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NE PAS DIFFUSER NI COPIER SANS L’AUTORISATION DE LA FONDATION MONIQUE-FITZ-BACK OU DE LA FIPEQ

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NE PAS DIFFUSER NI COPIER SANS L’AUTORISATION DE LA FONDATION MONIQUE-FITZ-BACK OU DE LA FIPEQ

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Presentation Transcript


  1. NE PAS DIFFUSER NI COPIER SANS L’AUTORISATION DE LA FONDATION MONIQUE-FITZ-BACK OU DE LA FIPEQ Étude pour mesurer l’intérêt et les besoins des intervenantes en éducation à la petite enfance envers un programme d’aide et de formation destiné à lutter contre le phénomène du « décrochage nature ». Rapport final Dossier 71070-001 26 septembre 2012

  2. Le contexte et les objectifs 7 La méthodologie 9 Les faits saillants 12 Le profil des répondants 15 L’analyse détaillée des résultats 17 1. La perception du décrochage nature 18 1.1 La connaissance du phénomène de décrochage nature 19 1.2 La perception de l’importance de cet enjeu 20 1.3 La perception de l’influence de la nature sur le développement des enfants21 1.4 La perception des effets bénéfiques du contact avec la nature 22 1.5 La fréquence idéale de contact entre la nature et les enfants23 2. Les établissements et les endroits extérieurs 24 2.1 L’accès à une cour extérieure 25 2.2 La distance entre l’établissement et le parc le plus près 26 3. Le profil de fréquentation des endroits extérieurs 27 3.1 La présentation des endroits 28 3.2 Les cours extérieures d’établissement 29 3.3 Les parcs pour enfants 30 3.4 Les parcs urbains 31 3.5 Les milieux naturels32 3.6 Les sorties thématiques en milieu extérieur33 4. Les activités d’interprétation de la nature 34 4.1 Les activités d’interprétation réalisées par les enfants 35 4.2 Les freins à la réalisation d’activités d’interprétation 36 4.3 L’intérêt des intervenantes à offrir davantage d’activités d’interprétation 37 5. Les connaissances des intervenantes et le programme de formation 38 5.1 Le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature 39 5.2 L’intérêt envers des activités de formation 40 5.3 La durée de formation et la distance de déplacement41 5.4 Les facteurs de succès d’un programme de formation42

  3. (suite) 6. Le soutien aux activités avec les enfants 43 6.1 Les éléments de soutien aux intervenantes 44 6.2 Les moyens pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation 45 Annexe – Le questionnaire 47

  4. 8 Une étude pour mieux comprendre les besoins et déployer une stratégie optimale. . Contexte La Fondation Monique-Fitz-Back et la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ) ont mandaté Léger Marketing afin de réaliser une étude visant à mieux comprendre le décrochage nature, qui se définit par le désintérêt, la méconnaissance et la perte de contact envers la nature au profit d’autres activités. Plus spécifiquement, le projet s’inscrit dans une consultation des besoins des intervenantes en petite enfance. Nous avons ainsi mesuré leurs connaissances, leurs habitudes de fréquentation et leur degré d’intérêt à l’égard du développement d’activités en milieu extérieur. Les résultats de cette étude pourront entre autres servir à l’élaboration d’un programme d’aide et de formation afin de lutter contre le phénomène du décrochage nature. Objectifs de l’étude Les principaux objectifs de l’étude consistent à : évaluer les perceptions des intervenantes à l’égard du décrochage nature; dresser le portrait des habitudes de fréquentation des endroits extérieurs, incluant les milieux naturels; identifier les principales activités d’interprétation de la nature réalisées par les enfants lors de leurs sorties; identifier les principaux freins à la réalisation d’activités d’interprétation de la nature; connaître le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature; valider les stratégies envisagées pour le programme d’aide et de formation.

