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ANALYSE QUALITATIVE DU PROGRAMME 50 000 JEUNES

ANALYSE QUALITATIVE DU PROGRAMME 50 000 JEUNES. Organisation de l’enquête - échantillon. Enquête réalisée dans 10 régions (entre le 7/11 et le 1 er /12) Alsace (1 centre de formation) Bourgogne (1) Centre (1) Haute-Normandie (1) Lorraine (2) Midi – Pyrénées (1)

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ANALYSE QUALITATIVE DU PROGRAMME 50 000 JEUNES

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Presentation Transcript


  1. ANALYSE QUALITATIVEDU PROGRAMME 50 000 JEUNES

  2. Organisation de l’enquête- échantillon • Enquête réalisée dans 10 régions • (entre le 7/11 et le 1er/12) • Alsace (1 centre de formation) • Bourgogne (1) • Centre (1) • Haute-Normandie (1) • Lorraine (2) • Midi – Pyrénées (1) • Nord – Pas-de-Calais (2) • Pays de Loire (1) • Languedoc – Roussillon (2) • Poitou – Charentes (1) • En cours : Rhône Alpes et Île de France

  3. Organisation de l’enquête - méthode • 3 questionnaires différents pour : • Chef de Projet ou coordonnateur • CDRF • formateur. • Ces questionnaires ont été communiqués aux DTR et Directeurs de Centres • Rencontressur site avec le Chef de Projet Départemental, le CDRF et les formateurs : entretiens individuels et de groupe • Entretiens téléphoniques avec les personnes n’ayant pu être présentes lors des visites en centre. • Exploitation des données

  4. Déroulement de l’enquête 55 personnes interviewées • Des réunions ont été organisées dans les centres et ont permis l’expression libre d’autres acteurs dont un DTR/DDR pour enrichir les données des questionnaires.

  5. Le Comité DépartementalTechnique Opérationnel • Une mise en place très hétérogène • qui dépend beaucoup de l’implication de la DDTEFP. • La DDTEFP a permis d’associer progressivement les Branches Professionnelles, les OPCA, les ML, les CFA, les CCI et les Chambres des Métiers (6 régions) • La DDTEFP est présente au CDTO mais ne se mobilise pas. On note tout de même une participation ponctuelle des OPCA (1 région) • Dans une région, le CDTO n’a pas fonctionné jusqu’à présent (lancement prévu en janvier). • Dans une autre région le suivi se fait dans le cadre des réunions bimensuelles ou mensuelles du PAVA.

  6. Les offres de contrat en alternance • Quasiment aucune proposition de contrat en alternance à l’entrée sur les actions • Les contrats obtenus le sont essentiellement par : • La mobilisation des Chargés de Clientèle • Les formateurs et les bénéficiaires à travers la prospection directe et l’immersion en entreprise. Point positif : la forte mobilisation des formateurs pour aider les jeunes à décrocher un contrat en alternance.

  7. Les chefs de projet départementaux 7sont mobilisés à mi-temps - 3à 1/5 de temps - 2à temps plein • Ils expriment un besoin de méthodes pour mieux maîtriser la coordination des différents acteurs impliqués, pour mieux clarifier les rôles de chacun et développer un management par projet

  8. Les Conseils Régionaux • Ils considèrent majoritairement l’offre • du Programme Jeunes comme une concurrence à leurs propres dispositifs • Néanmoins certains participent au CDTO • Dans 3 régions le Conseil Régional assiste aux réunions • du CDTO. • Dans 3 régions le Conseil Régional est convié* mais les • représentants territoriaux ne viennent pas. • Dans une région, le Conseil Régional s’interdit d’assister • aux réunions du CDTO. Dans la plupart des cas les centres AFPA ont planifié leurs actions en décalage avec celles prévues par le Conseil Régional. * Pour 2 régions après une première participation.

  9. Les OPCA et les branches • Une implication très inégale • et peu « pourvoyeuse » de contrats pro • Dans 4 régions des OPCA assistent aux réunions du CDTO. • Dans 4 régions les OPCA représentants des branches se mobilisent très peu. • Les OPCA n’ont pas toujours des développeurs mais plutôt • des conseillers. 3 centres AFPA ont mis en place des réunions de travail spécifiques avec le MEDEF, les Branches Professionnelles et les OPCA.

  10. Les OPCA : une certaine incompréhension institutionnelle • Ils ne se conçoivent pas comme des « récupérateurs » de contrats • Ils sont plutôt sollicités par les entreprises après le « mariage » pour monter le dossier et prendre en charge le financement • Ils ne sont pas organisés pour « collecter » des offres • Ils considèrent l’AFPA comme un opérateur de formation comme les autres

  11. Les prescripteurs Mobilisation légère de l’ANPE, plus forte pour les Missions Locales Il y a néanmoins une participation systématique des ML et de l’ANPE au CDTO Les ML se sont particulièrement mobilisées pour accompagner les réponses de proximité dans les zones rurales Pour les contrats de professionnalisation les ALE renvoient les bénéficiaires sur le site anpe.fr 7 centres AFPA ont organisé des réunions d’ajustement pour présenter les actions aux Missions Locales et informer les ANPE des offres d’emploi à recueillir

  12. Les actions • 3 actions plus fréquemment mobilisées • Remobilisation - PACA - 1er niveau de Qualification • Dans la plupart des cas, le choix des actions est établi • en fonction : • des besoins exprimés par les prescripteurs (ML / ALE), • d’une recherche de complémentarité avec les actions existantes par ailleurs sur le département (Conseil Régional), • des besoins « estimés » des entreprises. • Les décisions ont été prises pour : • 10 centresAFPA sur 13, au niveau du CDTO en concertation avec le Chef de Projet Départemental. • 3 centresAFPA, au niveau du SPED en concertation • avec le Chef de Projet Départemental.

