1 / 33

Quelle place pour le psychologue dans la démarche de la coupe « Pathos »?

Quelle place pour le psychologue dans la démarche de la coupe « Pathos »?. Natividad Alarcon, présidente de l’APG94. Le psychologue:. Professionnel du psychisme A une formation en Sciences Humaines (et non en médecine) Titre protégé, numéro Adeli

veda-campos
Download Presentation

Quelle place pour le psychologue dans la démarche de la coupe « Pathos »?

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Quelle place pour le psychologue dans la démarche de la coupe « Pathos »? Natividad Alarcon, présidente de l’APG94 APG94, novembre13

  2. Le psychologue: • Professionnel du psychisme • A une formation en Sciences Humaines (et non en médecine) • Titre protégé, numéro Adeli • Non intégrés dans le Code de la santé publique • pas une profession para-médicale = pas de prescription. Accès libre. APG94, novembre13

  3. Guide pratique du codage • Pathos, Guide pratique du codage, Formation 2012, cnsa, assurance maladie, ministère du Travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social http://www.cnsa.fr/IMG/pdf/recommandations_codage_Pathos_2012_Lecture_seule_.pdf APG94, novembre13

  4. Codage des états dépressifs • Le profil P1: • correspond à: • une phase aiguë ou très instable • et à haut risque de rechute • en équilibration thérapeutique • et surveillance rapprochée • qui imposerait: • une prise en charge quotidienne ou pluri-hebdomadaire individuelle par un psychiatre et un psychologue, • avec traitement médicamenteux APG94, novembre13

  5. Codage des états dépressifs • Le profil P2: • correspond à: • une prise en charge par une psychologue • et /ou l’équipe de l’institution • au long cours, • avec traitement médicamenteux APG94, novembre13

  6. Codage Etats anxieux (maladie) et pas simple symptôme anxieux • Le profil P1 • correspond à: • une phase aiguë ou très instable • et à haut risque de rechute en équilibration thérapeutique • et surveillance rapprochée • qui imposerait une prise en charge quotidienne ou pluri-hebdomadaire individuelle par un psychiatre etun psychologue. APG94, novembre13

  7. Codage des maladies psychotiques, des maladies délirantes, des maladies hallucinatoires. • Le profil P1 • correspond à: • une phase aiguë • nécessitant un diagnostic psychiatrique précis • et la mise en place d'un traitement médicamenteux, ou • à une phase très instable • et à haut risque de rechutes en équilibration thérapeutique • et surveillance rapprochée • qui imposerait une prise en charge quotidienne ou pluri-hebdomadaire individuelle par un psychiatre etun psychologue APG94, novembre13

  8. Codage des troubles cognitifs • Démence P2 • Soins requis de stimulation cognitive • par des professionnels • chez des malades présentant une altération cognitive pas trop évoluée • afin qu’ils puissent participer de façon active à des ateliers. • Cette stimulation: • (revalidation) • effectuée en ateliers • organisés plusieurs fois par semaine, • concerne entre autre les actes essentiels de la vie quotidienne • (repérer les manques dans AGGIR) APG94, novembre13

  9. Codage des troubles cognitifs • Le projet est individualisé et sera réalisé par un personnel spécialisé (psychologue, psychomotricien, ergothérapeute, assistant de soins en gérontologie) • Le psychologue de part sa spécificité (le résidant s’adresse à un professionnel garant du respect du secret professionnel) se retrouve dans une délicate position…nécessitant discernement et distance. • Nous recommandons que le coordonnateur du PVI soit un autre personnel spécialisé. APG94, novembre13

  10. Codage des troubles cognitifs • Ces types de prise en charge thérapeutiques requises: • s’appuient sur une évaluation médicale • et une prescription médicale, • ce n’est pas une simple animation Le psychologue n’intervient pas sur prescription médicale et il est autonome dans le choix de ses outils (ateliers mémoire / photolangage / ateliers sensoriels …) Le travail en équipe est une priorité pour le psychologue. APG94, novembre13

  11. Codage des Troubles chroniques du comportement • Profil P1 • correspond à: • Phase aiguë ou • au stade d’équilibration ou • instable (rechutes fréquentes documentées) • surveillance rapprochée. • Malade à surveiller et prise en charge requise individuelle pluri-hebdomadaire par psychiatre , psychologue, équipe soignante formée (recours possible à l’HP ou à l’UCC ou à l’UHR) APG94, novembre13

