ce chemin de la frugalité “désirable” par tous • Comment inciter et valoriser les comportementsfrugaux pour les rendredésirables? • Comment repenser les services, objets et espaces pour répondreà des usages plus collaboratifs et frugaux? • Quels leviers sontàactionner pour mieuxpouvoir exploiter les ressourcesdisponibles (espace, logements, énergie, mobilité...)? • Quelsrôles pour les acteurséconomiquesdans la frugalité ?

  8. Les activistes urbains La Fabrique de la Cité - Michel Ladet , Sociovision

  9. Les passive citizens 24% Eux, ils vont vous inviter peut-être à prendre le thé. Ils ne vont rien dire pendant l’opération et simplement, ils auront une seule réaction, ils ne vont pas réélire le maire. C’est ce qu’ils feront. Ils ne bougent pas de chez eux, mais ils appuient sur le bouton non lorsqu’il faut voter. Et eux, ils ont un mot clé. Le silence. Je veux du silence. Alors effectivement, eux, c’est le chantier qui est l’ennemi • Un seul mode d’action, le vote ?

  10. Les communitydefenders 19% Ce sont ceux qui ont vu que vous allez toucher à leur sanctuaire. Et c’est quoi un sanctuaire pour une petite communauté ? C’est tout l’écosystème de solidarité qui existe dans une communauté. La grande défense des community defenders, c’est par exemple le ralentisseur. C’est le ralentisseur que l’on fait mettre par l’élu local, municipal, et qui vous fait baisser de 20 % la vitesse moyenne de l’axe routier que vous imaginez extraordinaire pour relier l’autoroute. Ils veulent du slow les community defenders. • Un enracinement fort dans son espace de vie « sanctuarisé » • Une forme d’engagement et de militantisme, des activistes donc ! • Une certaine résistance au changement, qui sait mobiliser l’internet pour parvenir à ses fins

  11. Lesglobal activists 6% Il y a ceux dont tout le monde a peur, les global activists, et ils ont des noms. On les appelle les Anonymous, on les appelle les Wikileaks. Mais ils sont quand même 6 %, ce n’est pas petit. Ils recrutent beaucoup aujourd’hui parmi les étudiants, dans les grandes villes. Beaucoup viennent de l’activisme Internet. Ils ont une logique de bloggeur extrême dans lequel il n’y a pas de système d’affiliation. La seule affiliation qui existe est celle d’avoir des amis sur son compte Twitter et d’avoir de nombreux liens avec des personnes.. • Neutralité du net • Sous-veillance, • Peer to Peer • Logiciels libres, Licences ouvertes • Monnaies alternatives • Open Data, API

  12. Les grassrootchampions 17% Des gens totalement enracinés dans leur ville et en temps totalement globalisés, experts dans l’usage des technologies nouvelles Ils sont à la recherche de codesign, de coproduction. Ils veulent construire la ville au quotidien et ne pas être interrogés une année et oubliés l’année d’après. Ils veulent être intégrés dans un processus permanent. Il leur faut des métriques. Il faut qu’on leur restitue l’information. Il leur faut du feed-back. Tout un système d’interaction avec eux. Sinon, ils se débrouillent. • Bricolage urbain • Hacking de l’espace urbain • Réseaux sociaux • Crowdfunding, Fablabs • Urbanfarming, Circuits courts • Post-consumérisme

  13. Lesactifs followers 34% Des gens qui sont issus du monde marchand et qui considèrent la ville comme une ville servicielle, une ressource. Des consommateurs de la ville qui veulent des services, et non des projets. Ils considèrent la ville comme une marque, avec un ensemble de gammes, de ressources, de produits, etc. Quand on n’est pas content, et bien on utilise tous les moyens à sa disposition pour se faire rembourser. On veut du service après-vente et pas simplement la vente. • La recherche du bon plan, de la bonne affaire • Optimiser ses ressources et celles des autres • Airbnb,Ebay, Facebook, Couchsurfing, Freecycle, Leboncoin.fr, Covoiturage.fr • Des applications pour chaque situation • Des écrans partout, sur soi, au bureau, chez soi • La transformation des produits en services

  14. Le mouvement Makers, Chris Anderson Le mouvement Maker est la rencontre de la génération Web avec le monde réel. Il reprend l’ensemble des modèles développés sur le Web : travail en communauté, collaboration, innovation ouverte. On ne partage plus simplement des lignes de code ou des contenus immatériels : on conçoit et on fabrique des objets. La génération Web, dont le réflexe est de mettre en forme ses idées sur un écran, a désormais des moyens faciles de les transformer en objets physiques Quand vous voyez la génération web en action, elle connecte tout, et cela va des communautés les plus larges comme Kickstarter et Etsy aux réseaux de niche comme les drones aériens ou la robotique.

  15. Séquence Workshop 8 pistes pour innover dans le faire-ensemble urbain Ville, modes d'emploi : contribuer en ligne, mais aussi en ville La grande Foire des makersurbains Hacker son quartier ? Tous des taxis ? Besoin d'argent ? De l'énergie à revendre Laboratoire du faire-ensemble Faire faire

  16. La grande Foire des makersurbains • Imaginer un format d'événement très grand public qui donne envie de faire des choses dans sa ville • En montrant ce qui se fait, explorant ce qui pourrait se faire, apprenant comment le faire et avec qui. Ville, modes d'emploi : contribuer en ligne, mais aussi en ville Imaginer d'abord de nouvelles situations, dans lesquelles les citadins retrouvent de l'autonomie et des marges de manoeuvre nouvelles pour nourrir, corriger, réparer, réutiliser, détourner des dispositifs urbains, numériques et physiques Puis concevez les modes d'emploi réalisés à leur intention

  17. Tous des taxis ? • Le co-voiturage cartonne partout, sauf en ville. • Comment y remédier ? Que peut-on faire avec le concours des gens pour imaginer un autre système de voiturage plus collectif, plus ouvert, plus souple, plus frugal ? • A l'échelle du grand Paris, ça marcherait comment ? Hacker son quartier ? Que peuvent faire les habitants et usagers d'un quartier pour leur quartier ? De quoi ont-ils besoin pour le faire ? Avec qui ? Que vont-ils vraiment faire : réparer, recycler, partager, détourner, enrichir ?

  18. De l'énergie à revendre • Fabriquer sa propre énergie propre, c'est possible, mais en ville, comment on fait ? • Avec quels types d'énergie, quels matériels, quels soutiens, quels réseaux ? • Comment je la stocke, je la partage, je la revend ? Besoin d'argent ? Le crowdfunding est l'un des moteurs du succès des makers Appliqué à la ville ça donnerait quoi ? Pour faire quoi ? Avec qui ? Comment ? Combien ?

  19. Laboratoire du faire-ensemble Un dispositif pour explorer, scénariser, prototyper de nouvelles modalités du faire-ensemble urbain, A partir de frictions nouvelles entre acteurs publics, privés, citadins, chercheurs, acteurs associatifs ... Comment fait-on pour faire autrement ? Avec quelles méthodes, dans quels formats, pour faire quoi ? • Faire faire • Quelle organisation, quels moyens, quels soutiens une collectivité doit-elle (peut-elle) mettre en place pour favoriser (développer) les makers ? • Appels à projets, concours - hackathon, ouverture des données, publication d’API, financement ou mise en place en interne de structures d’animation des contributeurs, gratification, promotion des projets, « appropriation / industrialisation » des initiatives de makers

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