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Les investissements (UE;BRICS;MAROC)

Les investissements (UE;BRICS;MAROC). Présenté par : Khalil Yaagoubi Sous l’encadrement de : Mr. Essafi. Plan . - présentation générale . - les investissements en Union Européenne . - les investissements en pays BRICS . - les investissements au Maroc . - conclusion . Définiton.

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Les investissements (UE;BRICS;MAROC)

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Presentation Transcript


  1. Les investissements(UE;BRICS;MAROC) Présenté par : Khalil Yaagoubi Sous l’encadrement de : Mr. Essafi l'investissement

  2. Plan • - présentation générale . • - les investissements en Union Européenne . • - les investissements en pays BRICS . • - les investissements au Maroc . • - conclusion . l'investissement

  3. Définiton • Au sens large l’investissement constitue une dépense immédiate en vue de recettes futures ou d’économie de couts .cette définition permet d’abord de cerner l’objectif de tout investissement ; qu’il soit financier ou productif . l'investissement

  4. Idée sur les effets de l’investissement • l’investissement autorise une production plus importante .il permet d’introduire et de diffuser le progrés technique par l’intermédiaire des générations nouvelles d’équipements productifs .qui se traduit positivement d’une croissance économique . • la création d’emplois . l'investissement

  5. - l’investissement permet de moderniser la production nationale en le rendant plus compétitif . Les entreprises enregistrent alors des gains de productivité qui se traduisent par des exportations supplémentaires . Cependant ; tout accroissement de l’investissement peut s’accompagne d’importations massives si le secteur intérieur des biens d’équipements ne peut faire face a la demande nationale . l'investissement

  6. L’union européenne • L’Union européenne (UE) établit les fondements d’une nouvelle politique européenne en matière d’investissements internationaux. Cette politique doit se fonder sur les nouvelles compétences attribuées à l’UE pour supprimer les obstacles aux mouvements d’investissements étrangers directs (IED). Si l’UE est le premier émetteur et le premier destinataire mondial d’IED, les marchés émergents deviennent de plus en plus actifs dans ce domaine. l'investissement

  7. Les IDE sont les mouvements internationaux de capitaux réalisés en vue de créer ; développer ou maintenir une filiale a l’étranger . • Investissements étrangers directs: tout investissement étranger qui sert à établir des liens durables et directs avec une entreprise dont le capital sert à la réalisation d’une activité économique. Ces investissements peuvent permettre à actionnaire de participer à la gestion ou au contrôle d’une société. l'investissement

  8. Le FEI • Le Fonds européen d’investissement (FEI) a été créé en 1994, pour fournir du capital à risque aux petites et moyennes entreprises (PME). Il a pour actionnaire majoritaire la Banque européenne d’investissement, avec lequel il constitue le «Groupe BEI». l'investissement

  9. Que fait le Fonds? • Le FEI fournit du capital à risque aux petites et moyennes entreprises (PME), en particulier aux jeunes sociétés et aux entreprises à orientation technologique. Il sert également de caution pour les institutions financières (par exemple des banques) pour couvrir leurs prêts aux PME. • Le FEI n’est pas une institution bailleur de fonds: il n’octroie pas de prêts ou des subventions aux entreprises et n’investit pas directement dans des sociétés. Il travaille plutôt par le biais d’autres banques et d’intermédiaires financiers. Il utilise à cet effet soit ses propres fonds, soit ceux qui lui sont confiés par la Banque européenne d’investissement ou par l’Union européenne. l'investissement

  10. La BEI • La Banque européenne d'investissement appartient aux 27 États membres de l'Union européenne. Elle emprunte des capitaux sur les marchés financiers qu'elle utilise pour financer, moyennant un taux d'intérêt réduit, des projets destinés à améliorer les infrastructures, la fourniture d'énergie ou les performances environnementales, tant au sein de l'UE que dans des pays voisins ou en développement. l'investissement

  11. Rôle : • La Banque européenne d'investissement finance des projets dans les pays de l'UE et investit dans les futurs États membres et pays partenaires. • Elle emprunte des fonds sur les marchés financiers et ne recourt donc pas au budget de l'UE. Ces fonds sont prêtés à des conditions avantageuses pour la réalisation de projets correspondant aux objectifs stratégiques de l'UE. l'investissement

  12. Investissements directs étrangers de l’Union Européenne en 2004 Les flux sortants d’IDE de l’Union européenne ont chuté de 69 % entre 2000 et 2002, passant de €437 milliards à €134 milliards. Après une stabilité en 2003, ils ont repris leur baisse en 2004, pour s’établir à 115 milliards (1,1 % du PIB), soit 15 % de moins qu’un an auparavant.Les investissements de l’UE à destination de l’Amérique Centrale ont connu une reprise en 2004 et se sont élevés à €32 milliards. l'investissement

