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Comment l'homme peut-il se protéger des risques géologiques ?

Comment l'homme peut-il se protéger des risques géologiques ?. Justin Hartvick. L es risques géologiques, c'est quoi ?. Il s'agit de tous les risques liés aux séismes, volcans ou encore tsunamis. I- L es règles parasismiques. E xtrait des règles parasismiques. D éfinition :.

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Comment l'homme peut-il se protéger des risques géologiques ?

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Presentation Transcript


  1. Comment l'homme peut-il se protéger des risques géologiques ? Justin Hartvick

  2. Les risques géologiques, c'est quoi ? Il s'agit de tous les risques liés aux séismes, volcans ou encore tsunamis.

  3. I- Les règles parasismiques Extrait des règles parasismiques

  4. Définition : Parasismiques : Relatif à une construction conçue pour résister aux séismes.

  5. Les séismes étant un risque majeur contre lequel l’homme ne peut agir directement, sa protection ne peut être que passive. On ne peut en effet empêcher un séisme d’avoir lieu, mais on peut en revanche prendre des dispositions pour minimiser ses conséquences. La réduction du nombre de victimes lors d’un séisme passe d’abord par l’adaptation des structures des bâtiments et autres structures.

  6. Depuis 1969, il existe une réglementation parasismique. En fonction de la connaissance sur les mouvements de terrains et des techniques de construction, elle a été améliorée à plusieurs reprises, en 1982 notamment puis à nouveau en 1991, et elle est encore appelée à évoluer avec l’élaboration en cours de règles européennes. Cette réglementation vise à assurer le non effondrement des constructions, y compris des maisons individuelles. Il importe désormais de poursuivre l’action pour une meilleure diffusion et compréhension de ces règles de construction et de sensibiliser la population au risque sismique : c’est tout l’objet du Plan Séisme. D'après « Le plan séisme »

  7. Ainsi, des programmes nationaux tels que celui-ci permettent de minimiser les dégâts des séismes en fixant des règles strictes sur la construction des bâtiments. Malgré tout, nous savons que nous ne pourrons jamais empêcher un séisme de se faire, et donc de faire des dégâts, même moindres.

  8. II- La prévention séisme au Japon

  9. LeJapon et le reste de l'Asie de l'est sont des zones très touchées par les risques géologiques, ce qui lui a valut des incidents graves tels que Fukushima. Depuis presque 50 ans, ce pays exercent régulièrement des entraînements apprenants comment réagir en cas de séismes. Dans les écoles, par exemple, on apprend aux enfants à se protéger la tête avec les mains (photo précédente), ou encore à se cacher sous leur table.

  10. Ci-dessus : Enfants cachés sous leurs tables en prévision à un séismes. Ci-contre : Adultes se protégeant la tête des mains

  11. Extrait d'un article de l'express : Depuis le séisme meurtrier de Kobe en 1995, le pays a pris conscience de l'urgence et la nécessité de mettre en place des dispositifs anti-sismiques. Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit 20% des séismes les plus violents enregistrés dans le monde. On estime que le pays subit une secousse toutes les 5 minutes. Malgré cette récurrence des secousses, ce n'est qu'après le violent séisme de Kobe, qui a fait 6000 victimes dans la région le 17 janvier 1995, que le Japon a mis en place des systèmes de protection anti-sismique, et des plans de prévention. D'autant que, dans les régions du Tokai et de Tokyo, les experts et la population s'attendent depuis de nombreuses années au "Big One", un tremblement de terre aussi important que celui qui a touché le pays en 1923, faisant plus de 140 000 victimes.

