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ORDRE DU JOUR du jeudi 11 janvier 2007

ORDRE DU JOUR du jeudi 11 janvier 2007. 1: Présentation du GTEP: motifs, thématiques, dispositif 2: Etat des lieux des forces disponibles 3: La notion de COUTUME DIDACTIQUE dans les pratiques professionnelles -Cadrage notionnel (AR) -Travail en petits groupes sur cette notion

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ORDRE DU JOUR du jeudi 11 janvier 2007

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Presentation Transcript


  1. ORDRE DU JOUR du jeudi 11 janvier 2007 1: Présentation du GTEP: motifs, thématiques, dispositif 2: Etat des lieux des forces disponibles 3: La notion de COUTUME DIDACTIQUE dans les pratiques professionnelles -Cadrage notionnel (AR) -Travail en petits groupes sur cette notion -Questions-réponses en plénière 4: Présentation du cahier des charges de la production 5: Calendrier et échéances 6: Modalités de travail dans le groupe. Création et utilisation du site collaboratif

  2. Les axes du GTEP 1: RENFORCER LES COMPETENCES INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DES ENSEIGNANTS AFIN DE RENDRE LES ELEVES PLUS COMPETENTS 2: RENFORCER LA LISIBILITE DE NOTRE DISCIPLINE AUPRES DES ELEVES, DES PARENTS, DE L’ ADMINISTRATION… 3: ENSEIGNER AVEC « EQUITE » OU COMMENT FAIRE EN SORTE QUE TOUS LES ELEVES SOIENT PLACES A EGALITE DEVANT LES APPRENTISSAGES PREVUS PAR LES DIFFERENTS PROGRAMMES _ COMPRENDRE LES DIFFERENTS PUBLICS _METTRE EN ŒUVRE LA REUSSITE POUR TOUS LES ELEVES _LES FILLES DANS L’ ENSEIGNEMENT TECHNOLOGIQUE ET EN LYCEE PROFESSIONNEL _POURQUOI AUTANT DE DIFFERENCE DANS LA NOTATION ENTRE LES FILLES ET LES GARCONS ?

  3. DEUX NOTIONS A VOCATION HEURISTIQUE COMME VECTEUR DE TRANSFORMATION Transformation des pratiques dans une hypothèse d’accroissement de leur performance Coutumes didactiques Enseigner avec égalité

  4. DEUX NOTIONS A VOCATION HEURISTIQUE COMME VECTEUR DE TRANSFORMATION En d’autres termes, nous faisons le pari que plus nous en apprendrons sur les pratiques à travers leur observation par la focale de ces deux notions, plus nous serons à même d’élaborer des propositions de transformations qui leur permette de gagner en performance, c’est-à-dire à gagner en apprentissages réussis, en connaissances décisives, en compétences acquises. Les propositions de transformation porteront sur des réagencements argumentés, intégrables dans les contextes locaux et non sur du prêt-à-porter.

  5. La notion de coutume didactique • Une notion inspirée de… l’étude des sociétés primitives et de la didactique des maths • Retenue pour le GTEP comme un outil de questionnement et de lecture des pratiques • Qu’on peut définir comme un ensemble fonctionnel d’organisations et d’actes ayant pour but d’enseigner mais : • qui est fortement soumis à l’implicite et répété • qui repose sur des raisons et des croyances • qui est admis comme un usage dans la communauté professionnelle sans évaluation objective de ses effets

  6. La notion de coutume didactique • qui est répétée sans rapport avec les raisons qui ont poussé historiquement à la faire naître • qui peut être constituée en chaîne coutumière • dont on s’accommode aisément • mais qui comporte des caractères de souplesse et de flexibilité qui la rend sensible à l’innovation • par exemple : en VB faire jouer les élèves sur des terrains réduits en largeur mais profonds pour permettre à tous de pratiquer, coutume où les bonnes raisons s’opposent à l’accès au sens tactique du jeu !

  7. Enseigner l’EPS avec égalité • -Les enseignants d’EPS possèdent une forte sensibilité à l’hétérogénéité • Ils savent s’y adapter pour en réduire la contrainte : groupes de niveaux • Pour faciliter l’organisation sociale : groupes homogènes ou hétérogènes • Ou pour l’utiliser comme facteur d’apprentissage : dyades dissymétriques • Les pratiques peuvent être questionnées : permettent-elles à tous les élèves un égal accès aux apprentissage ?