  13. Les destination d’investissement d’UE l'investissement

  14. Investissements en UE des pays hors UE • En 2004, le montant investi dans l’UE par les pays tiers a fortement diminué, s’établissant à €62 milliards, contre €115 milliards en 2003. Ce recul de 46 % était dû à la baisse des investissements des pays européens (hors UE) et de l’Amérique du Nord. • Malgré l’augmentation des investissements effectués par la Chine (de €1,7 milliard à €4,8 milliards), les flux entrants provenant de l’ensemble de l’Asie ont ralenti en 2004 à €5,4 milliards (contre €6,5 milliards en 2003). l'investissement

  15. Les secteurs d’investissements en France entre 2009 et 2010 l'investissement

  16. Les pays BRICS • Ce n'est pas encore l'influence du G20 ou du G8. Mais, petit à petit, le sommet des BRICS creuse son sillon sur la scène internationale. • Les BRICS veulent renforcer leur poids et mieux faire avancer leurs points de vue dans les négociations économiques internationales . l'investissement

  17. Les cinq pays composant le BRICS sont pour la plupart considérés comme des grandes puissances émergentes, ils sont respectivement les neuvième, sixième, quatrième, deuxième et vingt-cinquième puissances économiques mondiales. Ils comptent 40 % de la population mondiale et, en 2015, ils devraient assurer 61 % de la croissance mondiale selon le FMI. Leur place dans l'économie mondiale croît fortement : 16 % du PIB mondial en 2001, 27 % en 2011 et d'après des estimations, 40 % en 2025. En 2011, la BRICS totalisait un PIB de 11 221 milliards pour près de 3 milliards d’habitants. l'investissement

  18. Les investissements des pays BRICS : • Les besoins sont grands pour les secteurs de l’énergie, des routes, en particulier les routes de campagnes, le réseau des transports et des usines. • Dans la période de 2007 à 2012, l’Inde a investi 500 milliards de dollars dans les infrastructures. Aujourd’hui, le pays a besoin de mille milliards pour la période de 2012 à 2017. Le problème a mis en lumière le déficit fiscal énorme du pays et le besoin d’investissements étrangers pour répondre aux besoins de financement du pays. l'investissement

  19. "Il y a aura des échanges commerciaux entre l’Inde et la Chine, il y aura des investissements d’un pays vers l’autre et des retours d’investissements de l’autre pays. Les deux pays ont un grand besoin d’infrastructures . • Les dépenses en infrastructure sont la clé pour que l’Inde passe à la vitesse supérieure...mais il faudra que l’Inde assouplisse ses politiques pour attirer les investisseurs étrangers. l'investissement

  20. Moscou occupe la huitième position dans le classement des villes les plus attirantes pour les investissements. Londres se trouve en tête du classement. Mais à la surprise générale, les capitales du Brésil, de la Chine et de l’Inde commencent également avoir la cote, en dépassant les villes européennes. l'investissement

  21. les investissements directs en hausse de 22% en 2011 l'investissement

  22. Les investissements étrangers directs ont augmenté en 2011 de 22% par rapport à 2010, s'élevant à 52,878 milliards de dollars. • En 2010, les investissements directs dans l'économie russe se sont chiffrés à 43,289 milliards de dollars. • La Russie a reçu 29,791 milliards de dollars d'investissements directs en 2006, 55,074 mds USD en 2007, 75,461 mds USD en 2008 et 36,5 milliards de dollars en 2009. l'investissement

  23. les investissements étrangers de la Russie en hausse de 66% en 2011 • Les investissements étrangers dans l'économie Russe ont augmenté en 2011 de 66,1% par rapport à 2010, s'élevant à 190,6 milliards de dollars . • les investissements directs étrangers se sont quant à eux chiffrés à 18,526 milliards de dollars, ce qui représente une croissance de 33,3% par rapport à 2010. • En outre, "à la fin de 2011, le capital étranger cumulé en Russie a augmenté de 15,7%  pour atteindre 347,2 milliards de dollars". l'investissement

  24. En 2010 les investissements étrangers en Chine devraient enregistrer plus de 77 milliards d'euros . • Les investissements directs étrangers à destination de la Chine vont probablement dépasser pour la première fois cette année la barre des 100 milliards de dollars . • Les investissements directs étrangers non financiers ont atteint le montant record de 92,4 milliards de dollars en 2008. Cependant, ils ont reculé à 90 milliards de dollars l'année suivante sous l'effet de la crise financière. l'investissement