  5. 10 La population à l’étude La présente étude a été réalisée auprès de 706 intervenantes en petite enfance par le biais d’un sondage en ligne. La population à l’étude est composée de personnes âgées de 18 ans ou plus, majoritairement inscrites dans une association d’intervenantes et œuvrant actuellement dans ce domaine. Les répondantes pouvaient remplir le questionnaire en français ou en anglais. Le sondage en ligne a été hébergé sur les serveurs de Léger Marketing, alors que la gestion des envois est demeurée en tout temps sous la responsabilité de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ). Une publicité parue dans le magazine « La culbute » en août 2012 invitait également les intervenantes à participer au sondage en ligne. L’instrument de mesure Un questionnaire web a été conçu par Léger, en collaboration avec les professionnels de la Fondation Monique-Fitz-Back et de la FIPEQ-CSQ. Sa durée moyenne de complétion est de 16 minutes. Le prétest et la collecte de données Le questionnaire a été prétesté auprès de 25 répondantes afin de s’assurer de sa logique interne et de son bon déroulement. La collecte officielle des données a été réalisée du 8 août au 5 septembre 2012. Pondération et représentativité Aucune pondération n’a été appliquée aux données brutes de l’étude. Marge d’erreur À titre indicatif, un échantillon probabiliste de 706 répondantes aurait comporté une marge d’erreur maximale de ± 3,69%, et ce dans un intervalle de confiance de 95% (19 fois sur 20). Notre approche méthodologique Une étude en ligne auprès de 706 intervenantes en petite enfance.

  6. 11 Les résultats Dans les graphiques et les tableaux, le « n » représente le nombre réel de personnes interrogées. Pour l’ensemble des graphiques et tableaux présentés dans ce rapport, les totaux différents de 100% peuvent être attribuables à l’arrondissement à l’entier des pourcentages indiqués. Quant aux totaux supérieurs à 100%, ils sont attribuables à la réponse multiple. Afin de faire ressortir les écarts entre les sous-groupes à l’étude, les proportions significativement supérieures sont présentées en rougedans les graphiques et les tableaux, alors que les proportions significativement inférieures sont présentées en bleu. Les résultats des sous-groupes composés de moins de 30 répondantes sont présentés à titre informatif seulement, étant donné le faible nombre d’individus que cela représente. La forme féminine utilisée dans le texte désigne aussi bien les hommes que les femmes. Elle n’est utilisée qu’à la seule fin d’alléger le texte et d’en faciliter la compréhension. Notre approche méthodologique (suite)

  7. 13 • Du point de vue des intervenantes, les effets d’un contact régulier avec la nature sont sans aucun doute positifs. Pour elles, ce contact favorise tous les aspects du développement et du bien-être des enfants. De plus, la forte majorité des intervenantes croient qu’un tel contact devrait avoir lieu quotidiennement. • Lorsque ce contact est peu fréquent et que les enfants sont moins intéressés à pratiquer des activités, on assiste à un phénomène dit de « décrochage nature ». Si ce nom en tant que tel est inconnu de la plupart des intervenantes, après information, celles-ci perçoivent ce phénomène comme étant un enjeu important. • Dans les faits toutefois, les enfants sortent souvent à l’extérieur. Quotidiennement ou hebdomadairement, ils sortent dans la cour de leur établissement ou dans des parcs pour enfants et occasionnellement, ils fréquentent d’autres endroits : des parcs urbains, des milieux naturels ou encore sortent à l’extérieur pour des sorties thématiques. Cependant, aucun de ces autres endroits n’est fréquenté régulièrement par un grand nombre d’intervenantes et d’enfants. On remarque donc l’importance de la proximité sur la fréquentation régulière des endroits extérieurs. • Or, même si on observe peu de diversité dans les endroits extérieurs que les enfants explorent, il faut toutefois souligner que certaines activités d’interprétation de la nature sont offertes aux enfants par la majorité des intervenantes, comme la chasse aux bibittes, l’identification des oiseaux et des arbres ou encore les activités de création artistique. Peu d’intervenantes ont déclaré ne jamais offrir de telles activités, et celles-ci ont identifié le manque de matériel et de connaissance comme en étant la cause. • Comme la très grande majorité des intervenantes souhaiterait offrir davantage d’activités d’interprétation à leurs enfants, il s’agit donc de déterminer comment augmenter le nombre et la qualité de ces activités. Pour cela, s’appuyer sur les activités qui sont déjà réalisées et chercher à les enrichir est sans doute une possibilité intéressante pouvant engendrer des résultats positifs très rapidement. Le contact avec la nature : un aspect important du développement

