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PRESSE, CARICATURE, CENSURE. DE 1789 À 1881

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PRESSE, CARICATURE, CENSURE. DE 1789 À 1881

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Presentation Transcript


  1. PRESSE, CARICATURE, CENSURE. DE 1789 À 1881 • Commencez par visionner l’ensemble du diaporama en plein écran. • Ensuite répondez aux questions qui apparaissent tout au long de ce diaporama. Utilisez une page word et organisez la présentation en rapportant vos réponses à une date et/ou un document daté servant de titre. • Votre manuel est indispensable pour vous référer aux périodes concernées. • Au final, vous ferez une synthèse en répondant à ces trois questions: • Recherchez dans les textes de lois des deux dernières diapositives, les dates auxquelles les libertés d’expression sont respectées ou rétablies. Les dates auxquelles la liberté de la presse est réduite ou supprimée.Notez à quel moment de quel régime politique elles correspondent. • Précisez les types de mesures prises pour dissuader les écrivains, imprimeurs, caricaturistes de critiquer le pouvoir en place. • Notez les moyens utilisés pour réduire le nombre des journaux et leur diffusion. • Sources: • Encyclopédie québecoise en ligne de l’Agora:http://agora.qc.ca/reftext.nsf/Documents/Censure--Histoire_de_la_censure_par_Grande_Encyclopedie • Diverses sources de manuels scolaires pour certaines caricatures • http://daumier.org/

  2. Le PÈRE DUCHESNE du 16 janvier 1791. Journal qui parut de 1790 à 1794. Fondateur: Jacques, René HÉBERT. I. PENDANT LA RÉVOLUTION • La Révolution supprima la censure, dont l'abolition était réclamée par les cahiers de doléances de 1789 : • L’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen institue la liberté de presse. • L'Assemblée constituantedécide que « tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement., sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas prévus par la loi ». • Pendant la Terreur, la loi des suspects (sept.1793) rend pour autant impossible la liberté d’expression, donc de presse. Contre les calotins qui ne prèteront pas aujourd’hui le serment dans Paris, et la grande joie d’avoir entendu M. de Mirabeau déclamer à l’Assemblée contre eux, et son compliment à la Garde nationale sur la vigilance. ------------------ O, mille nom d’un tonnerre! Quel tapage dans Paris pour ces foutus calotins qui ont refusé d’être citoyens! … Quel est le contexte de cet article de presse? Qu’est ce qu’un calotin? Quelle opinion transparaît dans cette prise de position?

  3. II. PENDANT LA PÉRIODE NAPOLÉONIENNE Après le coup d'État du 18 brumaire, tous les journaux hostiles sont supprimés… En 1803, un censeur est imposé à chaque journal • « Réprimez un peu les journaux, faites-y mettre de bons articles, faites comprendre aux rédacteurs des Débats et du Publiciste que le temps n'est pas éloigné où, m'apercevant qu'ils ne me sont pas utiles, je les supprimerai avec tous les autres et je n'en conserverai qu'un seul  ; ... que le temps de la Révolution est fini et qu'il n'y a plus en France qu'un parti  ; ... que je ne souffrirai jamais que les journaux disent ni fassent rien contre mes intérêts. » • Napoléon Bonaparte, Lettre à Fouché, 22 Avril 1804. • (Source : R. KNAFOU et V. ZANGHELLINI (sous la direction de : ) : Histoire-Géographie 4ème , Belin, 1988.) Que veut dire Napoléon ? Qui est Fouché? Quel est le contexte? Exemple : en 1810, il est question de réimprimer une Histoire de Bonaparte. Ce titre est jugé inconvenant et remplacé par: Mémoires pour servir le l'histoire des campagnes de Napoléon le Grand.

  4. III. PENDANT LA RESTAURATION  (1815-1830): Liberté relative, car la censure est réelle. Gravure de Charles DEVITS au début de la monarchie de Juillet (1830) Charles X provoque la révolution de 1830 par ses ordonnances qui envisageaient de supprimer toute liberté de la presse et soumettaient tout périodique à une autorisation préalable L’homme accroupi souffle sur un brasero. Allusion au marquage des prostituées au fer rouge

  5. IV. SOUS LA MONARCHIE DE JUILLET1830-1848 • La liberté de la presse est large de 1830 à 1835. • Mais, dès 1832, des procès concernent des articles et caricatures jugés trop critiques vis à vis de louis-Philippe. • (Daumier est incarcéré en 1832 pour l’avoir dessiné en Gargantua dévorant le peuple.) • Durcissement de la censure en 1835 sur tous les dessins. Le délit d’opinion réapparaît. Les taxes sur les journaux augmentent. Le Passé, le Présent, l’Avenir par Honoré DAUMIER. 1834 Musée d’Art et d’Histoire de St Denis

