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Le secteur secondaire (manufacturier et construction) c’est :

LES RÉALITÉS. Le secteur secondaire (manufacturier et construction) c’est : • 11,9 % des emplois dans la RMR de Québec; • 19,5 % à Lévis; • 22,0 % dans l'ensemble du Québec; • 27,8 % en Chaudière-Appalaches.

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  1. LES RÉALITÉS Le secteur secondaire (manufacturier et construction) c’est : • 11,9 % des emplois dans la RMR de Québec; • 19,5 % à Lévis; • 22,0 % dans l'ensemble du Québec; • 27,8 % en Chaudière-Appalaches. Lévis regroupe ± 460 entreprises manufacturières qui génèrent plus de 7 000 emplois (11,7 % des emplois totaux).

  2. LES RÉALITÉS (suite) Les secteurs manufacturiers prédominants à Lévis sont: • Transformation des aliments; • Fabrication de matériel de transport; • Transformation du bois et fabrication de meubles. 17 parcs et zones industriels dont les trois plus importants sont Bernières, Techno-industriel de St-Romuald, Lauzon.

  3. LES RÉALITÉS (suite) 34 % des entreprises manufacturières de Lévis exportent comparativement à 35 % dans Chaudière-Appalaches et 40 % au Québec. Les entreprises manufacturières de Chaudière-Appalaches et du Québec en général accusent un retard en matière d’innovation technologique.

  4. LES FORCES Le nombre et la diversité des PME et la présence de grandes entreprises manufacturières à succès. L'accessibilité du territoire et de ses parcs industriels. La présence d’institutions d'enseignement renommées, de centres de recherche et de centres de transfert technologique. La proximité et l'accessibilité des moyens de transport (chemins de fer, port de Québec, aéroport Jean-Lesage).

  5. LES FORCES (suite) La qualité de vie du milieu et le faible coût de la vie. La présence d’organismes et de mesures voués au développement de la nouvelle économie, particulièrement les biotechnologies (Ag-Bio Centre, Transbiotech, CNE, CDB). La présence de ressources de soutien technique et financier et de divers fonds de capitaux de risque (CLD, CLE, SOLIDE, CRI, Chaudière-Appalaches Export, etc.)

  6. LES FAIBLESSES • Le manque de terrains viabilisés et de locaux à louer dans les parcs industriels. • L’absence d’espace voué spécifiquement aux entreprises technologiques. • L’aménagement, l’identification et la signalisation des parcs industriels. • La difficulté de recruter de la main d’œuvre, surtout pour les postes de journaliers.

  7. LES FAIBLESSE (suite) Les services de transport en commun desservant les parcs industriels. Le peu de promotion visant à attirer des investissements. La méconnaissance des entreprises manufacturières existantes. L’absence d’organisme local ou régional regroupant les entreprises manufacturières.

  8. LES OCCASIONS À SAISIR Le potentiel de développement des agrobiotechnologies. Les ententes ACCORD de la SGF. La possibilité de créer un centre de transbordement de marchandises. Le potentiel de développement industriel et portuaire. La solidarité politique émergente en Chaudière-Appalaches.

  9. LES DIFFICULTÉS À APPRIVOISER L’interventionnisme inéquitable de l’État générant une concurrence déloyale. Les contraintes administratives et réglementaires auxquelles sont confrontées les entreprises. Le retard technologique des entreprises manufacturières.

  10. LES DIFFICULTÉS À APPRIVOISER (suite) L’espace bénéficiant de l’accréditation CDB trop restreinte. La non-réceptivité de la population au développement manufacturier. La non-adhésion de la ville de Lévis à la CODEM.

  11. L’ÉNONCÉ DE VISION Faire de Lévis une ville accueillante facilitant l’implantation et l’expansion d’entreprises manufacturières dynamiques et compétitives, soucieuses du développement durable et impliquées dans leur milieu.

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