  8. 14 • Afin de favoriser la pratique d’activités d’interprétation, trois grands types d’actions semblent s’imposer. • Alimenter l’intérêt par le développement des connaissances. Des moyens doivent être mis en œuvre pour aider les intervenantes à améliorer leur connaissance de la nature et, par le fait même, leur capacité à offrir des activités d’interprétation de la nature simples aux enfants. On remarque en effet que plus les intervenantes ont des connaissances en interprétation de la nature, plus elles reconnaissent l’importance de l’enjeu du décrochage nature et plus elles ont tendance à fréquenter les parcs urbains ou les milieux naturels. Les moyens à privilégier seraient donc : • des formations, en général courtes (1 ou 2 jours) et le plus près que possible du lieu de travail; • la reconnaissance des formations par les bureaux coordonnateurs (pour les intervenantes en milieu familial); • une offre diversifiée de formations. • Outiller les éducatrices. L’aide en matière de matériel pédagogique peut permettre aux établissements de surmonter certaines difficultés dans la réalisation d’activités d’interprétation de la nature. Les principaux outils que les intervenantes semblent particulièrement désirer sont : • la création de trousses pédagogiques offrant un choix d’activités à réaliser avec les enfants; • des programmes destinés à offrir du matériel d’interprétation de la nature aux enfants (filets, boîtes à insectes, etc.) • 3. Appuyer financièrement les éducatrices. Les principaux moyens financiers qui pourraient aider les intervenantes à élaborer et offrir des activités d’interprétation à leurs enfants sont : • de l’aide financière pour les libérations à des fins de formation; • de l’aide financière pour les déplacements avec les enfants. • Ensemble, ces mesures représentent les principales pistes de solution pour permettre une meilleure accessibilité aux différents milieux extérieurs, favoriser la diversité des activités et augmenter le nombre d’activités d’interprétation de la nature que les enfants peuvent avoir la chance de réaliser. Favoriser les activités d’interprétation : les moyens à retenir

  9. 16

  10. 1. La perception du décrochage nature

  11. 19 Q1. Avant d’être invitée à participer à cette étude, aviez-vous déjà entendu parler du phénomène dit de « décrochage nature » ? (n=706) Le décrochage nature se définit par le désintérêt, la méconnaissance et la perte de contact envers la nature au profit d’autres activités. Peu d’intervenantes ont déjà entendu parler de ce concept. 1.1 La connaissance du phénomène de décrochage nature En ont plus entendu parler celles travaillant en CPE (installation) (9%) et celles prenant en charge des enfants avec besoins particuliers (8%).

  12. 20 De l’avis des intervenantes en petite enfance, la perte de contact avec la nature est un enjeu important pour l’avenir des enfants. Q9. Personnellement, percevez-vous le « décrochage nature » comme étant un enjeu … ?* (n=706) 1.2 La perception de l’importance de cet enjeu Total important : 80% Total pas important : 5% * Les répondants avaient accès à la définition du décrochage nature avant de répondre à cette question.

