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LA COUCHE D'OZONE

10. LA COUCHE D'OZONE. ET. L'EFFET DE SERRE. PLAN. EFFET DE SERRE -Définition -Causes -Conséquences sur l’Antarctique COUCHE D’OZONE -Définition -Causes -Conséquences sur l’Antarctique. INTRODUCTION

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LA COUCHE D'OZONE

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Presentation Transcript


  1. 10 LA COUCHE D'OZONE ET L'EFFET DE SERRE

  2. PLAN • EFFET DE SERRE -Définition -Causes -Conséquences sur l’Antarctique • COUCHE D’OZONE -Définition -Causes -Conséquences sur l’Antarctique

  3. INTRODUCTION • Les scientifiques ont choisi l’Antarctique comme lieu d’exploration parce qu’il comportait plusieurs avantages à la recherche sur le réchauffement climatique. Notamment sur l’effet de serre et la couche d’ozone. Ces critères sont: • - absence de vie car la température peut atteindre -80°C • aucune pollution • C’est pour cela qu’ en accord avec le traité de l’Antarctique, les stations installées sur ce continent sont aujourd’hui uniquement dévolu à la science.

  4. Effet de serre Qu’est-ce que l’effet de serre ?

  5. L’aggravation de l’effet serre réchauffe dangereusement la Terre La surface de la planète est réchauffée par le soleil. Elle serait invivable sans les gaz à « effet de serre », tels le CO2 . Sans eux, la plus grande partie de la chaleur serait en effet renvoyée dans l’espace et la température moyenne serait d’environ -18°C au lieu de 15°C. Comme une serre, ces gaz retiennent une partie de la chaleur. La société moderne en produit de plus en plus, notamment par la combustion de comburants fossiles dans le chauffage, l’industrie, l’agriculture et les transports. Plus de gaz à effet de serre signifient donc davantage de chaleur retenue. La température a ainsi augmenté de 1°C entre 1900 et 2000. Les climatologues prévoient une accélération de ce réchauffement et une augmentation moyenne de 1,4 °C à 6°C en 2100, ce qui signifie fonte des glaces et montée des eaux.

  6. Conséquences sur l’Antarctique La montée du niveau des eaux Ces cinquante dernières années, le niveau moyen des océans est monté de 2 mm par an avec une accélération de 3 mm ces dix dernières années. D’après les modèles des climatologues, si on ne réduit pas significativement l’émission des gaz à effet de serre, la Terre se réchauffera de 1,6 à 6 °C d’ici à la fin du siècle. Le niveau de la mer montera de 20 cm dans le meilleur des cas, de 60 cm pour le scénario le moins favorable. Il faut agir! Les émissions anthropiques de gaz à effet de serre ont dépassé les capacités d’absorption de la Terre, provoquant ainsi une rupture avec l’évolution naturelle du climat. Le réchauffement est un processus inéluctable pour les générations présentes, mais nous pouvons encore éviter le pire aux générations futures si l’on réduit de façon urgente et drastique les émissions de gaz carbonique, le principal acteur.

  7. La couche d’ozone Qu’est-ce qu’est la couche d’ozone?

  8. Le trou dans la couche d’ozone On a découvert en 1985 une inquiétante diminution de l’épaisseur de la couche d’ozone au printemps et en hiver au dessus de l’Antarctique. Sans cet zone, qui absorbe les rayonnements solaires et ultraviolets, la vie sur Terre serait en effet limitée aux profondeurs des océans. En étudiant les différents composants chimiques présents dans l’atmosphère, les scientifiques ont montré que le trou d’ozone résulte d’une réaction chimique à la surface des nuages stratosphériques polaires. La source de cette réaction est le chlore provenant des chlorofluorocarbures alors utilisés presque partout à des milliers de km de l’Antarctique: dans les réfrigérateurs, les bombes aérosols, les solvants… En 1987, le protocole de Montréal limita leur émission. Un retour à la situation initiale est espéré vers 2060.

  9. CONSEQUENCES SUR L’ANTARCTIQUE À la fin des années 1970, des recherches scientifiques en Antarctique ont mis en évidence une diminution périodique de l'ozone dans cette région polaire. Ce que l'on a appelé le « trou de la couche d'ozone » se forme au printemps dans l'Antarctique (à la fin de la nuit polaire) et s'agrandit pendant plusieurs mois avant de se réduire. C'est en 1985 que l'alerte a été donnée avec la découverte d'une diminution importante de la concentration d'ozone au cours des mois de septembre et d'octobre au-dessus du continent antarctique. Une réduction de près de 50% du contenu total d'ozone était observée, se produisant au cours du printemps austral et couvrant toute la surface de l'Antarctique. En 2000, 2001 et 2003, le trou dans la couche d'ozone a atteint une superficie jamais observée avant 2000, alors que celui de 2002 était le plus petit qui ait été observé depuis 1998. En effet, à la fin de l'été 2003, le trou a de nouveau atteint un record de superficie… pour diminuer rapidement durant le mois d'octobre. En 2006, un nouveau record a été enregistré au dessus de l'Antarctique.

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