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Module 6 : les revendications autochtones

Module 6 : les revendications autochtones. Les rapports des Français avec les Autochtones (1604-1763).

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Module 6 : les revendications autochtones

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Presentation Transcript


  1. Module 6 : les revendications autochtones

  2. Les rapports des Français avec les Autochtones (1604-1763) Lorsque les Français arrivent en Nouvelle-France dès 1604, les Autochtones vont les montrer des techniques de chasses, de survivance en hivers et des remèdes naturels afin de faciliter leur adaptation au nouveau monde. Ceci engendrera des bonnes relations entre les deux peuples et leur permettra de commencer le commerce des fourrures. Aussi, ils développeront des alliances militaires, ce qui permettra un meilleure protection en cas d’attaque des Anglais.

  3. Question à répondre 1) Identifie et explique en détails 5 impacts(conséquences) de la présence des Français auprès de la population autochtone. Voici les 5 titres des impacts: 1)Guerres entres tribus 2)Échanges 3)Épidémies 4)Assimilation 5)Évangelisation (L’expérience canadienne, des origines à nos jours p. 41-43; Histoire, identité et culture au Canada, p.106-110.)

  4. 1) Identifie et explique 5 impacts(conséquences) de la présence des Français auprès de la population autochtone • Guerres entre tribus(Conflits entre Hurons et peuple des Cinq-Nations(Iroquois) pour la traite des fourrures(peut échanger les fourrures pour produits européens = compétition). Territoire Huron très riche en fourrures. • Échanges(Autochtones échangent surtout des fourrures pour des armes européens: fusils, objets métalliques et alcool) • Épidémies(Européens –commerçants et missionnaires-apportent des nouvelles maladies en Amérique, ce qui amène des épidémies chez les Autochtones. Plusieurs Autochtones-surtout les enfants et vieillards du côté des Hurons- vont mourir car ils n’ont aucune résistance à ses nouvelles maladies).

  5. Assimilation (Les Autochtones développent une dépendance aux produits européens et changent leurs langues et coutumes : ex : enterrement sans objets, etc.) • Évangélisation au catholicisme (Les missionnaires vont convertir les Autochtones à la religion catholique)

  6. Prix des échanges Source : Documents de la Compagnie de la Baie d’Hudson 1670

  7. Les rapports des Britanniques avec les Autochtones (1763-1867) 1. Pour chaque raison énumérée ci-dessous, Explique davantage pourquoi, suite à la chute de la Nouvelle-France, les rapports des Britanniques auprès des Autochtones sont très difficiles : • Les Autochtones perdent leur position stratégique de marchandage entre les Français et les Anglais Lors des conflits entre les Français et les Anglais pour le contrôle de l’Amérique du Nord, les Amérindiens pouvaient jouer les deux côtés afin de mieux servir leurs intérêts, mais ceci fini lorsque les Anglais gagnent la guerre de la Conquête.  

  8. Les Autochtones perdent la distribution des cadeaux qu’ils recevaient des Européens Les Amérindiens voyaient les cadeaux tels que les fusils, munitions et produits servant au commerce comme « le prix fixé » pour permettre aux Européens de vivre sur leurs terres, mais les Britanniques ne voyaient pas la nécessité de continuer cette pratique suite à la Conquête. • Les colons Américains continuent à envahir leurs terres Dans les régions à l’Ouest des 13 colonies, les colons ne se retirèrent pas des territoires désignés aux Autochtones, mais continuèrent plutôt à s’y installer, malgré les assurances des Britanniques à l’égard des terres Autochtones.

  9. 2. Est-ce que la Proclamation royale de 1763 protège les droits des Autochtones? Explique ta réponse. (L’expérience canadienne, p.96) • Dans la proclamation royale, un large morceau de terre est concédé aux Autochtones. Ce territoire est administré par le gouvernement britannique. On y interdit la colonisation et y exerce un contrôle étroit sur le commerce des fourrures, ce qui limitait l’expansion des 13 colonies vers l’Ouest. Le territoire reconnait certains droits aux Autochtones, mais les Britanniques sont indifférent à leur sort.

