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AGROCARBURANTS. AGROCARBURANTS. Les besoins nationaux en carburants Les agrocarburants 1è génération Les agrocarburants 2è génération Les objectifs nationaux et les coûts associés Consommations responsables et durables. bilans energie & effet de serre. CARACTERISTIQUES DES CARBURANTS.
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AGROCARBURANTS A.R.F.I.E.
AGROCARBURANTS • Les besoins nationaux en carburants • Les agrocarburants 1è génération • Les agrocarburants 2è génération • Les objectifs nationaux et les coûts associés • Consommations responsables et durables • bilans energie & effet de serre A.R.F.I.E.
CARACTERISTIQUES DES CARBURANTS PETROLE ETHANOL ACIDE GRAS A.R.F.I.E.
CARACTERISTIQUES DES CARBURANTS 1 0,66 0,9 PETROLE ETHANOL ACIDE GRAS A.R.F.I.E.
POSSIBILITES ACTUELLES D’UTILISATION Moteurs à essence : ETHANOL incorporable jusqu’à 5% AU DELA Moteurs modifiés (Flexfuel) Moteurs Diesel: EMHV incorporable jusqu’à 20% AU DELA : Modifications joints, et surfaces métalliques A.R.F.I.E.
25,3 Mt 43,2 Mt = 80% 17,9 Mt 6,2 Mt 2,4 Mt BESOINS ACTUELS TOTAL 51,8 Millions de Tonnes équivalent pétrole A.R.F.I.E.
EU 5,75% incorporés en 2010 F 2 Millions d’Ha 29 M Ha 6%Surface mobilisable 5 M Ha 7 M Ha DEVELOPPEMENT PREVU TOTAL 39 M Ha 6 Millions tonnes de CO² économisés A.R.F.I.E.
ETHANOL & ETBE 76 T 1 Ha 5,8 T Bioethanol A.R.F.I.E.
ETHANOL & ETBE 8 T 1 Ha 2,5 T Bioethanol A.R.F.I.E.
DIESTER EMHV 3,3 T 1 Ha 0,6 T Biodiesel A.R.F.I.E.
DIESTER EMHV 3,3 T 1 Ha 1 T Biodiesel A.R.F.I.E.
EQUIVALENCE ENERGETIQUE A.R.F.I.E.
ENERGIE ABSORBEEpour la production A.R.F.I.E.
DIVERGENCES DUES AUX METHODES D’ALLOCATIONS A.R.F.I.E.
SURFACE NECESSAIRE A.R.F.I.E.
EFFET DE SERRE 40/60g CO²/Mj soit 1,67 Kg/l économisés 1KWh 3,6 Mj309 g CO² 1Kg p 11,6 KWh d Petrole = 0,8 1l ep 9,28 KWh 33,4 Mj 2,8 Kg CO² A.R.F.I.E.
ASPECTS ECONOMIQUES Agrocarburants : Compétitifs avec un prix du Baril à 75 $ (éval.2004) AIDES EN 2008 : EXONERATIONS DE TIPP : 1,09 Milliards $ EXONERATION DE TGAP : 160 Millions € AIDE DIRECTE A LA SURFACE CULTIVEE : 90 Millions € TOTAL : 1,34 Milliards € A.R.F.I.E.
AIDES ECONOMIQUESPOUR QUELLES ECONOMIES G.E.S.? Agrocarburants : Compétitifs avec un prix du Baril à 75 $ (éval.2004) TOTAL : 1,34 Milliards € Pour (peut-être) 6 millions de tonnes eq CO² économisées AIDES EN 2008 : 223 € pour une tonne d’eq CO² économisée A.R.F.I.E.
H² CO CO² Bio petrole Saule AUTRES BIOCARBURANTS A.R.F.I.E.
AUTRES BIOCARBURANTSMéthanisation Biogaz Compost CH4 CO CO² 37°C A.R.F.I.E.
AUTRES BIOCARBURANTSMéthanisation Biogaz Compost Côtes d’Armor Traitement lisier Déchets de graisses et de céréales 130Kw installés CH4 CO CO² LILLE Centre Valorisation Organique 34 000T Compost - 4 millions l Fuel A.R.F.I.E.
AUTRES BIOCARBURANTSMéthanisation Biogaz Compost CH4 CO CO² 51,8 Mt 13,5 Mt A.R.F.I.E.
CARBURER POUR L’AVENIR Toyota IQ Hybride 3,5 pl 2,7l/100Km A.R.F.I.E.
Toyota IQ Hybride 3,5 pl 2,7l/100Km A.R.F.I.E.
EN CONCLUSION Usage Pour l’Agriculture Prendre les transports en commun Rouler en petite voiture Covoiturer Accompagner les PDE/PDU Demander des aides pour des actions plus efficaces A.R.F.I.E.
