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Diminuer sa consommation de phytos de 50 un retour l Agronomie

rochelle
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Diminuer sa consommation de phytos de 50 un retour l Agronomie

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    1. Diminuer sa consommation de phytos de 50 % … … un retour à l’Agronomie ! Chacun y mettra son nomChacun y mettra son nom

    2. Introduction Revenu = Produit - Charges Revenu = produit – Charges On part de cette équation pour structurer l’intervention en passant en revue : 1- le produit de vente donc zoom sur les marches des cereales maïs colza, historique depuis 2005 et perspectives 2- retour sur l’evolution du contexte en matière de cout des intrants 3- quelles consequences sur les marges ?Revenu = produit – Charges On part de cette équation pour structurer l’intervention en passant en revue : 1- le produit de vente donc zoom sur les marches des cereales maïs colza, historique depuis 2005 et perspectives 2- retour sur l’evolution du contexte en matière de cout des intrants 3- quelles consequences sur les marges ?

    3. Le marché français rejoint le marché mondial Cotation Blé depuis 1980 en euros courants (Source : la Dépêche commerciale) Jusqu’en 1992 grâce aux stabilisateurs le prix du bl é en France (départ Eure et loire) se maintient autour de 190 euros la tonne ce qui correspond à un prix payé producteur d’environ 150 à 160 euros tonne Ce prix n’a rien à voir avec le cours mondial (base Chicago) qui est globalement plus faible et surtout plus fluctuant Depuis 1992 le prix Français diminue (réforme de la pac et instauration des primes compensatrices)pour se calquer à partir de 2000 sur le marché mondial Conséquence pour demain : fluctuation des prix et instabilité du marchéJusqu’en 1992 grâce aux stabilisateurs le prix du bl é en France (départ Eure et loire) se maintient autour de 190 euros la tonne ce qui correspond à un prix payé producteur d’environ 150 à 160 euros tonne Ce prix n’a rien à voir avec le cours mondial (base Chicago) qui est globalement plus faible et surtout plus fluctuant Depuis 1992 le prix Français diminue (réforme de la pac et instauration des primes compensatrices)pour se calquer à partir de 2000 sur le marché mondial Conséquence pour demain : fluctuation des prix et instabilité du marché

    4. Des fluctuations importantes BLE Phase 1 : faible variabilité dans une fourchette 120-130 €/t 2 : fin 2006 et surtout 2007 on franchit palier 150 €/t : récoltes s’annoncent mauvaises partout dans le monde alors que la demande s’accroît 3 : hausse forte et rapide (imprévue) d’avril à septembre 2007 sommet à 286 €/t en sept 07 : tension en stocks faibles, mauvaises récoltes (Ukraine et Europe), fonds spéculatifs participent à la hausse et amplifient la volatilité, sommet atteint au moment où l’Australie en sécheresse annonce une mauvaise récolte 4 : on reste au dessus des 200 €/t mais forte volatilité avec nouveau sommet proche des 300 € mars 08 (des contrats ont été proposés pendant seulement quelques jours à cette période vers 210 €/t) cause de ce sommet : les acheteurs couvrent leurs besoins pour assurer la jointure avec la prochaine récolte donc les prix montent. 5 : phase de baisse quasi continue avec soubresauts liés aux accidents climatiques corn bel maïs en juin 08 et sec en europe Est et baisse accentuée avec crise financière sept oct 08 (impact propre a la crise = -20 €/t selon M Portier Agritel). Causes liées a la crise : ventes de positions sur le MAT des fonds de pensions qui avaient besoin de liquidités + baisse des credits aux pays acheteurs comme egypte + baisse de la conso (notamment de viande donc moins besoin de cereales pour les produire). MAIS Courbe très proche de celle du blé jusqu’à la baisse de fin 07, puis prix inférieurs (POURQUOI ?) et à nouveau proche sur la dernière phase de baisse Courbes proches car 2 matières substituables notamment en alimentation animale BLE Phase 1 : faible variabilité dans une fourchette 120-130 €/t 2 : fin 2006 et surtout 2007 on franchit palier 150 €/t : récoltes s’annoncent mauvaises partout dans le monde alors que la demande s’accroît 3 : hausse forte et rapide (imprévue) d’avril à septembre 2007 sommet à 286 €/t en sept 07 : tension en stocks faibles, mauvaises récoltes (Ukraine et Europe), fonds spéculatifs participent à la hausse et amplifient la volatilité, sommet atteint au moment où l’Australie en sécheresse annonce une mauvaise récolte 4 : on reste au dessus des 200 €/t mais forte volatilité avec nouveau sommet proche des 300 € mars 08 (des contrats ont été proposés pendant seulement quelques jours à cette période vers 210 €/t) cause de ce sommet : les acheteurs couvrent leurs besoins pour assurer la jointure avec la prochaine récolte donc les prix montent. 5 : phase de baisse quasi continue avec soubresauts liés aux accidents climatiques corn bel maïs en juin 08 et sec en europe Est et baisse accentuée avec crise financière sept oct 08 (impact propre a la crise = -20 €/t selon M Portier Agritel). Causes liées a la crise : ventes de positions sur le MAT des fonds de pensions qui avaient besoin de liquidités + baisse des credits aux pays acheteurs comme egypte + baisse de la conso (notamment de viande donc moins besoin de cereales pour les produire). MAIS Courbe très proche de celle du blé jusqu’à la baisse de fin 07, puis prix inférieurs (POURQUOI ?) et à nouveau proche sur la dernière phase de baisse Courbes proches car 2 matières substituables notamment en alimentation animale

