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PSY Q05 E : Vieillissement cognitif

PSY Q05 E : Vieillissement cognitif. Limites des théories du vieillissement cognitif. Loreleï CAZENAVE Master 1 OI. Théorie du ralentissement cognitif (Salthouse, 1996)… … et perspective stratégique :

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PSY Q05 E : Vieillissement cognitif

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Presentation Transcript


  1. PSY Q05 E : Vieillissement cognitif Limites des théories du vieillissement cognitif Loreleï CAZENAVE Master 1 OI

  2. Théorie du ralentissement cognitif (Salthouse, 1996)… • … et perspective stratégique : • Le déclin des performances est médiatisé par une diminution de la vitesse de traitement (facteur quantitatif) • Pas d’apport des aspects qualitatifs (stratégies)  diminution de la puissance explicative • … et distribution stratégique : • Suppose une séquence de processus uniforme • Néglige d’éventuelles différences intra- et interindividuelles Intra-individuel : changement d’un essai à l’autre Interindividuel : les individus diffèrent quant à leur choix de stratégie (Cf. Figure de Rey, tâche de numérosité)

  3. 1. Théorie du ralentissement cognitif (Salthouse, 1996)… • … et exécution stratégique : • Les faibles performances en condition de non-choix « stratégie d’ancrage » peuvent être expliquées par une diminution de la vitesse de traitement (via les mécanismes du temps limité et de la simultanéité) • Mais pas d’explication des performances obtenues en condition « choix » (où utilisation de la stratégie « Benchmark » d’estimation visuelle dans 68 % des cas)

  4. 2. Théorie SPAN (Byrne, 1998)… … et perspective stratégique : • Même limite que pour la théorie du raisonnement cognitif • Son objectif : « expliquer comment la réduction de vitesse de traitement de l’information entraîne le déclin des capacités en Mémoire de Travail » (facteurs quantitatifs) … et répertoire stratégique : • Tâche de mesure du « split effect » • Quelle que soit la nature du matériel à encoder  même séquence de processus • Or items à grande déviation : récupération partielle en MLT • Devrait modérer les effets d’un plus grand temps de latence postulé par l’intermédiaire du paramètre γ

  5. 3. Théorie de la neuromodulation (Li et al., 1999)… … et perspective stratégique : Impossibilité d’appréhender directement les processus au niveau cérébral (Cf. approche directe vs. indirecte) … et exécution stratégique : • activation de zones cérébrales plus nombreuses chez adultes âgés • un même ensemble de cellules auxquelles est appliqué le paramètre G  La neuroplasticité pourrait-elle suffire à compenser de moins bonnes synthèse et transmission dopaminergiques mesuré dans une seule aire cérébrale ?

  6. Mais aussi… La perspective stratégique : bonne analyse de la tâche Contradiction : une théorie est sensée fournir une explication générale, indépendamment de la tâche ou du domaine étudié

  7. Conclusion : Les théories du vieillissement cognitif, qu’elles s’articulent dans une perspective computationnelle ou non, ne suffisent pas à expliquer les résultats observés dans une perspective stratégique Cependant, il ne faut pas perdre de vue que ces théories ont permis de constater les effets du vieillissement sur les processus cognitifs. Processus qui, rappelons le, sont les « unités élémentaires » d’une stratégie.

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