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1. La société rurale

COURS 03 L’Empire du Saint-Laurent. 1. La société rurale. 2. L’Empire et les colonies. 3. Du côté des villes. 4. Les groupes sociaux. George Ramsay 9th Earl of Dalhousie (1770-1838). 1791 Conflit entre le parlement élu (législatif) et le gouvernement (exécutif).

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1. La société rurale

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Presentation Transcript


  1. COURS 03 L’Empire du Saint-Laurent 1. La société rurale 2. L’Empire et les colonies 3. Du côté des villes 4. Les groupes sociaux

  2. George Ramsay 9th Earl of Dalhousie (1770-1838)

  3. 1791Conflit entre le parlement élu(législatif) et le gouvernement(exécutif) CONSEIL EXÉCUTIF9 conseillers amovibles GOUVERNEUR Monde des villes, du commerce, anglophone CONSEIL LÉGISLATIF 15 conseillers nommés à vie ASSEMBLÉE LÉGISLTIVE 88 députés en 1837 Monde rural, francophone ÉLECTEURS Homme de 21 ans tenant feu et lieu, propriétairede biens pour 40 shillings ou payant un loyer de 10 livres

  4. 1834Les 92 Résolutionsla solution Papineau Secrétaires d’État CONSEIL EXÉCUTIF9 conseillers amovibles GOUVERNEUR Président Lois appliquées par l’exécutif CONSEIL LÉGISLATIF 15 conseillers nommés à vie CONSEIL LÉGISLATIF 15 conseillers nommés à vie ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE 88 députés en 1837 ÉLECTEURS Homme de 21 ans tenant feu et lieu, propriétairede biens pour 40 shillings ou payant un loyer de 10 livres

  5. À propos des 92 Résolutions • « Si certaines de vos résolutions sont acceptables, d’autres incompréhensibles, et d’autres encore absurdes, une chose est certaine, c’est que mises ensemble elles signifient une révolution, une véritable déclaration d’indépendance de la Grande-Bretagne ! » Bartholomew Conrad Gugy, Député de Sherbrooke (1831-1838)

  6. Baldwin to Glelelg, uil 13, 1836, Appendix to The Journals of the Houseof Assembly of Upper Canada from the 8th day of November, 1836 to the 4th day of March 1837 Robert Baldwin (1804-1858) The making the Legislative Council elective might convert that body into an additional engine of hostility against the Executive Government; but could never supersede the necessity for the concession of the principe contented for.

  7. Lord Durham, 1839 La tranquillité de chacune des provinces de l’Amérique du Nord, à cause des conflits entre l’Exécutif et les représentants du peuple, était sujette aux discordes continuelles. Les Constitutions de ces colonies, le caractère officiel et la position des rivaux, l’objet avoué de leurs querelles, les principes soutenus de part et d’autre, tout cela était si semblable que je dus adopter l’opinion commune que la querelle généralisée était la conséquence de quelque défaut identique de ces provinces. Je la regardai comme une de ces querelles auxquelles nous ont habitués l’histoire de l’Europe et la connaissance des hommes : une querelle entre un peuple qui demande un accroissement des privilèges populaires d’un côté, de l’autre, un Exécutif qui défend les prérogatives qu’il estime nécessaires au maintien de l’ordre. […] Par suite des circonstances spéciales où je me trouvai, j’ai pu faire un examen assez juste pour me convaincre qu’il y avait eu dans la Constitution de la province, dans l’équilibre des pouvoirs politiques, dans l’esprit et dans la pratique administrative de chaque service du Gouvernement, des défauts très suffisants pour expliquer en grande partie la mauvaise administration et le mécontentement. Mais aussi j’ai été convaincu qu’il existait une cause beaucoup plus profonde et plus ra dicale des dissensions particulières et désastreuses dans la province – une cause qui surgissait du fond des institutions politiques à la surface de l’ordre social –, une cause que ne pourraient corriger ni des réformes constitutionnelles ni des lois qui ne changeraient en rien les éléments de la société. Cette cause, il faut la faire disparaître avant d’attendre le succès de toute autre tentative capable de porter remède aux maux de la malheureuse province. Je m’attendais à trouver un conflit entre un gouvernement et un peuple ; je trouvai deux nations en guerre au sein d’un même État ; je trouvai en lutte, non des principes, mais des races. Je m’en aperçus : il serait vain de vouloir améliorer les lois et les institutions avant que d’avoir réussi à exterminer la haine mortelle qui maintenant divise les habitants du Bas-Canada en deux groupes hostiles : Français et Anglais.»

