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La Direction générale des services correctionnels Estrie-Centre-du-Québec Présentation par: Marco Hamel Rébecca Arsene

La Direction générale des services correctionnels Estrie-Centre-du-Québec Présentation par: Marco Hamel Rébecca Arseneau. Établissement de détention : Clientèle détenue : Personne qui purge une sentence de 2 ans moins un jour. nombre de détenus = 205 Clientèle prévenue:

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La Direction générale des services correctionnels Estrie-Centre-du-Québec Présentation par: Marco Hamel Rébecca Arsene

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Presentation Transcript


  1. La Direction générale des services correctionnelsEstrie-Centre-du-Québec Présentation par: Marco Hamel Rébecca Arseneau

  2. Établissement de détention : Clientèle détenue : Personne qui purge une sentence de 2 ans moins un jour. nombre de détenus = 205 Clientèle prévenue: Personne incarcérée durant les procédures judiciaires afin d’assurer la sécurité du public / d’assurer sa présence au tribunal. nombre de prévenus = 88 Palais de justice : Quatre palais de justice sur le territoire de Sherbrooke (Sherbrooke, Granby, Drummondville, Lac-Mégantic)

  3. Détention (suite): Programmes de remise en liberté • Permission de sortir à des fins de réinsertion sociale • (peine de moins de 6 mois, 1/6 de la peine) • Population moyenne quotidienne (2007-2008) : 70,4 hommes • et 5,9 femmes • Permission préparatoire à la libération conditionnelle • (peine de 6 mois et plus, 1/6 de la peine) • Population moyenne quotidienne (2007-2008) : 36,3 hommes • et 3,5 femmes • Libération conditionnelle • (peine de 6 mois et plus, 1/3 de la peine) • Nombre annuel d’octrois (2007-2008) : 889 hommes • et 64 femmes

  4. Bureaux de probation de l’Estrie • Clientèle : • Mensuellement, en moyenne, 1 200 personnes se retrouvent en surveillance sur le territoire de l’Estrie. • Points de service : • Trois bureaux sur le territoire de l’Estrie • Sherbrooke, • Granby, • Drummondville

  5. Bureaux de probation de l’Estrie (suite): • Suivi dans la communauté • Emprisonnement avec sursis : • Personne condamnée à un emprisonnement de moins de 2 ans à être purgé dans la collectivité. • La sentence purgée au sein de la collectivité ne met pas en danger la sécurité du public. • La sentence vise à la fois des objectifs punitifs et de réinsertion sociale (assignation à domicile et couvre-feu).

  6. Bureaux de probation de l’Estrie (suite): • Suivi dans la communauté • Ordonnance de probation avec surveillance : • Personne déclarée coupable d’une infraction autre qu’une infraction pour laquelle une peine minimale est prévue. • Le tribunal ordonne que le délinquant soit libéré selon les conditions prévues dans son ordonnance de probation. • Heures de services communautaires (condition).

  7. Le mandat des Services correctionnels du Québec • Éclairer les intervenants judiciaires sur tous les aspects afin de permettre l’imposition de mesures sentencielles et non sentencielles appropriées. • Administrer les décisions du tribunal et les demandes des autres référents judiciaires en favorisant auprès des personnes contrevenantes la prise en charge de leurs responsabilités, et ce, dans le respect de leurs droits. • Favoriser la réinsertion sociale des personnes contrevenantes.

  8. Prise en charge de la clientèle • Évaluation • Les services correctionnels procèdent à l’évaluation de toute personne qui leur est confiée • Buts: établir le risque de récidive, le potentiel de réinsertion sociale et les stratégies d’intervention • Outils d’évaluation (scientifiques) : LS\CMI, Statique 99 et Stable • Programmes • En détention : prise de conscience et responsabilisation, académiques, toxicomanie, ateliers de travail, etc. • Dans la communauté (ressources de la collectivité) : thérapie, hébergement, employabilité, etc.

