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Par Gérard ESSI NTOUMBA Ingénieur de Conception de Génie Civil (+237) 77 52 75 03 g erard_essi@yahoo.fr

AGENDA DE LA SESSION DE FORMATION SUR « LA GESTION DE LA MOBILITE URBAINE ET PLANIFICATION DES TRANSPORTS DANS LES COLLECTIVITES LOCALES AFRICAINES du 15 au 19 septembre 2008. PRESENTATION DU PLAN DE CIRCULATION DE YAOUNDE. Par Gérard ESSI NTOUMBA Ingénieur de Conception de Génie Civil

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Par Gérard ESSI NTOUMBA Ingénieur de Conception de Génie Civil (+237) 77 52 75 03 g erard_essi@yahoo.fr

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  1. AGENDA DE LA SESSION DE FORMATION SUR « LA GESTION DE LA MOBILITE URBAINE ET PLANIFICATION DES TRANSPORTS DANS LES COLLECTIVITES LOCALES AFRICAINESdu 15 au 19 septembre 2008 PRESENTATION DU PLAN DE CIRCULATION DE YAOUNDE Par Gérard ESSI NTOUMBA Ingénieur de Conception de Génie Civil (+237) 77 52 75 03 gerard_essi@yahoo.fr

  2. AGENDA DE LA SESSION DE FORMATION SUR « LA GESTION DE LA MOBILITE URBAINE ET PLANIFICATION DES TRANSPORTS DANS LES COLLECTIVITES LOCALES AFRICAINESdu 15 au 19 septembre 2008 SOMMAIRE • Présentation sommaire de la Ville de Yaoundé • Armature du réseau routier de Yaoundé • Les problèmes circulation rencontrés • Les actions menées • Les projections PLAN DE CIRCULATION DE YAOUNDE

  3. Présentation sommaire de la Ville de Yaoundé • Sur le Plan physique • Superficie : 300 km² environ • Population: supérieure à 1 500 000 habitants (estimation) • Croissance démographique annuelle moyenne : 6,8 % • Relief: accidenté avec des sommets à 1.200 m et des vallées à 700 m d’altitude dans le bassin de la rivière Mfoundi, qui se présente sous la forme d’une vaste cuvette ovale • Hydrographie: drainée par un réseau hydrographique naturel dense disposé en éventails à partir de deux points de convergence dont le principal est la Place Ahmadou AHIDJO (Poste Centrale)

  4. Présentation sommaire de la Ville de Yaoundé • 3 types de tissus d’habitat: • Un tissu moderne = 20 % de la superficie de la Ville et 25 % de la population (constructions en matériaux définitifs et un bon niveau d’infrastructures) • Un tissu spontané dense = 60 % de la superficie de la Ville, abritant près de 70 % de la population (constructions en matériaux précaires, voirie peu développée, assainissement sommaire et un faible niveau de raccordement aux réseaux d’eau potable et d’électricité) • Un tissu rural périphérique (faible densité de population et de construction et une quasi absence d’infrastructures).

  5. Présentation sommaire de la Ville de Yaoundé Sur le plan administratif: La Ville de Yaoundé couvre le territoire du département du Mfoundi Préfet > autorité administrative (MINATD) Délégué du Gouvernement (CUY) nommé par le Président de la République > Autorité Municipale compétent sur des domaines supra communaux 7 arrondissements Sous préfet > autorité administrative Maire élu > autorité municipale compétent sur les domaines de proximité

  6. DECOUPAGE ADMINISTRATIF DE YAOUNDE

  7. ARMATURE DU RÉSEAU ROUTIER DE YAOUNDÉ

  8. LE RESEAU • Total : 700 Km • Voies bitumées: 396 Km • Voies non bitumées: 304 Km RESEAU ROUTIER DE YAOUNDÉ

  9. ETAU DU RESEAU • Total : 396 Km bitumées (dont 264 inventoriées en 2005 représentant 66% du réseau) • Bon Etat : 202 Km (76%) • Etat Moyen: 45 Km (18%) • Mauvais état: 17 Km (6%) RESEAU ROUTIER DE YAOUNDÉ

  10. LES PROBLEMES DE CIRCULATION • UNE NOUVELLE STRATÉGIE DES TRANSPORTS URBAINS • INSUFFISANCE DES INFRASTRUCTURES • MAUVAIS COMPORTEMENT DES USAGERS DE LA ROUTE • DEFAUT D’ORGANISATION EFFICACE DANS LES MODE DE TRANSPORTS PAR MOTOS ET MINI BUS

