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Les Bourses plongent, quelles opportunités pour le stock-picking value ?

Les Bourses plongent, quelles opportunités pour le stock-picking value ?. Définition de la gestion de stock-picking « value ».

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Les Bourses plongent, quelles opportunités pour le stock-picking value ?

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Presentation Transcript


  1. Les Bourses plongent, quelles opportunités pour le stock-picking value ?

  2. Définition de la gestion de stock-picking « value » • La gestion « Value » sélectionne les entreprises présentant une décote significative (entre 20 et 50%) par rapport à leur valeur d’actif netet/ou en retard par rapport aux ratios financiers de leur secteur (VE/CA, VE/EBIT,…). Ces valeurs sont considérées comme défensives et offrent donc, normalement, de bons « parachutes » en période troublée (hors crise de liquidités). • Les process de gestion « value » reposent sur uneanalyse approfondiedes éléments fondamentaux de chaque société afin de pouvoir déterminer les objectifs de cours. De plus, ces modes de gestion visent à sélectionner les titres sans contrainte sectorielle. La gestion active de ces titres présente l’avantage d’atténuer, dans une certaine mesure, les soubresauts du marché. Elle doit ainsi permettre d’obtenir uneperformance plus régulière que celle des marchés. • Ce process se concentre également sur la recherche d’éventuels « catalyseurs » permettant de réduire les décotes dont notamment les opérations financières. Richelieu Finance, par exemple, recherchel’attrait spéculatifdes dossiers qui permettra une revalorisation indépendamment que celle que pourrait offrir le marché.

  3. Comparaison des indices MSCI AC Europe Value et Growth sur 10 ans Sur 10 ans, la gestion value surperforme le marché…. …. tendance qui s’est inversée depuis plus d’un an

  4. Quelles opportunités dans le marché actuel ? • Le marché offre des opportunités d’investissements • Niveaux de valorisation redevenus attractifs tant en multiples de résultats que rapportés à l’actif net réévalué des sociétés, P/E 2008 moyen du CAC 40 de 10x : au plus bas depuis 10 ans. • Les entreprises pourraient saisir des opportunités de croissance externe fortement créatrices de valeur sur les niveaux de valorisation actuels (ex : Aker Yards, Continental, etc.). • Les niveaux de valorisation très modérés incitent les actionnaires de référence à racheter leur titres (ex : Géodis, Clarins, etc.). Certaines grandes valeurs ont désormais un profil « value » et offrent des opportunités intéressantes avec asymétrie favorable en terme de risque/rendement….

  5. Quelques opportunités « Value » Sources : JCF Factset

  6. AIR FRANCE-KLM • 1ère compagnie mondiale en trafic international passagers • 2ème groupe mondial pour l'activité Cargo • Un des premiers fournisseurs mondiaux de services de maintenance • Réseau équilibré, qui offre de vastes possibilités de connexions • Membre fondateur de l'alliance SkyTeam, 2ème mondial • Activité principale : Transport de passagers (80% du CA et 91% EBIT) • Valorisation : très attractive • CA 2008 : 0,3x • EBITDA 2008 : 3,1x • PER 2008 : 8,4x • Rendement Net : 2,8% La comparaison sectorielle fait apparaître uneforte décoted’Air France-KLM sur ses pairs. Elle semble injustifiée compte tenu du profil plus défensif de la compagnie franco-néerlandaise : meilleurediversification géographique, couverture pétrolela plus optimale, flotte d’appareils relativement jeune et hub principal ayant le plus de potentiel d‘expansion.

  7. PSA PEUGEOT CITROEN • Deuxième constructeur automobile européen derrière Volkswagen, en 2007 pour ses deux marques, Peugeot et Citroën. • Le groupe privilégie une stratégie de croissance interne et de coopérations ciblées avec d’autres constructeurs automobiles (Fiat, Ford, BMW, Toyota, Mitsubishi). • Valorisation : aujourd’hui extrêmement faible • CA 2008 : 0,1x • EBITDA 2008 : 1,2x • PER 2008 : 5,8x • Rendement Net : 4,7% Le nouveau management est déterminé à restaurer une croissance rentable et durable s'appuyant sur une accélération du plan produits et une intensification des économies de coûts. PSA est notre valeur favorite dans un secteur difficile, son profil est plus défensif que le reste de l’industrie.

  8. SAINT GOBAIN • Leader européen ou mondial sur l’ensemble de ses métiers • Recentrage sur le secteur de la construction qui représentera 90% de son CA en 2008 contre 75% en 2006 • - Acquisition de BPB (2005), de Maxit (2007) • - Sortie du Renforcement, du Conditionnement (en cours) • Une stratégie clairement définie : • - Accélérer le positionnement sur l'habitat • Accroître l'exposition du groupe aux produits liés à la nouvelle • réglementation sur l'économie d'énergie dans le bâtiment • Augmenter à 25% la contribution des pays émergents au CA • Valorisation • CA 2008 : 0,6x • EBITDA 2008 : 4,9x • PER 2008 : 7,5x • Rendement Net : 5,1% Le groupe a confirmé ses prévisions lors de la publication du T2, ce qui doit contribuer à lever la crainte d’une forte baisse des résultats qui seule peut justifier le cours actuel, toujours sur des bases de valorisation historiquement très faibles.

  9. FRANCE TELECOM • Position forte sur ses marchés (France, Pologne, UK, Espagne) • Le CA de France Telecom se répartit ainsi : • - 49% dans les mobiles, • - 38% dans le fixe, • - 13% dans l’Entreprise. • Rentabilité stable et très forte récurrence de ses cash flows • d’exploitation (6,8 Mds€ générés par an). • Valorisation • CA 2008 : 1,6x • EBITDA 2008 : 4,4x • PER 2008 : 9,7x • Rendement Net : 7,2% Malgré sa position de leader, France Telecom ne jouit pas d’une prime de valorisation. Au contraire, France Telecom se négocie actuellement avec une décote de 20% environ par rapport au PE moyen du secteur (9,7 vs 12). La récente correction du titre intègre l’idée d’une destruction de valeur à travers la croissance externe (Telia Sonera). L’abandon de l’offre aurait justifié un re-rating du titre qui offre l’une des meilleures visibilités en matière de performance opérationnelle dans son secteur.

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