  12. Depuis près de cinquante ans, le gouvernement nippon a mis en place un programme d'exercices de prévention. Entraînés dès l'enfance, les Japonais savent qu'ils doivent couper le gaz et se précipiter sous une table dès les premières secousses. Au cas où ils se retrouveraient prisonniers des décombres,, certains achètent des kits de survie pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours, et les écoliers disposent d'un casque de protection dans leur casier. Joint par LEXPRESS.fr, Miho Oyagi, jounaliste japonaise qui a notamment vécu le séisme de 1995, raconte pour sa part ses souvenirs des exercices de prévention: "Quand le Tsunami nous menace, il n'y a qu'une seule chose à faire : fuir! Si le danger est moins imminent et qu'on a pas besoin de quitter nos maisons, la première des précautions, c'est de recueillir l'eau dans les baignoires avant qu'elle ne soit coupée. Et rassembler le nécessaire en nourriture, sous-vêtements, lampes torches et piles pour être prêt à fuir si besoin." Régulièrement, des camions de simulation sismique sont mêmes installés dans la rue dans le but de sensibiliser la population aux effets des tremblements de terre.

  13. Enfin, les fonctionnaires de l'Etat bénéficient aussi de ce programme. Toshitaka Katada, professeur au laboratoire de recherche sur les désastres de l'Université de Gunma, explique que "les administrations locales sont aussi formées pour émettre des bulletins d'évacuation, offrir de la nourriture et des abris aux sinistrés". Et au pays de la haute technologie, nombre de Japonais sont prévenus par téléphone portable de l'arrivée imminente d'un séisme, qui entraîne en outre l'arrêt automatique des centrales nucléaires et des trains à grande vitesse, note la journaliste de l'AFP. Pour les bâtiments, outre des dispositifs passifs (qui réagissent en fonction des secousses de façon naturelle), et d'autres actifs (mis en mouvement mécanique par un système informatique d'analyse de la situation), des bétons spéciaux ont été développés, note également l'expert Satoru Saito, ainsi que de nombreuses solutions permettant de réduire les coûts de la mise à niveau des bâtiments, sans les évacuer ni les démolir.

  14. Les séismes Le Japon en image : Images du séisme de Kobe

  15. III- Se protéger des volcans Ci-dessus : Le matériel utilisé pour prévenir une éruption. Ci-contre : Éruption d'un volcan.

  16. Pour prévoir les éruptions, les scientifiques disposent de matériel à la pointe de la technologie. Ils tirent leurs enseignements de trois catastrophes de ces dernières décennies : le Mont St Helens aux États-Unis, le Nevado del Ruiz en Colombie et le Pinatubo aux Philippines. Les scientifiques utilisent un réseau de télésurveillance constitué d’un ensemble de capteurs : - Extensomètre : Cet appareil installé sur une ligne de faille, permet de mesurer les tensions ou les mouvements des roches ; - Magnétomètre : cet appareil sert à mesurer les variations du champ magnétique de la terre ; - Sismomètre : il permet de mesurer les déformations du sol produites par les ondes sismiques.

  17. Face aux éruptions possibles des volcans, la dispersion prévue et organisée reste bien souvent la meilleure solution. Mais encore faut-il savoir où et quand les volcans vont frapper, d’où leur surveillance 24 h sur 24. Tout autour des volcans à risque, des panneaux d’information indiquent les infrastructures de protections et les zones d’évacuation. Mais il existe d’autres solutions que la fuite; des scientifiques ont inventés toutes sortes de parades. Par exemple, sur les pentes du volcan Tokachi, les ingénieurs japonais ont construit le plus grand « crible-dam » du monde : un barrage fait de tubes d’acier mesurant 15 mètres de haut et 1 kilomètre de long. Ce barrage fait office de tamis, destiné à retenir les blocs et les troncs d’arbres charriés par les coulées. Autre exemple à Java, au pied du Mérapi, les Indonésiens ont construit un réseau de digues visant à freiner les coulées de boue. Ces digues sont construites avec les matériaux rejetés par le volcan.