  8. Enseigner l’EPS avec égalité • Exemple 1 : équipe de constitution hétérogène en Scos : les élèves les moins compétents sont soit gardiens de but, soit pourvoyeurs de balle, à l’arrière de l’espace de jeu effectif. Si ce choix est maintenu, ils n’ont jamais accès à la cible et aux opérations tactiques • Exemple 2 : confrontation systématique des élèves en montante-descendante en badminton. Là aussi, les élèves les moins compétents sont confrontés à leurs mêmes maladresses. Il en résulte un volume de bons volants réduits et des probabilité d’apprentissage très limités.

  9. Proposition de cadrage pour les différents groupes GROUPES A – B – C: remise en forme des coutumes didactiques: VB BAD ½ FOND La commission académique du baccalauréat met en avant une situation fortement marquée dans l’attribution des notes entre les filles et les garçons au volley-ball et au badminton. Les élèves répètent le 3 x 500m de la classe de seconde jusqu’en classe terminale. _Les coutumes didactiques produisent des effets non désirés, parfois non perçus, qui induisent des obstacles aux apprentissages de tout ou partie des élèves. _Il s’agit de les observer, les qualifier, les décrire, puis tenter de les expliquer afin de faire des propositions concrètes pour des mises en oeuvre ultérieures.

  10. Proposition de cadrage pour les différents groupes GROUPES D: articuler les CM et les CC dans les contenus d’enseignement au L.P. Besoin de réussite important chez ces élèves. Enseignants et élèves parfois affectés du syndrome LP : leur travail n’aurait pas la même noblesse que celui de leurs homologues en collège et en lycée. Les textes orientent clairement vers la maîtrise des compétences méthodologiques. Les CM sont une voie d’entrée et une voie de réussite pour maîtriser les CC. _donner la priorité aux CM pour analyser les contextes et donner du sens aux pratiques. _observer et décrire ce qui se fait concrètement. _analyser la nature des conflits pour donner du sens aux pratiques. _proposer des modalités d’articulation CC/CM.

  11. Proposition de cadrage pour les différents groupes GROUPES E: développer un usage didactique des TICE en EPS Une demande institutionnelle à l’utilisation des TICE dans l’enseignement au quotidien. L’utilisation des ressources liées à l’opération « ORDINA 13 » _créer des outils, documents TICE à vocation didactique. _mettre les TICE au service des apprentissage des élèves. GROUPES F: développer des outils d’aide au projet (ECO EPS) et à la coordination En prenant appui sur les outils élaborer par l’étude ECO EPS, comment exploiter et faire évoluer ces outils dans la perspective du développement du projet EPS.

  12. Proposition de cadrage pour les différents groupes GROUPES G: enseigner aux aptes partiels _quels sont les obstacles à la prise en compte des élèves aptes partiels _faire un état des lieux des contenus proposés. _proposer des modalités de diffusion de cette compétence professionnelle. GROUPES H: élaborer des épreuves d’évaluation des compétences au collège En prenant appui sur le modèle des fiches épreuves du baccalauréat _Préciser les deux niveaux de compétence attendus _Décrire la forme de pratique ainsi que les modalités de passage de l’épreuve _Préciser les éléments à évaluer et la partition des points correspondants _Construire les barèmes en précisant les modalités de passage de l’évaluation à la notation

  13. LES MEMBRES DES GTEP • 45 POSTULANTS • 21 FEMMES et 24 HOMMES • 7 ENSEIGNANTS EN LYCEE PROFESSIONNEL • 19 ENSEIGNANTS EN LYCEE • 17 ENSEIGNANTS EN COLLEGE • 1 CONSEILLER TECHNIQUE AUPRES D’ UNE IA