  10. Les Amérindiens sont progressivement perçus comme des obstacles à la colonisation. Les Britanniques vont donc voir à la signature de plusieurs traités avec les Amérindiens pour accéder à leurs terres et à la création de réserves Amérindiennes, à partir de 1830. Que reçoivent les Amérindiens des Britanniques face à la signature de ces traités ? (L’expérience canadienne, p.124) • Ils reçoivent des rentes annuelles, de l’assistance matérielle et technique, des vêtements et des munitions. Le gouvernement s’engage aussi à fournir des animaux d’élevage et de l’équipement agricole à ceux qui le désirent. On prévoit aussi la création d’écoles afin de pourvoir à l’éducation générale et religieuse des jeunes Amérindiens.

  11. 4. Comment la signature de ces traités et la création de réserves a contribué à l’assimilation des Autochtones ? (L’expérience canadienne, p.124) Elles tentent de leur imposer la langue anglaise, la religion anglicane et les valeurs britanniques. Elles encouragent les Amérindiens à remplacer leur mode de vie traditionnel par l’agriculture pratiquée à la manière européenne.

  12. Les rapports du gouvernement fédéral avec les Autochtones (1867-présent) Lors de la création du Canada en 1867, le gouvernement canadien veut agrandir le territoire vers l’Ouest. Il veut acheter les terres de la Compagnie de la Baie d’Hudson pour 2 raisons : • Empêcher l’expansion américaine vers le nord • Ouvrir de nouvelles terres à la colonisation En 1869, le gouvernement fédéral achète les terres de l’Ouest pour 1.5 millions $. Ce nouveau territoire comptait déjà une population d’environ 75 000 habitants : Amérindiens, Inuits, Métis et Blancs. Environ 10 000 Métis, qui habitaient sur le bord de la rivière Rouge, sont offensés de ne pas avoir été consultés avant la vente de ce qu’ils considéraient leur territoire.

  13. Le premier soulèvement des Métis (1869-1870)Description • Pour le peuplement/division des terres de l’Ouest, le gouvernement canadien envoie des arpenteurs, qui atteignent la région de la rivière Rouge(sud du Manitoba actuel). • Cette région est occupée depuis des années par un peuple autochtone à majorité francophone et catholique : Métis.  • Les arpenteurs se mettent à diviser les terres sans tenir compte des Métis, en plus d’être arrogants envers eux. • Inquiets de perdre leurs terres, les Métis se dressent contre le gouvernement fédéral canadien :  • Dirigés par Louis Riel, un Métis francophone, ils forment un gouvernement provisoire. • Thomas Scott est un colon anglais de la région qui s’oppose à Louis Riel et le gouvernement provisoire. Il est arrêté pour avoir fait des menaces contre Riel et tenté de renversé le gouvernement provisoire(métis). Il sera fusillé le 4 mars 1870.

  14. Le premier soulèvement des Métis (1869-1870)Conséquences Le Premier Ministre Macdonald envoie des troupes canadiennes pour affronter les Métis. Louis Riel réussira de s’enfuir aux États-Unis . Afin de régler le conflit, le gouvernement fédéral crée la 5e province canadienne en 1870 : Manitoba. La constitution du Manitoba prévoit des terres aux Métis et le respect de leurs droits quant à la protection de leur langue et religion. Malgré cela, de nombreux Métis préfèrent quitter la région de la rivière Rouge pour aller plus à l’Ouest, dans la région de Batoche(en Saskatchewan d’aujourd’hui)

  15. La Loi sur les Indiens (1876) En 1876, le gouvernement fédéral adopte la Loi sur les Indiens. Ainsi, il conclut plusieurs traités avec les populations amérindiennes pour s’approprier leurs terres de façon légale. En échange de leurs terres, le gouvernement promet  de créer des réserves et fournir des ravitaillements, vêtements, animaux d’élevage, écoles. Il leur promet aussi plusieurs services : aide alimentaire, soins médicaux, etc. Question : Les Autochtones étaient opposés à la signature de tels traités. Alors, pourquoi finissent-ils par les accepter ? (Histoire, identité et culture, p. 283) En raison de la famine(disparition du bison), de la perte de leur terre et du contrôle de leurs communautés, ils ont fini par accepter des traités injustes et discriminatoires.

