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PETITES HISTOIRES DE PÂQUES

PETITES HISTOIRES DE PÂQUES. - II -. Diaporama de Jacky Questel. PANIQUE AU CIEL.

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PETITES HISTOIRES DE PÂQUES

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  1. PETITES HISTOIRES DE PÂQUES - II - Diaporama de Jacky Questel

  2. PANIQUE AU CIEL Est-ce en l’honneur de la fête de Pâques, que ces anges carillonnent ainsi ? Et l’on entend, en écho, d’autres cloches au loin qui répondent. Non, ce n’est pas pour Pâques, ce n’est pas pour fêter le printemps. D’ailleurs, il y a toutes les saisons à la fois, au ciel !!! Mais les anges responsables des agneaux en ont égaré un, le plus doux, le plus frisé, le plus câlin, celui qui venait toujours se faire caresser… Peut-être que le son des cloches le ramènera ?

  3. Tout à coup, l’un des anges remarque : « Et Violaine ? Où est Violaine ? Si nous la retrouvons, nous retrouverons sans doute aussi notre agneau ! » Violaine est la plus jeune de la bande, et la plus indépendante. On ne parle pas de désobéissance, il n’y a pas de désobéissance, au ciel ! Mais enfin… Alors, on cherche Violaine. Et, dans le pré le plus fleuri, là où l’herbe est encore plus délicieuse qu’ailleurs, on retrouve Violaine… et l’agneau… Sonnez, cloches ! Mais pour l’Alléluia, cette fois ! FIN

  4. LES ÉMOTIONS DE COCODEC Cocodec n’en revient pas ! Au milieu de ses petits poussins chéris, et à moitié enfouie parmi les premières pâquerettes, elle découvre un œuf… Mais un œuf ! Voyons ! Elle a beau être une poule formidable, elle n’a jamais pu pondre un œuf presque aussi gros qu’elle ! D’ailleurs, il y ses œufs à côté, et ils sont nettement plus petits ! Mais pourquoi, mais comment ont-ils ces drôles de couleurs ? Que se passe-t-il ?

  5. Elle ne sait plus quoi penser, notre Cocodec ! Et à qui, je vous le demande, à qui demander un avis ? Elle en est là de ses pensées lorsqu’elle entend un petit bruit discret, comme un rire… Elle tourne la tête et aperçoit le regard moqueur de ses amis les lapins de la ferme. « Joyeuses Pâques, Cocodec ! » s’écrie Jeanneot. Ah ! Les coquins ! Ah ! Les fripons ! Et elle qui avait oublié Pâques ! Mais elle rit de bon cœur de la farce. « Joyeuses Pâques, mes amis ! » FIN

  6. L'OEUF RÉCALCITRANT « Attends ! avait dit Gaétan à Prosper, d’un air plein de suffisance. Tu es trop léger pour te mettre devant ! Il faut quelqu’un de poids, quelqu’un de musclé comme moi ! Tu vas voir ! » Eh bien oui, on a vu ! Gaétan avait bien réussi, péniblement, à baisser les brancards pour s’y installer, mais, sitôt la pression relâchée, il s’est envolé, et pédalait en l’air pitoyablement.

  7. C’est alors qu’ils aperçurent Amédée passer, fumant sa pipe, et poussant tranquillement sa brouette emplie d’œufs multicolores. Nos deux compères se regardèrent, avec visiblement la même idée. « Eh ! Amédée ! Tu ne pourrais pas venir à notre secours avec ta brouette, lorsque tu auras livré tes œufs ? Nous te donnerons une grosse botte de carottes juteuses ! Prête-nous ta merveille ! » Marché conclu. Nos deux lapins n’eurent aucun mal à se glisser dans le jardin voisin pour y chaparder quelques carottes. C’était plus facile que de porter cet œuf ! Et Amédée était tout fier d’avoir ces gourmandises qui ne lui coûtaient rien ! Tout est bien qui finit bien. FIN

  8. « Ah ! Flûte ! a dit Maman. Je n’ai plus d’œufs pour faire l’omelette de Pâques traditionnelle ! » • Lucas, voulant aider sa maman, prend le panier à œufs et se dirige vers le poulailler. Surprise ! Pas d’œufs dans les nids, désertés par ces dames caquetantes. Celles-ci, perchées sur la barrière, ne semblent guère se soucier de pondre ! • « Mais que faites-vous ? leur crie Lucas. Maman a besoin de vos œufs, et vous êtes là à caqueter et vous amuser ! Je vous prie ! Si vous les avez cachés quelque part, dites-le moi ! » LUCAS AU POULAILLER