  14. VENTILATION INITIALE DES VOEUX

  15. VŒUX DEFINITIFS

  16. CONSTITUTION DES GROUPES ( / V1)

  17. DESIGNATION des COORDONNATEURS de GROUPE

  18. LES DOCUMENTS DE REFERENCE POUR TOUS LES GROUPES -LES DIFFERENTS TEXTES des PROGRAMMES du COLLEGE, du LYCEE et du LYCEE PROFESSIONNEL -LES DOCUMENTS PERSONNELS UTILISES DANS SON ENSEIGNEMENT AU QUOTIDIEN (projet de classe, fiches de travail, outils d’évaluation des compétences, barèmes utilisés…) PERMETTANT DE « DEPASSER » LE DECLARATIF DONT ON CONNAÎT LES LIMITES -LE CADRE DE REFERENCE COMMUN CONSTRUIT EN COURS DE REFLEXION

  19. PROPOSITION d’un CAHIER des CHARGES pour chaque GROUPE 1: MISE A PLAT DES PRATIQUES ET DES COUTUMES DIDACTIQUES: ou comment « DIRE SA PRATIQUE » 2: TENTATIVE DE MODELISATION DES COUTUMES DIDACTIQUES 3: IDENTIFICATION DES PROBLEMES PROFESSIONNELS (comprendre POURQUOI les COUTUMES DIDACTIQUES produisent des OBSTACLES) 4: PROPOSITION D’ AXES DE TRANSFORMATION CONCRETS DES COUTUMES 5: FORMALISATION DES CONDITIONS OPTIMALES DE REUSSITE 5.1: CONDITIONS « EXTERNES »: USSE, TEMPS D’ APPRENTISSAGE… 5.2: CONDITIONS « INTERNES »: CENTRATION SUR L’ ACTIVITE REELLE DES ELEVES dans les TACHES proposées par l’ ENSEIGNANT

  20. Comment mettre à jour les coutumes didactiques ? • Nous chercherons à répondre aux questions suivantes : • _Quel est le contexte social et logistique du cours ? Le cours présente – t _ il une logique d’apprentissage ? • _Que font les élèves dans ce contexte ? • _Que font les enseignants ? • _Qu’est-ce qui parait organisateur de leurs choix et qui fasse coutume ? • _Quels sont les incidents critiques et les facteurs qui les déclenchent ? Pour quelles raisons les élèves transforment-ils les tâches proposées ? • Qu’est-ce qui dans ces coutumes fait obstacle aux apprentissages ? • forme de pratique • durée • nature de l’activité physique, cognitive, sociale • nature et rôle de l’évaluation (résultats et procédures) • ?

  21. PROPOSITION D’ UNE TRAME POUR LA MISE A PLAT DES COUTUMES DIDACTIQUES 1: QUELLE EST LA PLACE DU PROGRAMME ? 2: COMMENT SONT SELECTIONNES LES OBJETS D’ ENSEIGNEMENT ? 3: QUELS SONT LES BUTS POURSUIVIS PENDANT LE COURS (ordre, travail, chemin d’apprentissage, développement…) ? 4: QUELLE VALEUR L’ ENSEIGNANT ATTRIBUE-T-IL AUX DIFFERENTES SEQUENCES DE SON COURS (échauffement, séquences apprentissage, jeux, retour au calme…)? 5: QUEL EST LE DEGRE DE CENTRATION DE L’ ENSEIGNANT SUR L’ ACTIVITE DES ELEVES ? 6: COMMENT LES ELEVES SONT ILS EVALUES ? 7: QUELLE EST L’ INFLUENCE DU SYSTEME DE CROYANCES (champ scientifique, expérience acquise, perception des élèves, condition de la réussite pour tous ou pour certains…) ? LA CROYANCE NE CREE T ELLE PAS DU MAL ETRE CHEZ LES ENSEIGNANTS ?

  22. Buts intermédiaires du travail Chacun des groupe devra être en mesure de -DEGAGER LES LIGNES DE FORCE DES COUTUMES ( ce qui semble être partagé par l’ensemble des membres du groupe) -D’ IDENTIFIER LES LIGNES DE RESISTANCE (ce qui divise les membres du groupe)

  23. CALENDRIER des RENCONTRES et ECHEANCIER • 11 janvier 2007: plénière au lycée G.Duby à Luynes • mi mars 2007:plénière (matin: travail par thème, après-midi:échange inter-groupes;régulation et proposition d’un cadre de rédaction) • fin juin 2007: production d’un document de groupe sur un état des lieux des coutumes présenté sous forme de modélisation.

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