  8. 1848La responsabilité ministérielle : la solution LaFontaine Premier ministre CONSEIL EXÉCUTIF MINISTRES RESPONSABLES GOUVERNEUR Parmi les députés Administration publique Justice ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE 88 députés en 1837 http://www.histori.ca/minutes/default.do?page=.index

  9. :ord Durham, 1839 La tranquillité de chacune des provinces de l’Amérique du Nord, à cause des conflits entre l’Exécutif et les représentants du peuple, était sujette aux discordes continuelles. Les Constitutions de ces colonies, le caractère officiel et la position des rivaux, l’objet avoué de leurs querelles, les principes soutenus de part et d’autre, tout cela était si semblable que je dus adopter l’opinion commune que la querelle généralisée était la conséquence de quelque défaut identique de ces provinces. Je la regardai comme une de ces querelles auxquelles nous ont habitués l’histoire de l’Europe et la connaissance des hommes : une querelle entre un peuple qui demande un accroissement des privilèges populaires d’un côté, de l’autre, un Exécutif qui défend les prérogatives qu’il estime nécessaires au maintien de l’ordre. […] Par suite des circonstances spéciales où je me trouvai, j’ai pu faire un examen assez juste pour me convaincre qu’il y avait eu dans la Constitution de la province, dans l’équilibre des pouvoirs politiques, dans l’esprit et dans la pratique administrative de chaque service du Gouvernement, des défauts très suffisants pour expliquer en grande partie la mauvaise administration et le mécontentement. Mais aussi j’ai été convaincu qu’il existait une cause beaucoup plus profonde et plus ra dicale des dissensions particulières et désastreuses dans la province – une cause qui surgissait du fond des institutions politiques à la surface de l’ordre social –, une cause que ne pourraient corriger ni des réformes constitutionnelles ni des lois qui ne changeraient en rien les éléments de la société. Cette cause, il faut la faire disparaître avant d’attendre le succès de toute autre tentative capable de porter remède aux maux de la malheureuse province. Je m’attendais à trouver un conflit entre un gouvernement et un peuple ; je trouvai deux nations en guerre au sein d’un même État ; je trouvai en lutte, non des principes, mais des races. Je m’en aperçus : il serait vain de vouloir améliorer les lois et les institutions avant que d’avoir réussi à exterminer la haine mortelle qui maintenant divise les habitants du Bas-Canada en deux groupes hostiles : Français et Anglais.» :ord Durham, 1839 La tranquillité de chacune des provinces de l’Amérique du Nord, à cause des conflits entre l’Exécutif et les représentants du peuple, était sujette aux discordes continuelles. Les Constitutions de ces colonies, le caractère officiel et la position des rivaux, l’objet avoué de leurs querelles, les principes soutenus de part et d’autre, tout cela était si semblable que je dus adopter l’opinion commune que la querelle généralisée était la conséquence de quelque défaut identique de ces provinces. Je la regardai comme une de ces querelles auxquelles nous ont habitués l’histoire de l’Europe et la connaissance des hommes : une querelle entre un peuple qui demande un accroissement des privilèges populaires d’un côté, de l’autre, un Exécutif qui défend les prérogatives qu’il estime nécessaires au maintien de l’ordre. […] Par suite des circonstances spéciales où je me trouvai, j’ai pu faire un examen assez juste pour me convaincre qu’il y avait eu dans la Constitution de la province, dans l’équilibre des pouvoirs politiques, dans l’esprit et dans la pratique administrative de chaque service du Gouvernement, des défauts très suffisants pour expliquer en grande partie la mauvaise administration et le mécontentement. Mais aussi j’ai été convaincu qu’il existait une cause beaucoup plus profonde et plus ra dicale des dissensions particulières et désastreuses dans la province – une cause qui surgissait du fond des institutions politiques à la surface de l’ordre social –, une cause que ne pourraient corriger ni des réformes constitutionnelles ni des lois qui ne changeraient en rien les éléments de la société. Cette cause, il faut la faire disparaître avant d’attendre le succès de toute autre tentative capable de porter remède aux maux de la malheureuse province. Je m’attendais à trouver un conflit entre un gouvernement et un peuple ; je trouvai deux nations en guerre au sein d’un même État ; je trouvai en lutte, non des principes, mais des races. Je m’en aperçus : il serait vain de vouloir améliorer les lois et les institutions avant que d’avoir réussi à exterminer la haine mortelle qui maintenant divise les habitants du Bas-Canada en deux groupes hostiles : Français et Anglais.» • Inconvénients : • Très peu de pouvoirs aux électeurs • Immenses pouvoirs au premier ministre • Les Patriotes voulaient plus et autre chose : américaniser les institutions québécoises.

  10. Inconvénients : • Très peu de pouvoirs aux électeurs • Immenses pouvoirs au premier ministre • Les Patriotes voulaient plus et autre chose : américaniser les institutions québécoises.

  11. Inconvénients : • Très peu de pouvoirs aux électeurs • Immenses pouvoirs au premier ministre • Les Patriotes voulaient plus et autre chose : américaniser les institutions québécoises.

  12. Voulaient-ils le gouvernement responsable ? Issus du commerce, des villes, anglophones Issus du monde rural, francophones s

  13. s

  14. Robert Baldwin (1804-1858) Baldwin to Glelelg, uil 13, 1836, Appendix to The Journals of the Houseof Assembly of Upper Canada from the 8th day of November, 1836 to the 4th day of March 1837 The making the Legislative Council elective might convert that body into an additional engine of hostility against the Executive Government; but could never supersede the necessity for the concession of the principe contented for.

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