  12. le modèle PATHOS • En résumé, le modèle PATHOS comporte: • Un thésaurus de 50 états pathologiques représentant la très grande majorité des situations cliniques rencontrées en Gériatrie • 12 profils de stratégie thérapeutique ou profils de soins chaque état pathologique repéré étant caractérisé par un profil et un seul • 8 postes de ressources (ou postes de soins médico-techniques nécessaires) APG94, novembre13

  13. 8 postes de ressources 1 Médecin gériatre (généraliste) 2 Médecin psychiatre 3 Soins infirmiers 4 Rééducation (kinésithérapie, ergothérapie, orthophonie…) • Psychothérapie ordonnancée (psychologue, psychomotricien) La psychothérapie ne peut pas être ordonnancée, et le titre est aussi protégé! Regrettable confusion entre profession para médicale et psychothérapie. 6 Biologie 7 Imagerie 8 Pharmacie et petit matériel APG94, novembre13

  14. Rapport de mission remis à Madame Nora Berra secrétaire d’état aux ainés • 13 Mesures pour une meilleure prise en soin des résidents en ehpad • « missions, valorisation du métier de médecin coordonnateur et relations des ehpad avec les professionnels libéraux, en vue d’améliorer la qualité de la prise en charge des résidents» • Madame le Docteur Nathalie MAUBOURGUET, FFAMCO‐EHPAD • http://ddata.over-blog.com/0/10/54/33/ODM/Rapport-sur-EHPAD.pdf APG94, novembre13

  15. 13 Mesures pour une meilleure prise en soin des résidents en ehpad • Proposition de la FFAMCO: • […] • Mesure 9: • Création d’un poste d’infirmière coordinatrice et de (géronto)psychologue • Le titre est unique, des spécialités existent: • Spécialisé en gérontologie • Psychologie clinique et pathologique • Psychologie du développement • Spécialisé en neuropsychologie • … • Chaque spécialité peut apporter un regard intéressant mais en aucun cas ne saurait être « Le seul et unique » APG94, novembre13

  16. 13 Mesures pour une meilleure prise en soin des résidents en ehpad • D’autre part, le gérontopsychologue (cf fiche de poste en annexe 12) contribue pour une part importante à : • L’évaluation cognitive, mnésique, thymique et comportementale du résident • La prise en compte de l’histoire de vie de chaque résident • L’élaboration d’un projet personnalisé d’animation • L’accompagnement et suivi des résidents et des familles • Attention confusion! Le psychologue n’est pas un animateur!!! • De plus, l’apport et l’expertise du gérontopsychologue est indispensable dans l’évaluation des soins requis pour le patient. • Le gérontopsychologue fixer le temps de présence et les missions par un texte réglementaire APG94, novembre13

  17. 13 Mesures pour une meilleure prise en soin des résidents en ehpad • Modalités de composition de la Commission de Coordination Gériatrique (CCG) • Participent à cette commission, les membres suivants : • Le directeur d’établissement ou son représentant ; • Le médecin traitant salarié de l’EHPAD s’il y a lieu • Le pharmacien référent ou le pharmacien gérant une pharmacie à usage intérieur, pour toutes les questions relatives à la politique du médicament et des dispositifs médicaux ; • Les professionnels de santé intervenant dans l’EHPAD à titre libéral ; • Infirmier référent ou coordonnateur ou cadre de santé ; • Le psychologue ; • Est invitée, en tant que de besoin, toute autre personne que la commission souhaite entendre. • La participation des médecins traitants à cette commission est inscrite dans le contrat prévu à l’article L. 314‐12 du code de l’action sociale et des familles. APG94, novembre13

  18. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D • FONCTION : • Le psychologue a un rôle de clinicien et de conseil car il intervient directement auprès des personnes âgées et de leurs familles. • Il a un rôle d’évaluation. • Il a un rôle de coordination car il fait partie de l’équipe de coordination de l’établissement (avec le médecin coordinateur et l’infirmière coordinatrice). • Il peut être en particulier responsable du projet de vie. • Il est aussi un garant éthique au sein de l’institution gériatrique. APG94, novembre13

  19. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D • LES MISSIONS : • Accompagnement et suivi • Les résidents : • Le psychologue accueille et effectue un accompagnement personnalisé des résidents. Il veille à leur bien‐être et au respect de leur dignité. Il est vigilant quant à l’expression de leurs désirs et de leurs projets. Il est à l’écoute de leurs questionnements et attentif à leurs capacité d’adaptation à la vie en institution gériatrique. • Le psychologue est présent auprès des résidents au cours de leur vie et participe, avec l’équipe soignante, à l’accompagnement de la fin de vie. • Le psychologue assure la confidentialité des informations obtenues lors de ses entretiens. Il respecte le secret professionnel et reste attentif à préserver la vie privée des résidents, y compris lorsqu’il est amené à transmettre des éléments de son intervention à l’équipe soignante. APG94, novembre13