  6. Charles PHILIPON1800-1862 • La métamorphose de Louis-Philippe en poire.1831 (Bibliothèque nationale de France) • Reprise dans le Charivari en 1834 (journal satirique fondé à Paris en 1832 par Philippon et édité jusqu’en 1893) « Cher Ponpon, Duc de la Lithographie, Marquis du Dessin, Comte du Bois gravé, Baron de Charge, Chevalier de Caricature et autres lieux…  » BALZAC à propos de PHILIPON.

  7. HONORÉ DAUMIER (1808-1879) Portrait d’Honoré DAUMIER par CARJAT.(1860?) « Il dessine comme les grands maîtres. Son dessin est abondant, facile, c’est une improvisation suivie […] Daumier a quelques rapports avec Molière. Comme lui, il va droit au but. L’idée se dégage d’emblée. On regarde, on a compris. Les légendes qu’on écrit au bas de ses dessins ne servent pas à grand-chose, car ils pourraient généralement s’en passer. […] » BAUDELAIRE.Curiosités esthétiques. « Ce gaillard-là a du Michel-Ange » BALZAC à propos de DAUMIER. Balzac le compare à Michel-Ange, Baudelaire à Molière. À ces comparaisons, quelle est celle qu’ajoute Carjat?

  8. Daumier fut jugé pour ce dessin et condamné à 6 mois de prison Qui est représenté Sous les traits de Gargantua? Comment est représenté le peuple? Quelle critique de la politique royale fait ici Daumier? Comment est représenté le pouvoir législatif par rapport au pouvoir exécutif? Caricature d’Honoré Daumier, parue dans le journal satirique « la Caricature », en 1831

  9. NE VOUS Y FROTTEZ PAS! Que représente le personnage central? Décrivez sa tenue et sa posture. Caricature de Daumier. Parue dans la Caricature. Mars 1834

  10. Observez et identifiez Honoré DAUMIER Le juge • « Vous avez la parole, expliquez-vous, vous êtes libre! » • La Caricature du 4 mai 1835. Montrez en quoi la situation est absurde La balance Le groupe d’hommes. Qui est Baillonné? Le contexte

  11. la II° République, en même temps que l'institution du suffrage universel masculin, la liberté de réunion, l'abolition de l'esclavage dans les colonies, rétablit la liberté de la presse. M.M. Victor Hugo &Emile de Girardin cherchent à élever le prince Louis sur un pavois, ça n'est pas très solide ! Le Charivari du 11décembre 1848. V. LA SECONDE RÉPUBLIQUE (1848-1851) Qui est le prince Louis? • Mais, avec le succès des conservateurs, une loi de juillet 1850 réduit la liberté de la presse.

  12. VI .LE SECOND EMPIRE (1852-1870) Quel personnage « éclipse » la lumière apportée Par la presse libre • Après le coup d’État du 2 décembre1851, la plupart des journaux républicains disparaissent et de nouveaux décrets (février et mars 1852) enlèvent toute liberté à la presse, placée sous le contrôle d’un ministère de la Police. • La censure s’exerce aussi contre les œuvres de littérature et d’art. Ainsi, sont censurées les Fleurs du mal de Baudelaire en 1857 André Gill, caricaturiste, fils naturel du comte de Guines et de Sylvie-Adeline Gosset, donnait une caricature par semaine au journal de Francis Polo, La Lune, quand la censure en interdit la publication, au mois de décembre 1867. «La Lune devra subir une éclipse», dit un homme de loi à Polo. Il venait de donner, sans l'avoir voulu, son titre au journal qui allait succéder à La Lune, disparue, en effet, le 17 janvier 1868. Le 9 août 1868, apparition, si l'on peut dire, deL'Éclipse. Ce journal combatif tirant à 40 000 exemplaires est l’objet de 22 saisies, il disparaît en 1876 pour laisser place à la Lune rousse (1876-1879).

  13. Madame Anastasie « La censure »  (L'Éclipse du 19 juillet 1874) Source:http://www.encres-vagabondes.com/memoire/gill.htm André GILL  (1840-1885)

  14. VII. De la Commune de 1871 à la loi de 1881, la IIIe RÉPUBLIQUE n’exerce pas trop de censure. • Ici, un dessin des plus féroces se réfère aux Châtiments de V. Hugo et à L'Histoire d'un crime. • Alfred Le Petit grave un Hugo marquant au fer rouge la date du 2 décembre 1851 sur le front d'un Napoléon III enchaîné. (Le Pétard, 24 mars 1878.)  Que signifie cette date?

