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JAFFA. LE JEU DE PISTE. JEUX DE PISTE. Jaffa est le royaume des chats [normal on et près du port] qui n’ont peur de rien n’y de personne, ce qui n’est que très logique puisque l’on se trouve dans un grand port de pêche. Les chats sont les vrais patrons de cette ville.

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Presentation Transcript


  1. JAFFA LE JEU DE PISTE

  2. JEUX DE PISTE Jaffa est le royaume des chats [normal on et près du port] qui n’ont peur de rien n’y de personne, ce qui n’est que très logique puisque l’on se trouve dans un grand port de pêche. Les chats sont les vrais patrons de cette ville. Prends les plus beaux en photos.

  3. UN PEU D’HISTOIRE L’origine du mot Jaffa? Il existe de nombreuses théories sur l’origine du nom de Jaffa. Certains spécialistes, se basant sur une légende juive, avancent que le nom vient du prénom Japhet [comme le copain de Noam], un des fils de Noé, qui l’aurait construite 40 ans après le déluge. Une légende grecque attribue la naissance du village à Jopa, la fille d’Eole, le maître des vents. D’autres pensent que le nom de la ville provient du mot « yofi » (belle, beauté, agréable) en Hébreu. C’est le plus connu et le plus ancien des ports de la région. Tout le commerce à destination de Jérusalem arrivait par ce port. On dit que les cèdres du Liban qui ont servi pour la construction du 1er temple sont passés par ce port.

  4. QUIZ Depuis quand la ville existe-t-elle? 1,000 ans 4,000 ans 10,000 ans D’après les recherches archéologiques et les plus anciens documents retrouvés, l’origine de la ville remonterait à environ 4.000 ans (âge de bronze) Où est situé Jaffa? • Nord • Est • Sud • Ouest Cela dépend de l’endroit où l’on se trouve !! Jaffa est situé au sud de Tel-Aviv.

  5. QUIZ Quel est le fruit le plus célèbre de la ville? L’orange de Jaffa [connue dans le monde entier]. La région côtière était pendant 150 ans un endroit où il y avait beaucoup de malaria du aux marécages. Les pionniers au siècle dernier ont installé des pompes pour drainer les marécages et pomper l’eau fraîche pour leurs vergers. Jaffa devient finalement le plus important port pour l’exportation d’agrumes.

  6. JEUX DE PISTE Etape 1:Dirige toi sur la yefeth street et arrête-toi devant la tour de l’horloge C’est le symbole de la ville. Selon une légende locale, l’horloge fut construite par un riche juif qui en avait marre que des gens qui allaient à la gare pour prendre le train rentrent dans son magasin pour lui demander l’heure. Il fit construire la tour avec des horloges et y installa une cloche qui sonnait toute les heures. Il dut toutefois retirer sa cloche car le volume de la sonnerie masquait les appels à la prière de la mosquée qui se trouvait à proximité. Il y a 4 horloges. Quelle est leur différence? Deux horloges donnent l’heure en Europe et les deux autres l’heure en Israël.

  7. JEU DE PISTE Etape 2: Dirige-toi maintenant vers la boulangerieSaid Abu Elafia & Sons (à quelques mètres de la Tour de l’horloge toujours - Yefeth Street n° 7) • C’est une des plus célèbres boulangeries d’Israël. • Elle existe depuis 1879 au même endroit. • Elle est ouverte 24/7 • Justin Bieber y est venu y acheter une pitta. Essaie la pizza arabe

  8. JEU DE PISTE Etape 2: Dirige-toi maintenant en direction des jardins HaPisga Il y a une curieuse sculpture blanche au sommet de la colline. Qu’illustre-t-elle ? • La partie gauche représente le rêve de Jacob Jacob avait fait un rêve: « Et il vit une échelle placée sur la terre, dont le dernier échelon touchait le ciel. Les anges y montaient et descendaient et le seigneur se tenait au dessus… ». • La partie droite concerne le sacrifice d'Isaac Isaac était le fils d'Abraham et Dieu voulant mettre Abraham à l'épreuve, il lui demanda de sacrifier son fils. Isaac se rend avec son fils sur le Mont Moriah, alors qu'il est prêt à le sacrifier, un ange l'interrompt "Abraham, ne fait rien, je sais maintenant que tu crains Dieu et que tu ne lui a pas refusé ton fils unique"... Abraham sacrifiera un mouton à la place. • La partie au dessus illustre la chute de Jéricho Jéricho fut la première ville conquise par Yoshua (Josué, qui avait été désigné par Moise à sa mort pour conduire le peuple hébreu vers la terre promise). Lorsque les enfants d'Israël arrivèrent devant la ville de Jéricho les portes se fermèrent, les habitants ne voulaient pas du peuple hébreu. Une voix céleste dit à Yoshua "faites le tour de la ville, faites le une fois pendant 6 jours, le septième jour vous le ferez 7 fois et 7 sacrificateurs sonneront le chofar" Ils firent comme demandé et le septième jour, ils firent 7 fois le tour,  7 personnes sonnèrent le chofar et la muraille de Jéricho s'écroula, laissant ainsi la libre entrée aux Hébreux. La statue ressemble à une porte. C’est la porte d’entrée en terre d’Israël

