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Ville de Sète - Décembre 2006

Évaluation du Contrat de Ville de Sète - Frontignan. Ville de Sète - Décembre 2006. Sommaire. Analyse quantitative (rappels) Analyse qualitative Les thématiques Le fonctionnement. Analyse quantitative. Aspects généraux. 297 actions menées entre 2000 et 2005

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Ville de Sète - Décembre 2006

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Presentation Transcript


  1. Évaluation du Contrat de Ville de Sète - Frontignan Ville de Sète - Décembre 2006

  2. Sommaire • Analyse quantitative (rappels) • Analyse qualitative • Les thématiques • Le fonctionnement

  3. Analyse quantitative

  4. Aspects généraux • 297 actions menées entre 2000 et 2005 • 278 actions de fonctionnement, dont 25 ne sont pas renseignées et n’ont pu être prises en compte • 19 actions d’investissement • Le coût total des 272 actions s’élève à 27 959 935 € : • 14 911 212 € de dépenses de fonctionnement soit environ 53% • 13 048 723 € d’investissement soit 47% • 54 porteurs de projet différents • 15 actions communes à Sète et Frontignan

  5. Synthèse générale des dépenses de fonctionnement • Le coût total s’élève à 14 911 212 € soit 53% des coûts totaux engagés entre 2000 et 2005 • 93% des actions (soit 253 sur 274) • Un coût moyen par action de 58 938 € • 47 actions sont portées par la ville, ce qui représente environ 29% des sommes versées pour 19% du nombre d’actions

  6. Répartition par thématique prioritaire

  7. Répartition par thématique prioritaire

  8. Synthèse générale des dépenses d’investissement • Le coût total s’élève à 13 048 723 € soit 47% des coûts totaux engagés entre 2000 et 2005. • 7% des actions (soit 19 sur 272) • Un coût moyen par action de 686 775 € • 13 actions sont portées par la ville, soit 68% du nombre total, et représentent 60% du coût total (soit 7 878 388 €)

  9. Répartition par thématique prioritaire

  10. Liste des actions d’investissement Action Opérateur Coût % coût total Plongée pour tous Odyssée 12 312 € 0,1% Equipement ECOLEM CLJ 72 953 € 0,6% pour le CLJ Aménagement des locaux SUS 132 867 € 1% pour l'accueil de jour Restructuration des pieds ODPHLM 3 252 203 € 24,9% d'immeubles "Le Cannas" Aménagement de locaux OHLM 500 000 € 3,8% socio-éducatifs Le Globe Aménagement de locaux OHLM 1 200 000 € 9,2% socio-éducatifs Le Cannas

  11. Liste des actions d’investissement Action Opérateur Coût % coût total Aménagement de placettes Commune 111 198 € 0,9% quartier haut Aménagement du quai Commune 695 000 € 5,3% Vauban Etude de réhabilitation pour Commune 370 000 € 2,8% l ’école Renaissance Aménagement place de l’IIe Commune 201 182 € 1,5% de Thau Extension de La Passerelle Commune 635 507 € 4,9% Aménagement de l’aile est Commune 28 988 € 0,2% de l’école Renaissance Développement des NTIC Commune 1 380 233 € 10,6% dans les médiathèques

  12. Liste des actions d’investissement Action Opérateur Coût % coût total Classe dortoir REP Commune 583 280 € 4,5% Equipement informatique Commune 188 400 € 1,4% maternelles et primaires Réhabilitation espaces publics Commune 388 440 € 3% de l’IIe de Thau Plateau multisports Commune 392 000 € 0,3% école A. France Mobilier école maternelle Commune 168 265 € 1,3% Michelet Travaux de réhabilitation Commune 3 088 695 € 23,7% école Renaissance

  13. Évaluation qualitative Analyse qualitative

  14. Développement social et cohésion sociale • Il s ’agit incontestablement de l’axe fort du CDV de Sète, avec un total de 167 actions et 16,4 M€. • Parmi les 13 actions d’investissement (8,7 M€), 11 sont consacrées à des aménagements, matériels et équipements de structures socio-éducatives, et 10 sont portées par la commune. • Il est regrettable que la mise en place d’un CEL n’ait pu se réaliser, car il aurait pu constituer un des éléments permettant se structurer, coordonner et animer les actions, point faible de cette thématique. • La mise en œuvre du CTL se fait de façon indépendante, et plus globalement les liens avec la politique jeunesse de la ville sont très limités : un fonctionnement cloisonné, comme

  15. Développement social et cohésion sociale le montre la faible participation des services de la ville. • Les diverses évolutions des centres sociaux - la Paix Niche, le CS Gabino, le CS Villefranche, du CCAS, de la Maison de quartier, … ont impliqué et impliquent encore des temps de positionnement respectif qui ont limité les possibilités de participations au contrat de ville. • On repère des actions significatives de lutte contre l’illettrisme, d’intégration des migrants, de soutien aux femmes, portées par des opérateurs comme l’IPS, l’ADAIS,… • C ’est le volet culturel qui est le plus développé dans cette thématique, et il concerne tous les publics, avec une préoccupation certaine de favoriser la mixité sociale.