BIBLIOGRAPHIE • LA FAIM LA BAGNOLE LE BLE ET NOUS Fabrice Nicolineau Fayard • Energie & Développement durable Hors Série n° 6 Les nouveaux Biocarburants • Manicore.com site de jean-Marc Jancovici • L’Age de Faire n°24 oct 2008 • Bilan energétique et émissions de GES convergence et divergences entre les différentes études ADEME/ECOBILAN Juil 2006 http://wordpress.estloiretenvironnement.fr A.R.F.I.E.
NOTES 1KwH=3413 BTU VOIR étude JEC 2007 (ayant servi de base à la directive européenne) Analyses de cycle de vie des agrocarburants : proposition de méthodologie », EDEN 2007 Bio IS 2008 Les bilans sont très défavorables pour les filières éthanol de céréales et de betterave, même sans faire intervenir le changement d’affectation des sols. L’efficacité énergétique de l’éthanol de blé serait selon toute vraisemblance voisine de 1, avant la prise en compte du coût de l’incorporation dans l’essence, aujourd’hui essentiellement effectuée sous forme d’ETBE. De la graine à semer à la roue, elle est donc voisine de celle de l’essence, sans doute légèrement inférieure, ce qui fait que l’effet de serre CO² n’est pas meilleur que celui de l’essence. Comme s’ajoute l’effet de serre N²O généré par l’apport d’azote minéral sur la culture, l’utilisation dans un moteur automobile de l’éthanol de blé provoque davantage d’émissions de GES que l’utilisation de l’essence. La situation n’est pas meilleure pour l’éthanol de maïs, à cause du coût de l’irrigation et du séchage des grains, et pire encore pour l’éthanol de betterave, à cause de la nécessité de concentrer les jus de diffusion en sirop afin de faire tourner la distillerie toute l’année pour la filière Ester Méthylique d’Huile Végétale, l’efficacité énergétique est meilleure, mais beaucoup plus faible que celle annoncée en 2002. En effet, du fait de la grande différence entre la densité énergétique de l’huile et celle du tourteau ( presque du simple au triple), la méthode d’allocation au contenu énergétique dégrade considérablement le bilan par rapport à l’imputation massique. Selon les modélisations de Bio IS, la méthode de substitution donne des résultats encore plus mauvais. Par ailleurs, la faible quantité de carburant produite par hectare de culture entraîne un fort changement d’affectation des sols, même pour des niveaux d’incorporation modérés. De ce fait, le bilan effet de serre se trouve très fortement dégradé, jusqu’à ne plus présenter d’intérêt par rapport à celui de gazole A.R.F.I.E.
AGROCARBURANTS BILAN DES AGROCARBURANTS • Méthodologie actuelle (Etude Ademe Mai 2008) Critique 1manque impact de préparation des carburants actuels Oliomobile chap 2 Evolution : La prise en compte d’un coefficient de conversion NNO² supérieur va dégrader les bilans finaux Méthode de substitution ≠prorata massique ou énergétique Les bilans sont très défavorables pour les filières éthanol de céréales et de betterave, même sans faire intervenir le changement d’affectation des sols. L’efficacité énergétique de l’éthanol de blé serait selon toute vraisemblance voisine de 1, avant la prise en compte du coût de l’incorporation dans l’essence, aujourd’hui essentiellement effectuée sous forme d’ETBE. De la graine à semer à la roue, elle est donc voisine de celle de l’essence, sans doute légèrement inférieure, ce qui fait que l’effet de serre CO² n’est pas meilleur que celui de l’essence. Comme s’ajoute l’effet de serre N²O généré par l’apport d’azote minéral sur la culture, l’utilisation dans un moteur automobile de l’éthanol de blé provoque davantage d’émissions de GES que l’utilisation de l’essence. La situation n’est pas meilleure pour l’éthanol de maïs, à cause du coût de l’irrigation et du séchage des grains, et pire encore pour l’éthanol de betterave, à cause de la nécessité de concentrer les jus de diffusion en sirop afin de faire tourner la distillerie toute l’année pour la filière Ester Méthylique d’Huile Végétale, l’efficacité énergétique est meilleure, mais beaucoup plus faible que celle annoncée en 2002. En effet, du fait de la grande différence entre la densité énergétique de l’huile et celle du tourteau ( presque du simple au triple), la méthode d’allocation au contenu énergétique dégrade considérablement le bilan par rapport à l’imputation massique. Selon les modélisations de Bio IS, la méthode de substitution donne des résultats encore plus mauvais. Par ailleurs, la faible quantité de carburant produite par hectare de culture entraîne un fort changement d’affectation des sols, même pour des niveaux d’incorporation modérés. De ce fait, le bilan effet de serre se trouve très fortement dégradé, jusqu’à ne plus présenter d’intérêt par rapport à celui de gazole A.R.F.I.E.