Un regard sur l’espace public à Bogota

1. Un regard sur l’espace public à Bogota Groupe de Jeunes de San Luis QUARTIERS DU MONDE

2. Ce qui, pour certains (comme les vendeurs ambulants) est un lieu de travail, Pour d’autres, (comme les personnes indigentes) est un lieu pour dormir... Le lit public

3. Des papillons politiques au milieu du pouvoir de la Colombie Sur cette place, la Place Bolivar, se concentre le pouvoir: le pouvoir du pays: le Congrès de Colombie Et le pouvoir de la ville: l’hôtel de ville de Bogota. Dans cet espace, les papillons, en tant qu’expression de la liberté, prétendent représenter les soldats morts et pris en otage.

4. Dans le centre de Bogota, à cause des conflits sociaux, l’art n’est pas compris Avant, la place San Victorino était un lieu de travail pour beaucoup de gens, où le commerce était informel Elle a été tranformée, on a mis cette sculpture, qui est sensée être un papillon, et maintenant c’est davantage un lieu de passage.

5. De ce côté se trouve le palais présidentiel de Colombie. Cette rue, malgré le fait qu’elle soit une artère importante, est fermée pour cause de sécurité. Et également pour raisons de sécurité, cette photo n’aurait jamais dû être prise. La sécurité du Palais Présidentiel

6. Les pigeons aussi ont eu des problèmes avec l’espace public... Considérés comme des “rats volants”, ils ont été empoisonnés et délogés de certains bâtiments autour de la place Bolivar, comme la cathédrale et le palais de justice. A la recherche d’une destination

7. La société considère cela comme une poubelle Ceci est une bouche d’égoût. Comme elle a perdu sa grille, les gens l’utilisent comme poubelle, sans se rendre compte que les égoûts sont importants pour que les rues ne soient pas inondées.

8. Vol privé pour la ville Bien que Transmilenio (le transport le plus utilisé à Bogota) soit présenté comme étant un service public, les bus appartiennent à différentes entreprises privées, qui gagnent de l’argent en utilisant des voies publiques de façon exclusive, que le District doit entretenir, avec l’argent de nos impôts.

9. Taxis du service public Véhicule particulier “Zorra” (véhicule à traction animale) Différentes formes de transport

10. Le recycleur n’est jamais respecté, et on ne reconnaît pas sa connaissance en matière de recyclage et de matériaux recyclables. Le mécanicien est respecté et on reconnaît sa connaissance des voitures et des motos. Deux métiers opposés

11. Bien qu’il y ait des toilettes publiques dans la ville, cela coûte 200 pesos, et donc pour économiser cette somme, les gens utilisent des coins comme celui-ci. Cela dit, ce sont davantage des “toilettes” por hommes, et il faut faire attention à ce qu’il n’y ait pas de policiers dans le coin (utiliser l’espace public comme toilettes va à l’encontre de la loi). Toilettes publiques

12. Au coin de la rue, à quelques mètres, il y a un hôtel bon marché. Mais il dort là, car il n’a pas l’argent nécesaire pour se payer un bon lit. A quelques mètres de là, on dort bien

13. C’est la place du marché du quartier Egipto, un des quartiers les anciens et les plus traditionnels de Bogota Sur les places des marchés, où se vendent des aliments et d’autres choses, chacun circule librement, même les chiens.

14. La “zone rose” C’est la “zone rose”, un des secteurs nocturnes consacrés aux jeunes dans la ville. Dans beaucoup de centres commerciaux et magasins du secteur, tout le monde ne peut pas entrer, cela dépend surtout de l’apparence de la personne.

15. Le dîner de la nature Nous avons été voir la décharge de la ville (une seule décharge pour une ville de plus de 6 millions d’habitants!), et nous avons vu combien il est terrible de voir arriver autant de déchets, dont beaucoup pourraient être reclyclés. Ici, on voit la façon désordonnée avec laquelle nos déchets sont traités Si cela est le dîner que nous offrons à la nature, il est certain que nous allons avoir une indigestion.

16. Nous espérons que cela vous ait plut !! Quartiers du Monde -- Bogota, Colombie 2004