  9. JEU DE PISTE Tu vois des canons? Ils ont appartenu à un général (devenu Empereur) célèbre qui séjourna pendant un temps à Jaffa le temps de conquérir la région avec son armée [campagne d’Egypte 1798-1799]. • Il est français • Il est petit • Il a un cheval blanc (qui devient parfois gris) • Il perdu la bataille de Waterloo • Je suis, je suis, je suis… NAPOLEON BONAPARTE

  10. LES Pestiférés de jaffa

  11. LES Pestiférés de jaffa Le tableau fut commandé au peintre Antoine-Jean gros par Bonaparte La scène se passe dans une moquée (on y voit sa cour er son minaret) reconvertie en hôpital de campagne. En arrière-plan, il y a les murailles de la ville dont une tour présente une brèche, tandis qu’un drapeau français démesuré flotte au-dessus. À gauche, dominé par un arc outrepassé typique de l'architecture arabe, un homme habillé à la manière orientale distribue du pain, aidé par un serviteur qui porte un panier. Derrière eux, deux noirs en livrée portent un brancard. À droite, sous deux arcades, cette fois-ci en arc brisé, Napoléon, touche le bubon (pustule) d'un soldat malade à son aisselle. Au premier plan, un médecin arabe donne des soins à un autre malade, Le bas du tableau est occupé par des hommes prostrés. La lumière du tableau et le jeu des couleurs mettent en évidence Napoléon Bonaparte Sous les arcades d’une mosquée reconvertie en hôpital de campagne, Bonaparte touche les pustules d’un soldat debout, à demi vêtu d’un drap. Desgenettes, le médecin en chef de l’armée, surveille attentivement le général tandis qu’un soldat cherche à écarter la main de Bonaparte pour lui éviter la contagion. A droite un autre soldat, entièrement nu, soutenu par un jeune Arabe, est pansé par un médecin turc. Un officier, atteint d’une ophtalmie, s’approche à tâtons en s’appuyant sur une colonne. Au premier plan, un malade agonise sur les genoux de Masclet, jeune chirurgien militaire lui-même atteint par la maladie. Derrière le général, deux officiers français apparaissent effrayés par la contagion : l’un se protège la bouche avec son mouchoir tandis que l’autre s’éloigne. Sur la gauche de la composition, au milieu des malades gisant sur le sol, se tient un majestueux groupe d’Arabes qui distribuent des vivres. Ce tableau visait à mettre en valeur le courage de Bonaparte qui, pour apaiser l’inquiétude de ses troupes face aux ravages de la peste, s’était lui-même exposé à la contagion en visitant les soldats malades à l’hôpital de Jaffa. Mais en 1804 ce fait militaire assez banal pouvait servir à accréditer la légitimité des aspirations impériales de Bonaparte : le geste du général touchant avec une sérénité souveraine les pustules d’un malade renvoyait, dans la conscience des contemporains, à ce moment du rituel du sacre où le roi de France exerçait son pouvoir thaumaturgique en touchant les écrouelles des lépreux… • La prise de Jaffa, le 7 mars 1799, et sa violente mise à sac par l'armée française, sont rapidement suivies par l'aggravation d'une épidémie de peste bubonique, identifiée dès janvier 1799, qui va décimer l'armée commandée par Napoléon Bonaparte. Le 11 mars, Bonaparte rend une visite spectaculaire aux malades, et les touche, ce qui est considéré comme magnifique ou suicidaire selon que l'on se place du point de vue de la légende napoléonienne ou de celui des frayeurs que suscite à l'époque la peste. • Le malade aux yeux bandés qui se trouve sur la droite souffre d'ophtalmie en plus de la peste. Depuis leur arrivée en Égypte en juillet 1798, les Français sont nombreux à être touchés par des troubles graves aux yeux dus au sable, à la poussière et à la lumière du soleil. • En 1804, il n'est pas question de représenter qui que ce soit osant empêcher Bonaparte de faire quoi que ce soit, mais un soldat esquisse le geste d'arrêter la main dégantée qui va toucher le bubon d'un malade. Les mécanismes de la contagion de la peste bubonique sont encore inconnus au début du XIXe siècle, et l'on ignore le rôle des puces dans la transmission jusqu'à sa mise en évidence par Paul-Louis Simond en 1898. Toucher à main nue un bubon n'est pas particulièrement risqué, tous les autres acteurs de la scène courent, nous le savons maintenant, le même risque, celui qu'une puce passe sur eux depuis un malade. L'officier qui protège sa bouche et son nez n'a cependant pas une attitude totalement infondée : certains cas de peste bubonique peuvent évoluer en peste pulmonaire, avec un risque très élevé de contagion par les aérosols émis par la toux des malades. • Le geste médical est un peu plus à droite du tableau, il est inchangé depuis au moins le Moyen Âge : c'est l'incision des bubons opérée par le vieux médecin, pour s'en faire écouler le pus, ce qui est inefficace en termes de traitement, et affaiblit le malade. Le médecin essuie la lame qui va servir à inciser. L'assistant du médecin soutient et bloque le malade pendant l'opération. • Au moment où Napoléon Bonaparte devient empereur, cet épisode évoque la tradition de guérison thaumaturgique des écrouelles par les rois de France, qui recevaient et touchaient des scrofuleux afin de les guérir. • La réalité semble assez loin de cette image mythique : le 23 avril 1799, pendant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Bonaparte suggère à Desgenettes, médecin en chef de l'expédition, d'administrer de l'opium aux malades, c'est-à-dire de les euthanasier. Desgenettes refuse. Le 27 mai de la même année, Bonaparte rend une deuxième visite aux pestiférés de Jaffa. • Ce tableau est basé sur un fait réel, une partie de l'armée fut atteinte de la peste en mai 1799 ce qui n’est pas étonnant car personne n’était préparé au pays et au climat. Par exemple les soldats sont partis avec des uniformes plus adapté à la guerre des Flandres qu’à l’Afrique du nord. A la suite de cette épidémie, Bonaparte rendit visite aux malades de la peste hospitalisés à Jaffa. • Devenu l'empereur Napoléon Ier, il commanda une toile relatant cet épisode à Antoine-Jean Gros. Dans sa composition le peintre magnifie le courage de Napoléon qui avance au milieu des soldats contaminés et touche même les plaies de l'un d'entre eux. Ce geste fait référence à la tradition des rois de France qui étaient censés guérir les écrouelles en les touchant (les écrouelles sont des abcès d'origine tuberculeuse atteignant les ganglions du cou). Le rite, dont la tradition remonte au XIe siècle, se déroulait ainsi, le roi touchait les malades de ses mains en prononçant la formule : «Le roi te touche, Dieu te guérit». Le tableau met en valeur Bonaparte au centre, dans la lumière, alors que les côtés sont dans la pénombre, son geste est déjà celui d’un souverain et les malades se tournent vers lui en l’implorant.