  9. Réinsertion sociale • Notre approche • La réinsertion sociale de la personne contrevenante demeure la meilleure façon de protéger la société de façon durable. • L’intervention directe auprès de la clientèle, la connaissance de cette dernière et la mise à contribution de la société sont des leviers essentiels à la démarche. • Nos interventions • Les interventions de contrôle visent à assurer le respect des conditions imposées. • Les interventions d’encadrement et d’accompagnement, déterminées par les besoins de la personne, visent à soutenir son cheminement et consolider ses acquis.

  10. Profil de la clientèle correctionnelle québécoise del’Estrie–Centre-du-Québec

  11. Les caractéristiques démographiques de la clientèle La clientèle est composée • de 9 % de femmes • et de 91 % d’hommes • la moyenne d’âge de la clientèle est de 36,7 ans • près de 50 % de la clientèle est âgée de 25 à 44 ans

  12. Situation scolaire et professionnelle de la clientèle Au moment de la prise en charge de la clientèle: • 48 % possède moins qu’une 5e secondaire • 70 % est sans emploi depuis plus d’un an • 21 % a une 5e secondaire et occupe un emploi de façon régulière • 40 % a moins d’une 5e secondaire et n’a pas d’emploi

  13. Situation scolaire et professionnelle de la clientèle (suite) En détention, la proportion est encore plus importante; • Près de 60 % des personnes incarcérées n’a pas complété ses études secondaires et est sans emploi • Seulement 5 % d’entres elles a terminé son secondaire et travaille régulièrement

  14. Les problématiques de santé mentale • Près d’une personne sur cinq faisant partie de notre échantillon au 3 décembre 2008 est aux prises avec une problématique de santé mentale documentée. • 30,3 % de la clientèle féminine est touchée par des problèmes de santé mentale. • Aucune de ces personnes, ne souffre uniquement de maladie mentale.

  15. Les problématiques de santé mentale (suite) Sur un échantillon de 366 personnes (33 femmes et 333 hommes): • 72 présentaient un trouble de santé mentale documenté (10 femmes et 62 hommes). • 201 étaient aux prises avec des troubles émotionnels apparaissant à la limite d’une problématique de santé mentale (soit 16 femmes et 185 hommes).

  16. Les besoins prioritaires selon les détenus (étude 2003, par des étudiants de l’Université de Sherbrooke) • Priorité 1: toxicomanie / besoin de parler (40%) • Priorité 2: dépendance affective / dépression (33%) • Priorité 3: contrôle de l’agressivité (26%) • Priorité 4: stress / déprime (23%)

  17. L’intervention • Plus de 80 % de la clientèle n’est pas réfractaire au traitement ou à la surveillance • Seulement 11 % de celle-ci se voit ordonner ou recommander un traitement • Ceci apparaît relié au manque de ressources accessibles à cette clientèle.

  18. L’intervention (suite) • Des efforts particuliers devraient être investis en matière de traitement de troubles émotifs, de toxicomanie, de violence et de santé mentale • Ces problématiques sont en effet les plus importantes chez la clientèle des SCQ Estrie-Centre-du-Québec • Sans une prise en charge sociale intégrée, le pronostic demeurera sombre

  19. L’intervention (suite) • Les SCQ ne peuvent à eux seuls assurer la réponse aux divers besoins de la clientèle • Il est impératif que les divers acteurs sociaux soient mobilisés afin d’assurer une continuité des services essentiels sans laquelle les mesures correctionnelles et particulièrement la détention, demeureront des portes tournantes coûteuses socialement et peu efficaces.