    5. Bilan TOUTES CEREALES De 1998 à 2008, soit 11 récoltes, au moins 8 années où production < consommation, seules 1998 (?), 2004 et 2008 où c’est l’inverse. Inévitablement baisse des stocks, baisse continue sur 2004, 2005, 2006 d’où la situation explosive en 2007. 2008 a permis de reconstituer les stocks à plus de 300 Mt soit un peu plus de 2 mois de consommation. Mais c’est une situation qui reste fragile et non stabilisée d’où possible tension et volatilité des prix à l’avenir. PRODUCTION : varie au gré des aléas climatiques dans le monde (bonnes récoltes 1997 et 2004, canicule 2003 etc) et des surfaces CONSOMMATION : augmentation continue de la population et de ses habitudes alimentaires (plus de viande), concurrence biocarburants pour les surfacesBilan TOUTES CEREALES De 1998 à 2008, soit 11 récoltes, au moins 8 années où production < consommation, seules 1998 (?), 2004 et 2008 où c’est l’inverse. Inévitablement baisse des stocks, baisse continue sur 2004, 2005, 2006 d’où la situation explosive en 2007.2008 a permis de reconstituer les stocks à plus de 300 Mt soit un peu plus de 2 mois de consommation. Mais c’est une situation qui reste fragile et non stabilisée d’où possible tension et volatilité des prix à l’avenir. PRODUCTION : varie au gré des aléas climatiques dans le monde (bonnes récoltes 1997 et 2004, canicule 2003 etc) et des surfaces CONSOMMATION : augmentation continue de la population et de ses habitudes alimentaires (plus de viande), concurrence biocarburants pour les surfaces

    6. MAIS Meme profil que blé : production souvent < conso (sauf 2004 et 2007) d’où stocks qui baissent (moins 2 mois de stock en 2008) donc tension également. CONTRAIREMENT AU BLE et COLZA le stock de maïs va baisser suite a recolte 2008. USA produisent 300 à 350 Mt soit env moitié prod mondiale, sur ces 300, 80-100 Mt vont au bioethanolMAIS Meme profil que blé : production souvent < conso (sauf 2004 et 2007) d’où stocks qui baissent (moins 2 mois de stock en 2008) donc tension également. CONTRAIREMENT AU BLE et COLZA le stock de maïs va baisser suite a recolte 2008. USA produisent 300 à 350 Mt soit env moitié prod mondiale, sur ces 300, 80-100 Mt vont au bioethanol