  13. 21 Selon les intervenantes, la nature influence beaucoup le développement des enfants. Q10. À quel point croyez-vous qu’un contact avec la nature influence le bien-être et le développement des enfants ? Est-ce … (n=706) 1.3 La perception de l’influence de la nature sur le développement des enfants Total OUI : 97% Total NON : 2%

  14. 22 Q12A à F. Quel est votre niveau d’accord avec les énoncés suivants : « Le contact avec la nature favorise… (n=706) Total en accord 98% 98% 98% 97% 97% 93% Globalement, il est de l’opinion des intervenantes que le contact avec la nature a un impact positif sur tous les aspects du développement de l’enfant. 1.4 La perception des effets bénéfiques du contact avec la nature

  15. 23 Ainsi, pour plus de neuf intervenantes en petite enfance sur dix, un contact sur une base hebdomadaire constitue un minimum. Le contact entre la nature et les enfants ne devrait pas être occasionnel, mais régulier. Q11. Selon vous, sur quelle base les intervenantes en petite enfance devraient-elles occasionner ce contact entre la nature et les enfants ? Sur une base… (n=706) 1.5 La fréquence idéale de contact entre la nature et les enfants

  16. 2. Les établissements et les endroitsextérieurs

  17. 25 Q13. Avez-vous accès à une cour extérieure ? (n=706) La quasi-totalité des établissements de garde ont accès à une cour extérieure. Ce constat confirme qu’un potentiel important existe pour des activités d’interprétation de la nature pouvant être réalisées au quotidien. 2.1 L’accès à une cour extérieure

  18. 26 Au total, 21% des intervenantes interrogées ont affirmé qu’elles avaient accès à un parc à 200 mètres ou moins de leur établissement de garde. Q14. À environ combien de kilomètres de votre établissement ou de votre service de garde en milieu familial est situé le parc le plus près ? (n=706) 2.2 La distance entre l’établissement et le parc le plus près Je ne sais pas : 18% Je préfère ne pas répondre : 2% Moyenne : 1,1 kilomètre

  19. 3. Le profil de fréquentation des endroitsextérieurs

  20. 28 Ceux qui répondent « Jamais » n’ont pas répondu aux questions 16 à 19. Pour chacun des cinq endroits, les questions suivantes ont été posées afin de déterminer le profil de sortie de chacun d’entre eux. Les résultats détaillés sont présentés aux pages suivantes. 3.1 La présentation des endroits Cour d’établissement Parc pour enfants Parc urbain Milieu naturel Sortie thématique en milieu extérieur

  21. 29 3.2 Les cours extérieures d’établissement Les enfants dont la garderie a accès à une cour extérieure ont la chance de pouvoir sortir dehors quotidiennement durant près de deux heures en moyenne. Grâce, entre autres, à la présence répandue de gazon, de végétation et d’une aire de jeu aménagée, des activités d’interprétation de la nature sont souvent réalisées dans ces endroits. Pour les cours d’établissement, la catégorie « Autre » inclut (Q17AO, n=67) : des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (37%), un carré de sable (18%), divers jeux aquatiques (15%), des animaux de petite ferme (10%), des balançoires (9%), un verger ou des champs agricoles (9%), des sentiers ou pistes cyclables (6%). * Seules les intervenantes œuvrant dans un établissement possédant une cour extérieure (voir Q13, page 22) ont été interrogées pour ces questions.

  22. 30 3.3 Les parcs pour enfants Un peu plus de la moitié (51%) des intervenantes emmènent leurs enfants dans un parc au moins une fois par semaine, la plupart du temps à pied et pour une durée d’un peu plus d’une heure. Dans ces parcs, on note une présence plus fréquente de petits boisés que dans les cours extérieures, mais les activités d’interprétation de la nature y sont moins fréquentes. Pour les parcs pour enfants, la catégorie « Autre » inclut (Q17BO, n=33) : un carré de sable (18%), divers jeux aquatiques (15%), un terrain de sport (9%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (6%), une rivière ou un fleuve (6%), des balançoires (3%), un verger ou des champs agricoles (3%).

