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UN PROJET POUR LA BASTIDE MONTGOLFIER proposé par le CIQ de Sainte Marthe et la Fédération des CIQ 14 ème arr.

UN PROJET POUR LA BASTIDE MONTGOLFIER proposé par le CIQ de Sainte Marthe et la Fédération des CIQ 14 ème arr. soutenu par la Confédération des CIQ de Marseille. CIQ de Sainte Marthe 2, rue Berthelot 13014 MARSEILLE Tél. : 04 91 10 26 47

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UN PROJET POUR LA BASTIDE MONTGOLFIER proposé par le CIQ de Sainte Marthe et la Fédération des CIQ 14 ème arr.

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Presentation Transcript


  1. UN PROJET POUR LA BASTIDE MONTGOLFIER proposé par le CIQ de Sainte Marthe et la Fédération des CIQ 14ème arr. soutenu par la Confédérationdes CIQ de Marseille CIQ de Sainte Marthe 2, rue Berthelot 13014 MARSEILLE Tél. : 04 91 10 26 47 Courrier électronique : ciq.saintemarthe@free.frSite Internet : http://ciq.saintemarthe.free.fr Version 06/09/2008

  2. INTRODUCTION MARSEILLE – SAINTE MARTHE - LA NATURE ET L’EAU LE CANAL DE MARSEILLE Grâce à lui, en 1849, la ville toute entière a connu de profondes mutations. Frantz Mayor de Montricher, brillant ingénieur en chef des Ponts et Chaussées chargé des travaux, réussissait un audacieux pari considéré comme la réalisation de l’impossible :  «l’eau de la Durance coule dans la ville et le terroir jusqu’à Montredon » Par Sainte Marthe, l’eau arrivait à Marseille, et la ville entrait dans la modernité. (extraits tirés de « les Bastides Marseillaises » de Gilles MIHIERE) HISTOIRE D’EAUX Il y a près de 2000 ans Ste Marthe passait à Marseille pour se rafraîchir à l’eau des collines.  Les nombreuses bastides qui parsèment le paysage marseillais et plus particulièrement les contre-forts de l’Étoile au-dessus de Sainte Marthe ont été construites auprès des sources.  Marcel PAGNOL a parlé de l’eau des collines, de son importance et de sa valeur pour les populations.  Actuellement, dans l’espace méditerranéen, Marseille est le pourvoyeur d’eau, vers les îles, vers l’Espagne, etc.

  3. SITUATION DE LA LA BASTIDE MONTGOLFIERDANS LE VILLAGE DE SAINTE MARTHE

  4. DESCRIPTIF DE LA BASTIDE MONTGOLFIER

  5.  LA BASTIDE MONTGOLFIER

  6. LE PARC ET QUELQUES DETAILS

  7. Le concept • Un espace d’études, d’informations, de documentation et de sensibilisation des publics sur les questions du paysage, de l’eau et de l’environnement en milieu méditerranéen, qui pourra être lié à l’École Nationale Supérieure du Paysage de Marseille en cours de développement. Véritable site culturel et patrimonial à l’échelle de Marseille, lieu de promenades et de visites touristiques qui pourront être organisées avec l’office du tourisme. • Les thématiques : • Un lieu d’animations culturelles tout public, • Un lieu d’études environnementale, • Un lieu d’expérimentation pédagogique. LE PROJET

  8. LE PROJET • Les objectifs : • Favoriser les échanges et la communication par : • La Promotion de l’éducation à l’environnement et de la découverte d’un paysage avec la démonstration in situ de : • La gestion de l’eau, • La préservation de la faune et de la flore, • La découverte de la culture biologique, • La gestion d’une ferme pédagogique. • L’accès à la culture par la mise à disposition d’espaces : • salles d’expositions, • salles de conférences, • salles d’activités.

