1 / 31

Sophie ANDREVIE DDASS du Lot

Retour sur les inspections des établissements de santé en Midi-Pyrénées. Sophie ANDREVIE DDASS du Lot. 1 - Le questionnaire national de 2003 2 - Le contexte régional des inspections 3 - Les principales conclusions : Actions des établissements de santé Axes d’amélioration.

guri
Download Presentation

Sophie ANDREVIE DDASS du Lot

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Retour sur les inspections des établissements de santé en Midi-Pyrénées Sophie ANDREVIE DDASS du Lot

  2. 1 - Le questionnaire national de 20032 - Le contexte régional des inspections3 - Les principales conclusions : Actions des établissements de santé Axes d’amélioration

  3. 1 - Le questionnaire national de 2003 Circulaire DGS/SD7A/DHOS/E4 n° 03/296 du 24 juin 2003 relative à l'enquête visant à évaluer l'application par les établissements de santé des mesures préconisées par la circulaire du 22 avril 2002

  4. 1 - Le questionnaire national Objectifs ·Évaluer la mise en œuvre de mesures de prévention du risque ·Caractériser les actions de surveillance et de maintenance des installations à risque ·Caractériser les actions prévues en cas de contamination par les légionelles ·Identifier les mesures engagées dans les services accueillant des patients à “ haut risque ” ·Compléter ou reformuler les recommandations des circulaires existantes

  5. 1 - Le questionnaire national Taux de réponse 2400 questionnaires validés sur 3800 sites enquêtés (65%) 1 site peut regrouper plusieurs ETS : 5400 ETS concernés région Midi-Pyrénées : 156 sur 166 (94%)

  6. 1 - Le questionnaire national Patients à haut risque nature des actions renforcées Questions renseignées par les ETS qui ont identifié des services accueillant régulièrement des PHR : 32% (majorité Nb lits > 800) - réduction de l’exposition : 46%, dont filtres terminaux : 37% - procédures spécifiques d’entretien et de maintenance : 28% - renforcement de la surveillance de la qualité de l’eau : 36% - modalités spécifiques de gestion des contaminations en légionelles supérieures à 50 UFC/litre : 80%

  7. 1 - Le questionnaire national . Carnet de suivi mis en place (77%) : ETS publics (72%) - ETS privés commerciaux (91%) - CHS (52%) Réseaux d’eau chaude sanitaire (1) mise en œuvre des recommandations . Audit du réseau déjà réalisé (46%) ou prévu en 2003/2004 (+25% )

  8. 1 - Le questionnaire national Mesures préventives pour 89% des installations d’ECS * Réseaux d’eau chaude sanitaire (2) mise en œuvre des recommandations Protocole d ’entretien des installations : 63% ETS publics (57%) - ETS privés commerciaux (78%) *

  9. 1 - Le questionnaire national Atteinte des objectifsde température de l’eau

  10. 1 - Le questionnaire national Surveillance de laqualité de l’eau distribuée • protocole de surveillance de la qualité de l’eau incluant : • la température de l’ECS (en sous-station) : 85% • la concentration en Legionella sp : 96% • la concentration en Legionella pneumophila : 92%

  11. 1 - Le questionnaire national résultats > 1 000 UFC/l : 20,3% en 2001 et 15,7% en 2002 : amélioration significative * Dans 5% des installations, plus de 90% des résultats > 1000 UFC/L Dans 77% des installations, moins de 10% des résultats > 1000 UFC/L * Résultats des analyses en 2001-2002, sur 42 290 analyses : 50 UFC/l 1 000 UFC/l 10 000 UFC/l * 67% 15% 13% 5%

  12. 1 - Le questionnaire national Influence des différents paramètres sur la qualité de l’eau Facteur qui ne semble pas avoir d’influence : - mode de production Facteurs qui semblent avoir de l’influence : - type de matériaux utilisés pour le réseau - purge régulière des canalisations - détartrage des installations de production Facteurs qui ont de l’influence : - désinfection en continu (pour seuils de 50 et de 1 000 UFC/l) - capacité du système à délivrer une ECS > 50°C

  13. 1 - Le questionnaire national % de sites 5 - 35 35 - 45 45- 55 55 - 85 Légionelloses • recherche systématique chez les patients hospitalisés depuis plus de deux jours présentant une pneumopathie : 50% • utilisation courante des tests par antigènes urinaires : 42% • mise en culture systématique des prélèvements biologiques en cas de légionellose : 33% • identification de la source de contamination dans 60% des cas de légionellose nosocomiale (78% ECS, 16% TAR) • procédure en cas de légionellose • nosocomiale : 42%