  15. LA LOI DU 29 JUILLET 1881.Adoptée à la chambre des Députés par 444 voix pour et 4 contre. En quoi cette « une » montre-t-elle une presse libre? • « L’imprimerie et la librairie sont libres. » • « Tout journal ou écrit périodique peut être publié sans autorisation préalable et sans dépôt de cautionnement… » Exemple de journal et de caricature en 1884 Naquet, défenseur de la loi sur le divorce, dessiné par Pépin avec une auréole affublée de chapeaux de toute nature et des deux sexes:  « À Naquet, les cocus reconnaissants ».

  16. La Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne dit, dans le chapitre II sur les libertés: Article 11 . Liberté d'expression et d'information 1. Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières. 2. La liberté des médias et leur pluralisme sont respectés. La loi de 1881 est toujours appliquée en France. La censure existe toujours mais a connu des évolutions comme celles-ci: Depuis 1951, la loi interdit l’apologie des crimes de guerre et des crimes ou délits de collaboration avec l’ennemi. depuis 1972, la loi condamne la provocation à la haine, la discrimination ou la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. LA LIBERTÉ DE LA PRESSE AUJOURD’HUI Mais, dans beaucoup de pays, de nombreux journalistes payent de leur vie leur liberté d’expression. « L'assassinat du journaliste Samir Kassir, jeudi 2 juin 2005 au matin, dans le quartier chrétien d'Achraffiyé à l'est de Beyrouth, a donné raison aux plus pessimistes des Libanais et a plongé le pays dans la stupeur et la consternation générales. » Pourquoi assassine-t-on des journalistes ? », s'interroge L’Orient, le Jour, une publication beyrouthine. « Pour les punir, bien souvent, d'avoir trop bien fait leur métier : d'avoir cru trop fort au caractère sacré de leur mission. On les assassine aussi pour l'exemple, pour épouvanter les autres. » Les grands reporters continuent à prendre des risques considérables. Parmi d’autres, l’enlèvement de Florence AUBENAS en 2005, en Irak en a été une illustration retentissante. En octobre 2006, la journaliste Anna Politkovskaïa est assassinée. Sa dénonciation courageuse des crimes en Tchétchénnie lui coûte la vie.

  17. LA LIBERTÉ DE LA PRESSE AUJOURD’HUI SLIM est un caricaturiste algérien

  18. LOI DU 21 OCTOBRE 1814: Tout écrit de plus de vingt feuilles d’impression (c’est à dire 320 pages in octavo) pourra être publié librement et sans examen ou censure préalable. À l’égard des écrits de vingt feuilles et au-dessous […] le directeur général de la librairie, à Paris, et les préfets dans les départements,pourront ordonner, selon les circonstances, qu’ils soient communiqués avant l’impression. Si deux censeurs au moins jugent que l’écrit est un libellé diffamatoire, ou qu’il peut troubler la tranquillité publique, ou qu’il est contraire à la Charte constitutionnelle, ou qu’il blesse les bonnes mœurs, le directeur général de la librairie pourra ordonner qu’il soit sursis à l’impression. 9. Les journaux et écrits périodiques ne pourront paraître qu’avec l’autorisation du Roi. LES ORDONNANCES DU 25 JUILLET 1830. 1ère ordonnance sur la liberté de la presse. La liberté de la presse périodique est suspendue. […] En conséquence, nul journal et écrit périodique ou semi-périodique, établi ou à établir, sans distinction des matières qui y seront traitées, ne pourra paraître soit à Paris, soit dans les départements, qu’en vertu de l’autorisation qu’en auront obtenue de nous séparément les auteurs et l’imprimeur. Cette autorisation sera renouvelée tous les trois mois. Elle pourra être révoquée. Les journaux et écrits, publiés en contravention de l’article 2, seront immédiatement saisis. Les presses et caractères qui auront servi à leur impression seront placés dans un dépôt public et sous scellés, ou mis hors service. La 2ème ordonnance dissout la Chambre des Députés. LES LOIS SUR LA PRESSE AU XIXe siècle.Source: l’Histoire par les Textes. Par Mme DECHAPPE et L. DECHAPPE. Librairie DELAGRAVE. 1935. • LOI SUR LA PRESSE DU 17 MAI 1819 • Quiconque… se sera rendu coupable d’offenses envers la personne du Roi sera puni d’un emprisonnement qui ne pourra être de moins de six mois, ni excéder cinq années... • LA CHARTE RÉVISÉE, 9 août 1830. • 8. Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois. La censure ne pourra jamais être rétablie. LOI DU 31 MARS 1820 : 1. La libre publication des journaux et écrits périodiques, consacrés en tout ou partie aux nouvelles, et aux matières politiques, paraissant soit à jour fixe, soit irrégulièrement et par livraisons, est suspendue temporairement… 4. Avant la publication de toute feuille ou livraison, le manuscrit devra être soumis par le propriétaire ou l’éditeur responsable à un examen préalable. 5. Tout propriétaire ou éditeur responsable qui aurait fait imprimer ou éditer un feuille ou une livraison d’un journal ou écrit périodique sans l’ avoir communiquée au censeur avant l’impression […] sera punit correctionnellement d’un emprisonnement d’un mois à six mois et d’ »une amende de 200 à 1200 francs sans préjudice des poursuites auxquelles pourrait donner lieu le contenu de ces feuilles… • LOI DU 9 SEPTEMBRE 1835. • 2. L’offense au roi […], lorsqu’elle a pour but d’exciter à la haine ou au mépris de sa personne ou de son autorité constitutionnelle, est un attentat à la sûreté de l’État. • Le cautionnement que les propriétaires de tout journal… sont tenus de fournir sera versé en numéraire, au Trésor… • 20 Aucun dessin, aucunes gravures, lithographies, médailles et estampes, aucun emblème de quelque nature et espèce qu’ils soient, ne pourront être publiés, exposés ou mis en vente sans l’autorisation préalable du ministre de l’intérieur… ou des préfets.

