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Faut-il séquencer le traitement de Helicobacter pylori ?

Faut-il séquencer le traitement de Helicobacter pylori ?. Objectif : comparer le traitement séquentiel à la trithérapie classique Méthode : étude prospective, randomisée en double aveugle. 5 jours . 5 jours . Pantaprozole + amoxicilline + placebo.

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Faut-il séquencer le traitement de Helicobacter pylori ?

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Presentation Transcript


  1. Faut-il séquencer le traitement de Helicobacter pylori ? • Objectif : comparer le traitement séquentiel à la trithérapie classique • Méthode : étude prospective, randomisée en double aveugle 5 jours 5 jours Pantaprozole + amoxicilline + placebo Pantaprozole + clarithromycine + tinidazole 500 mg x 2/j 40 mg x 2/j 1g x 2/j 40 mg x 2/j 500 mg x 2/j Randomisation 10 jours Pantaprozole 40 mg x 2/j + amoxicilline 1g x 2/j + clarithromycine 500 mg x 2/j • Conclusion : le traitement séquentiel est plus efficace que la trithérapie classique, particulièrement en cas de résistance à la clarithromycine UEGW 2007 - D’après Vaira ER. et al., Gut 2007;56 (suppl III):A35

  2. Syndrome de l’intestin irritable : avec ou sans fibre ? • Objectif : comparer les effets des différents types de fibres dans le syndrome de l’intestin irritable (SII). • Méthode : essai randomisé versus placebo en médecine générale. 10 g/j fibres solubles (psyllium), n = 85 Randomisation(n = 275) 10 g/j fibres insolubles (son), n = 97 pendant 12 semaines 10 g/j placebo (farine de riz), n = 93 Critère principal : soulagement adéquat des douleurs et de l’inconfort • Résultats : à 2 mois, risque relatif de soulagement plus élevé dans le groupe psyllium que dans le groupe placebo (RR : 1,44 ; IC95 : 1,04-2). Pas de différence entre le son et le placebo à 1, 2 et 3 mois. • Conclusion : le psyllium (fibres solubles) est efficace pour diminuer les symptômes dans le SII tandis que le son (fibres insolubles) est inefficace UEGW 2007 - D’après Bijkerk J. et al., Gut 2007;56 (suppl III):A52

  3. Quels traitements pour prévenir le cancer colorectal dans la rectocolite hémorragique ? • Méthode : revue de la littérature et méta-analyse des essais ayant évalué l’efficacité des médicaments susceptibles de prévenir le cancer colorectal chez les sujets atteints de rectocolite hémorragique. • Résultats • Conclusion : le 5-ASA, l’acide ursodésoxycholique et une supplémentation en folates sont efficaces pour prévenir le développement d’un cancer colorectal. À noter : le 5-ASA était inefficace pour prévenir la survenue d’une dysplasie dans les deux seules études disponibles. UEGW 2007 – D’après Ledro-Cano D et al. Gut 2007; 56(Suppl): A67

  4. Quelle est la conduite à tenir devant la découverte d’une dysplasie au cours de la surveillance endoscopique d’une MICI ? • Objectif : préciser la conduite à tenir en cas de découverte d’une dysplasie au cours de la surveillance d’une MICI. • Méthode : étude rétrospective monocentrique ayant inclus 214 malades chez qui une surveillance endoscopique a été réalisée entre 1998 et 2005. • Résultats • Conclusion : les dysplasies de bas grade et borderline pourraient relever d’une surveillance endoscopique étroite. Les dysplasies de haut grade et les DALM sont à haut risque de cancer colorectal. UEGW 2007 – Dhanda AD et al. Gut 2007;56(Suppl): A68, actualisé

  5. Incidence des lymphomes au cours des MICI : résultats préliminaires de l’étude nationale CESAME • Rationnel : alors que les études de population n’ont pas retrouvé de surrisque de lymphomes au cours des MICI, une méta-analyse a suggéré une augmentation du risque de lymphomes chez les patients atteints de MICI traités par analogues des purines. • Méthode : étude prospective nationale CESAME menée entre mai 2004 et mai 2005, ayant inclus 20 802 malades suivis par 821 médecins. Respectivement 14,5 % et 29,8 % des sujets inclus avaient été traités ou recevaient un traitement par thiopurines pendant l’étude. Seuls les cancers dont le diagnostic histologique était posé plus de 3 mois après l’inclusion dans la cohorte CESAME étaient pris en compte dans l’analyse. • Résultats : 16 cas incidents de lymphomes (1 Hodgkin et 15 LMNH) 12 cas sont survenus chez des patients traités par azathioprine et majoritairement chez des sujets jeunes. • Conclusion : les sujets atteints de MICI, surtout s’ils ont été traités par azathioprine, présentent un risque accru de développer un lymphome3 UEGW 2007 – Beaugerie L et al. Gut 2007;56(Suppl): A68, actualisé

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