  20. Merci pour votre attention Collaboration Mme Ghislaine de la Conception

  21. Stratégie en matière de santé mentale au SCC Suzanne Pelletier, inf. B.Sc, CRISMC Sylvie Nadeau, T.S., ISMC Le 25 mars 2010

  22. Le Service correctionnel du Canada (SCC) • est l'organisme du gouvernement fédéral chargé de prendre en charge les personnes ayant reçu une peine d'emprisonnement de deux ans ou plus imposée par les tribunaux. Le SCC • gère des établissements de divers niveaux de sécurité et surveille les délinquants en liberté sous condition dans la collectivité. Notre organisation

  23. La mission du SCC • Le Service correctionnel du Canada, en tant que composante du système de justice pénale et dans la reconnaissance de la primauté du droit, contribue à la sécurité publique en incitant activement et en aidant les délinquants à devenir des citoyens respectueux des lois, tout en exerçant sur eux un contrôle raisonnable, sûr, sécuritaire et humain.

  24. Introduction Pourquoi une stratégie en santé mentale? • Un des objectifs stratégiques du Service Correctionnel du Canada • Notre obligation légale d’assurer des services essentiels, incluant des services en santé mentale, conformes aux normes professionnelles • Afin de favoriser une réinsertion sociale optimale des délinquants ayant une problématique de santé mentale dans la collectivité

  25. Augmentation des troubles mentaux chez les délinquants • Estimations (Canada): • Plus de 400 délinquants souffrent de psychose; • Plus de 1 000 ont des troubles de l’humeur.

  26. Établissement des priorités • La stratégie globale en matière de santé mentale comporte 5 volets: • Dépistage au moment de l’évaluation initiale • Soins primaires • Soins intermédiaires • Soins intensifs – centres régionaux de traitement • Soins transitoires – au retour dans la collectivité

  27. Résultats escomptés • En ce qui concerne l’initiative en santé mentale en collectivité: • Améliorer les résultats correctionnels chez les délinquants aux prises avec des troubles mentaux, accroissant ainsi la sécurité du personnel du SCC et la sécurité publique. • Améliorer la qualité de vie des délinquants aux prises avec des troubles mentaux.

  28. Résultats escomptés (suite) • Améliorer la planification de la mise en liberté des délinquants ayant une problématique en santé mentale en leur donnant un support et un soutien dans les neuf mois précédant leur mise en liberté et dans la collectivité; • Assurer un continuum de soins dans la transition entre l’établissement et la collectivité en supportant les délinquants dans l’accès aux services offerts en collectivité.

  29. Basé sur les besoins • Au-delà d’un diagnostic, les services sont offerts selon le niveau de besoins présenté et sur une base volontaire. • Certaines caractéristiques nous aident à préciser quels délinquants recevront les services: • Troubles concomitants liés à la toxicomanie • Niveau de soins en santé mentale requis • Grandes préoccupations suscitées par l’adaptation à l’établissement • et risque élevé de rechute • Incapacité de mener de façon constante les AVQ • Besoins élevés en réinsertion sociale (à cause du niveau de risque)

  30. Un exemple sous forme de vignette clinique • Parcours d’un délinquant au sein du Service Correctionnels du Canada • Monsieur Magoo: • 39 ans, célibataire et sans enfant • Première sentence fédérale, mais 17 inculpations antérieures ayant résulté 8 incarcérations provinciales • Délits: voies de fait, vol qualifié, bris de condition, introduction par effraction • Aucun antécédent psychiatrique, traité pour des troubles du sommeil avec Remeron • A eu quelques suivis psychologiques

  31. Un parcours varié • Au cours de cette incarcération, on pourra observer que monsieur Magoo sera transféré à 9 reprises, incluant une libération très brève en collectivité. • Il aura des séjours en unité d’isolement (détention) suite à des difficultés de fonctionnement, sera admis à deux reprises au centre régional de santé mentale pour finalement être libéré en collectivité à la fin de son mandat. • Avant sa libération, il sera référé aux intervenants de l’Initiative en santé mentale en collectivité mais, dans un délai beaucoup plus court que requis. Il sera cependant pris en charge et les efforts seront mis en place pour l’aider à obtenir les services requis et le support nécessaire à son maintien en collectivité.