  11. LES PROBLEMES DE CIRCULATION UNE NOUVELLE STRATÉGIE DES TRANSPORTS URBAINS (MINTRANS) Elaboration d’une nouvelle Stratégie des Transports Urbains au Cameroun recommandant la privatisation du transport urbain collectif de grande capacité Après appel d’offres, les lignes de transport urbain ont été attribuées à une entreprise privée qui n’a pas pu démarrer ses activités. Un second appel d’offres n’a pas eu plus de succès. Depuis 2007, la société « LE BUS » a démarré ses activités sur certaines lignes identifiées comme prioritaires dans les déplacements quotidiens domicile/travail (8 sur 12 sont déjà en fonctionnement, mais restent insufisantes)

  12. LES PROBLEMES DE CIRCULATION • INSUFFISANCE DES INFRASTRUCTURES ET DE L’OFFRE DE TRANSPORT • Organisation urbaine: développement des quartiers en périphérie et regroupement des services administratif et commerce essentiellement dans le centre ville, ce qui influence fortement la structure des migrations quotidiennes des habitants. • Le réseau routier s’organise autour de 2 axes structurants orientés Nord/sud et Est/Ouest qui traversent le centre ville. • Etant donné le bon état de ces chaussées et du mauvais état des voies secondaires, de nombreux véhicules empruntent ces voies et passent donc par le centre sans pour autant y avoir leur destination finale • Contraintes d’aménagement: Environ 30% de la surface disponible n’est pas urbanisable, du fait de pentes fortes ( supérieures à 15%), d’une part, et de vallées régulièrement inondées d’autre part.

  13. Une circulation Concentrique… Et donc radiale

  14. LES PROBLEMES DE CIRCULATION • INSUFFISANCE DES INFRASTRUCTURES ET DE L’OFFRE DE TRANSPORT • L’efficacité du réseau de voirie dans son ensemble pâtit des dysfonctionnementssuivants : • L’insuffisance de marquage au sol et d’ilôts directionnels destinés à canaliser et à séparer les flux de circulation • L’insuffisance de signalisation directionnelle et de jalonnement permettant une meilleure lisibilité des itinéraires de circulation, • L’insuffisance de passages piétons clairement identifiés qui permettraient d’éviter les traversées en pleine voie (en particulier dans les carrefours) et de sécuriser ces traversées • L’insuffisance de carrefours équipés de feux (actuellement 6) • Des sections de voirie dégradées qui accroissent fortement les temps de déplacement

  15. LES PROBLEMES DE CIRCULATION • Faible taux de motorisation (13 % des ménages possèdent un véhicule en 1998) accroissant ainsi la demande dans les autres mode de transport (principalement le taxi - près d’1 personne sur 2 emprunte un taxi dans le Centre Ville) • Insuffisance des réseaux fonctionnels de transport urbain par autobus (du nouvel opérateur LEBUS - 8 lignes sur 12 initialement prévues)

  16. LES PROBLEMES DE CIRCULATION • MAUVAIS COMPORTEMENT DES USAGERS DE LA ROUTE • Les arrêts spontanés et désordonnés observés dans le mode de transport collectif par taxis, mini bus et motos-taxis avec la complicité des usagers transforment tous les carrefours en points de chargement • le non respect des espaces aménagés par la CUY pour le ramassage des personnes (aussi bien par les passagers que les conducteurs) • DEFAUT D’ORGANISATION EFFICACE DANS LES MODE DE TRANSPORTS PAR MOTOS ET MINI BUS • Les motos-taxis et minibus qui viennent relayer les taxis dans les zones dont les routes sont dégradées ou retirées souffrent d’un défaut d’organisation et de respect de la réglementation.

  17. LES ACTIONS MENÉES • De nombreuses études ayant abouti à la définition de certains programmes (Schéma Directeur D’Aménagement et d’Urbanisme de 1963 - approuvé-; Actualisation en 1982 - non approuvé, actualisation en 2001- approuvé le 12/09/08 par le Préfet du Département du Mfoundi). • Les autres études récentes sont: • En 2000, Elaboration du Plan de Circulation simplifié (groupement de Bureaux d’Etudes SODETEG – ECTA BTP – SODETEG CAMEROUN) dont la mise en oeuvre a démarrélors du Sommet France-Afrique en 2001 • En 2001, Actualisationdu Plan Directeurd’Urbanisme(groupementGroupement AUGEA-ARCAUPLAN-IRIS) qui a proposé la réalisation d’un Schémade DéplacementUrbain (SDU) dans le volet Transports et Déplacements.