  23. 31 3.4 Les parcs urbains Les grands parcs urbains n’ont pas la cote auprès des intervenantes qui ont répondu au sondage*. Celles qui s’y rendent à l’occasion le font à pied ou en voiture et pour une heure et demie environ. Les parcs urbains offrent souvent une belle diversité naturelle. La réalisation d’activités d’interprétation y est toutefois moins répandue que dans les cours extérieures d’établissement. Pour les parcs urbains, la catégorie « Autre » inclut (Q17CO, n=21) : divers jeux aquatiques (29%), des animaux de petite ferme (5%), un terrain de sport (5%), un carré de sable (5%), un sentier ou une piste cyclable (5%). * Ces résultats sont à mettre en perspective avec la provenance régionale des répondants au sondage. Dans notre échantillon, peu de répondantes proviennent des grands centres urbains, pouvant en partie expliquer cette faible fréquentation des parcs urbains. Voir le « Profil de provenance », page 15.

  24. 32 3.5 Les milieux naturels Près de trois intervenantes sur dix ne sortent jamais leurs enfants dans des milieux naturels*, qui sont des endroits offrant une très grande diversité naturelle. Les intervenantes qui y emmènent leurs enfants le font généralement à pied ou en voiture, démontrant ainsi que ces endroits sont relativement accessibles. Elles y restent une heure et demie à deux heures en moyenne et offrent des activités d’interprétation de la nature aux enfants. Pour les milieux naturels, la catégorie « Autre » inclut (Q17DO, n=35) : des animaux de petite ferme (20%), un verger ou des champs agricoles (17%), une rivière ou un fleuve (14%), un sentier ou une piste cyclable (11%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (9%), un carré de sable (3%), divers jeux aquatiques (3%). * Ces résultats sont à mettre en perspective avec la provenance régionale des répondants au sondage. Puisque peu de répondantes au sondage proviennent des grands centres urbains, nous pourrions supposer qu’elles ont accès à des milieux naturels plus facilement, expliquant le meilleur taux de fréquentation. Voir le « Profil de provenance », page 15.

  25. 33 3.6 Les sorties thématiques en milieu extérieur Les sorties thématiques sont généralement effectuées sur une base annuelle ou saisonnière, en voiture ou en autobus scolaire. Ces sorties durent généralement longtemps et offrent aux enfants une expérience nature intéressante, avec beaucoup de choses à voir et beaucoup d’activités à réaliser. Pour les sorties thématiques, la catégorie « Autre » inclut (Q17EO, n=63) : des animaux de petite ferme (29%), des arbres fruitiers, un potager ou un jardin (11%), divers jeux aquatiques (5%), un sentier ou une piste cyclable (5%), un carré de sable (2%), des balançoires (2%).

  26. 4. Les activitésd’interprétation de la nature

  27. 35 Q20. Quelles ont été les activités d'interprétation de la nature ou de la faune présentées à vos enfants? Base : ceux qui ont pratiqué des activités d’interprétation à au moins un endroit (Q19A à E) (n=660) La chasse aux bibittes et les activités d’identification et de création sont les plus pratiquées. Les activités d’identification d’oiseaux et d’arbres sont davantage pratiquées par les intervenantes âgées de plus de 45 ans (respectivement par 88% et 87% d’entre elles), ainsi que par celles travaillant en milieu familial (respectivement par 84% et 81% d’entre elles). 4.1 Les activités d’interprétation réalisées par les enfants * Réponses spontanées.

  28. 36 Généralement, le manque de matériel et le manque de connaissances nécessaires sont les principales raisons pour lesquelles des activités d’interprétation ne sont pas pratiquées avec les enfants. Concentrer les efforts sur ces aspects aurait l’avantage d’être également bénéfique pour les intervenantes qui réalisent déjà de telles activités. 4.2 Les freins à la réalisation d’activités d’interprétation

  29. 37 Non seulement les intervenantes reconnaissent l’impact positif pour l’enfant d’avoir un contact avec la nature, mais elles seraient également intéressées à offrir davantage de ces activités aux enfants. Q22. En tant qu’intervenante, quel est votre niveau d’intérêt à offrir davantage d’activités d’interprétation de la nature à vos enfants ? (n=706) 4.3 L’intérêt des intervenantes à offrir davantage d’activités d’interprétation Total intéressées : 95% Total pas intéressées : 4%