  25. Les investissements chinois à l'étranger en hausse de 94,5% • Les investissements directs chinois à l'étranger dans les secteurs non financiers ont bondi de 94,5% en glissement annuel pour atteindre 16,55 milliards de dollars . l'investissement

  26. Les investissements au Brésil ont augmenté, mais ils restent trois fois inférieurs à ceux investis en Chine • Les investissements étrangers directs au Brésil ont augmenté de 16,3% en 2010 par rapport à l'année précédente, mais ils représentent encore moins d'un tiers du montant investi en Chine . • Le Brésil a reçu 30,2 milliards de dollars en 2010, le plus grand volume parmi les pays d'Amérique latine pour la quatrième année consécutive. La Chine, en revanche, a reçu 101 milliards de dollars. A lui seul le territoire d’Hong Kong a reçu 62 milliards de dollars pour la période. l'investissement

  27. En comparaison avec les autres pays du BRICS, le Brésil se trouve derrière la Russie (39,7 milliards de dollars), mais devant l'Inde (qui a reçu 23,7 milliards de dollars en 2010, une baisse de 31% par rapport à l'année précédente). l'investissement

  28. Les IDE au Maroc • Le total des investissements directs étrangers (IDE) au Maroc atteint aujourd’hui le montant de 378 milliards de dirhams. Environ 900 entreprises ont bénéficié de ces investissements, ce qui a permis de créer plus de 160.000 emplois. l'investissement

  29. La courbe d’évolution du total des investissements étrangers a connu une véritable accélération depuis 1996-97 avec le début des privatisations. La décennie 90 avait été marquée par une moyenne de 5 milliards de dirhams par an. Depuis 2000, la progression se fait avec une moyenne de 26 milliards de dirhams par an. • 50% des investissements étrangers sont originaires de France, suivie par l’Espagne avec 17% puis les Émirats arabes avec 6%. Ensuite, on retrouve autour de 3% la Suisse, la Grande Bretagne, l’Allemagne, le Koweït et enfin les États-Unis. l'investissement

  30. La phase de croissance • Deux avantages principaux caractérisent les investissements étrangers. D’une part, ils créent des emplois ou pérennisent des emplois déjà existants. D’autre part, ils amènent une trésorerie en devises importantes pour améliorer nos réserves. l'investissement

  31. Les investissemants du Maroc a l’étranger • ONA, OCP, Attijariwafa Bank parmi les champions du Sud : • Les investissements marocains à l'étranger restent, quant à eux, plutôt faibles, le pays « émarge encore peu à lʹIDE en valeur relative ». En Méditerranée, ils concernent surtout la Libye (61 millions d'euros), la Jordanie (15 millions d'euros), et la Tunisie (où Attijariwafa Bank a ouvert des filiales) . Plusieurs groupes marocains ont également investi dans les services en France, en Italie, en Espagne, en Allemagne et aux Pays‐Bas. l'investissement

  32. Parmi les grands groupes marocains, trois se distinguent : l'ONA (Omnium Nord Africain), l'OCP (Office Chérifien du Phosphate) et la précitée Attijariwafa Bank. Ces trois groupes font partie, selon les auteurs de l'étude, des nouveaux champions industriels du Sud. Cependant, « peu de ces champions peuvent être comparés aux majors de certains pays développés ou émergents (les Sinopec, ChinaMobile, PetroChina, Tata, Mittal, etc.) ». l'investissement

  33. L’investissement public au Maroc • 581 milliards de dirhams d’investissements publics en 4 ans : • Pour SalaheddineMezouar (le ministre d’économie et de finance), la politique économique et financière adoptée par le gouvernement a permis au Royaume de résister aux effets de la crise économique mondiale et de réaliser d’excellentes moyennes de croissance, si l’on prend en considération les contraintes de la conjoncture économique nationale. l'investissement

  34. le secteur public devrait contribuer, considérablement, à l'effort d’investissement avec un montant global, s’élevant à 162,64 milliards de dirhams en 2010, en augmentation de 20,4 % par rapport à 2009. l'investissement

  35. La répartition de l’effort de l’investissement entre les différentes composantes du secteur public se présente comme suit : 45 milliards de dirhams pour le budget général, les comptes spéciaux du trésor (CST) et 0,48 milliards pour les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA), 6 milliards de dirhams pour les collectivités locale et 111 milliards de dirhams pour les établissements et entreprises publics. Globalement, les investissements et les projets publics programmés en 2010 couvrent les secteurs d’activités suivants: l'investissement