  18. LES ACTIONS MENÉES • En 2005, L’Etude de diagnostic et maitrise d’œuvre complète pour l’amélioration des conditions de circulation et de mobilité urbaine dans la Ville de Yaoundé (groupement SCETAUROUTE/SCET-CAMEROUN). • Cette étude a permis d’identifier les opérations de réhabilitation des voiries structurantes et des voiries de quartiers à mener dans le cadre du programme Contrat Désendettement Développement (C2D) financé par l’AFD et a servi de base pour celles retenues dans le Projet de Développement des Secteur Urbain et de l’Approvisionnement en Eau (PDUE), financé par la Banque Mondiale. • A cet effet nous présenterons les projets C2D, PADY ainsi que le SDU tiré du Plan Directeur d’Urbanisme (PDU), mais pas le PDUE qui comprend un volet réhabilitation de voirie dont la différence avec le C2D se situe sur l’approche qui est par niveau de service.

  19. CONTRAT DÉSENDETTEMENT DÉVELOPPEMENT C2D URBAIN YAOUNDE

  20. contexte  l’Etat et la Communauté Urbaine de Yaoundé ont signé un contrat de ville en mars 2006, un dispositif de contractualisation de leur rapport. Le contrat de ville a retenu Les 7 objectifs stratégiques, qui s’appuient sur le DSRP (Document Stratégique de Réduction de la Pauvreté) et qui sont entre autres: Renforcer les infrastructures structurantes Améliorer la mobilité urbaine Collecter et traiter les déchets solides et liquides Etendre les services urbains de base dans les quartiers Préparer la croissance urbaine

  21. contexte • Le Contrat de Ville de Yaoundé définit les engagements des deux parties. Etat et CUY. • Il comprend un programme d’investissement pour la période 2006-2011 est évalué à 93 milliards de FCFA, qui a en son sein le programme C2D(Contrat Désendettement Développement), comme composante, pour un montant total de 22,6milliards.

  22. COMPOSANTE 2 : INVESTISSEMENT ET ENTRETIEN DES INFRASTRUCTURES 1-1- AMELIORATION DES CONDITIONS DE CIRCULATION ET DE MOBILITE URBAINE Aménagement des points critiques du réseau de voirie structurante de la ville de Yaoundé (carrefours et tronçons de voirie). 6,850 km d’artères urbaines en trois lots : • Route de Tongolo ; • Carrefour trois statues - Olézoa ; • Carrefour préfecture.

  23. COMPOSANTE 2 : INVESTISSEMENT ET ENTRETIEN DES INFRASTRUCTURES 1-2- DESENCLAVEMENT DES QUARTIERS D’HABITAT POPULAIRE DE LA VILLE DE YAOUNDE Aménagement de 14 km de voies carrossables secondaires et tertiaires (y compris éclairage public, bornes fontaines, adduction d’eau potable, espaces de jeux, collecte des ordures ménagères) dans les quartiers d’habitat spontané et les lotissements communaux de la ville Les travaux sont répartis en douze lots :

  24. Lot 1 : Chaussées avec revêtement en béton bitumineux (1.595 ml, quartiers Mballa et Mimboman) ; • Lot 2 : Chaussées avec revêtement en béton de ciment et en pavés (1.790 ml, quartier Mballa) ; • Lot 3 : Chaussées avec revêtement en béton de ciment et en pavés (960 ml, quartier Messa-carrière) ; • Lot 4 : Chaussées avec revêtement en béton de ciment et en pavés (865 ml, quartier Essos sud) ; • Lot 5 : Chaussées avec revêtement en béton de bitumineux (1.630 ml, quartier Essos sud) ; • Lot 6 : Chaussées avec revêtement en béton de bitumineux (1.160 ml, quartier Nkoldongo) ; • Lot 7 : Chaussées avec revêtement en béton de ciment et en pavés (1.260 ml, quartier Briqueterie) ; • Lot 8 : Chaussées avec revêtement en béton de ciment et en pavés (965 ml, quartiers Nkoldongo et Essos sud) ; • Lot 9 : Chaussées en béton (960 ml, quartier de Kondengui) ; • Lot 10 : Chaussées en béton bitumineux (1.200 ml, quartier de Mvog-Ada) ; • Lot 11 : Chaussées en béton de ciment et en pavés (1.200 ml, quartier de Mélen) ; • Lot 12 : Chaussées en béton de ciment (1.060 ml, quartiers de Mvog-Ada & Kondengui).