  9. Pas d’erreur : ce sont des rires qui résonnent dans les caquètements qui lui répondent ! Et d’autres rires et caquètements résonnent dans son dos. Il se retourne pour voir toute la basse-cour qui le regarde avec, semble-t-il, une lueur réellement moqueuse dans le regard… Le pauvre Lucas n’y comprend plus rien ! « Alors, Lucas, tu as oublié quel jour nous sommes ? lui dit Maman derrière son dos. Tu as pourtant ramassé les œufs de Pâques ce matin ! Aujourd’hui, les oeufs sont l’affaire des cloches et des lapins ! Viens vite ! La voisine m’a prêté des œufs, et l’omelette est prête ! » FIN

  10. « Archibald, a dit Maman, je te confie Victor. Il est temps qu’il participe aux préparatifs de Pâques. Il a promis d’être sage et obéissant. » Archibald étouffe un soupir. Il connaît bien Victor ! Et de fait, celui-ci ne fait que sottises sur sottises ! Renverser les peintures, mélanger les commandes, casser les œufs déjà décorés… « Victor ! gronde Archibal. Si tu continues, tu n’auras pas droit à la distribution finale ! » Mais Victor se dit que, de toute façon, on n’a jamais vu un lapin de Pâques puni ainsi, et se croit assuré de toute impunité. VICTOR ET LES OEUFS DE PÂQUES

  11. Enfin, tout est fini. Archibald part pour la dernière livraison. Mais son chariot est bien lourd ! Est-ce la fatigue ? Il se retourne et n’en croit pas ses yeux ! Victor est tranquillement assis sur le chariot, au risque de faire basculer la précieuse cargaison, et semble le narguer. « Sors de là ! À la maison ! Tu ne participeras pas à la distribution finale tu peux en être sûr ! Et je vais dire à ta mère de t’envoyer au lit sans souper ! » Le pauvre Victor est bien puni. Il finira tristement la journée qu’il avait trouvée si gaie à faire râler tout le monde… FIN

  12. Robert se couche le cœur gros. Demain c’est Pâques, et il va rendre visite à Alice, qui est malade. Mais il a dû aider sa maman tout l’après-midi, et n’a pas pu s’échapper une minute pour lui acheter de beaux œufs de toutes les couleurs. Mais Angélique a vu ses larmes. De bonne heure le matin de Pâques, elle descend au poulailler, et, parmi les poussins frais éclos, dépose de gros œufs décorés. Et, après avoir donné une ration supplémentaire aux poussins, elle se retire d’un coup d’ailes, un sourire malicieux aux lèvres. Au matin, Maman, encore fatiguée, demande à Robert d’ailler cueillir les œufs pour faire l’omelette de Pâques. JOYEUSES PÂQUES

  13. Vous imaginez la surprise et la joie de Robert ! Il ramène à sa mère les œufs demandés, et lui montre sa trouvaille. Celle-ci se réjouit de la joie de son petit, car elle savait bien l’importance que cela avait pour lui, elle avait tant hésité à lui demander de l’aide la veille ! Et dès le début de l’après-midi, Robert se fait beau. Maman lui permet de ramasser un bouquet de fleurs au jardin. Vous imaginez sa joie ! Il s’assure que sa maman n’a plus besoin de rien pour un moment, et, portant avec précaution les fameux œufs, il part d’un pas léger retrouver Alice. Il rit tout seul en route : quel bon moment ils vont passer !!! FIN

  14. JOUR DE PÂQUES Depuis une semaine, Aurélie attend ce jour de Pâques avec fébrilité. Maman a invité André, le petit cousin de son âge, et elle a fait des tas de projets ! Que de plaisirs en perspective ! Hélas ! à la sortie de la messe, une pluie diluvienne, des bourrasques de vent… Heureusement, Maman leur avait dit de prendre un parapluie, mais ils sont arrivés trempés à la maison, et Maman a dû les changer de pied en cap. Pourtant, alors qu’ils dégus-taient l’omelette de Pâques, la pluie a cessé, et un beau soleil printanier a séché les larmes des feuilles et des herbes. Pourvu que ce beau temps dure tout l’après-midi !

  15. Maman leur avait préparé un excellent repas, avec les plats qu’ils aimaient le mieux, mais eux étaient pressés de sortir et d’aller jouer ! Ah ! les belles parties qu’ils ont faites dans le pré ensoleillé ! Chacun à son tour poussait ou traînait l’autre… Et les rires fusaient gaiement ! « Tu sais, dit André, Tatie nous a préparé un si bon repas, et nous lui avons à peine dit merci ! Alors, ramassons-lui un beau bouquet. Toutes ces fleurs de printemps sont si belles ! » Ainsi firent-ils. Maman fut très émue de cette attention, et les embrassa chaleureusement. La journée se termina donc bien mieux qu’elle n’avait commencé ! FIN

  16. Ces cartes postales anciennes m’ont été offertes par Françoise Mastin, que je remercie de tout cœur. Texte : Jacky Musique : Musique champêtre (Florian Bernard au synthé) Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/

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