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Marie-Suzanne Chatry-Lerat a publié sous le pseudonyme de Paule Castaly Un recueil de poème intitulé « La Petite cloche

Marie-Suzanne Chatry-Lerat a publié sous le pseudonyme de Paule Castaly Un recueil de poème intitulé « La Petite cloche monotone ». Vous pouvez lire tous ces poèmes en cliquant sur la rubrique « tous les poèmes » de la page d’accueil

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Marie-Suzanne Chatry-Lerat a publié sous le pseudonyme de Paule Castaly Un recueil de poème intitulé « La Petite cloche

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Presentation Transcript


  1. Marie-Suzanne Chatry-Lerat a publié sous le pseudonyme de Paule Castaly Un recueil de poème intitulé « La Petite cloche monotone »

  2. Vous pouvez lire tous ces poèmes en cliquant sur la rubrique « tous les poèmes » de la page d’accueil Vous pouvez aussi écouter 42 compositions pour piano de Paule Castaly interprétées par Sylvaine Wiart en cliquant sur « compositions pour piano » Pochette du CD Rom Auparavant,vous êtes invités à lire quelques documents sur sa poésie dans les pages suivantes

  3. PAULE GASTALY LA PETITE CLOCHE MONOTONE Collection « à l’écoute des sources » EDITIONS SAINT-GERMAIN-DES-PRES Paris - 1988

  4. Voici des poèmes émouvants, clairs et accessibles, rassemblés en un choix qui s’étend sur une quarantaine d’années. S’y perpétuent des accents tourmentés appelant un Dieu impossible à atteindre et pourtant pressenti si proche. Cette foi est belle qui peut donner un sens à la souffrance. De très belles pages sur le Christ constituent des moments forts de cet ensemble très attachant et d’une rigueur d’écriture exemplaire. Les Editeurs Rien de surprenant à ce que la poésie de Paule Castaly soit dite par des trouvères de ce temps et fascine ceux qui l’écoutent: elle est « musique », comme disait d’elle Marie Noël qui l’aimait. Joie et souffrance y font d’émouvants contrepoints, de mots, de timbres, de silence. La souffrance, d’ailleurs, comme le note Paule Castaly, y est « transcendée dans l’épanouissement de la création poétique et l’approche de l’Absolu. » Née en 1910, Paule Castaly s’estime « privilégiée » d’avoir rencontré l’art dès son enfance « Mon père traduisait sur ses toiles la beauté du monde, dans lequel il me faisait pénétrer, et tirait de son violon des sons miraculeux dont la vibration m’ébranlait jusqu’au tréfonds de l’être. Dilatée par l’admiration de ce qu’il me faisait découvrir, j’étais prête à accueillir toute vision de beauté, toute sensation musicale, avec une attention profonde, bien proche de la contemplation. » Le titre que Paule Castaly a donné à ce recueil est celui d’un air populaire russe chanté par les Cosaques du Don. Paul Lerat

  5. Robert Garric, le promoteur des Equipes Sociales, l'un des maîtres, en Sorbonne, de Paule Castaly, fut l'un des premiers à lire et à aimer ses chants d'avant 1957. Il en goûtait "beaucoup", écrivit-il, "la poésie fine et spirituel­le". Lui qui fut le premier à souhaiter la publication de LA PETITE CLOCHE MONO­TONE trouverait sans nul doute bien regrettable qu'elle ait tardé une trentaine d'années. D'autant plus qu'il fut loin d'être la seule grande âme de ce temps à aimer le chant de Paule Castaly. Un soir de février 1962, Marie Noël, dans l'hiver de sa vie, se fit lire, n'y voyant plus, onze poèmes de Paule Castaly. Tout de suite elle eut envie de faire savoir à leur auteur le plaisir qu'elle avait eu à les entendre: le soir même, sa secrétaire le lui écrivait. La lettre disait, notamment, ceci : "On ne peut demander à Marie Noël d'analyser ses impressions: elle ne le fait jamais, même pour un livre; c'est son plaisir qui est sa réponse. Elle a aimé votre mu­sique si coulante avec, peut-être, une préférence pour celle de l'Arbre". Et, pour que cette lettre ne parte pas sans quelque chose d'écrit de sa main, Marie Noël, en bas de page, traça ces lignes, à tatons : « J’aime aussi le Vendredi Saint. Sympathie. Marie Noël. » Ce chant-là et les deux autres, d'inspiration chrétienne, qui constituent la trilogie de L'ITINERAIRE, devaient être, dans la même période, appréciés également par Daniel Rops, Directeur d'Ecclesia. Il les estimait "aussi réussis que les précédents", un ensemble de poèmes sans "aucun caractère religieux" - pour reprendre son expression - que l'auteur franciscain Adalbert Hamann avait tenu à lui faire connaître et auquel l'académicien n'avait manqué d'être sensible: "Ces poèmes sont beaux, mon Révérend", lui avait-il écrit. "Touché" par des "accents" de Paule Castaly, Pierre Seghers lui écrivit, dès janvier 1956 : "Que votre vers s'ordonne selon un classicisme souple ou s'imprègne de fantaisie, vous savez toujours émouvoir". "Elle a le don de poésie", disait d'elle, en 1958, Raymond Escholier dans une correspondance à sa belle-fille. "Tout est ici délicat, discret, secret". Andre Dhotel écrivit, en 1960, à Paule Castaly : "J'ai trouvé, dans les poèmes, des accents qui saisissent d'autant plus qu'ils viennent au travers d'une forme très simple et très pure. Je vous remercie de m'avoir fait connaître votre poésie, que je trouve directe et bien étrangère à tous ces détours que je n'aime pas dans l'actuelle littérature".