  25. FABRICATION ET FOURNITURE DE PAVES Il s’agit de fabrication et fourniture des pavés destinés aux travaux de désenclavement des quartiers d’habitat populaire de la ville répartis en six lots (dont cinq ont été lancés. • Lot 1:100 000 Pavés (Quartiers Briqueterie et Melen) • Lot 2: 80 000 Pavés (Quartier Nkolndongo) • Lot 3: 50 000 Pavés (Essos) • Lot 4: 100 000 Pavés (Essos) • Lot 5: 50 000 Pavés (Quartiers MballaEtoudi et Messa)

  26. PROJET D’ASSAINISSEMENT DE YAOUNDE(PADY) COOPERATION CAMEROUN BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT

  27. PRESENTATION DU PROJET • LOCALISATION DU PADY • COUT DU PADY • OBJECTIFS DU PROJET • HISTORIQUE DU PADY • DESCRIPTION DU PROJET • ETAT D’AVANCEMENT

  28. 1. HISTORIQUE DU PADY Le Plan Directeur d’Assainissement (PDA) de Yaoundé achevé en juillet 1996 a servi de base à la définition d’un projet prioritaire destiné à l’assainissement pluvial de la ville; il s’agit de: 1. Recalibrage du canal du Mfoundi aval et 2. Curage des collecteurs centraux souterrains. Une actualisation de ces études, financée par la BAD en 2002 par un Fonds de Préparation des Projets (PPF) a permis la définition du présent projet intitulé «PROJET D’ASSAINISSEMENT DE YAOUNDE (PADY)».

  29. 2. LOCALISATION DU PADY 1. Le Projet d’Assainissement de Yaoundé (PADY) est localisé en plein centre urbain de la ville de Yaoundé. 2. Le point de départ est le centre ville (Boulevard du 20 Mai, Avenue Kennedy,Marché du Mfoundi). 3. Le parcours est le lit principal du Mfoundi aval sur une longueur d’environ 5 Km (voir carte ci-après).

  30. Ville de Yaoundé - Zone de projet Origine Canal Mfoundi Fin Canal Mfoundi

  31. 3. FINANCEMENT - COUT FINANCEMENT: • FAD: 25,6 millions d’UC (20,3 millards FCFA); • GVT: 2,89 millions d’UC (2,03 millards FCFA) COÜT: 28,49 millions d’UC (22,33 millards de FCFA)

  32. 4. OBJECTIFS DU PADY • L’objectif global du projet est de contribuer à la réduction de la pauvreté en milieu urbain. • Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) résoudre les problèmes d’ inondations dans le centre ville de Yaoundé; (ii) améliorer le cadre de vie des populations de la ville ; (iii) renforcer les capacités des parties prenantes du secteur.

  33. TROIS COMPOSANTES AU TOTAL DONT LA COMPOSANTE A INFRASTRUCTURES: • construction d’un canal bétonné sur 4,5 Km  • construction, de 03 dégrilleurs en amont des collecteurs souterrains du Centre ville; • Curage des trois collecteurs souterrains (2,35 km); • l’aménagement paysager des abords du canal avec parcs de stationnement et places à vivre  ;;

  34. VUE EN PLAN CANAL DU MFOUNDI ET LES AMÉNAGEMENTS PAYSAGERS PROJETES DONT LA CIRCULATION PIÉTONNE

  35. LES PROJECTIONS • Les projections

  36. PROPOSITIONS • Objectif du SDU: répondre aux besoins de mobilité tout en préservant la qualité environnementale, l’activité économique et la solidarité spatiale. • Sous forme de recommandations, d’orientations voire de prescriptions, les problématiques prioritaires concernent : • La structure du réseau de voirie avec une réorientation de l’option des «coups partis » et une hiérarchisation de la trame viaire (cohérence dans l’achèvement des programmes en cours avec les politiques futures de densification) • L’organisation des transports en commun, afin d’asseoir une politique durable ( Le transport urbain de masse assuré par « LE BUS » reste insuffisant et doit être développé d’ici 2020)

  37. PROPOSITIONS • Préparer les alternatives en matière de système de transport urbain en site propre digned’unecapitale. • Définir une nouvelle politique pour l’occupation de la voirie par les taxis : couloir réservé, stationnement anarchique interdit, stationnement identifié, sécurité routière, et prendre en compte l’existence des moto-taxis, de plus en plus présents dans le centre urbain (malgré les interdictions) • Le déploiement et l’aménagement des pôles d’échanges intermodaux assimilant les transports de marchandises, l’accès aux gares routières, ferroviaires et à la plate-forme aéroportuaire.Une opération est en cours à Olembé (CUY)

  38. PROPOSITIONS L’organisation d’un réseau écologique attractif lié au plan vert et privilégiant les modes de déplacements doux compatibles avec le site et la réalité socio-économique. Une thématique qui généralise le problème crucial de franchissements et d’alternatives au «tout automobile ».

  39. PROPOSITIONS MISE EN OEUVRE ET SUIVI Le caractère participatif et volontariste de l’élaboration du SDU en fera un document de référence et légitime par le lien « juridique » avec le PDU qui le prescrit. Le SDU pallie et complète toutes directives du PDU ou dispositions des POS, relatives à ces problématiques, comme outil d’évaluation pouvant au moins être opposable à l’Administration et à tout aménageur ou investisseur dans les domaines concernés. Le SDU décline les actions concrètes à mettre en œuvre.

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