  20. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D • Les familles : • Le psychologue accompagne aussi les familles et les proches du résident. Il est leur interlocuteur privilégié pour tout ce qui concerne leur vécu relatif à la vie en établissement de leur parent. Il les oriente vers le médecin ou les infirmières pour des questions d’ordre médical. • Le psychologue veille au maintien des liens familiaux. • Il est à même de donner aux familles des explications relatives à l’évolution des pathologies liées au vieillissement (démences...) ou d’autres types de dépendances ainsi qu’aux conséquences psychoaffectives qui en découlent. Il est à l’écoute de leurs interrogations. • La famille peut aussi lui transmettre des éléments relatifs à l’histoire de vie de leur proche, éléments qui vont permettre une meilleure connaissance et donc une meilleure compréhension du résident par l’équipe soignante. APG94, novembre13

  21. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D • Évaluation et transmission • Les résidents • A travers des grilles, des questionnaires et des épreuves adaptées au grand âge, le psychologue évalue les capacités cognitives de l’âgé (MMSE, 5 mots de Dubois, Horloge…), son humeur (dépression (GDS), anxiété (échelle de Goldberg)...), ses facultés d’adaptation et sa capacité à créer de nouveaux investissements. • Chaque psychologue pratique avec ses outils (échelles / entretiens cliniques / observations cliniques…) Les échelles ne peuvent en rien lui être imposé pour faire ses évaluations. • Étant donné la spécificité des pathologies liées au grand âge, le diagnostic de démence nécessite des investigations approfondies par des experts que le psychologue peut contacter. • Pour ce faire, en accord avec le médecin traitant et le médecin coordonnateur, il fait appel au réseau gérontologique local (consultation mémoire, neurologues...). APG94, novembre13

  22. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D • L’équipe soignante • Au vue de la population accueillie actuellement en EHPAD, l’évaluation des troubles du comportement présentés par certains résidents doit être régulièrement effectuée car ilsperturbent bien souvent la quiétude de l’EHPAD. Pour ce faire, psychologue et AS référentréalisent une évaluation indirecte de ces troubles (à partir du NPI‐ES). • Le psychologue en EHPAD a aussi un rôle d’évaluation des situations présentées par l’équipe soignante lors des réunions pluridisciplinaires hebdomadaire. Il apporte son expertise et concours à une meilleur compréhension des troubles. APG94, novembre13

  23. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D >Participation à l’élaboration des projets de la structure • Le psychologue participe aux différentes réunions relatives à la vie de l’établissement : • mise en place du projet de vie et de soins personnalisé de chaque résident, • concertation autour des projets de l’établissement (projets PASA, UHR…), • mise en place du projet institutionnel et du projet de soin avec l’équipe de coordination, • groupe de travail constitué dans le cadre de la démarche qualité de la structure. • Le psychologue apporte son concours dans l’élaboration de la coupe PATHOS et du rapport d’activité annuel du médecin coordonnateur. • Le psychologue tient un rapport d’activité psychologique propre à sa fonction annuel! APG94, novembre13

  24. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D > Coordination et formalisation du projet de vie et d’animation de l’établissement • Dans certaines EHPAD le psychologue est responsable de coordonner et de formaliser le projet de vie de l’établissement. • Il a aussi en charge la mise en place et le suivi du projet d’animation personnalisé des résidents. • Attention à bien distinguer les métiers! Psychologue / Animateur APG94, novembre13

  25. Annexe 12fiche de poste du psychologue clinicien spécialisé en psychogérontologie en E.H.P.A.D > Développer le partenariat extérieur • Tout en s’adaptant à la population reçue, le psychologue se doit de promouvoir l’ouverture de l’établissement sur la vie de quartier. • L’EHPAD doit être pensé comme un lieu ouvert intégré à l’environnement local. • Le psychologue peut ainsi, à titre d’exemple, mettre en place et formaliser avec l’animatrice de l’établissement un projet intergénérationnel avec une école voisine, développer un partenariat avec le centre social, avec d’autres EHPAD... • Attention à bien distinguer les métiers! Psychologue / Animateur APG94, novembre13

  26. La convention tripartite • l'établissement, le Conseil général du département et le préfet/ou directeur de l'ARH, signeront entre eux une convention tripartite, obligatoire. • Pour 5 ans avec des avenants annuels. • 4. Recommandations relatives à la qualité des personnels • 4.1. Les objectifs à atteindre.Il convient de prodiguer des soins et aides de qualité tout en assurant au personnel une meilleure satisfaction dans sa pratique quotidienne, notamment au moyen des éléments suivants : APG94, novembre13