  6. Jusqu'à l'édition de ce recueil, Paule Castaly n'a eu que peu de lecteurs : parmi les textes que voici, quelques-uns seulement ont paru dans des revues. Fait assez rare, en ce temps, pour être souligné, la poésie de Paule Castaly aura eu, jusqu'en 1987, plus d'auditeurs que de lecteurs, la Compagnie des Nouveaux Troubadours l'ayant, dès 1962, inscrite à son répertoire et dite, avec d'autres oeuvres poétiques contemporaines, en de nombreuses régions de France, dans des lieux de rencontres d'été, en milieux rural, scolaire, étudiant, à Avignon aussi - une année, en marge des trois spectacles de la Cour d'Honneur, avec l'accord de Jean Vilar (ce fut, en somme,le premier "off") et une autre, beaucoup plus tard, au Verger, dans Ie cadre du Festival dit in". Rien de surprenant à ce que la poésie de Paule Castaly ait la faveur de trouvères de notre temps: il y a en elle, ainsi que l'écrivit Jean Collet, en 1964, à propos de MARlENBAD, poème dédié à Alain Resnais : "un rythme, une musicalité qui touchent beaucoup. C'est très beau". Dans un des premiers numéros des Cahiers de Poésie, la revue des Nouveaux Troubadours, Claude-Henri Rocquet, le futur auteur de L'AUBERGE DES VAGUES, découvrit, en 1962, a côté de ses premiers poèmes, plusieurs chants de Paule Castaly. Il écrivit à la rédaction de la revue: « Qui est Paule Castaly ? Il y a une fraîcheur, une naïveté très sûre, une délicatesse de chant, une justesse d'image, une présence » A suivre" Qui est donc Paule Castaly ? Une femme si donnée à ses proches, à ses enfants, petits-enfants et, pédagogue née, à ses élèves et étudiants de Lettres classiques et de Cinéma, qu'elle ne s'est jamais sérieusement occupée de faire connaître sa poésie (pas plus d'ailleurs qu'une oeuvre musicale foisonnante, qu'elle a composée au piano, enregistrée, heureusement, sur un petit magnétophone, ce qui a permis de la transcrire et de la faire connaître grâce à l’interprétation magistrale de Sylvaine Wiart que l’on peut écouter sur ce site. L'édition, tant souhaitée par d'autres qu'elle, du recueil « La Petite cloche monotone » en 1988 ainsi qu'un récital, consacré à ses seuls poèmes, par la Compagnie Paul Lera - Paule d'Heria, ont permis à la poésie de Paule Castaly d'appareiller pour ce grand large humain qui, de toute évidence, l'appelle. Internet, 20 ans après, va relayer les efforts des troubadours. (Eléments recueillis par Paul Lera)

  7. II N° 15 Blanc nénuphar N° 16 Chanson blanche N° 17 Ne nous est-il donné N° 18 O mon enfance N° 19 Puits où tremble une image N° 20 Si tu me chantes ton enfance N° 21 Dedans mon cœur N° 22 Printemps vénitien N° 23 Je suis riche du clair de ne N° 24 Je ferai de la beauté N° 25 Les mots sont comme des notes N° 26 Aux plis des mémoires N° 27 Esquisses N° 28 Ecoute N° 29 la femme est devant sa fenêtre N° 30 Herbes frissonnantes N° 31 O grande respireuse N° 32 Le vent roule N° 33 Mes songes N° 34 Gros plan N° 35 Issu de combien de sources TABLE DES POEMES I N° 1 La petite cloche monotone N° 2 Mystère N° 3 L’eau court N° 4 Le souvenir hélas! N° 5 Convalescence N° 6 L’or sommeille N° 7 Le soleil sous la mer N° 8 Pourquoi m’avoir condamnée N° 9 Ton visage N° 10 Evocation N° 11 A la manière de Mallarmé N° 12 De!phes N° 13 Sur le thème d’Alceste N° 14 Marienbad

  8. IV 48 Loin de toi Seigneur .... 49 Ombre et lumière 50 Complainte de ceux que l’amour mène 51 A mes enfants 52 Itinéraire I le voyage 53 Itinéraire II l’arrivée 54 Itinéraire III Le repos 55 Dans le calme du soir 56 Par l’automne multiplié 57 Cloche ébranlée 58 Donnez-moi Seigneur .... . . 59 Sais-tu ce qu’est l’amour 60 Notre Dame de la nuit 61 Je devrais courir 62 J’ai des sanglots plein le coeur 63 O Toi dont la parole 64 Je m’éveille 65 C’est sur fond de nuit 66 O Toi qui détient mon bonheur 67 D’absence vague je creuse 68 En écoutant les cloches 69 J’ai chanté 70 Elle s’endormait 71 Mon arbre III N° 36 Puits où tremble N° 37 Toutes les perles N° 38 Dans la zone N° 39 Complainte des coeurs orphelins N° 40 Le tourbillonnement des feuilles N° 41 Qui a coupé su mes pieds nus N° 42 Je cherche dans ma mémoire N° 43 O paroles ineffaçables N° 44 Complainte des coeurs blessés N° 45 Je me suis promenée N° 46 Les mains trop lasses N° 47 Chanson de ténèbres

  9. Poèmes postérieurs à l’édition du recueil 72 La fête va bientôt finir 73 Tout au fond de mon coeur 74 Le soleil avec l'ombre joue 75 La souvenance 76 Les longs gémissements 77 Le ciel est tendu

  10. Vous pouvez lire tous ces poèmes en cliquant sur la rubrique « tous les poèmes » de la page d’accueil Vous pouvez aussi écouter les compositions pour piano de Paule Castaly interprétées par Sylvaine Wiart en cliquant sur « compositions pour piano » Pochette du CD Rom Fermer pour retourner à la page d’accueil

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