  16. Développement social et cohésion sociale • Deux volets restent particulièrement modestes : • Le sport, avec peu d’opérateurs et peu d’actions, • La santé, avec seulement 3 opérations qui on pu être repérées : celle culoturelle portée par Concerthau en faveur des personnes handicapées, et celles menées par le Secours Urgences Sétoises, seules interventions en terme d ’accueil, conseil, écoute et orientation. • Le lien est à faire entre cette thématique et celle de la prévention et de la sécurité urbaine : des actions de même nature peuvent y être indifféremment inscrites dans l’une ou l’autre.

  17. Emploi, formation professionnelle, développement économique • Il n’y a que 18 actions inscrites dans cette thématique, pour 2,2 M€ environ, et certaines d’entre elles relèvent de la culture, ou du soutien aux parents, ou de la lutte contre l’illettrisme. • Le PLIE, qui n’a pas perduré dans le temps, a eu peu d’influence sur l’atteinte des objectifs du contrat de ville. • A noter également la création récente de la MLI à Sète, qui n’a donc pu participer au contrat de ville 2000/2006. • Le nombre insuffisant d’opérateurs professionnels est mis en avant, et plus particulièrement dans le domaine de la formation, alors que les besoins, et particulièrement parmi les jeunes, sont considérables.

  18. Emploi, formation professionnelle, développement économique • Ainsi, outre le GEIQ BTP, qui lui intervient pour la réalisation de chantiers d’insertion, on ne compte que deux opérateurs qui interviennent dans le domaine de la création et/ou la reprise d’entreprises (RILE et Boutique de gestion). • Les objectifs liés au développement économique ne sont pas traités, sans doute du fait que cette compétence relève de l’agglomération, et que les liens qui permettraient une dynamique dans ce domaine n’existent pas.

  19. Prévention et sécurité urbaine • Dans le cadre de cette thématique, 38 actions toutes de fonctionnement ont été inscrites, en particulier des actions socioéducatives qui auront contribué à une prévention des situations de rupture et d ’échec. Une large place est donnée au travail sur la famille, la parentalité, les relations inter-générations, la citoyenneté chez les enfants et les jeunes... • Au niveau de la prévention des ruptures scolaires, une classe relais a été mise en place dès 2000, au collège V. Hugo. • En matière de sécurité, on relève une seule action, la réalisation d’un diagnostic sécurité portée par la CABT.

  20. Prévention et sécurité urbaine • La prévention des toxicomanies n’a pas été prise en compte dans le contrat de ville. • En matière de justice, l’aide aux victimes aura été travaillée par le biais de la présence de l ’ADIAV qui a porté plusieurs actions successives. • De façon générale, la dimension intercommunale prévue dans la convention thématique n’a pas été mise en œuvre.

  21. Habitat et renouvellement urbain • Comme le montre l’analyse quantitative, il y a 22 actions, dont 19 sont de fonctionnement, liées à l’habitat et au renouvellement urbain. • Les investissements réalisés à Sète pour des aménagements et des équipements socio-éducatifs (sport, culture, scolarité, accueil petite enfance) n’apparaissent pas ici. Ils sont enregistrés dans la thématique Développement social et cohésion sociale. • Une convention de Gestion Urbaine de Proximité a été mise en œuvre sur l’Ile de Thau, portée par la commune, mais en 2003 seulement.

  22. Habitat et renouvellement urbain • Globalement, l’effort a principalement porté sur le logement, à différents titres : aide à la recherche de logement, logement temporaire, accompagnement, et on note la présence de l’association Les Compagnons bâtisseurs, qui travaille à la réhabilitation des logements par les personnes défavorisées. • La commune quant à elle est présente avec le suivi et l’animation de l ’OPAH, et la réalisation d ’un ensemble d ’études préalables en matière d’habitat et de foncier. • De même que sur la prévention et la sécurité, les objectifs intercommunaux : gestion de l’habitat à l’échelle du bassin de vie, faciliter les liaisons urbaines Sète Frontignan… n’ont pas connu de concrétisations.

  23. Fonctionnement • Un tissu associatif local particulièrement présent pour la réalisation des actions du contrat de ville. • Un choix qui permet effectivement d’ancrer et de conforter les structures associatives locales, qui contribuent à l’atteinte de l’objectif de cohésion sociale, mais un manque de coordination, de suivi, de vision globale, qui génère des risques de saupoudrage et de dilution : une même action peut-être conduite par plusieurs opérateurs différents, sans lien entre eux. • Un tissu associatif parfois en situation de rivalité, qui développe des réactions fortes de méfiance.

  24. Fonctionnement • Un manque de moyens d’animation qui a limité les capacités d’intervention et de concertation sur le terrain avec les associations, pour le suivi des actions, des partenariats… • Un chef de projet qui n’a pas été officiellement remplacé après son départ en 2004. • Un appel à projets commun à Sète et Frontignan, formalisé par une réunion commune avec des associations. • Une réunion annuelle d’un comité de pilotage pour valider la programmation. • Un comité de pilotage qui associe politiques et techniciens. De ce fait, le pilotage politique partenarial est faible, et il n’y pas de véritable comité technique opérationnel.

  25. Fonctionnement • Des contacts bilatéraux entre les partenaires, sans réelles modalités de suivi communes. • Cette dissociation a contribué à limiter les démarches communes qui auraient pu se concrétiser entre opéra teurs sur la base d’une mutualisation des moyens, de réflexion commune, de phénomènes de transferts / élargissements, ... • Des procédures administratives jugées trop lourdes, même si l’assistance fournie par la responsable du CDV à la CABT aide grandement les opérateurs.

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