  19. DÉCRET DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE LA DEUXIÈME RÉPUBLIQUE: Décret du 6 mars 1848: Abolition des lois du 9 septembre 1835 sur les délits de presse. Plus de cautionnement. LES DÉCRETS DU 17 FÉVRIER 1852. Aucun journal ou écrit périodique traitant de matières politiques ou d’économie sociale, […] ne pourra être crée ou publié sans l’autorisation préalable du Gouvernement. Les propriétaires de tout journal ou écrit périodique traitant de matières politiques ou d’économie sociale sont tenus, avant sa publication, de verser au Trésor un cautionnement en numéraire… Les journaux ou écrits périodiques […] seront soumis à un droit de timbre. … 22. Aucuns dessins, aucunes gravures, lithographies, médailles et estampes, aucun emblème de quelque nature et espèce qu’ils soient, ne pourront être publiés, exposés ou mis en vente sans l’autorisation préalable du ministre de la police à Paris… ou des préfets dans les départements. LES LOIS SUR LA PRESSE AU XIXe siècle.Source: l’Histoire par les Textes. Par Mme DECHAPPE et L. DECHAPPE. Librairie DELAGRAVE. 1935. • LES LOIS ET DÉCRETS QUI SUIVENT LES ÉMEUTES DU JUIN 1848. • Décret relatif au cautionnement des journaux: • Le cautionnement que les propriétaires de tout journal ou écrit périodique sont tenus de fournir sera versé en numéraire… DÉCRET D’ AOUT 1849: Tous distributeurs ou colporteurs de livres, écrits, brochures, gravures… devront être pourvus d’une autorisation qui leur sera délivrée … par les préfets. • LA LOI SUR LA PRESSE DU 11 MAI 1868 • Tout Français majeur et jouissant de ses droits civils et politiques peut, sans autorisation préalable, publier un journal ou écrit périodique… • Le droit de timbre est réduit à cinq centimes… • 16 Est abrogé l’article 1 du décret du 17 février 1852. • LOI DU 16 JUILLET 1850 : • Tout article de discussion politique, philosophique ou religieuse, inséré dans un journal devra être signé de son auteur. • 12 Les journaux ou les recueils périodiques de gravures politiques… seront soumis à un droit de timbre de cinq centimes par feuille de soixante et douze centimètres carrés et au-dessous. • LOI DU 29 JUILLET 1881. • L’imprimerie et la librairie sont libres. • Tout imprimé rendu public… portera l’indication du nom et du domicile de l’imprimeur… • Au moment de la publication de tout imprimé, il en sera fait […] un dépôt de deux exemplaires, destinés aux collections nationales… • Tout journal ou écrit périodique peut être publié, sans autorisation préalable et sans dépôt de cautionnement, après la déclaration prescrite par l’article 7. • Tout journal ou écrit périodique aura un gérant.

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