  16. La Loi sur les Indiens (1876) À partir de ce moment, de nombreuses tribus amérindiennes passent sous la tutelle du gouvernement(sont considérés comme des citoyens de seconde classe). Les Amérindiens dans les réserves n’ont aucun droit politique et sont considérés comme des mineurs aux yeux de la loi.

  17. L’importance du bison pour les Amérindiens de l’Ouest Le bison était l’animal de subsistance pour les Amérindiens de l’Ouest puisqu’il existait très peu d’animaux dans les Prairies canadiennes pour chasser. La chasse de cet animal leur fournissait non seulement de la viande et de la graisse pour conserver la nourriture, mais des peaux pour fabriquer des vêtements et bien d’autres choses.

  18. Disparition du Bison Afin de coloniser les terres de l’Ouest et de préparer le terrain pour la venue du chemin de fer, le gouvernement savait qu’il devait se débarrasser du bison. S’il n’existait plus de bison à chasser, les Amérindiens ne seraient plus capables de subvenir à leurs besoins. Ainsi, ils seraient portés d’accepter d’abandonner leurs droits aux terres pour une vie dans les réserves. On commença à tuer le bison en telle grande quantité qu’il n’en restait moins que 1000 en 1885.

  19. Disparition du Bison

  20. Le deuxième soulèvement des Métis (1885)Déroulement En 1885, les arpenteurs du gouvernement atteignent la région de Batoche et divisent les terres avec la même attitude qu’en 1869 à l’égard des Métis. De plus, l’arrivée d’immigrants et la construction du chemin de fer transcanadien(pour relier la C.-B.) bousculent les Métis sur leurs terres.  Le 27 juin 1884, Louis Riel revient au Canada et devient le chef des Métis de la région. Il implante un gouvernement provisoire afin de défendre leurs droits. Plusieurs tribus amérindiennes se joignent aux Métis car les Blancs ont presque exterminé le bison à cause de la construction du chemin de fer. Grâce au chemin de fer, le gouvernement fédéral peut rapidement envoyer des soldats/police montée dans l’Ouest pour terminer le conflit le 12 mai 1885.

  21. Le deuxième soulèvement des Métis (1885)Conséquences Louis Riel sera trouvé coupable de trahison et sera condamné à mort/pendaison le 16 novembre 1885. Cette décision divise les Canadiens : Les francophones sont en colère. Ils appuyaient Riel, francophone catholique, car il défendait une cause juste à leurs yeux. Les anglophones sont satisfaits. Ils considéraient Riel comme un traître et voulaient se venger de la mort de Scott.

  22. Les pensionnats autochtones (20ième siècle) • Qu’est-ce qu’un pensionnat? • Quel est l’objectif du gouvernement Macdonald en imposant la fréquentation des pensionnats? • Quels apprentissages sont faits dans les pensionnats ? 4. Prouve par 4 exemples que la fréquentation des pensionnats a été une expérience traumatisante pour les enfants autochtones. 5. a) À partir de quelle année la fréquentation des pensionnats devient obligatoire et pour quels âges d’enfants ? b) Qui sont les gens qui vont chercher les enfants pour les mener aux pensionnats ? 6. a) Quand marque la fin des pensionnats autochtones? b) combien d’enfants autochtones ont séjourné dans de telle école? c) Quel fut le rôle de l’Église dans les pensionnats?