  36. 1-Secteur des routes et autoroutes . 2-Secteur ferroviaire (oncf) . 3-Secteur portuaire (les ports) . 4-Secteur des transports . 5 - Secteur de l’Energie . 6- Secteur d’agriculture . 7- Le secteur de l’Habitat . l'investissement

  37. Investissement public : Quatre régions du Maroc accaparent 40% du budget • Rabat-Salé en tête avec 24,6 milliards de DH, suivie de Casablanca avec 17,7 milliards. Plus de 80% de l’enveloppe est investie par les entreprises publiques. • C’est ainsi que 167,3 milliards de DH seront débloqués en 2011 pour la réalisation de projets publics, soit 5 milliards de DH de plus qu’en 2010. • Après Rabat, le Grand Casablanca est la deuxième région qui bénéficie le plus de l’investissement public. L’Etat lui consacrera 17,7 milliards de DH en 2011. l'investissement

  38. Le département de l’agriculture intervient de manière plus importante dans la région de Tanger-Tétouan qui profitera de 12,9 milliards de DH d’investissement public. Ce département programme ainsi le financement des études, d’équipement et des travaux de divers projets sur près de 20 000 . L’éducation nationale injectera près de 577 MDH principalement pour la construction de 105 établissements scolaires. l'investissement

  39. Au total, l’axe qui s’étend de Tanger à Casablanca hérite de la part du lion avec53 % de l’ensemble de l’investissement public programmé dans les différentes régions du pays. Si on y ajoute les 9,5 milliards de DH affectés à Doukkala-Abda, on constate que l’Etat injecte un peu plus de 77,7 milliards de DH à ces cinq régions, soit 60% du total des crédits d’investissements destinés aux régions. Autant dire que le fossé est énorme . l'investissement

  40. Le phénomène est d’autant frappant que ce sont ces mêmes régions qui absorbent la majorité des investissements privés et leurs communes sont les plus riches du pays. Ce déséquilibre s’amplifie quand on mesure l’effort d’investissement public par rapport à la population de chaque région. Ainsi, on constate que l’Etat consacre une moyenne de 1 673 DH par an pour chaque habitant de la région de Tadla Azilal, qui percevra 2,4 milliards de DH, contre 10 057 DH par personne dans la région de Rabat Salé-Zemmour-Zaër. l'investissement

  41. L’investissements privé au Maroc • Bank Al-Maghrib a déjà averti dans son dernier rapport sur la politique monétaire pour le premier trimestre 2012, que les dépenses d’investissement (public et privé) devraient terminer l’année en cours sur une inhabituelle baisse de 2%. A titre de comparaison, ces dépenses avaient progressé en moyenne annuelle de 11% de 2004 à 2007. l'investissement

  42. L'ensemble des projets réalisés ou programmés dans le domaine de l'énergie éolienne sont le fruit d'investissements privés. • L'intervention du secteur privé dans le domaine des énergies renouvelables sera élargie pour englober, outre l'investissement, la gestion et l'exploitation, la mise en place de projets industriels de production d'intrants nécessaires à la pérennité des projets mis en œuvre . l'investissement

  43. Les crédits à l'équipement ont baissé de 3.3% à fin février par rapport au début de l'année, une baisse inédite. Sur une année glissante, l'encours des crédits d'investissement a fait du surplace. Bank Al-Maghrib s'attend à une baisse de l'investissement global de 2% en 2012 même si l'investissement public progresse de 29%. l'investissement

  44. Les IDE au MAROC • Séduire les entreprises étrangères. C’est le défit que s’est lancé le Maroc en misant sur les investissements directs étrangers (IDE). Et cette option semble porter ses fruits, comme en témoigne les chiffres du ministère chargé des Affaires économiques et générales du Maroc. Ainsi en 2005, les investissements et prêts privés étrangers s’élevaient à 28 milliards de dirhams (environ 2,5 milliards d’euros). Ils se chiffraient à 20,2 milliards de dirhams (près de 1,8 milliard d’euros) à la mi-mai 2006 . l'investissement

  45. conclusion • Les investissements semblent parmi les facteurs primordiales pour le développement d’un pays ; cependant on sait que beaucoup de chose tuent la chose ; en effet ; si les agents économiques ont des perspectives trop optimistes, ils peuvent trop investir, ce qui les conduira à avoir des capacités de production excédentaires. On dit qu'il y a surinvestissement. À l'échelle d'un pays, un surinvestissement très élevé conduit généralement à une crise économique. l'investissement

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