  9. LE CONTEXTE • La propriété Montgolfier fait partie de la ZAC des Hauts de Sainte Marthe. • 2 520 logements seront construits avec un apport de 10 000 habitants supplémentaires dans le quartier. • La mise en œuvre de ce «morceau de ville» s’appuie également sur une préoccupation environnementale forte. La richesse et la fragilité de ce territoire ont incité la Mairie à développer une stratégie d’aménagement très dépendante de toutes les réalités du site. ( cf. les documents officiels de la ZAC)

  10. LE CONTEXTE Le Parc Montgolfier constitue une réserve verte pourvue d’un patrimoine végétal considérable, dont le boisement est classé, avec de nombreux platanes centenaires, des pins et des prunus, cyprès chauves enfin, divers arbres fruitiers. (Source: ZAC-Mairie de Marseille –documents officiels) Un document de prescriptions sur les qualités des constructions et des aménagements, précise le niveau d’exigence environnementale requis par la Charte qualité environnementale spécifique au territoire de Sainte Marthe. Elle constitue l’application concrète de la « Charte qualité Marseille », approuvée par le Conseil municipal de la ville de Marseille, lors de la séance du 1er octobre 2007 et intégrée au cahier des charges de cession des terrains, imposé aux différents constructeurs de la ZAC des Hauts de Sainte Marthe. Consultable sur le site Internet du CIQ de Sainte Marthe : http://ciq.saintemarthe.free.fr)

  11. LE CONTEXTE La Charte qualité environnementale des Hauts de Sainte-Marthe, en fait le premier « éco-quartier » de la cité phocéenne. Elle constitue une base sur laquelle pourront s’appuyer les référentiels à venir, enrichis par l’observation des réalisations mises en œuvre. A partir de cette expérience et sur la base des niveaux d’exigence définis dans le Référentiel, une certification « Qualité Marseille » sera créée avec l’appui d’un organisme certificateur indépendant. Elle permettra de garantir la bonne application des critères du référentiel tout au long du processus de réalisation, de la phase de conception jusqu’à la fin du chantier.

  12. LE CONTEXTE La collectivité se devant d’être exemplaire, les bâtiments publics devront être les premiers à atteindre ces objectifs. Source: Le Cahier de prescriptions environnementales - Mairie de Marseille à l’adresse : http://ciq.saintemarthe.free.fr La propriété Montgolfier dans sa totalité (parc et bâtiment) fait partie de la ZAC, elle est aussi inscrite sur la liste complémentaire des monuments historiques. Elle est donc sous la protection de l’Architecte des bâtiments de France. Dans les plans formels de la ZAC aucun nouveau bâtimentn’est prévu sur le site de la propriété Montgolfier.

  13. LE CONTEXTE Le tableau ci-dessus permet de constater que le 14ème arrondissement de Marseille est démuni en espaces verts et l’arrivée de 10.000 habitants des Hauts de Sainte Marthe impose la préservation de la propriété Mongolfier comme cela a été défini dans le cadre de la ZAC.

  14. LE CONTEXTE Les 40 dernières années ont vu émerger des politiques de préservation de l’environnement et d’amélioration du cadre de vie, sous l’effet conjugué du développement de la «civilisation des loisirs» et d’une société civile de plus en plus sensible aux enjeux environnementaux. Les espaces verts font aujourd’hui partie intégrante du patrimoine au même titre que les monuments historiques. 7 Français sur 10 choisissent aujourd’hui leur lieu de vie en fonction de la présence d’espaces verts à proximité de leur habitation. Près d’un sur trois estime que les budgets consacrés par les élus aux espaces verts sont insuffisants et plus d’un sur deux réclame que soit instaurée l’obligation d’un pourcentage minimum d’espaces verts dans les projets immobiliers et commerciaux. Cf. Enquête UNEP-IPSOS "Les espaces verts de demain, usages et attentes des Français", janvier 2008

  15. PRISE EN CHARGE DES REALISATIONS Le coût des travaux de réhabilitation et d’aménagement de la bastide doit être imputé à la promotion immobilière,comme cela est prévu dans le cadre d’une ZAC.

  16. LES PUBLICS CONCERNES Au niveau des publics il faut distinguer les différents volets de l’Équipement à créer : Le parc La bastide Même si les deux volets sont interdépendants et complémentaires, chaque catégorie de public aura un usage différencié de l’un, de l’autre ou des deux. Les enfants et les jeunes, dans le cadre de l’A. L. S. H. (centres aérés, les mercredis, vacances scolaires et tiers temps pédagogique des enseignants) Les offres en A.L.S.H. et en tiers temps sont largement insuffisantes sur le site, et le seront encore plus avec l’arrivée de nouveaux habitants de la Z.A.C.

