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La danse à l’école

La danse à l’école . Circonscription de Schœlcher . Samedi 11 décembre 2010. La danse à l’école : le parcours. S amedi 11 décembre 2010. Samedi 19 mars 2011. Entrée en danse : danse contemporaine/ danse codifiée Point théorique

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La danse à l’école

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Presentation Transcript


  1. La danse à l’école Circonscription de Schœlcher Samedi 11 décembre 2010

  2. La danse à l’école : le parcours Samedi 11 décembre 2010 Samedi 19 mars 2011 • Entrée en danse : • danse contemporaine/ danse codifiée • Point théorique • les différents paramètres • Présentation du projet Apex • Histoire de la danse • Education musicale : étude des chants choisis • Les arts du son  •  chanson et musique Recherche personnelle

  3. Entrée en danse La danse contemporaine Les différents paramètres Danser avec son rythme corporel propre Occuper l’espace et les espaces Danser avec les autres La musique : l’univers sonore écoute, repérage et recherche chorégraphique

  4. Le support musical Ecoute de l’extrait Analyse de la structure Repérage des phrases ou des éléments sonores Vérification : écoute et déplacements Ex : la polka piquée; piste 10 CD: Les costaud de la lune

  5. Un voyage dansé De la farandole aux danses actuelles

  6. Quelques danses à travers différentes époques : • des danses traditionnelles populaires • aux danses actuelles

  7. découvrir / redécouvrir un répertoire de musiques des danses du patrimoine national et local se les approprier pour créer sa propre danse • Appréhender autrement l’écoute d’un extrait musical et l’apprentissage d’un chant

  8. Il ne s’agit pas d’apprendre par répétition une danse codifiée, mais bien à partir d’une musique choisie de permettre aux élèves de créer une chorégraphie en empruntant éventuellement des élémentsde la danse dont il est question

  9. D’une danse codifiée vers une création personnelle Danse traditionnelle Danse contemporaine Danse codifiée Gestuelle bien codée Apprentissage Imitation de pas déjà définis Processus de création Danse personnelle Gestuelle libre /Répertoire personnelle Apprentissage Plusieurs étapes sollicitation, diversification, enrichissement, structuration et production différents paramètres corps, espace, temps, énergie, relation

  10. Notre voyage dansé Présentation de quelques danses à travers les époques.

  11. Elle semble être une mutation de certaines danses médiévales aux pas de danse répétés comme la carole (13 et 14ème siècles et le branle (15 et 16ème siècles). Elle est dansée un peu partout en France et notamment en pays d’Arles et à Nice Son rythme la rapproche de la gigue écossaise La farandole,appartient à un vieux fond de danses méditerranéennes

  12. Originaire du centre de la France, elle apparaît au 16ème siècle et se distingue en deux variétés : la bourrée d’Auvergne et du Bourbonnais , et celle d‘Anjou . La bourrée auvergnate se danse en groupe, le plus souvent à quatre (deux couples, nommé alors une quadrette). La musique qui l'accompagne est très spécifique, d'abord jouée au violon ou à la viole, instruments qui sont remplacés au 19ème siècle par l‘accordéon ou à la cabrette et parfois accompagnée de paroles. La bourrée,à l'origine, c’est une danse traditionnelle par couple ..

  13. Attestée dès le 16ème siècle dans différentes régions de France, elle est introduite à la cour sous la forme d'une danse de couple et devient une danse de bal et de théâtre à la fin du 17ème siècle Cédant progressivement le pas à la contredanse naissante, la gavotte décline au cours du 18ème siècle. Derrière cette danse, qu'on pourrait croire évoluant au fil du temps, se cache une variété infinie de formes : danse en chaîne, danse de couple, ronde au bouquet, danse militaire, voire quadrille, le terme recouvre même, dans certaines régions, toutes les danses : en Bretagne, « gavotter » signifie tout simplement « danser ».. La gavotte, danse française d'origine populaire, en chaîne ouverte, à rythme binaire, gaie et à mouvement modéré ou assez vif.

  14. Au début du XIXe siècle, dans les campagnes de l’Europe centrale, les membres ankylosés après de longues journées passées aux champs, accroupies à terre, à planter ou ramasser les récoltes, les paysannes aimaient s’adonner à des danses gaies et entraînantes qui dégourdissaient leurs jambes. Sur une base commune, faite de petits pas rapides, chaque province possédait son pas traditionnel dont les variantes étaient nombreuses. Ces danses se pratiquaient selon l’humeur du moment, sans codification stricte. C’est ainsi qu’en Bohème, un beau jour de 1834 selon une légende locale, une paysanne improvisa, sur une chanson populaire de l’époque, un pas sautillant très personnel : trois pas rapides suivis d’un saut avec un pied. Un professeur de danse, qui passait par-là, l’aperçut et nota la chorégraphie. Enthousiaste, à son retour à Prague il la présenta à ses collègues.Après l’avoir quelque peu adaptée, pour la rendre plus élégante et en faire oublier les origines populaires, les professeurs proposèrent cette nouvelle danse à leurs élèves et l’appelèrent polka, par déformation du mot tchèque « pulka » (signifiant « demi-pas »), faisant ainsi référence au pas chassé qui en est la base. En 1840, lors d’une démonstration au théâtre de l’Odéon, un professeur de danse de Prague fit découvrir la polka aux français. La polka piquée, Il existe de nombreuses variantes de la polka : la polka piquée, la polka sautée, la polka glissée,... Elles ont toutes en commun le pas chassé qui en est toujours à la base.

