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L’économie et son domaine

L’économie et son domaine. Les fondements de la connaissance économique de base sont à rechercher dans 3 directions : l’analyse de l’objet de la science économique la présentation des grands axes de l’histoire de la pensée économique l’examen des principaux systèmes économiques.

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L’économie et son domaine

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Presentation Transcript


  1. L’économie et son domaine Les fondements de la connaissance économique de base sont à rechercher dans 3 directions : l’analyse de l’objet de la science économique la présentation des grands axes de l’histoire de la pensée économique l’examen des principaux systèmes économiques

  2. L’économie étudie la façon dont les individus ou les sociétés utilisent leurs ressources rares en vue de satisfaire au mieux leurs besoins illimités. Ces besoins et leurs satisfactions constituent la raison et le but de l’activité économique.

  3. L’objet de la science économique Les caractéristiques des besoins La multiplicité La satiabilité L’interdépendance L’intensité d’un besoin diminue au fur et à mesure qu’il est satisfait ; au-delà d’une certaine intensité de satisfaction, le besoin se trouve saturé. Les besoins sont souvent substituables, même imparfaitement, les uns aux autres. Certains sont même complémentaires. D’une manière générale, ils sont interdépendants. A côté des besoins vitaux (manger, se vêtir, se loger…) apparaissent sans cesse de nouveaux besoins liés tant au caractère propre à chaque individu qu’à l’environnement économique, social et culturel

  4. Les biens économiques sont les moyens qui permettent de satisfaire les besoins.

  5. Les critères de classification des biens Biens matériels Ce sont des produits physiques Nature physique des biens Services : Produits qui ne se concrétisent pas par l’apparition d’un bien matériel (exp : service bancaire) Biens de consommation : ils permettent de satisfaire directement les besoins des consommateurs ; également appelés biens finals Utilisation des biens issus de la production Biens de production : ils permettent d’obtenir d’autres biens, mais ne sont pas détruits au premier usage. Biens intermédiaires : produits bruts dont la transformation et la combinaison donneront lieu à un bien de production ou à un bien de consommation.

  6. Pour résoudre le conflit entre l’existence par nature illimitée des besoins et le caractère limité des biens, l’homme doit procéder à des choix économiques. Ces choix s’effectuent à l’occasion de trois grands moment de la vie économique : la production, la répartition, la dépense.

  7. Les principaux choix économiques relatifs à … • Quoi produire ? Comment déterminer la nature et la quantité des biens à produire pour assurer la satisfaction d’une société donnée ? • Comment produire ? A partir de quelles ressources (ou facteurs de production) peut-on produire des biens et des services ? De plus, quelle méthode de production la firme doit-elle adopter ? … la production • Pour qui produire ? A qui est destinée la production ? §La répartition est-elle effectuée en fonction de l’intensité et de la compétence de l’activité de chacun ou de priorités définies par la puissance publique ? • Comment répartir le revenu obtenu grâce à la production ? Quelle sera la part respective des salaires (facteur travail), des intérêts (facteur capital) et du profit (rémunération du risque d’entreprendre ) ? … la répartition • Que faire des revenus distribués ? Effectuer une dépense immédiate, la consommation, ou une dispense différée, l’épargne ? • Quels types de biens acheter ? Des biens de production (ou d’investissement) ou des biens de consommation ? … la dépense

  8. La science économique est la science de l’administration des ressources rares. Elle analyse et explique les modalités selon lesquelles un individu ou une société affecte des moyens limités à la satisfaction de besoins nombreux et illimités. Pour cela la science économique s’appuie sur 3 démarches profondément différentes mais complémentaires : • La micro- économie • La macro-économie • La méso-économie

  9. Les méthodes de la science économique La micro-économie Analyse des comportements individuels La macro-économie Analyse des comportements collectifs et globaux La méso-économie Analyse des groupes qui ont le pouvoir d’influencer la destinée de l’économie nationale

