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La Communication Orale de 2005 à aujourd’hui

La Communication Orale de 2005 à aujourd’hui. La difficile mise en œuvre Le 24 octobre 2011. Jack McMaster Président , Northern Ontario Education Leaders Directeur , Keewatin-Patricia DSB. Pourquoi le langage oral ?.

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La Communication Orale de 2005 à aujourd’hui

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Presentation Transcript


  1. La Communication Oralede 2005 à aujourd’hui La difficilemise en œuvre Le 24 octobre 2011 Jack McMaster Président, Northern Ontario Education Leaders Directeur, Keewatin-Patricia DSB

  2. Pourquoi le langage oral ? • De nombreux étudiants commencent l’école avec un faible niveau de langage oral. • Parce que le langage oral est le fondement de la lecture et de l’écriture, il est donc primordial que le personnel enseignant lui porte une attention particulière et ajuste l’approche pédagogique pour rehausser le niveau de tous les élèves.

  3. Le langage oral : chaînon manquant de la réussite en lecture

  4. Le Projetd’auto-identification (PAI) Les buts du PAI sont de : • Comprendre comment les élèves autochtones diffèrent des élèves non autochtones en ce qui a trait à leur disposition à acquérir les habiletés langagières nécessaires à la maîtrise de la lecture et de l’écriture. • Développer des méthodes de collecte de données pertinentes à l’orientation de l’enseignement et à l’évaluation des programmes dans le but d’améliorer la communication orale et de combler l’écart pour les élèves autochtones et autres élèves « à risque » de la maternelle et du jardin d’enfants.

  5. Le Projetd’auto-identification (PAI) • Développer et évaluer un programme pédagogique efficace pour améliorer l’enseignement du langage oral en maternelle et au jardin d’enfants, en particulier pour les élèves autochtones et autres élèves « à risque ». • Fournir des renseignements et des protocoles de pertinence par rapport aux politiques pour l’auto-identification volontaire dans le contexte des écoles d’Ontario.

  6. Résultats d’évaluation du langage oral du PAI À la fin de 2008-2009 : • une proportion importante d’élèves avec de faibles compétences linguistiques • en particulier chez les élèves autochtones Juin 2009 Pourcentage de réponses exactes Bonnes réponses (%) Note globale Bonnes réponses (%) Pourcentage de réponses exactes Note globale Autochtone Non autochtone

  7. Résultats d’évaluation du langage oral du PAI Septembre 2008 À la fin de 2008-2009, la réduction de l’écart entre filles et garçons est nette. Pourcentage de réponses exactes Note globale Juin 2009 Pourcentage de réponses exactes Note globale

  8. Au-delà du plafond dans l’amélioration du rendement • Une approche globale est nécessaire pour aller au-delà du plafond dans le rendement. • Un nouveau type de leadership pédagogique est requis. • Il faut commencer dès les premières années afin de combler l’écart pour les moins performants.

  9. Le lien entre le PAI et l’OQRE LangageFaibleniveauFaible oral faible de littératieprogrès

  10. Le défi de la mise en œuvre • La perspective de la direction • L’intermédiaire de NOEL (8 autres conseils) • Le renforcement des capacités à l’interne • La démarche pour assurer la mise en œuvre • L’examen de la mise en œuvre en mai-juin 2009 • Le changement de modèle et les discussions entre collègues

  11. Amélioration de l’enseignement en salle de classe • Est-ce que les enseignantes et enseignants utilisent quotidiennement les données pour mieux orienter leurs efforts ? • Est-ce que les bonnes stratégies pédagogiques sont mises en œuvre de façon efficace ? • Est-ce que de petits groupes d’enseignantes et d’enseignants sont utilisés pour mieux cibler l’enseignement ?

  12. Intervention et aide particulière • Y a-t-il un programme d’intervention efficace pour aider les élèves les plus faibles ? • Quelle est cette assistance spéciale et l’utilise-t-on adéquatement ? • Comment personnalisons-nous l’enseignement pour satisfaire aux besoins de tous les élèves ? • Le personnel enseignant ne peut pas réduire l’écart entre les élèves quand les élèves reçoivent tous le même type ou la même durée d’enseignement.

  13. Le savons-nous vraiment ? • La direction et le personnel enseignant sont-ils à l’aise avec ce que nous leur proposons (petit groupes d’enseignantes et d’enseignants dans des interventions ciblées) ?