    7. … et perspectives DEMANDE Hausse de la population est une tendance lourde, besoins autres qu’alimentaires meme si au final les biocarburants ne representent pas des surfaces enormes sauf aux USA où le mais bioethanol est plus important que le mais conso humaine. Biocarburants = besoin de 100 Mt dans le monde dont 80 Mt de maïs US. Soit 100/1700 Mt prodcution = 6%. La crise financière et industrielle-economique qui suit actuellement va ralentir la conso donc hausse moins rapide de la demande. La croissance mondiale est de +4 à 5% depuis 2003 donc une demande forte. OFFRE Pays nouveaux se mettent a cultiver (mer noire ukraine etc Am sud defriche terres) donc plus de surfaces probablement cultivées. Mais la récente crise a déclenché des réactions conservatrices donc baisse des semis d’automne ? Rendements ? Au gré du climat…mais moyens de production y en aura pas pour tout le monde et leur acces est rendu difficile car credits moins faciles a obtenir donc c’est un facteur limitant, du moins dans un 1er temps, le temps que les capacité de production des intrants augmentent RESULTAT Stoks restent encore faibles, situation tendue, experts misent sur niveau de prix 140-150 €/t (c’est l’estimation des experts de Bruxelles pour justiifer le demantelement de la PAC, hausse modulation, decouplage, arret intervention etc…), sachant qu’aujourd’hui on est en dessous de ce niveau de prix… Michel Portier Agritel : pour que le niveau de prix actuel monte, il faut une baisse de l’offre, soit de maniere volontaire par baisse des emblavements, soit de maniere accidentelle climatique. Ceci de toute façon ne se fera sentir qu’au printemps prochain. Ph Chalmin Pris Dauphine : maintien structurel des cereales (et energie) à un niveau élevé (combien ?)DEMANDE Hausse de la population est une tendance lourde, besoins autres qu’alimentaires meme si au final les biocarburants ne representent pas des surfaces enormes sauf aux USA où le mais bioethanol est plus important que le mais conso humaine. Biocarburants = besoin de 100 Mt dans le monde dont 80 Mt de maïs US. Soit 100/1700 Mt prodcution = 6%. La crise financière et industrielle-economique qui suit actuellement va ralentir la conso donc hausse moins rapide de la demande. La croissance mondiale est de +4 à 5% depuis 2003 donc une demande forte. OFFRE Pays nouveaux se mettent a cultiver (mer noire ukraine etc Am sud defriche terres) donc plus de surfaces probablement cultivées. Mais la récente crise a déclenché des réactions conservatrices donc baisse des semis d’automne ? Rendements ? Au gré du climat…mais moyens de production y en aura pas pour tout le monde et leur acces est rendu difficile car credits moins faciles a obtenir donc c’est un facteur limitant, du moins dans un 1er temps, le temps que les capacité de production des intrants augmentent RESULTAT Stoks restent encore faibles, situation tendue, experts misent sur niveau de prix 140-150 €/t (c’est l’estimation des experts de Bruxelles pour justiifer le demantelement de la PAC, hausse modulation, decouplage, arret intervention etc…), sachant qu’aujourd’hui on est en dessous de ce niveau de prix… Michel Portier Agritel : pour que le niveau de prix actuel monte, il faut une baisse de l’offre, soit de maniere volontaire par baisse des emblavements, soit de maniere accidentelle climatique. Ceci de toute façon ne se fera sentir qu’au printemps prochain. Ph Chalmin Pris Dauphine : maintien structurel des cereales (et energie) à un niveau élevé (combien ?)

    8. Augmenter la rentabilité des cultures C’est + de produits Plus de surface (- jachère, intensification herbe?) Choix des cultures (assolement en lien avec rotations) Plus de rendement (fonction du potentiel du sol) Plus de prix (calculer les risques)

    9. Des marges équilibrées entre les principales cultures Pendant la période 2004 2006 les marges brutes entre différentes cultures étaient comparablesPendant la période 2004 2006 les marges brutes entre différentes cultures étaient comparables

    10. Choix des cultures Dangers de la simplification des assolements Parasitisme : maladies , insectes Mauvaises herbes Calendriers de travaux Le marché est spéculatif Des fluctuations importantes sont possibles, que ce soit pour les céréales ou les protéines Ne pas mettre tous les œufs dans le même panier