  15. Le quadrille est une danse du 18ème siècle d'origine européenne. Danse de cour et danse bourgeoise en France au 17ème siècle, le quadrille remplaça le menuet dès son arrivée dans les colonies. Il fut vite délaissé par les classes bourgeoises de la Martinique pour être adopté par les classes populaires Cette adoption fut influencée par les musiques déjà existantes dans les campagnes Alors qu’à la ville le quadrille se jouait au violon et piano , à la campagne l’instrumentation était bien plus riche on y trouvait accordéon, tambour dibas, chacha, triangle, syac, violon. Le quadrille, danse pour quatre couples, le quadrille faisait partie des contredanse d’origine anglaise .

  16. De la transplantation de la culture noire, de l’influence européenne et des contraintes du système esclavagiste naît une altération des traditions musicales africaines et leur modification donne naissance à de nouvelles expressions dont le bèlé Le bèlè est un genre composé de plusieurs musiques ; les bèlè de travail, les bèlè de divertissement ( bèlè, gran bèlè, bélia, danmyé, ladja) les bèlè pour les veillées mortuaires ( bénézuel, kanigwé, …) et les danses la line klè (mabélo…) Le bèlè, genre musical dans lequel un chanteur mène la musique avec une voix qui porte, alors que se développe le dialogue entre les danseurs et le tanbouyé

  17. Elle connut une grande vogue dans les salons européens au 19ème siècle et passa rapidement dans le répertoire populaire et des danses de société.Elle arrive en France sous le second empire Elle est passée dans le répertoire du bal musette à la fin du 19ème siècle . Comme beaucoup de danses de salon, la mazurka a aussi été reprise dans les danses folks, notamment dans la danse bretonne , les danses du centre de la France et les danses du carnaval guyanais . Arrivée en Martinique vers 1830, la mazurka créole est un mélange de mazrek et de bélia Elle est une composante de la musique et des danses traditionnelles de la Martinique. La mazurka, danse de salon originaire de Pologne, très rythmée, à trois temps, de tempo vif et dont les accents se déplacent sur les temps faibles.

  18. La lambada est une danse et un genre musical du Brésil, très populaire au début des années 1990, qui mélange carimbo, reggae, salsa, et merengue . Lors de cette danse un couple, corps contre corps, ondule des hanches et des épaules et place de temps en temps un de ses genoux entre les jambes du partenaire. Originaire de la région de Belém, la lambada s'est diffusée à Bahia et à Salvador. Des producteurs français rapportent du Brésil le rythme de la lambada en France La Lambada est, en France, dans le top 10 des chansons les plus vendues de tous les temps (1 735 000 exemplaires). Elle s’effectue sur une musique de jazz La lambada, Danse de la fin des années 80 et début 90, originaire de la région de Belém au Brésil

  19. Le hip-hop, ou hip hop, est un mouvement culturel et artistique apparu aux Etats Unis à New York , dans le South Bronx au début des années 1970, mêlant des aspects festifs et revendicatifs. Originaire des ghettos noirs de New York, il se répandra rapidement dans l'ensemble du pays puis au monde entier au point de devenir une culture urbaine importante. La culture hip-hop arrive en France en novembre 1982, environ dix ans après son apparition aux États-Unis, avec la tournée New York City Rap en Europe qui diffusa largement cette culture à l'extérieur. Le hip hop, La danse hip-hop apparaît avec le breakdance, une danse au sol caractérisée par son aspect acrobatique et ses figures et qui s'inspire en partie des funk styles (Locking, Popping et Boogaloo). Le terme de breakdance vient des médias, le terme correct pour parler de cette danse est le b-boying.

  20. Rappel - novembre à décembre - étape 1 Entrée en danse  (module 1) • Construction d’un vocabulaire gestuel (mobilisation du corps et occupation de l’espace) • Favoriser les réponses motrices des élèves à partir d’inducteurs variés • Solliciter et diversifier (quantitatif) d’abord sans, puis avec musique. • Enrichir en exploitant toutes les réponses motrices des élèves en relation avec les différentes composantes du mouvement : temps, espace, corps, relation à l’autre (qualitatif) • Elaborer un objet chorégraphique à partir des trouvailles des élèves ; juxtaposer les éléments retenus. • Histoire de la danse au plan national et local • Recherche : Evolution de la danse à travers le temps : danses traditionnelles populaires, danses de salon, danses de rue • Ecoute et analyse d’extraits musicaux, repérage des éléments sonores comme point d’appui de l’expression Temps forts : • Une à deux visites d’aide à la demande des participants entre novembre et décembre et • Une animation pédagogique le 11 décembre 2010

  21. Janvier à mars - étape 2 Entrée dans le thème (module 2) • Choix des extraits musicaux • Recherches sur la danse choisie (époque, lieu, mode d’évolution) • Appropriation de l’extrait musical choisi (écoute active) • Mise en place d’un second module de danse : réinvestissement du vocabulaire gestuel engrangé lors du premier module en lien avec la musique choisie Temps forts : • Deux à trois visites d’aide selon un planning établi par la CPCEPS

  22. Mars à juin - étape 3 Chants et danses • Finalisation du projet • Etude des chants retenus • Construction et production de la chorégraphie  Temps forts : • Animation pédagogique le 19 mars • Visite en éducation musicale selon un planning établi par les CPEM • Visite de la CPC EPS si nécessaire et à la demande La matinée APEX • Présentation selon un conducteur « temporel » des productions des différentes écoles

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