  32. Nos défis actuels • Des références à court terme laissant peu de temps à l’équipe pour établir des contacts et bien cibler les besoins présentés • Le tableau clinique qui peut sembler lourd accompagné d’un parcours criminel • L’absence d’un historique de prise en charge par le système de santé provincial • L’absence d’ententes réelles provinciales-fédérales au niveau de la santé des délinquants libérés • Peu d’intervenants pour le territoire à couvrir • Des partenariats à établir qui seront véritables et non pas des demandes de prise en charge seulement

  33. Des questions ?

  34. Merci de votre attention!

  35. Intervention communautaire Annie Morel et Marie-Josée Heppell Services d’aide en prévention de la criminalité

  36. C I V A S Le CIVAS est un programme qui dessert une clientèle ayant commis ou risque de commettre des gestes délinquants à caractères sexuels. Le CIVAS jumelle l’intervention individuelle à l’intervention de groupe. Des évaluations spécialisées en délinquance sexuelle sont également offertes. L’organisme vise en premier lieu la protection de la société et, par la suite, la réinsertion sociale. Par le biais d’activités thérapeutiques structurées, le participant acquerra des connaissances face à sa dynamique sexuelle et il apprendra à satisfaire ses besoins par l’adoption de nouveaux comportements non déviants. Ces rencontres s’échelonnent sur une période de 18 mois.

  37. O P E X OPEX est un service d'emploi pour personnes adultes judiciarisées, lequel est financé par Emploi-Québec. Il s’adresse à toute personne (homme ou femme) âgée de 18 ans ou plus, possédant un casier judiciaire et éprouvant des difficultés à obtenir et à conserver un emploi. OPEX vise à accroître et développer l'employabilité de la clientèle afin de faciliter son intégration ou sa réintégration au marché du travail. Services offerts: counselling d'emploi individuel, sessions de groupe:  «Formation préparatoire à l'emploi», service de rédaction de curriculum vitæ, accès facilité aux services et mesures d'«Emploi-Québec», guichets d'emplois, service de placement. soutien et encadrement fournis aux clients ainsi qu'aux employeurs, tests d'orientation et référence à d'autres services pour une évaluation scolaire, l’obtention de cartes de compétence, le développement de projets d'entrepreneurship ou pour une problématique de toxicomanie.

  38. La Just’Elle • Le centre La Just’Elle offre un suivi et un soutien en matière de réinsertion sociale aux femmes judiciarisées. • Le Centr’Elle, service faisant partie intégrante du Just’Elle, accueille toute femme en détresse ou en crise, vivant ou non une problématique de santé mentale. Ce service occupe une des quatre places du Just’Elle. Lieu d’hébergement de courte durée (3 à 4 semaines) ou de dépannage (2 à 4 jours), le Centr’Elle fournit aux femmes l’occasion de se reprendre en main en identifiant la source de leurs problèmes puis en les aiguillant vers les ressources appropriées. • Le Centr’Elle a pour mission de prévenir toute action future susceptible de compromettre tant la sécurité des résidants que celle de leurs proches.

  39. Services d’aide en prévention de la criminalité Prônant des valeurs de justice, de respect et de sécurité, Services d’aide en prévention de la criminalité a pour mission de prévenir la criminalité dans son milieu par l’entremise d’activités de prévention primaire (visant l’ensemble de la population), secondaire (ciblant les personnes à risque de commettre des actes criminels ou délictueux) et tertiaire (ciblant les personnes susceptibles de récidive). Le SAPC favorise la réinsertion sociale de tout individu présentant des difficultés d’adaptation en société, qu’il s’agisse de personnes contrevenantes, de personnes défavorisées, de personnes à la santé mentale fragile, de personnes toxicomanes, de personnes itinérantes ou à haut risque d’itinérance ou de tout autre type de personne réclamant aide et soutien d’urgence.