    11. Marché des intrants SEMENCES : bond important suite récolte 2007 : récoltes de mauvaises qualités en semences certifiées (humidité, germination, fusariose) d’où ruptures de disponibilités et hausse des prix. Mais on est resté depuis sur le meme niveau ! PHYTOS : peu d’augmentation mais ça va peut-être venir progressivement avec le retrait de vieilles molécules banalisées pas chères (atrazine, IPU, triflu), résistances et meilleure compétitivité des céréales donc volonté de mieux les protéger. CARBURANT : suit logiquement le pétrole, flambée printemps 2008 (baril à 150 dollars) puis rebaisse avec crise financière (baril 65 dollars). ENGRAIS AZOTES : pourquoi ce décrochement et rehausse derrière en décembre 2007 ? Idem NP comme si trêve des confiseurs à chaque fois en décembre. Hausse continue et progressive, accélération nette sur année 2008. De indice 100 en 2000 on est aujourd’hui à 220 (x 2,2). ENGRAIS NP : indice 100 à 290 aujourd’hui (x3 presque). La réalité du terrain semble dire que la hausse est encore plus forte (x5) ???. RAISONS ENGRAIS : DEMANDE > offre Demande : Mer Noire (céréales, colza, tournesol), Asie, Am Sud (soja) etc…prix céréales attractifs donc tout le monde veut en produire Offre : pétrole et gaz naturel chers, peu d’usines/mines, capacités de production à saturation (Après-)Demain ? Nouvelles usines, ouverture de mines, baisse de la consommation donc baisse des prix…mais la tension va demeurer et ces niveaux de prix aussi.SEMENCES : bond important suite récolte 2007 : récoltes de mauvaises qualités en semences certifiées (humidité, germination, fusariose) d’où ruptures de disponibilités et hausse des prix. Mais on est resté depuis sur le meme niveau ! PHYTOS : peu d’augmentation mais ça va peut-être venir progressivement avec le retrait de vieilles molécules banalisées pas chères (atrazine, IPU, triflu), résistances et meilleure compétitivité des céréales donc volonté de mieux les protéger. CARBURANT : suit logiquement le pétrole, flambée printemps 2008 (baril à 150 dollars) puis rebaisse avec crise financière (baril 65 dollars). ENGRAIS AZOTES : pourquoi ce décrochement et rehausse derrière en décembre 2007 ? Idem NP comme si trêve des confiseurs à chaque fois en décembre. Hausse continue et progressive, accélération nette sur année 2008. De indice 100 en 2000 on est aujourd’hui à 220 (x 2,2). ENGRAIS NP : indice 100 à 290 aujourd’hui (x3 presque). La réalité du terrain semble dire que la hausse est encore plus forte (x5) ???. RAISONS ENGRAIS : DEMANDE > offre Demande : Mer Noire (céréales, colza, tournesol), Asie, Am Sud (soja) etc…prix céréales attractifs donc tout le monde veut en produire Offre : pétrole et gaz naturel chers, peu d’usines/mines, capacités de production à saturation (Après-)Demain ? Nouvelles usines, ouverture de mines, baisse de la consommation donc baisse des prix…mais la tension va demeurer et ces niveaux de prix aussi.

    12. Charges opérationnelles

    13. Conclusion - Perspectives Prix de vente : incertitude sur le niveau de prix : 140 €/t , 150 ? 110 ? 200 ? volatilité probable Une tension sur le marché des intrants sur le moyen terme => Des marges soumises à variations dans un contexte moins protecteur (réforme de la PAC, découplage, modulation, arrêt intervention etc.) => Recherche de systèmes moins consommateurs d’ intrants, plus autonomes

    14. Augmenter la rentabilité des cultures C’est toujours moins de charges Moins de charges en mécanisation Des écarts importants de 250 à 500 € par ha Optimiser la Traction, le matériel puis le carburant Simplifier les techniques de semis Déléguer certains travaux (coût et travail..) A moyen terme : Regroupement parcellaire, taille des parcelles… Optimisation des intrants Adaptation au potentiel du sol et du secteur pédo-climatique Expérience des conduites à bas niveaux d’intrants

