1 / 27

Approvisionnement en eau de notre commune

Approvisionnement en eau de notre commune. Kilian. Laurianne. Jean-Maurice. Donat. Mégane. 5P-6P 2010 - 2011. Historique de l'approvisionnement en eau de notre commune. La première source à Isérables se trouvait sous l’église, on l’appelait source de l’érable.

sloan
Download Presentation

Approvisionnement en eau de notre commune

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Approvisionnement en eau de notre commune

  2. Kilian Laurianne Jean-Maurice Donat Mégane 5P-6P 2010 - 2011

  3. Historique de l'approvisionnement en eau de notre commune

  4. La première source à Isérables se trouvait sous l’église, on l’appelait source de l’érable.

  5. Trois bassins se trouvaient à côté le premier pour l’eau potable, le deuxième pour les lessiveuses et le troisième pour abreuver le bétail. Ces lavoirs ou bassins ont été totalement supprimés à l’occasion de la construction (réfection) du premier tronçon de la route des Moulins menant à Auddes et ont laissé la place au pont actuel sous lequel on a construit un local pour les pompiers et, plus tard, des WC publics.

  6. D’autres petites sources alimentaient également notre village dont celle vers la Fontannaz Bernon. Certaines personnes venaient laver les yeux, elles disaient que c’était une eau bienfaisante, qu’elle remplaçait l’eau de Lourdes.

  7. Il y avait encore la source des « Goliettes », au-dessus du village, vers le Tzépet, qui servait à arroser les champs de cet endroit et qui coulait, lors d’abondance, par le dévaloir appelé « La Creuse » qui descend vers le Cerisier.

  8. La première véritable conduite d’eau potable à Isérables amenait l’eau d’une source de la Combe de Bévieux. Elle a été tirée dans les années 1843 … (2 km de long). Les tuyaux étaient en bois, percé par des forets de deux à trois mètres de long et de six centimètres de diamètre, posés à même le sol. Il fallait souvent arranger, refaire, …) Plus tard, à partir de 1876, ils furent remplacés par des tuyaux en grès et en acier en 1930.

  9. Malgré cet apport, il manquait de l’eau au village, la population augmentant. Entre les années 1845-1859, on a fait venir plusieurs fois des sourciers qui indiquèrent qu’on pourrait trouver de l’eau en creusant des galeries dans le village. L’une se trouve sous le bâtiment de Thérèse Lambiel - actuellement le caveau des Compagnons de la Fondation Pro Asérablos - et l’autre sous le bâtiment de Augustin Gillioz appelé à ce jour le bar des Faustin’s.

  10. Mais le résultat n’était pas satisfaisant : peu d’eau en sortait. Ces grottes font actuellement partie des curiosités locales et attirent aujourd’hui beaucoup de visiteurs lors de la fête du village.

  11. Sur les hauts du village, pour l’arrosage des prés surtout, on avait construit plusieurs bisses à part le bisse de Saxon. La plupart des mayens (Dzoras, Prarions, Valeinaz, etc.) étaient desservis par des petites sources privées ou parfois captées en consortages (plusieurs personnes qui s’entendent pour prendre l’eau d’une telle source)

  12. En 1911-1912, un premier réservoir a été construit au sommet du village, celui-ci étant alimenté par les sources de la Combe du Bévieux. Le trop-plein servait à alimenter l’un ou l’autre bassin du village. C’est à partir de cette époque qu’une bonne partie des bâtiments à Isérables ont été alimenté en eau.  

  13. Premier réservoir, à Sonville

  14. Malgré ces améliorations, l’eau potable était encore insuffisante au village, surtout pendant les périodes de sécheresse. De plus, elle était parfois utilisée pour l’arrosage, les arbres fruitiers (abricotiers surtout) et les jardins potagers remplaçant petit à petit les champs de céréales qui nécessitaient moins d’arrosage. Alors la commune a décidé de faire de nouveaux captages à la Combe du Bévieux et même aux Dzoras (à la Daille).

  15. Chambre de réunion à la Daille, aux Dzoras

  16. Dès lors, il a fallu tirer une conduite amenant toute cette eau jusqu’au nouveau réservoir construit au sommet du village, à Arzay, d’une contenance de 500 m3 = 500.000 litres, dont la moitié est gardée en réserve en cas d’incendie.

  17. Le trop-plein descend à la Faraz en passant par La Crête, La Pontchia et La Golette Ces travaux ont été réalisés entre 1952 et 1956, en profitant de l’essor économique que connaissait notre village grâce à la construction des galeries du Drotché et du Deuvray dans les années 50 – 60.

  18. Pour satisfaire à la demande toujours croissante de la consommation et de l’arrosage et pour mieux desservir certains endroits (Praz, Crêteaux ect…), la commune a décidé de procéder à de nouveaux captages dans la région de Rosey (Arze-Besse), sources qui alimentent actuellement pour le 90% en eau notre village. Les travaux ont duré 5 ans (1972 – 1977). Des améliorations ont également été apportées aux Dzoras.

  19. Les derniers travaux conséquents ont été la construction d’un réservoir au sommet de la Combe du Bévieux, d’une contenance de 500 m3.

  20. Une conduite le relie au réservoir du Arzay. Avec cette chute d’eau, on peut faire fonctionner la micro-centrale électrique construite sur ce dernier réservoir.

  21. En 2009, on a aussi réalisé un by-pass au Dzoras qui permet d’alimenter une partie des Prarions à partir d’une conduite sous pression.

  22. La prochaine étape prévue est la construction d’un réservoir au sommet de Prarions qui servira à alimenter toute cette zone dont beaucoup de chalets sont encore alimentés par des petites sources captées dans la région de Balavaux.

  23. Pour le futur, la commune prévoit de remplacer les conduites amenant l’eau à Isérables (Rosey-Dzoras) par des tuyaux de plus grand diamètre permettant ainsi d’amener plus d’eau.

  24. Le trop-plein ainsi augmenté au Arzay serait récupéré pour être amené par une conduite jusqu’à Riddes, au Pied du Mont. Avec cette « chute » d’eau, on pourrait faire fonctionner une autre micro-centrale à Riddes et vendre ainsi le courant obtenu.

  25. Réservoir de la commune de Riddes,au Pied du Mont

More Related