  17. LES PUBLICS CONCERNES Les familles, les groupes, accueillis à l’occasion d’animations organisées et encadrées par des personnes qualifiées et responsables, par le relai des autres structures d’accueil tels que : C.A.Q., entraide, etc. Les étudiants et enseignants, dans le cadre de colloques, visites, séminaires, journées d’études dans un cadre régional, national ou euro-méditerranéen. Les associations à vocation environnementale ou culturelle. Les CIQ du 14ème, la Fédération et la Confédération

  18. LA GESTION DE L’EQUIPEMENT Une gestion déléguée par la Ville de Marseille à une association Loi 1901, après un appel d’offre en direction d’organisations axées sur l’environnement et l’animation culturelle ou toute structure adéquate à étudier avec les partenaires.

  19. LES PARTENARIATS Ce projet sera soutenu par l’Europe, le Conseil Régional, le Conseil Général, la Ville de Marseille. D’envergure régionale et locale, cet équipement pourrait, par son fonctionnement, drainer des financements croisés : des aides complémentaires sollicitées auprès des fondations telle que :  Fondation pour le développement durable,  Fondation Nicolas Hulot, etc. Il devrait faire l’objet d’une prise en compte dans le cadre de la candidature de Marseille comme capitale européenne de la culture en 2013, significative d’une approche culturelledynamique et prospective de la requalification de la banlieue Nord adossée à son histoire et à son potentiel environnemental.

  20. LES PARTENARIATS Un partenariat privilégié est à rechercher auprès de la Société des eaux de Marseille (SEM), gestionnaire du canal, leader en matière de recherche en environnement et mitoyenne sur le site de Montgolfier. La participation du public et des usagers à certaines animations viendra en complément de ces financements notamment au niveau de l’organisation de manifestations culturelles méditerranéennes sur le paysage, l’eau et l’environnement. (locations de salles, prestations diverses). En ce qui concerne l’investissement relatif à la réhabilitation de la Bastide, les aides des collectivités territoriales pourraient être sollicités, et des associations pourraient intervenir.

  21. CONCLUSION Le projet pour la Bastide Montgolfier est indissociable du projet global incluant :  la bastide  la ferme pédagogique La gestion de l’ensemble ne peut à notre sens, qu’être une gestion concertée entre ces structures :  l’association qui aura en charge la gestion de la bastide  les fermiers assurant la gestion de la ferme pédagogique Les deux gestionnaires devront travailler en partenariat, tout en assurant :  la préservation et la conservation,  l’entretien  le gardiennage du parc.

  22. CONCLUSION L’objectif du projet est de favoriser les échanges et la communication entre les populations des différents quartiers par le développement d’activités culturelles, d’entraide et celles favorisant le respect et préservation de l’environnement. Le parc sera ouvert au public avec un encadrement efficace. Enfin, pour conserver l’homogénéité de ces espaces, et les intégrer de façon harmonieuse dans l’embellissement général du quartier, les projets techniques divers (la U 240, la piste cyclable, les bassins de rétention) devront faire l’objet d’un réexamen pour les rendre compatibles avec le caractère patrimonial du site. (La bastide est inscrite sur le registre des monuments historiques et son parc est dans son périmètre de protection avec ses bois classés.)

  23. CONCLUSION Cet équipement ouvert à tous, doit permettre aux bénévoles et professionnels de développer des projets d'animation pour répondre aux besoins des familles et des différentes populations, issues de tout milieu, de tout âge, du tout-petit au senior. L’opportunité de ce type de réalisation permettra l’élaboration et la réalisationde projets d'animation du territoire en impliquant les habitants, en lien avec les autres acteurs sociaux, éducatifs et culturels.

  24. CONCLUSION

  25. DIFFUSION La Ville de Marseille : secrétariat Général, Culture, urbanisme, espaces verts,… · La Mission pour Marseille 2013, capitale européenne de la culture (B. Latarget) ·  La Société des Eaux de Marseille ·   La Communauté urbaine Marseille Provence Métropole ·  Les Services de l’État : DRAC, DIREN, SGAR, SDAP ·   La Région Provence – Alpes – Côte d’azur ·  Le Département des Bouches du Rhône.

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