  13. Les actions sont marquées par un très fort taux d’abandon • Remobilisation • Action programmée avec des durées très variables selon les régions. • 420 h pour 3 centres AFPA pour « donner du temps aux bénéficiaires » • 310 h pour 3 centres AFPA pour « répondre au plus grand nombre » • Préparation et Accompagnement à un Contrat en Alternance • Action très demandée par les prescripteurs mais peu de contrats proposés en amont et peu de contrats effectifs à la sortie • 1er niveau de Qualification • Pas de lisibilité aujourd’hui, sur le nombre de CCP passés : les centres font majoritairement de la pré-professionnalisation sous cette appellation • La prestation de 1er niveau de Qualification (PNQ) intéresse les prescripteurs mais les acquis du public ne permettent que rarement d’atteindre une validation

  14. Le public • Le programme touche un public • très éloigné de l’emploi • pour lequel les besoins d’accompagnement auraient nécessité une prise en charge plus longue et plus personnalisée. • Les Missions Locales et l’ANPE ont été alertées sur • les difficultés rencontrées : • 4 centres AFPA, ont convenu avec les ML et l’ANPE • des modalités de recrutement sur le dispositif. • 6 centres ont mis en place des entretiens individuels pour • analyser les besoins et les pré requis notamment pour l’action • 1er niveau de Qualification.

  15. La sous-traitance • La couverture du territoire est • une réelle préoccupation pour l’ensemble des acteurs. • Objectifs de la sous-traitance : • atteindre les objectifs de production. • limiter les recrutements en CDD. • garder ou créer des liens avec des opérateurs locaux • réaliser les actions au plus près des bénéficiaires.

  16. Le rôle de la Direction Régionale L’animation régionale n’est ni systématique ni homogène Dans 2 régions il n’y a pas d’animation régionale « perçue » Les actions citées : Dans 5 régions, l’animation se fait par le biais de conférences téléphoniques et la transmission de documents sur le programme. Pour une région le cadrage, l’écriture du cahier des charges et le choix des sous-traitants a été porté par la DR (en sus d’autres modes d’intervention). Dans une région, un plan d’action avec les OPCA a été conduit par la DR. Pour une région, l’alimentation du dispositif s’organise dans le cadre d’un travail collaboratif avec tous les centres AFPA

  17. L’appui de la Direction d’Ingénierie L’instrumentation de l’offre de services diffusée à l’ensemble des régions n’est pas toujours transmises aux formateurs AFPA 94 participants à l’action de développement de compétences INOIP sur l’ensemble du territoire, dont : - 1 Responsable de Projet Régional - 1 Assistante Technico-pédagogique - 2 Ingénieurs de Formation - 7 Chefs de Projet Départemental (coordonnateurs) - 83 Formateurs • Formateurs participants pour les centres évalués : • Alsace…………………………….. 50 % - Lorraine…………………………. 20 % • Bourgogne…………………….… 60 % - Midi – Pyrénées…………….. 50 % • Centre…………………………….. 20 % - Nord – Pas-de-Calais…….. 20 % • Haute-Normandie…………... 30 % - Pays de Loire…………………. 30 % • Languedoc – Roussillon…. 15 % - Poitou – Charentes…………. 0 %

  18. Le fonctionnement dans les centres • Travail en équipe pluridisciplinaire : • dans 12 centres AFPA sur 13, le collectif de travail fonctionne essentiellement pour la recherche des contrats. • Points faibles : - Peu de collaboration entre les formateurs CDI et CDD - Peu d’utilisation de plateaux techniques, - Un ressenti d’isolement des formateurs CDD • Intervention des psychologues : • 9 centres AFPA sur 13, ont fait intervenir les psychologues dont : • - 6 sur le positionnement dans les actions, • - 3 sur les poursuites de parcours. • Les psychologues n’interviennent quasiment jamais en accompagnement du parcours

  19. Les pistes d’amélioration • Pour les Chefs de Projet Départemental • Une plus grande disponibilité (ils ont souvent à charge leurs activités habituelles et la coordination du Programme Jeunes) • Une meilleure maîtrise de leur mission et des activités afférentes • Un perfectionnement quant aux méthodes, démarches et outils pour conduire ce type de projet • Il serait nécessaire de définir un référentiel des compétences.

  20. Les pistes d’amélioration • Pour les formateurs en CDD • Qu’ils bénéficient systématiquement d’une période d’intégration • Qu’ils soient davantage intégrés à un collectif de travail • Qu’ils aient davantage accès à l’instrumentation et à un équipement minimal • Qu’ils bénéficient d’un meilleur encadrement

  21. Les pistes d’amélioration • Au niveau du dispositif • Une meilleure structuration • Une plus grande mobilisation des partenaires externes • Une meilleure articulation des différents niveaux territoriaux • Plus de complémentarité entre les différents acteurs internes (CDTO, CDRF, formateurs, chargé de clientèle, psychologues, ASE et pilote ERE) • Un dispositif plus intégré à la vie du centre • Un accès pour les bénéficiaires à l’offre de services du centre AFPA

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