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AVEC MARIJO

AVEC MARIJO. RABASTENS. « Tiercé en fasce : au premier d'azur à trois fleurs de lys d'or, au deuxième de gueules à la croix cléchée vidée et pommetée de douze pièces d'or, au troisième de sable à trois raves d'argent. ».

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AVEC MARIJO

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Presentation Transcript


  1. AVEC MARIJO

  2. RABASTENS

  3. « Tiercé en fasce : au premier d'azur à trois fleurs de lys d'or, au deuxième de gueules à la croix cléchée vidée et pommetée de douze pièces d'or, au troisième de sable à trois raves d'argent. »

  4. Située dans le Tarn, à mi-chemin entre Toulouse et Albi, toute de rose vêtue car construite en briques de cette teinte, la petite ville de Rabastens se serait développée dès le Ve siècle. Elle servit alors de refuge aux habitants d’une vaste villa gallo-romaine située à proximité. Entourée de remparts qui dominent le Tarn, elle fut puissante à l’époque médiévale, protégée par les Comtes de Toulouse avant d’entrer dans le domaine royal. Elle est située sur la vieille voie romaine reliant Lyon à Rodez et Toulouse, qui fut empruntée, jusqu’au XVIIe siècle par de nombreux pèlerins en route pour Saint-Jacques de Compostelle. On retrouve dans les archives, la trace d’un Hôtel-Dieu dès 1240.

  5. La vieille ville dominant les remparts.

  6. Comme pour bien marquer le lien de la ville avec son environnement, un rappel des pigeonniers, nombreux dans la région, à proximité d’un groupe scolaire.

  7. Autrefois, lieu central de Rabastens, la place du Plô des chevaliers, bordée de belles maisons à colombages, se trouve dans le quartier le plus ancien de la ville que l’on appelait « Le Castel », à ses débuts.

  8. Place du Plô des chevaliers

  9. Cette rue qui ferme le quartier primitif, nous mène sur les bords du Tarn, en empruntant la dernière porte de la ville qui subsiste encore.

  10. Les hauts remparts de briques roses comme le reste des constructions et les ruines d’un ancien moulin à eau dont l’activité est notée dès le XIIIe siècle. Les remparts démantelés au XIIIe siècle, furent remontés et renforcés durant la guerre de Cent ans aux XIVe et XVe siècles.

  11. Avancées de l’étage supérieur, passages sous habitations, colombages, briques roses parfois cachées sous une couche de crépi, foisonnent dans le vieux quartier…

  12. Le plaisir de flâner dans les petites rues…

  13. Ces vieilles maisons semblent défier le temps!

  14. Derrière cette façade du XIXe siècle se cachent encore d’importantes parties de la construction du XVe… Cet hôtel seigneurial qui dominait les fossés de la ville est, maintenant, propriété privée qui ne se visite pas.

  15. Derrière la grille du hall d’entrée, on peut apercevoir un beau jardin à la française. Une porte massive ferme le tout et l’on admire ici le détail de sa poignée.

  16. Installé dans l’Hôtel de La Fite, demeure aristocratique du XVIIe siècle, le musée rabastinois témoigne de la créativité de ce pays à travers les âges depuis son ouverture en 1986. De 1898 à 1971, ce fut l’école chrétienne Lafite, puis le bâtiment fut cédé à la municipalité en 1974 en vue de la création du musée. On y trouve des collections archéologiques, un très bel assortiment de poteries en terre vernissée de Giroussens (5 Km à l’est de Rabastens), des œuvres d’artistes régionaux et une série de documents et photographies anciennes qui évoquent la vie locale.

  17. L’hôtel de la Fite est situé au début de la rue Amédée Clausade, face à l’église.

  18. Saint Jacques de Compostelle, statue en bois polychrome du XVIe siècle. Ci-dessus, détail d’une mosaïque gallo-romaine et, à droite, le système d’aqueduc de la villa gallo-romaine Laspeyras-Blaunac (IIIe siècle)

  19. Reproduction d’une carte de Rabastens en 1780-1790.

  20. Le musée expose les chefs–d'œuvre du Compagnon charpentier R. Bellegarde.

  21. Dominant le Tarn de ses sept étages, l’ancien hôtel de Castagne du XVIIIe siècle doit son nom au parc qui contenait des châtaigniers. Il abrite, de nos jours, un collège privé.

  22. Construite en briques, elle aussi, par les Bénédictins de Moissac, l’église Notre-Dame du Bourg fut la première de la région de style gothique méridional. Érigée au milieu du XIIe siècle, elle fut détruite pour être rebâtie plus vaste, un siècle plus tard. Elle conserva cependant les colonnes de marbre du portail et leurs remarquables chapiteaux de style roman. Du XIVe siècle, date la construction du chœur bordé de sept chapelles. En 1899, elle fut classée monument historique et en 1999, elle fut inscrite au patrimoine mondial par l’UNESCO, au titre de l’un des soixante-dix édifices principaux jalonnant le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.