  40. Les services du SAPC - Programme de travaux compensatoires - Qualilogis - SHASE - La Croisée - PNTTIF - La surveillance communautaire - Le CRC l’Étape - Le CRC la Traverse - Les bénévoles - Colloque 2000

  41. La Croisée Le centre La Croisée accueille tout homme en détresse ou en crise, vivant ou non une problématique de santé mentale; la ressource offre 4 places.  Lieu d’hébergement de courte durée (3 à 4 semaines) ou de dépannage (2 à 4 jours), il fournit aux hommes l’occasion de se reprendre en main en identifiant la source de leurs problèmes, puis en les aiguillant vers les ressources appropriées. La Croisée a pour mission de prévenir toute action future susceptible de compromettre tant la sécurité des résidants que celle de leurs proches.  En vue d’assurer la protection de ces derniers, La Croisée peut compter sur la présence d’intervenants en poste 24 heures sur 24, œuvrant dans un contexte de «vivre avec».

  42. Surveillance communautaire Le programme vise essentiellement deux aspects.  Tout d’abord, celui de protéger la communauté. Ensuite, nous avons le mandat de réinsérer les individus. Il nous incombe donc la responsabilité d’actualiser les plans d’intervention qui ont préalablement été mis en place par les agents de probation.  Il nous appartient de trouver des moyens réalistes et efficaces qui serviront à développer des habiletés et des compétences en vue de prévenir la récidive et de réinsérer les personnes judiciarisées au sein de la communauté. De plus, nous disposons d’un programme d’ateliers sur les thèmes suivants : Dépendances et mode de vie, Habiletés parentales, Isolement social, Résolution de conflits, Dépendance affective et Gestion de la colère et de l’anxiété.

  43. C R C L’ É t a p e Le CRC L’ÉTAPE se spécialise en toxicomanie.  Il veille à offrir à ses 20 résidants une thérapie calquée sur le mode de vie des Alcooliques Anonymes (A.A.) par le biais d’un programme échelonné sur une période de 7 semaines. Durant cette période, la personne développe une meilleure connaissance d'elle-même permettant, ultimement, de se libérer de toute dépendance. En plus d’offrir l’hébergement et une thérapie de désintoxication, le centre L’ÉTAPE favorise la réintégration de ses résidants sur le marché du travail ou aux études, de même qu’il leur offre un important soutien dans la réorganisation psychosociale de leur environnement (famille, vie amoureuse, amis…). Le programme s’adresse aux hommes issus du milieu carcéral éprouvant des problèmes liés à une dépendance à l’alcool ou aux drogues, qu’ils proviennent d’institutions carcérales de juridiction provinciale ou fédérale.

  44. CRC La Traverse La Traverse offre l’hébergement à 25 hommes en provenance d’institutions carcérales de juridiction provinciale ou fédérale. Le CRC La Traverse veille à offrir un milieu de vie transitoire adéquat aux contrevenants identifiés plus haut, en leur permettant d’entreprendre une démarche gratifiante de réinsertion sociale. Les intervenants et bénévoles de La Traverse mettent l’accent sur l’intervention individuelle, sans pour autant occulter la dimension du groupe.

  45. Partenariat existant Équipe santé mentale CSSS VS Qualilogis et la Croisée Équipe Itinérance CSSS VS Qualilogis et la Croisée La Cordée VS l’Étape et la Traverse pour services de jour La Cordée et JEVI VS la Croisée pour l’hébergement en situation de crise Martine Bérubé, psychiatre VS l’Étape et la Traverse L’Initiative en santé mentale du SCC VS l’Étape et la Traverse

  46. Histoire d’un gars…

  47. Averell Dalton 28 ans, homme 1ère sentence fédérale : vols qualifiés Diagnostic: trouble bipolaire + TOC Équipe traitante: Initiative santé mentale SCC Équipe thérapeutique Étape – Approche toxicomanie Pas de médecin de famille Après 5 semaines, référé en psychiatrie à Sherbrooke La Cordée

  48. Partenariat recherché

  49. Joe Dalton Référé par Urgence détresse Aucun hébergement connu depuis 7 jours Sorti de la détention de Talbot Homme 40 ans à risque d’itinérance Problématique de toxicomanie, speed L’ordonnance de probation est inconnue à l’accueil Aucun diagnostic en santé mentale connu

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