  12. LES Pestiférés de jaffa • La prise de Jaffa, le 7 mars 1799, et sa violente mise à sac par l'armée française, sont rapidement suivies par l'aggravation d'une épidémie de peste bubonique qui va décimer l'armée commandée par Napoléon Bonaparte. Bonaparte rend une visite spectaculaire aux malades, et les touche, ce qui est considéré comme magnifique ou suicidaire selon que l'on se place du point de vue de la légende napoléonienne ou de celui des frayeurs que suscite à l'époque la peste. • Le malade aux yeux bandés qui se trouve sur la droite souffre d'ophtalmie en plus de la peste. Depuis leur arrivée en Égypte en juillet 1798, les Français sont nombreux à être touchés par des troubles graves aux yeux dus au sable, à la poussière et à la lumière du soleil. • En 1804, il n'est pas question de représenter qui que ce soit osant empêcher Bonaparte de faire quoi que ce soit, mais un soldat esquisse le geste d'arrêter la main dégantée qui va toucher le bubon d'un malade. Les mécanismes de la contagion de la peste bubonique sont encore inconnus au début du XIXe siècle, et l'on ignore le rôle des puces dans la transmission jusqu'à sa mise en évidence par Paul-Louis Simond en 1898. Toucher à main nue un bubon n'est pas particulièrement risqué, tous les autres acteurs de la scène courent, nous le savons maintenant, le même risque, celui qu'une puce passe sur eux depuis un malade. L'officier qui protège sa bouche et son nez n'a cependant pas une attitude totalement infondée : certains cas de peste bubonique peuvent évoluer en peste pulmonaire, avec un risque très élevé de contagion par les aérosols émis par la toux des malades. • Le geste médical est un peu plus à droite du tableau, il est inchangé depuis au moins le Moyen Âge : c'est l'incision des bubons opérée par le vieux médecin, pour s'en faire écouler le pus, ce qui est inefficace en termes de traitement, et affaiblit le malade. Le médecin essuie la lame qui va servir à inciser. L'assistant du médecin soutient et bloque le malade pendant l'opération. • Au moment où Napoléon Bonaparte devient empereur, cet épisode évoque la tradition de guérison thaumaturgique des écrouelles par les rois de France, qui recevaient et touchaient des scrofuleux afin de les guérir. • La réalité semble assez loin de cette image mythique : le 23 avril 1799, pendant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Bonaparte suggère à Desgenettes, médecin en chef de l'expédition, d'administrer de l'opium aux malades, c'est-à-dire de les euthanasier. Desgenettes refuse. Le 27 mai de la même année, Bonaparte rend une deuxième visite aux pestiférés de Jaffa. • Ce tableau est basé sur un fait réel, une partie de l'armée fut atteinte de la peste en mai 1799 ce qui n’est pas étonnant car personne n’était préparé au pays et au climat. Par exemple les soldats sont partis avec des uniformes plus adapté à la guerre des Flandres qu’à l’Afrique du nord. A la suite de cette épidémie, Bonaparte rendit visite aux malades de la peste hospitalisés à Jaffa. • Devenu l'empereur Napoléon Ier, il commanda une toile relatant cet épisode à Antoine-Jean Gros. Dans sa composition le peintre magnifie le courage de Napoléon qui avance au milieu des soldats contaminés et touche même les plaies de l'un d'entre eux. Ce geste fait référence à la tradition des rois de France qui étaient censés guérir les écrouelles en les touchant (les écrouelles sont des abcès d'origine tuberculeuse atteignant les ganglions du cou). Le rite, dont la tradition remonte au XIe siècle, se déroulait ainsi, le roi touchait les malades de ses mains en prononçant la formule : «Le roi te touche, Dieu te guérit». Le tableau met en valeur Bonaparte au centre, dans la lumière, alors que les côtés sont dans la pénombre, son geste est déjà celui d’un souverain et les malades se tournent vers lui en l’implorant.