  23. Venant du musée, l’approche de l’église…

  24. Reconstruit au XIIIe siècle, le portail retrouva huit chapiteaux romans représentant le cycle de la Nativité, de l’Annonciation au massacre des Saints Innocents. On peut également y trouver la Tentation de Jésus au désert.

  25. Notre-Dame du Bourg fut, dès l’origine, entièrement recouverte intérieurement d’un enduit qui permit la réalisation de peintures murales qui subsistent encore dans toute leur magnificence alors que certaines datent du XIIIe siècle... Cette conservation s’explique par le fait qu’après le pillage par les Protestants durant les guerres de Religion, lorsque les Catholiques récupérèrent l’église, ils la badigeonnèrent à la chaux pour la purifier! Ce n’est qu’en 1856, à l’occasion de travaux de restauration, qu’elles furent redécouvertes.

  26. La voûte du chœur!

  27. Deux exemples de peintures murales…

  28. Dans la nef, les anges sont omniprésents!

  29. Le chœur

  30. L’église Notre-Dame du Bourg est située au centre du vieux Rabastens. D’un côté se trouve le quartier du château déjà présenté, créé le premier, de l’autre s’est développé plus tard, un ajout sur plan de bastide avec des voies généralement perpendiculaires. Cette photo de l’une de ses maisons montre une partie ouverte au dernier étage. Elle servait pour le séchage de la production agricole et on la retrouve un peu partout dans le midi de la France.

  31. Il semble surveiller les immenses promenades auxquelles il fait face… Sur la stèle est gravée, dans un Français fantaisiste, l’explication suivante : « Auger Gaillard fut le dernier troubadour de sa vieille langue romane ou le premier poète de son gracieux patois à la faveur des rois Charles IX, Henri III et Henri IV couronna les travaux de sa muse rustique. » Ch. Nodjur

  32. Cette promenade fut édifiée sur l’emplacement des fossés du XVIIIe au XIXe siècle. Sur cette longue promenade des Lices, se déroule le samedi, un marché important qui attire un grand nombre de personnes.

  33. L’ancien prieuré, qui communiquait avec l’église, abrite maintenant les bureaux de la Mairie après avoir servi de prison jusqu’en 1811. La tour du XVIe siècle permettait l’accès à l’étage du cloître.

  34. La cour de l’Hôtel de Ville.

  35. La Halle fut construite en 1850 à l’emplacement de l’ancienne église Saint-Roch, en utilisant ses pierres. Après avoir servi de marché et de halle aux grains, elle devint salle de spectacle dès le début du XXe siècle. Elle abrite désormais un cinéma.

  36. L’église St-Pierre des Blancs fut érigée au XIXe siècle à l’emplacement d’une chapelle du XVIIe dont elle arbore la porte.

  37. Faisant face à la promenade des Lices, l’hôtel Falguière a été érigé au XVIIe siècle.

  38. A côté du précédent, toujours face à la promenade, cette coquette demeure date du début du XXe siècle.

  39. Alimenté par plusieurs robinets c’est un curieux lavoir rond, le lavoir Soubira , l’un des cinq de Rabastens. Il est construit en pierre de taille fine et a été réalisé au XIXe siècle.

  40. Au hasard des petites routes jalonnant le pays rabastinois, à travers plaines et coteaux, on peut découvrir fermes trapues, pigeonniers et cabanes des champs témoignant de la vie traditionnelle de la campagne avec ses primeurs, ses arbres fruitiers, ses champs de tournesols et ses vignobles. Ce qui frappe aussi c’est le nombre de paroisses qui existaient dans un rayon de 4 à 5 Km. Ces églises, qui ne s’ouvrent que très rarement, sont souvent émouvantes par leur simplicité, avec le petit cimetière qui les entoure…

  41. L’église St-Victor.

  42. En plein champs, l’église St-Waast du XIIe siècle avec un clocher-mur fréquent dans la région!

  43. L’arrière de l’église St-Waast.

  44. L’église St-Pierre de Bracou et son clocher-mur. L’église Ste-Quitterie.

  45. L’église de Guidal. L’église St-Martin de Mours.

  46. La chapelle de Puycheval ne possède pas l’électricité et on y donne parfois des concerts aux chandelles…

  47. Moulin et cabane dans les champs.

  48. Musique : Mike Oldfield - Portsmouth Documentation : Office du Tourisme et divers sites Internet Photos , conception et réalisation : M.-J. Farizy-Chaussé Octobre 2006 – révisé et complété en Juin 2012 marijo855@gmail.com D’autres diaporamas sur : http://famille.morhain.net/lapagedemarijo/

  49. AU REVOIR

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