  18. Le Tokashi Le Merapi

  19. IV – Se protéger des tsunamis

  20. Pour se protéger d'un tsunami, il est toujours conseillé d'éviter les zones proches de la côte. Si on habite dans une de ces zones, on doit être attentifs aux signes précurseurs suivants : -Un tremblement de terre ou une éruption volcanique sous-marine vient d'avoir lieu. -Baisse importante du niveau de la mer -On entend un grondement

  21. Auparavant, il est donc conseillé : -De repérer un endroit où s'abriter -De préparer l'équipement nécessaire (médicaments, papiers d’identité, lampe de poche etc.) Si l’on est surpris par tsunami, il faut grimper sur le toit d’une habitation ou la cime d’un arbre solide ; en dernier recours, il faut s’accrocher à un objet flottant que le tsunami charrie.

  22. V – Bilan

  23. La plupart du temps, nous ne pouvons pas nous défendre de ces risques géologiques. Malgré tout, nous pouvons quand même les prévenir, ce qui nous permet de nous en protéger, à conditions de respecter les règles de sécurité.

  24. VI- Quizz !

  25. Question 1 : Parasismiques : Relatif à une construction conçue pour résister aux séismes. Donne la définition de parasismiques :

  26. Question 2 : [] Passive [] Active La protection contre les séismes ne peut-être que : Elle est passive !

  27. Question 3 : Cette réglementation vise à assurer le non effondrement des constructions, y compris des maisons individuelles. Il importe désormais de poursuivre l’action pour une meilleure diffusion et compréhension de ces règles de construction et de sensibiliser la population au risque sismique : c’est tout l’objet du Plan Séisme. A quoi sert la réglementation parasismique ?

  28. Question 4 : Le gouvernement nippon a mis en place un programme d'exercices de prévention. Entraînés dès l'enfance, les Japonais savent qu'ils doivent couper le gaz et se précipiter sous une table dès les premières secousses. Au cas où ils se retrouveraient prisonniers des décombres,, certains achètent des kits de survie pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours, et les écoliers disposent d'un casque de protection dans leur casier. Pour les bâtiments, outre des dispositifs passifs (qui réagissent en fonction des secousses de façon naturelle), et d'autres actifs (mis en mouvement mécanique par un système informatique d'analyse de la situation), des bétons spéciaux ont été développés, note également l'expert Satoru Saito, ainsi que de nombreuses solutions permettant de réduire les coûts de la mise à niveau des bâtiments, sans les évacuer ni les démolir. Que font les Japonais pour lutter contre ces dangers géologiques ?

  29. Question 5 : 50 ans environs Depuis combien de temps ce programme est-il mis en place ?

  30. Question 6 : Pourquoi ce programme a-t-il été mis en place ? Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit 20% des séismes les plus violents enregistrés dans le monde. On estime que le pays subit une secousse toutes les 5 minutes. Malgré cette récurrence des secousses, ce n'est qu'après le violent séisme de Kobe, qui a fait 6000 victimes dans la région le 17 janvier 1995, que le Japon a mis en place des systèmes de protection anti-sismique, et des plans de prévention. D'autant que, dans les régions du Tokai et de Tokyo, les experts et la population s'attendent depuis de nombreuses années au "Big One", un tremblement de terre aussi important que celui qui a touché le pays en 1923, faisant plus de 140 000 victimes.

  31. Question 7 : - Extensomètre : Cet appareil installé sur une ligne de faille, permet de mesurer les tensions ou les mouvements des roches ; - Magnétomètre : cet appareil sert à mesurer les variations du champ magnétique de la terre ; - Sismomètre : il permet de mesurer les déformations du sol produites par les ondes sismiques. Donne les définitions de Extensomètre , Magnétomètre et Sismomètre.

  32. Question 8 : Que faut-il faire si on est surpris par un tsunami ? Si l’on est surpris par tsunami, il faut grimper sur le toit d’une habitation ou la cime d’un arbre solide ; en dernier recours, il faut s’accrocher à un objet flottant que le tsunami charrie.

  33. FIN

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