  14. 1 - Le questionnaire national Tours aéro-réfrigérantes situation • seulement 10% des sites ont déclaré posséder des TAR • 60% des sites de plus de 800 lits possède une TAR • en moyenne une seule TAR par site • présence d’un carnet sanitaire : 48% (NR : 48%) • programme d’entretien et de maintenance : 93% • maintenance par une société extérieure : 71%

  15. 1 - Le questionnaire national Difficultés

  16. 1 - Le questionnaire national Attentes

  17. 1 - Le questionnaire national Conclusion de l’enquête • fort taux de réponse global (65%) avec des disparités régionales et par taille et catégorie de site • bonne application des consignes de la circulaire de 2002 • Les consignes en matière de température minimale de l’ECS semblent particulièrement efficaces • difficultés à évaluer les pratiques sur les tours • taux modérés de non-conformité de la qualité de l’eau (18% en ECS, 15% pour les TAR) • Les tests de diagnostic des cas de légionellose par antigènes urinaires semblent encore sous-utilisés en particulier dans les sites de taille faible ou moyenne

  18. 1 - Le questionnaire national Suites de l’enquête • diffusion du guide de l’eau dans les établissements de santé - dernier trimestre 2004 • renforcement de la réglementation sur les tours(nouvelle rubrique, arrêtés de prescription imposant une fréquence mensuelle de prélèvements) - 2005 • arrêtés sur l’hygiène des réseaux (publics et intérieurs) et sur la température de l’eau chaude sanitaire - 2005 • mise en œuvre du plan d’actions de prévention des légionelloses et du volet légionelles du plan national santé environnement (PNSE) (incluant l’inspection annuelle de 10% des établissements de santé) - 2005 à 2008

  19. 2 - Le contexte régional des inspections

  20. 2 - Le contexte régional des inspections Pourquoi ces inspections ? plan national de préventiondes légionelloses présenté le 7 juin 2004 devant le conseil des ministres loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique objectif de réduction de 50% de l’incidence des cas de légionelloses d’ici à 2008 une des 12 actions prioritaires du Plan Régional Santé Environnement mission annuelle d’inspection par les DDASS et DRASS de 10% d’ETS

  21. 2 - Le contexte régional des inspections Inspections

  22. 2 - Le contexte régional des inspections Grille de visite • connaissance du réseau • suivi et entretien des installations • surveillance de la qualité de l’eau • prévention de la légionellose nosocomiale • autres installations à risque avec étude de documents sur place et visite du site (production et distribution)

  23. 3 - Les principales conclusions : actions des établissements de santé et axes d’amélioration

  24. 3 - Les principales conclusions Principales actions menées (1)entretien et maintenance • soutirage régulier des points peu utilisés ou à risque • nettoyage désinfection des éléments de robinetterie • changement en tant que de besoin des éléments de robinetterie • suppression des bras morts structurels • vidange annuelle du ballon, purge hebdomadaire • entretien annuel par un sous-traitant pour adoucisseur et filmogène

  25. 3 - Les principales conclusions Principales actions menées (2) • campagne annuelle de prélèvements • mesure de température en sous-station • audit du réseau • carnet sanitaire initié • recherche antigènes solubles urinaires

  26. 3 - Les principales conclusions Erreurs souvent constatées (1)défauts de surveillance mesures de températures uniquement au moment des prélèvements bactériologiques pour les points d’usage mesures de températures en sous-station mais pas aux points d’usage peu ou pas d’exploitation des relevés de température absence de protocole de choix des points de prélèvements pas de formalisation de la maintenance

  27. 3 - Les principales conclusions Erreurs souvent constatées (2)traitements additionnels adoucisseur placé en aval de l’arrivée générale d’eau froide mise en place de systèmes de traitement continu sans réelle analyse des besoins

  28. 3 - Les principales conclusions Axes d’amélioration (1)gestion du réseau compléter les plans et schémas de principe des réseaux assurer une maintenance pour la pérennité des installations assurer la traçabilité de la maintenance réaliser une expertise hydraulique et un équilibrage du réseau

  29. 3 - Les principales conclusions Axes d’amélioration (2)surveillance • choix des points de prélèvements à définir en fonction du risque • renforcer le contrôle des températures aux points d’usage à risque • faire vivre le carnet sanitaire : - analyser les mesures de température, - analyser les résultats des prélèvements si positifs

  30. 3 - Les principales conclusions Axes d’amélioration (3)gestion globale du risque légionelle • orienter la politique de l’établissement vers des mesures préventives plutôt que correctives • rédiger des conduites à tenir : - en cas de contamination du réseau, - en cas de légionellose nosocomiale, - pour les secteurs accueillants des patients à haut risque • renforcer la collaboration entre services d’hygiène et services techniques

  31. Merci de votre attention

More Related