  10. Les grands courants de la pensée économique • Le courant libéral • Le courant marxiste • Le courant Keynésien

  11. Les traits essentiels de la pensée libérale classique L’individualisme L’affirmation de la liberté économique La permanence de l’équilibre économique Le marché constitue le régulateur le plus efficace de l’activité économique ; à l’inverse, l’intervention de l’Etat est fâcheuse sauf lorsqu’elle a pour mission de supprimer les entraves au libre jeu des mécanismes économiques. Selon les classiques, un système économique conduit par le principe de la liberté économique tend naturellement vers l’équilibre. Lorsque celui-ci n’est pas spontanément atteint, les prix s’ajustent à la hausse ou à la baisse pour le réaliser. L’être humain est mû par la recherche de son intérêt personnel et par le désir d’obtenir le maximum de satisfaction. Cette recherche s’appuie sur des droits de propriété individuels et privés.

  12. La pensée libérale néo-classique L’approche micro-économique Les particularités de la pensée libérale néo-classique La notion de l’équilibre général La valeur d’un bien dépend non de son coût de production mais de l’utilité qu’un consommateur lui accorde; ce dernier va donc chercher à maximiser l’utilité retirée de sa consommation. Le concept d’ »utilité marginale » va permettre de construire la rationalité néo-classique qui donnera naissance à l’ »homo-oeconomicus ». • Comme chez les auteurs classiques, l’équilibre est ici postulé; mais avec les néo-classiques, cet équilibre existe à un double niveau : • Au niveau de chaque individu quelle que soit sa fonction économique (consommateur ou producteur) • et au niveau de chaque marché. • C’est cet équilibre général qui fait de l’analyse néo-classique une véritable mécanique

  13. Depuis les années 70, le courant libéral s’est incarné dans des écoles nouvelles, principalement américaine : • L’école de Chicago ou le courant monétariste avec M. Friedman, qui démontre le rôle déstabilisateur à court terme de la monnaie dans le domaine des pris ou des changes. • L’école des choix publics avec notamment J. Buchanan, qui cherche à établir une méthode de choix qui optimiserait l’efficacité des transferts sociaux. • L’école de l’économie de l’Offre où A. Laffer montre le caractère dissuasif de niveaux d’imposition trop élevés sur le travail, l’épargne et l’investissement. • La nouvelle école classique qui, avec J. Muth notamment, introduit les anticipations rationnelles des agents dans les décisions économiques.

  14. Les axes de la pensée de Keynes Une analyse Macro-économique L’existence possible d’une situation durable d’équilibre de sous-emploi Une intervention nécessaire de l’Etat A la différence des auteurs libéraux qui analysaient les comportements individuels, Keynes s’intéresse aux décisions collectives des groupes d’agents. La théorie keynésienne détermine ainsi le niveau global du revenu et de l’emploi, c’est-à-dire des agrégats nationaux Une économie peut évoluer durablement dans une situation d’équilibre avec un sous-emploi des facteurs de production. Cet équilibre, insatisfaisant sur le plan social, n’en est pas moins à priori probable. En cas de dépression économique durable, l’Etat doit se substituer aux entreprises défaillantes en matière d’investissement et d’embauche. Il est donc conduit à mener des « politiques économiques ».

  15. Les fondements de la pensée marxiste dans le domaine économique La notion de plus-value Les contradictions du capitalisme La propriété collective des moyens de production Pour Marx, la seule source de profit du capitalisme est l’exploitation des ouvriers. La différence entre le salaire versé à l’ouvrier et la valeur que son travail permet d’ajouter au produit est appelée « plus-value ». En recherchant toujours plus de plus-value, notamment par le maintien des salaires bas, les capitalistes provoquent la paupérisation de la classe ouvrière et bloquent le système économique. C’est cette contradiction, fatale pour le capitalisme, qui assure l’avènement du socialisme La propriété privée des moyens de production doit être abolie et remplacée par une appropriation collective.

  16. Modèle d’organisation de la société et système économique

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