    15. Chacun y mettra son nomChacun y mettra son nom

    16. Quel itinéraire cultural ? Exemple du blé itk 1 : recherche le rendement maximum en utilisant toutes les nouvelles techniques sans se préoccuper de leur coût itk 2  : recherche le meilleur compromis rendement marge par une optimisation des intrants en utilisant tous les outils d’aide à la décision itk 3  : recherche le meilleur compromis marge environnement par une diminution sérieuse des intrants itk 4  : c’est un itk 3 poussé encore plus loin (le seul phyto utilisé est le désherbage et X- 60 en azote) itk 5  : itinéraire agrobiologie

    17. Quels sont mes objectifs ?

    18. Deux itinéraires techniques

    27. Le rendement fait la marge . . . Pour un même niveau de rendement on observe des différences de marge de 300 euros Alors qu’on aura beau augmenter les charges le potentiel est toujours limitantPour un même niveau de rendement on observe des différences de marge de 300 euros Alors qu’on aura beau augmenter les charges le potentiel est toujours limitant

    28. Rendement et Charges opérationnelles

    29. Les charges font la différence ! Des analyses de groupe confirment que, même dans le contexte dit difficile de 2007, ce n’est pas le montant des charges opé qui fait la différence, …. L’explication est ailleursDes analyses de groupe confirment que, même dans le contexte dit difficile de 2007, ce n’est pas le montant des charges opé qui fait la différence, …. L’explication est ailleurs

    30. . . . et le positionnement !

    33. Bien analyser les causes des échecs L’explication : 1. les précoces étaient déjà plus avancés quand les contaminations de septo sont arrivées 2.les précoces sont positionnés dans des terres plus superficielles et plus drainantes. Ils ont moins souffert de l’humidité et de l’engorgement en eau des sols pendant tout l’hiver mais également pendant la fin du printemps L’explication : 1. les précoces étaient déjà plus avancés quand les contaminations de septo sont arrivées 2.les précoces sont positionnés dans des terres plus superficielles et plus drainantes. Ils ont moins souffert de l’humidité et de l’engorgement en eau des sols pendant tout l’hiver mais également pendant la fin du printemps

    34. Chacun y mettra son nomChacun y mettra son nom

    36. Intérêt économique de l’optiplant en appui de stratégies à 2 traitements à faibles doses

    37. Intérêt économique de l’optiplant en appui de stratégies à 2 traitements à faibles doses Pas d’effet significatif de l’optiplant sur les rendements Investissement (produit + temps) pas toujours rentabilisé

    39. Pas d’effet significatif de l’optiplant sur les rendements Investissement (produit + temps) pas toujours rentabilisé

    40. Techniques alternatives : Statut réglementaire des produits testés en 2010

    43. Pression maladie très faible < 10q Pas d’effet significatif sur les rendements Investissement (produit + temps) non rentabilisé Mégagreen : mauvaise formulation ? bouchage des buses

    44. Chacun y mettra son nomChacun y mettra son nom

    45. Maintenir le cap des itinéraires raisonnés Le contexte économique amène à repositionner le curseur de l’intérêt économique vers les itk2 plutôt que le 3 Les itinéraires bio restent bien sur toujours valablesLe contexte économique amène à repositionner le curseur de l’intérêt économique vers les itk2 plutôt que le 3 Les itinéraires bio restent bien sur toujours valables

    46. Toutes les parcelles ne feront pas 100 quintaux Adapter l’itinéraire aux potentiel Sol / climat / culture Le marché est spéculatif Des fluctuations importantes sont possibles Garantir le retour sur investissement Un contexte de hausse des intrants Prix de l’azote lié au prix du pétrole Grenelle de l’environnement et disparition des phytos génériques Maintenir le cap des itinéraires raisonnés

    48. Références bretonnes - MAE 2008 Globalisation Herbicides // hors herbicides Enquêtes pratiques culturales SCEES 2007 Valeur = 70éme percentile

    50. Charges opérationnelles

    51. Diminuer sa consommation de phytos de 50% … … c’est possible ! Chacun y mettra son nomChacun y mettra son nom

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