  27. La convention tripartite • a) L'organisation générale du travail • b) Le programme de formation • c) De meilleures conditions de travail améliorent souvent la motivation du personnel • d) La présence d'un médecin coordonnateur dont le rôle est précisé en annexe II APG94, novembre13

  28. La convention tripartite • e) Le soutien psychologique du personnel • Celui-ci s'avère indispensable du fait de l'état de dépendance physique et surtout psychique de la population accueillie, et du grand nombre de décès dans ces établissements. • Il nécessite souvent un travail en équipe avec des personnels externes à l'institution, tel le secteur psychiatrique et/oul'intervention d'un psychologue exerçant au sein de l'institution. APG94, novembre13

  29. Les 3 sections d’un budget en EHPAD • La Dépendance (payée à la résidence par le Conseil Général par le biais de l’A.P.A) : • 3/10ème des salaires des agents • 3/10ème des salaires des aides-soignantes – • la totalité du salaire de la psychologue • les protections • Le Soin (payé par la C.R.A.M) : • 7/10ème des salaires des aides-soignantes • la totalité du salaire des infirmières et du médecin coordonnateur • le matériel médical • L’Hébergement (payé par le résident) : • le reste, à savoir tout ce qui n’est pas lié à la dépendance ou au soin APG94, novembre13

  30. La commission de coordination gériatrique • Art. 1er. − mentionnée au 3o de l’article D. 312-158 du code de l’action sociale et des familles est présidée par le médecin coordonnateur; sa composition est arrêtée comme suit : • 1 Le directeur de l’établissement ou son représentant ; • 2 Les médecins salariés de l’établissement ; • 3 Le pharmacien gestionnaire d’une pharmacie à usage intérieur mentionnée aux articles R. 5126-1 et suivants du code de la santé publique ; • 4 Le cadre de santé ou l’infirmier diplômé d’Etat en charge de la coordination de l’équipe soignante au sein de l’établissement ; • 5 Les infirmiers diplômés d’Etat salariés de l’établissement ; • 6 Les psychologues de l’établissement ; • 7 Les masseurs-kinésithérapeutes salariés de l’établissement ; • 8 Les ergothérapeutes salariés de l’établissement ; • 9 Les psychomotriciens salariés de l’établissement ; • 10 L’ensemble des professionnels de santé intervenant dans l’établissement à titre libéral ; • 11 Le pharmacien d’officine référent mentionné au premier alinéa de l’article L. 5126-6-1 du code de la santé publique lorsque l’établissement ne dispose pas d’une pharmacie à usage intérieur ; • 12 Un représentant du conseil de la vie sociale de l’établissement choisi parmi les membres mentionnés au 1°de l’article D. 311-5 du code de l’action sociale et des familles. • Toute personne que la commission souhaite entendre du fait de ses compétences propres peut assister en tant que de besoin à la séance de la commission. • La commission de coordination gériatrique est réunie au minimum deux fois par an. Les professionnels de santé libéraux signataires du contrat mentionné à l’article R. 313-30-1 du code de l’action sociale et des familles doivent participer à au moins une réunion dans l’année. • L’ordre du jour de la commission de coordination gériatrique est établi conjointement par le médecin coordonnateur et le directeur de l’établissement. APG94, novembre13

  31. Commission Nationale Consultative de Déontologie des Psychologues • Avis 08-16: • […] • Transmettre de l’information et communiquer au sein d’une équipe, • tout en respectant des règles déontologiques, • renvoient également aux notions de responsabilité et d’indépendance professionnelle du psychologue. • Le psychologue doit en effet être attentif au respect de son indépendance professionnelle, sans laquelle il ne peut exercer sereinement et mettre pleinement à contribution ses compétences. APG94, novembre13

  32. Commission Nationale Consultative de Déontologie des Psychologues • le psychologue travaillant dans le cadre d’une institution: • doit s’efforcer d’allier constamment: • son souci de la personne ou de l’usager, • la garantie d’une compétence professionnelle, • la nécessaire transmission d'information au sein de l'équipe • et le respect des différents champs de compétence de ses collègues. APG94, novembre13

  33. Gardons en tête … • Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l'action des psychologues. • Il n’intervient qu’avec le consentement libre et éclairé des personnes concernées. • Il préserve la vie privée et l'intimité des personnes en garantissant le respect du secret professionnel. • Il respecte le principe fondamental que nul n'est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même. • Code de déontologie des psychologues, de mars 1996, actualisé en février 2012. APG94, novembre13

More Related