  23. Qu’est-ce qu’un pensionnat? • C’est une école où les jeunes y demeurent. • Quel est l’objectif du gouvernement Macdonald en imposant la fréquentation des pensionnats? • De mettre fin au régime tribal et d’assimiler les Indiens sous tous les aspects pour qu’ils deviennent comme les autres habitants du Dominion, et ce, le plus rapidement possible. • Quels apprentissages sont faits dans les pensionnats ? • L’enseignement religieux, ainsi que la cuisine, couture et le ménage pour les filles et l’agriculture, la charpenterie, cordonnerie et la forgerie aux garçons.

  24. Prouve par au moins 5 exemples que la fréquentation des pensionnats a été une expérience traumatisante pour les enfants autochtones. • Ils sont arrachés à leurs familles à un jeune âge • Peuvent pas s’exprimer dans leur langue aux pensionnats(perdre leur langue/plus pouvoir communiquer avec leurs familles lorsqu’ils retournent) • Abus verbaux • Abus physiques • Abus sexuels • Pensionnats sont souvent insalubres (mauvaises conditions hygiéniques) 5. a) À partir de quelle année la fréquentation des pensionnats devient obligatoire et pour quels âges d’enfants ? • Les pensionnats deviennent obligatoires à partir de 1920 pour les enfants âgés de 7 à 15 ans

  25. 5. b) Qui sont les gens qui vont chercher les enfants pour les mener aux pensionnats ? • Les prêtres, des agents du ministère des Affaires indiennes et des agents de la GRC vont jusqu’à arracher les jeunes autochtones de leurs familles pour les amener aux pensionnats. • a) Quand marque la fin des pensionnats autochtones? • C’est en 1969 que se termine l’époque des pensionnats. b) combien d’enfants autochtones ont séjourné dans de telles écoles? • Environ 100 000 autochtones auraient séjourné dans une pensionnat. c) Quel fut le rôle de l’Église dans les pensionnats? • C’est l’Église qui s’occupe du fonctionnement des pensionnats et l’enseignement.

  26. vidéo Photo de Thomas Moore prise avant son arrivé à la Regina Industrial School(pensionnat) en 1896. Photo du même jeune prise après son arrivé à la Regina Industrial School en 1896.

  27. Les revendications autochtones du 20ième et 21ième siècle

  28. Qu’est-ce que les Autochtones revendiquent ? Selon la Loi sur les Indiens, le gouvernement fédéral a certaines responsabilités envers les peuples Amérindiens, ce qu’il ne respecte pas toujours. C’est pour cela qu’aujourd’hui, les Amérindiens sentent le besoin de revendiquer(lutter pour faire respecter) certains droits : 1) Droits territoriaux Selon la loi, le gouvernement fédéral canadien doit négocier avec les différentes tribus autochtones pour tout changement qu’il désir apporter aux territoires des réserves (ex : Si le gouvernement voulait exploiter les terres pour développer des industries, compagnies, etc. sur des terre de réserves….doit négocier avec les Amérindiens)

  29. Qu’est-ce que les Autochtones revendiquent ? • Droits fondamentaux de liberté Selon la loi, les Amérindiens étaient considérés comme des mineurs et le gouvernement fédéral était responsable d’eux(pas de droit de vote, pas de droits légaux sur leurs propres enfants). Cela explique pourquoi le gouvernement avait légalement le droit d’arracher les enfants des familles et les envoyés dans les pensionnats. Les Amérindiens ont lutter pour faire changer la loi pour avoir plus de droits fondamentaux de libertés. • Droits de survie:chasse/pêche/bois Selon la loi, datant de la proclamation royale, les Amérindiens étaient garantis des droits de chasse/pêche et coupe du bois afin de subvenir à leurs besoins. Ils continuent à lutter avec le gouvernement pour faire respecter ces droits.