  30. 5. Les connaissances des intervenantes et le programme de formation

  31. 39 Le niveau de connaissance en interprétation de la nature est un facteur très important dans la réalisation de telles activités avec les enfants. Ainsi, les intervenantes ayant un niveau élevé de connaissance en interprétation de la nature sortent plus souvent avec leurs enfants dans les parcs urbains (52% n’y vont jamais, contre 66% chez celles ayant un faible niveau de connaissance) ou les milieux naturels (21% n’y vont jamais, contre 40% chez celles ayant un faible niveau de connaissance). Elles pratiquent également plus d’activités d’interprétation que celles qui ont un niveau faible de connaissance, sauf pour la chasse aux bibittes, qui est pratiquée de manière semblable par toutes les intervenantes. 5.1 Le niveau de connaissance des intervenantes en interprétation de la nature Q23. Quel est votre niveau de connaissance en interprétation de la nature ? (n=706) Total élevé : 57% Total faible : 37%

  32. 40 Plus de huit intervenantes sur dix seraient intéressées à participer à des activités de formation en interprétation de la nature. De façon plus réaliste toutefois, ce sont 37% des intervenantes qui sont très intéressées envers de telles formations. Ce sont ces intervenantes qui seraient les plus susceptibles d’agir et de s’inscrire à des activités de formation. Q24. Seriez-vous intéressée à participer à des activités de formation qui vous permettraient d’offrir des activités d’interprétation de la nature à vos enfants ? (n=706) 5.2 L’intérêt envers des activités de formation Scénario optimiste : 85% Scénario réaliste : 37%

  33. 41 Les intervenantes consacreraient annuellement entre une et deux journées à de la formation. Notons que les intervenantes en milieu familial seraient beaucoup moins enclines à se déplacer au-delà de leur municipalité que les autres, qui seraient prêtes à se déplacer dans leur région. 5.3 La durée de formation et la distance de déplacement

  34. 42 Offrir des activités de formation diversifiées et de l’aide financière pour les libérations serait les éléments jugés nécessaires par le plus grand nombre d’intervenantes, et surtout parmi celles qui ne travaillent pas en milieu familial. Par contre, pour les intervenantes qui œuvrent en milieu familial, la reconnaissance des formations par leur bureau coordonnateur est l’élément reconnu nécessaire par le plus grand nombre de répondantes. 5.4 Les facteurs de succès d’un programme de formation Chez les intervenantes prenant en charge des enfants ayant des besoins particuliers : 60% * Cette question a été posée uniquement aux 598 intervenantes en milieu familial.

  35. 6. Le soutien aux activités avec les enfants

  36. 44 L’aide financière pour les déplacements de groupe est quant à elle jugée nécessaire par 46% des intervenantes, soulignant un manque de ressources. Soulignons que l’aide financière, sous toutes ses formes, est d’autant plus nécessaire parmi les intervenantes qui ne sont pas en milieu familial et parmi celles qui s’occupent d’enfants ayant des besoins particuliers. 6.1 Les éléments de soutien aux intervenantes Besoins particuliers : 48%

  37. 45 Q29A-29E. Si ces moyens vous étaient offerts pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation de la nature dans votre établissement ou service de garde en milieu familial, les utiliseriez-vous … (n=706) Constituant un outil facile d’accès qui contient des activités déjà préparées, la trousse pédagogique est le moyen qui serait le plus certainement utilisé par les intervenantes. Les activités de formation seraient également largement considérées. Toutefois, une formation durant quelques jours serait à envisager avec plus de prudence, seulement 24% des intervenantes prévoyant certainement utiliser ce moyen. Total Oui 98% 89% 88% 85% 62% 6.2 Les moyens pour favoriser la réalisation d’activités d’interprétation Besoins particuliers : 61%

  38. 47

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