  13. JEU DE PISTE • Dirige-toi maintenant vers le pont des vœux Que vois-tu sur la rambarde? Des signes du zodiaques Combien y-a-t-il de signes du zodiaques? 12 Connais-tu le tiens? Il faut maintenant faire un vœux en touchant son signe tout en regardant la mer. Selon la légende, si tu fais le vœux il se réalisera.

  14. JEU DE PISTE Tu trouveras encore les signes du Zodiac à trois endroits: • La fontaine • Sur une mosaïque (à coté du pont) • Le nom de ruelles étroites

  15. JEU DE PISTE • Dirige-toi maintenant vers le quartier des artistes et photographie les plus beaux graffitis. • Il y a un très bel oranger suspendu dans une coque. Trouve-le. C'est un oranger qui vit et grandit dans une coque, suspendu à quelques centimètres du sol. C'est l'attraction des ruelles, cet arbre est charmant et rien ne semble l'inquiéter. Même s'il n'est pas dans son élément naturel il est épanoui et se plait dans sa coque. Il est la vedette des lieux et ne se lasse pas d'être photographié, au fond ça lui plait bien, de sa hauteur il harangue la foule et ce n'est pas pour nous déplaire.

  16. JEU DE PISTE Dirige-toi maintenant vers le vieux port. Au milieu des digues surnage un amas de rochers sombres. Le plus gros d’entre eux se nomme Andromède. Voici son histoire. Le roi de Jaffa avait une fille très belle. Son épouse, la reine Cassiopée, se vantait que sa fille et elle étaient plus belles que les sirènes, ce qui provoqua la colère des ces dernières, les obligeant à faire appel à Poséidon, dieu de la mer, pour les punir. Poséidon décida d’envoyer un déluge d'eau et un monstre marin pour détruire les terres des Philistins et Jaffa. Le roi, après consultation avec l'oracle et sous pression par les habitants de Jaffa, décida de sacrifier sa fille Andromède au monstre, avec l'espoir d'apaiser la colère de Poséidon. La belle Andromède fût attachée à la roche par de grosses chaînes. Persée, le fils de Zeus, chef des dieux, était de passage. Il vit Andromède et clac lui fila une gifle !!! Il en tomba amoureux et se mit d’accord avec le roi et la reine. Il pourrait épouser Andromède s’il arrive à vaincre le monstre. Les souverains acceptèrent. Persée trancha la tête du monstre et épousa Andromède. Une autre version existe: Persée tomba follement amoureux d’Andromède, la délivra de ses chaînes et l’emporta sur son beau cheval ailé. Une dernière version existe enfin: Persée qui passait par là ne remarqua pas Andromède qui mourut avalée par le monstre marin.

  17. SHOUK HAPICHPICHIM • Visite le shoukHapichpichim et amuses-toi bien.

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