  30. Quelques exemples de situations de revendications

  31. Crise d’Oka La crise d'Oka est un événement politique marquant qui opposa la nation Mohawk et la municipalité d’Oka, durant l'été 1990 (11 juillet-26 septembre). La crise demandera l'intervention de l’armée canadienne après l'échec d'une intervention de la Sûreté du Québec.

  32. Contexte historique La tension monte lorsque le maire de la ville d'Oka, Jean Ouellette, décide d'accorder un permis à un promoteur québécois afin d'agrandir un terrain de golf et de réaliser un projet domiciliaire. Auparavant, le gouvernement canadien, responsable des Amérindiens, avait empêché les Mohawks de conclure une entente pour acheter ce terrain. En rasant un bosquet de pins, les promoteurs rasent sans le savoir une partie d'un cimetière ancestral mohawk.

  33. Déroulement de la crise • 11 mars 1990 – une barricade empêchant l’agrandissement du terrain de golf est érigée par les Mohawks. • 10 juillet 1990 – La Cour supérieure du Québec ordonne son démantèlement par une injonction. • 11 juillet 1990 – une force de 100 agents de la SQ donne l’assault. Une fusillade nourrie, le caporal Marcel Lemay, 31 ans, est tué. La police bat en retrait. Les Warriors de Kahnawake bloquent le pont Mercier et la réserve de Kanasatake sera maintenue pendant des semaines.

  34. Suite.. • Suite à cette nouvelle réalité, le gouvernement québécois demande l’intervention de l’armée canadienne.

  35. Les Mohawks (Warriors) bloquent l’accès aux autoroutes et ponts jusqu’au 26 septembre 1990. • Le maire a finalement abandonné le projet d’expansion du terrain de golf. • Le chef des Warriors se suicida. Video Clip de Radio-Canada

  36. L’affaire Marshall • En 1999, l'accusé Donald Marshall, un Indien mi'kmaq, a été inculpé de trois infractions : avoir vendu des anguilles sans permis, avoir pêché sans permis et avoir pêché pendant la période de fermeture au moyen de filets illégaux. Il a admis avoir vendu 463 livres d'anguilles qu'il avait pêchées sans permis à l'aide d'un filet prohibé, pendant la période de fermeture. • La question durant son procès était celle de savoir s'il possédait un droit, issu des traités conclus en 1760 et 1761, qui l'autorisait à prendre et à vendre du poisson sans être tenu de se conformer à la réglementation.

  37. Affaire Marshall : décision de la Cour Suprême • La cour Suprême du Canada conclut que les Autochtones ont le droit d’utiliser et d’exploiter les ressources naturelles pour des fin commerciales, et ce, sans respecter les périodes de l’année réservé à cet effet pour le reste de la population. (exemple: saison de pêche, saison de chasse, coupe de bois,…) • Archive radio-canada

  38. Réserve d’Attawapiskat

  39. Commission royale d’enquête de 1995 • Le gouvernement doit régler de plus en plus la question des revendications Autochtones face aux droits ancestrales. Cette situation incite le gouvernement de nommer une commission royale d’enquête, formée d’autochtones et de non-autochtones, afin d’évaluer la situation et tenter d’émettre des solutions possibles. • Documents patrimoniaux

  40. Création du Nunavut 1999 • Suite à la commission royale d’enquête, le Nunavut a été fondé officiellement en 1999. • Ce territoire fait partie du Canada mais est un territoire officiellement reconnu comme un territoire Inuit.

  41. Ligne du temps Obligation des enfants Autochtones d’aller aux pensionnats Fin des pensionnats Autochtones Crise d’Oka Commission Royale d’enquête sur les Autochtones L’Affaire Donald Marshall(pêche) Création du Nunavut • Proclamation royale (création territoire indien) • Premières réserves indiennes • Achat des terres de l’Ouest • Premier soulèvement des Métis • Création de la Loi sur les Indiens • Deuxième soulèvement des Métis • Retour de Riel au Canada • Pendaison de Louis Riel

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