1 / 60

Le Haut Atlas marocain

Le Haut Atlas marocain. La vallée d’Aït Bougmez Douar d’Imelghas : le vallon d’Ansous. Le vallon d’Ansous. L’affluent rive droite de l’assif d’Ansous (flèche bleue) et son affluent rive gauche (flèche rouge). La rive droite de l’assif d’Ansous. Genévriers thurifères et ruches.

asis
Download Presentation

Le Haut Atlas marocain

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Le Haut Atlas marocain La vallée d’Aït Bougmez Douar d’Imelghas : le vallon d’Ansous

  2. Le vallon d’Ansous. L’affluent rive droite de l’assif d’Ansous (flèche bleue) et son affluent rive gauche (flèche rouge).

  3. La rive droite de l’assif d’Ansous. Genévriers thurifères et ruches.

  4. L’affluent rive droite de l’assif d’Ansous (flèche).

  5. Photo 1/2. La rive gauche de l’assif Ansous.

  6. Photo 2/2. L’affluent rive gauche de l’assif d’Ansous(flèche).

  7. Vers 2000 m. d’altitude. La forêt de genévriers et les plantes en coussinets. L’érosion diffuse concerne d’importantes surfaces.

  8. La sédimentation dans les chenaux et leur creusement • Les crues provoquent des dépôts de sédiments dans le chenal de l’assif d’Ansous et le sapement des digues. • La protection des terres cultivées et des habitations contre les débordements lors des crues nécessite un entretien régulier du chenal. • Le coût de cet entretien peut être diminué par l’utilisation d’engins de terrassement (qui commencent à être utilisés localement) et par la définition collective de zones de dépôt pour les sédiments curés.

  9. L’assif du vallon d’Ansous rejoint l’assif Aït Hakim au niveau du douar d’Imelghas. Le chenal sert de chemin d’accès et il est aussi utilisé pour le transit de l’eau d’un canal d’irrigation.

  10. Les alluvions qui se déposent dans le chenal lors des crues sont extraites à la main et déposées sur les deux berges, ce qui conduit à leur surélévation.

  11. Le chenal est bordé de murs en pierres sèches pour éviter les débordements dans les terres cultivées lors des crues. Des canaux d’irrigation sont alimentés par des prises sommaires (flèche).

  12. Section endiguée du chenal.

  13. Photo 1/2. Prise pour un canal d’irrigation : vue de l’amont.

  14. Photo 2/2. Prise pour un canal d’irrigation : détail. Le canal passe sous la digue bordant l’assif.

  15. Photo 1/3. Des dépôts alluvionnaires récents ont augmenté le risque de débordement dans cette section du chenal.

  16. Photo 2/3. Protection sommaire en branches de genévriers pour lutter contre un sapement de berges menaçant des champs cultivés.

  17. Photo 3/3. Le sapement de berges dans les alluvions peu consolidés.

  18. La création de terrasses irriguées • La création de terrasses irriguées le long de l’assif d’Ansous nécessite la mise en place de digues transversales et d’une digue longitudinale. • Ces aménagements améliorent la production agricole, mais ils réduisent la zone d’épandage naturel de l’assif. • L’utilisation d’engins de terrassement facilite la création de telles terrasses, mais elle risque d’ aggraver les dégâts des crues en aval.

  19. Photo 1/3. Un épi transversal en pierres sèches et en terre et des digues longitudinales en gabions ont permis de créer une terrasse irriguée dans le lit de l’assif. Au premier plan, un canal d’irrigation bétonné récemment. La prise qui l’alimente se situe dans le vallon rive gauche, plus en amont.

  20. Photo 2/3. Vue vers l’amont de la digue transversale, depuis l’intérieur de la terrasse plantée en pommiers.

  21. Photo 3/3. Pommier planté dans les terres récupérées. Un bourrelet de terre circulaire améliore l’alimentation en eau de l’arbre.

  22. L’utilisation d’engins de terrassement a facilité la création d’une nouvelle terrasse irriguée à proximité des terrasses précédentes.

  23. Photo 1/4. Le canal bétonné alimente les terrasses irriguées. Il est couvert pour traverser une petite ravine affluente rive gauche de l’assif d’Ansous. Vue montrant les bourrelets de terre (flèche) résultant du curage de cette petite ravine dans la zone d’épandage.

  24. Photo 2/4. Le canal bétonné traverse la branche amont de l’assif d’Ansous.

  25. Photo 3/4. Le chantier de construction du canal bétonné (juin 2006).

  26. Photo 4/4. L’ancien canal (à gauche sur la photo) et le nouveau (à droite).

  27. L’aménagement des zones d’épandage naturel • Des murettes en pierres sèches couvrent une petite zone en bas de versant. Une aide publique apportée aux agriculteurs pour leur restauration pourrait améliorer la productivité agricole et fixer davantage de sédiments. • Les cônes de déjection des deux affluents de l’assif d’Ansous constituent des zones d’épandage qui retiennent déjà une partie des sédiments lors des crues. Des aménagements permettraient d’améliorer la fixation de sédiments et d’augmenter la production de ressources fourragères.

  28. Photo 1/3. Cultures de céréales sur des terrasses.

  29. Photo 2/3. Champ de céréales après la moisson (juin 2006). Les rendements sont faibles.

  30. Photo 3/3. Murettes en pierres sèches en cours de dégradation

  31. Terrasses (céréales, pommiers) à proximité de l’azib (bergerie, ferme d’altitude) situé à 2000 m. d’altitude.

  32. Les seuils en gabions • Des seuils en gabions ont été construits par l’administration sur l’affluent rive gauche de l’assif d’Ansous. • Ces seuils n’ont pas résisté aux crues et ont été détruits avant les pluies catastrophiques d’octobre 2006. • L’intérêt de construire de tels seuils en gabions sur une ravine importante est faible.

  33. Photo 1/5. Ravine du vallon rive gauche. Seuil en gabions détruit par une crue (juin 2006).

  34. Photo 2/5. Détail.

  35. Photo 3/5.

  36. Photo 4/5. L’aile rive droite du seuil subsiste. La ravine passe à gauche (flèche).

  37. Photo 5/5. Vue de l’aval.

  38. Les zones d’épandage • Les zones d’épandage naturel sont surtout constituées par les cônes de déjection des deux affluents de l’assif d’Ansous. • Le traitement des petites ravines (gommage) permettrait de fixer encore davantage de sédiments dans ces zones et d’améliorer la production fourragère. • Les outils correspondants sont les seuils biologiques s’appuyant sur de petits ouvrages en pierres sèches ou utilisant des branchages.

  39. Photo 1/3. Cet affluent traverse une zone d’épandage boisée (cône de déjection) avant sa confluence avec l’assif d’Ansous (flèche).

  40. Photo 2/3. Détail du cône de déjection.

  41. Photo 3/3. La forme en double cône des genévriers résulte du broutage par le petit bétail.

  42. Photo 1/3. Sur le cône de déjection, les arbres contribuent à la sédimentation.

  43. Photo 2/3.

  44. Photo 3/3.

  45. Photo 1/3. Le cône de déjection situé en aval du vallon situé rive droite. Seuils en pierres sèches sommaires.

  46. Photo 2/3.

  47. Photo 3/3.

  48. Le cône de déjection est pâturé.

  49. Ebranchage de genévriers par les bergers.

  50. Photo 1/2. Petite ravine entaillant la zone d’épandage.

More Related