  14. Les dimensions de l’efficacitéRobinson, 2007

  15. Distribution des résultats totaux de l’ÉLO : 2007-2008 Pourcentage Septembre2007 Juin2008 Note globale

  16. Distribution des résultats totaux de l’ÉLO Septembre 2007 Autochtone Non autochtone Pourcentage Note globale Juin 2008 Autochtone Non autochtone Pourcentage Note globale

  17. Et la suite ? Amener plus loin l’évolution de notre enseignement du langage oral à l’élémentaire, mais aussi aux autres paliers. Accroître les capacités à l’intérieur du Keewatin Patricia DSB pour rendre les améliorations plus importantes et durables. Accroître les capacités latéralement pour permettre à la compréhension et aux pratiques développées d’être appliquées à travers la province.

  18. Comment ferons-nous ? • Depuis deux ans nous avons changé le modèle pour accroître les capacités à l’intérieur des conseils et des écoles • Niveau 1 —À l’échelle de l’école • Niveau 2 —À l’échelle du district • Niveau 3 —À l’échelle du projet • Niveau 4 —Avec la chercheuse ou le chercheur • Modèle de l’école-témoin • Cette année, au conseil scolaire KPDSB, nous avons un test (SAT) en littératie ciblant les écoles-témoins, de la maternelle à la 3e année.

  19. Stratégies : • Susciter la discussion • Ce qui comprend : lancer la discussion, enregistrer les commentaires, retourner aux commentaires • La lecture aux élèves • Lecture guidée

  20. Les quatre priorités des leçons • Exprimer des pensées et des opinions • Écouter et réagir • Défendre une opinion • Remettre en question et clarifier • La plus grande difficulté d’enseigner avec un objectif précis est de maintenir le cap et de ne pas prendre toute la place.

  21. Questions ouvertes • Tel que mentionné plus tôt par Carmel, ce que l’enseignante ou l’enseignant dit est d’une extrême importance. • En tant que projet, nous avons formulé des questions ouvertes que nous utilisons au sein de notre petit groupe.

  22. La lecture

  23. Intégrationculturelle

  24. Intégrationculturelle

  25. Modèle de l’école-témoin • Quatre jours dans une école à travailler côte-à-côte avec l’enseignante ou l’enseignant • La direction participe activement à ce modèle • SAT littératie se rencontre chaque après-midi pour planifier les leçons suivantes • SAT littératie et l’enseignante ou l’enseignant se rencontrent pour partager leurs observations l’un de l’autre (rétroaction constructive)

  26. Modèle de l’école-témoin • Les deux discutent des besoins des élèves de la classe en examinant les données, autant au niveau de l’Évaluation du langage oral qu’au niveau textuel (PM Benchmarks) • Ensemble ils fixent un but pour répondre aux besoins de la classe • SAT littératie planifie une visite de suivi pour aider le personnel à poursuivre son apprentissage

  27. Modèle de l’école-témoin Voici quelques sujets que Carmel et Jeannie ont abordé avec le personnel enseignant • Blocs de littératie • Planification ciblée des leçons • Emmailler le langage oral dans le bloc de littératie

  28. L’an dernier • Nous avons suivi notre premier groupe de la maternelle jusqu’en 3e année pour être témoins de l’impact sur les tests de l’OQRE. • Nous sommes conscients qu’il y a des limites dûes à la question de la mise en œuvre — il y aura des variations d’un conseil à l’autre et d’une école à l’autre. • Cette année, notre Conseil poursuivra les visites aux écoles-témoins dans l’espoir d’accroître les capacités dans toutes les écoles. • Nous avons appuyé des efforts d’accroissement des capacités à l’extérieur des conseils de NOEL : TrilliumLakelands, AEI, Riverside School (Australie).

  29. Gains et pertes à l’OQRE l’année précédente

  30. Impact sur les écoles-témoins

  31. Mon évaluation du projet • J’ai énormément appris sur l’influence du langage oral dans le développement de la littératie. • Les Conseils qui ont pris à cœur ce projet ont beaucoup appris aussi : En identifiant une ressource centrale pour faciliter le projet, en encourageant l’implication de la direction, en développant réellement l’école-témoin, en maintenant leur appui malgré tout, en accordant du temps au personnel pour sa croissance personnelle et en accordant du temps pour les visites d’écoles.

  32. Les connaissances et la détermination amenées par Carmel ont motivé et créé de nouvelles capacités auprès de notre personnel qui ne se seraient pas manifestées sans elle. • Nous sommes extrêmement reconnaissants au ministère de l’Éducation pour son appui et à Carmel et Peter Hill pour leur patience, savoir et leadership pendant les cinq dernières années.

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