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La très petite entreprise

La très petite entreprise. Le 13 Mars 2007 Lycée des Iris à Lormont. Jean-Marc Ewald. Le plan proposé. La TPE des essais de définitions La TPE en Aquitaine La création et vie de la TPE Le financement de la TPE. Pour la communauté européenne.

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Presentation Transcript


  1. La très petite entreprise Le 13 Mars 2007 Lycée des Iris à Lormont Jean-Marc Ewald

  2. Le plan proposé • La TPE des essais de définitions • La TPE en Aquitaine • La création et vie de la TPE • Le financement de la TPE

  3. Pour la communauté européenne • On entend par TPE, une entreprise de 0 à 9 salariés • 99% des entreprises crées en France sont des TPE • Elles sont à l’origine de 35% des nouveaux emplois • 93% des 20,5 millions de PME européennes sont des microentreprises

  4. Distinction des activités

  5. Tirés de la matrice de Care

  6. L’entreprise individuelle • Une grande liberté d'action : l'entrepreneur est le seul maîtreà bord • L'entrepreneur est responsable des dettes de l’entreprise sur l’ensemble de ses biens • Les bénéfices de l'entreprise seront portés dans la déclaration des revenus de l'entrepreneur • Les formalités de création de l'entreprise sont réduites au minimum

  7. La société • L’entreprise dispose de son propre patrimoine • S’agissant d’une «nouvelle personne», la société a un nom • la société peut être imposée personnellement au titre de l’impôt • La création de la société donne lieu à des formalités complémentaires

  8. Le choix de la forme juridique • La nature de l’activité • La volonté de s’associer • L’organisation patrimoniale • Les besoins financiers • La crédibilité vis-à-vis des partenaires

  9. Dans un contexte économique global

  10. Les entreprises dans les régions

  11. L’Aquitaine

  12. Données démographiques 3045 000 hab

  13. La taille des entreprises 158468 au 31/12/2005 43

  14. Les activités 158468 au 31/12/2005

  15. La géographie 158468 au 31/12/2005

  16. La création de la TPE

  17. La création par région

  18. Une création en perte de vitesse Création+reprise

  19. Plus importante qu’ailleurs

  20. Dynamisme différencié

  21. Des entreprises qui commencent petit…

  22. Spécialement en Aquitaine

  23. Le niveau de réussite Le taux de pérennité des entreprises reste quasi-similaire depuis plusieurs années pour la création d'entreprise individuelle: • 76% des entreprises survivent au delà d'un an • 64% passent le cap des deux ans • 54 % passe le cap des trois ans • 34% survivent au delà des 5 ans

  24. Les difficultés ?

  25. Les difficultés ?

  26. Et la création d’emplois ? 4 fois plus de salariés qu’au démarrage dans les entreprises qui ont plus de 5ans

  27. Et la création d’emplois ?

  28. Qui sont les créateurs de TPE ?

  29. Qui sont les créateurs de TPE aquitaine

  30. Le financement de la TPE

  31. L’insuffisance des financements bancaires traditionnels • des coûts de traitement et/ou opérationnels élevéspour les établissements de crédit, • une absence de garantie chez les micro-entrepreneurs, • une perception, au sein du secteur bancaire, d’un risque élevé associé au financement de la TPE, en partie liée aux statistiques concernant le taux élevé de disparition des entreprises nouvellement créées. La Banque de France (2006) a à cet égard montré, sur la période allant du quatrième trimestre 1981 au premier trimestre 2006, que près de la moitié des entreprises défaillantes avaient moins de quatre ans d’existence.

  32. Les actions publiques en faveur de la TPE • des exonérations fiscales et sociales (création de zones franches, par exemple) • un financement de conseils à la création (chéquiers conseils Accre et Eden délivrés par la direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle…) • des dispositifs de garantie (Sofaris, Prêt à la création d’entreprises…) • des mises à disposition de ressources financières directes ou indirectes (Pce, Eden), visant à mobiliser des financements bancaires.

  33. Les politiques publiques

  34. Des facteurs positifs • Des créateurs qui recourent plus facilement à l’emprunt qu’il y a 10 ans grâce au dispositif EDEN, aux Plateforme de prêt d’honneur, et au PCE d’OSEO (exBDPME) • 30% des entreprises démarrent avec une exonération des cotisations sociales du chef d’entreprise (23% en 1998) • 26% des créateurs bénéficient d’aides publiques pour démarrer et 45% sont des chômeurs

  35. Les apports de la microfinance • La microfinance désigne, dans une conception très générale, l’offre de services bancaires et financiers, de faibles montants et sur un horizon court à destination de personnes pauvres qui en sont totalement ou partiellement privées afin que celles-ci puissent créer leur propre activité. • Quatre objectifs fondamentaux seront traditionnellement recherchés par les programmes de microfinance (Boyé, Hajdenberg et Poursat (2006): • réduire la pauvreté, • encourager la création d’entreprises, • soutenir la croissance et la diversification d’entreprises, • renforcer la position sociale de la femme ou de groupes de population défavorisés.

  36. Les ambitions de la microfinance dans les pays industrialisés • un regard différent porté sur la pauvreté et/ou de l’exclusion sociale, considérant que celles-ci ne sont notamment pas synonymes pour ceux qui en sont victimes, d’incapacité à rembourser un emprunt et peuvent être économiquement rentables • une offre de services, dont le microcrédit (prêt solidaire et prêt d’honneur), adaptée au besoin de cette partie de la population : prêts de faible montant, parfois progressifs et de courte durée. • des modalités d’accès à ces services basées sur des procédures simples et rapides.

  37. Les actions des institutions européennes en faveur de la microfinance « le microcrédit est le type d’instruments que nous recherchons en Europe pour promouvoir la croissance, l’emploi et l’innovation tout en renforçant la cohésion sociale. Je crois de la même façon que nous avons absolument besoin d’une stratégie pour exploiter tout le potentiel du micro-crédit en Europe ». Danuta Hübner, commissaire européen aux politiques régionales, Conférence Eurofi sur les services financiers de détail, 7 juin 2006. • Un soutien institutionnel fort • La mise en place d’un volet garantie de prêt en collaboration avec la Banque européenne d’Investissement • une perception, au sein du secteur bancaire, d’un risque élevé associé au financement de la TPE, en partie liée aux statistiques concernant le taux élevé de disparition des entreprises nouvellement créées. La Banque de France (2006) a à cet égard montré, sur la période allant du quatrième trimestre 1981 au premier trimestre 2006, que près de la moitié des entreprises défaillantes avaient moins de quatre ans d’existence.

  38. Les adresses

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