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II.3 Algèbre linéaire

II.3 Algèbre linéaire. Séquence de franchissements. s = t i1 , t i2 ,…t iq  T* est une séquence de franchissements pour un marquage M 0 donnant M q noté M 0 (s> M q ssi Définition récursive s =  ( mot vide) et M q = M 0

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II.3 Algèbre linéaire

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Presentation Transcript


  1. II.3Algèbre linéaire

  2. Séquence de franchissements • s = ti1, ti2,…tiq T* est une séquence de franchissements pour un marquage M0 donnant Mq noté M0 (s> Mq ssi Définition récursive • s =  (mot vide) etMq = M0 • s = s’t s’  T* t  T M0 (s’> Mq-1 et Mq-1 (t> Mq Définition itérative • M0 (ti1> M1 (ti2> M2 … Mq-1 (tiq> Mq

  3. Séquence de franchissements • Relations entre marquages s = ti1, ti2,…tiq franchissable pour M0  p  P M1(p) = M0(p) - Pre(p,ti1) + Post(p,ti1) M2(p) = M1(p) - Pre(p,ti2) + Post(p,ti2) …… Mq(p) = Mq-1(p) - Pre(p,tiq) + Post(p,tiq) en appelant i le nombre d’occurrences de ti dans s

  4. Séquence de franchissements • ATTENTION !  L’équation précédente, qui a l’avantage important d’exprimer le marquage final d’une séquence de franchissements s en fonction de son marquage initial n’a de sens que sisest franchissable  Il faut donc que  k = 0, 2, …q-1 toutes les relations Mk (ti(k+1)> soient vraies

  5. Représentation matricielle • < P, T ; Pre, Post, M > |P| = n |T| = m Pre : P x T  N Post : P x T  N M : P  N peuvent être représentées par des matrices peut être représenté par un vecteur

  6. Représentation matricielle E0 CR R0    a0 b0 a2 E1 b2 R1 a1 b1 M R2 E2

  7. Représentation matricielle E0 CR R0    a0 b0 a2 E1 b2 R1 a1 b1 M R2 E2

  8. Représentation matricielle E0 CR R0    a0 b0 a2 E1 b2 R1 a1 b1 M R2 E2

  9. Représentation matricielle • Réseau pur • p  P  t  T Pre (p,t) x Post (p,t) = 0  aucune place ne peut être entrée et sortie d’une transition  indépendance de l’ajout et du retrait de jetons lors des franchissements

  10. Représentation matricielle • Matrice d’incidence ou de connexion C (p,t) = Post (p,t) - Pre (p,t)  pour un réseau pur, la matrice C permet de construire de façon unique les matrices Post et Pre Pre (p,t) = max (0, - C(p,t) ) Post (p,t) = max (0, C(p,t) ) un réseau de Petri purest totalement défini par C

  11. Représentation matricielle E0 CR R0    a0 b0 a2 E1 b2 R1 a1 b1 M R2 E2

  12. Equation fondamentale  M  [M0]  s  T * telle que M0 (s> M i = nombre d’occurrences de ti dans s  p  P • = (1, 2,… m) peut être représenté par un vecteur appelé vecteur caractéristique de s est appelée équation fondamentale

  13. Semi flots de transitions • Séquence répétitive s répétitive pour M ssi M (s> M • les marquages initial et final de s sont identiques  vecteur caractéristique de s M = M + C   C  = 0 Toute séquence répétitive s a son vecteur caractéristique  solution de C  = 0

  14. Semi flots de transitions • La réciproque est fausse : toute solution de C  = 0 n’est pas le vecteur caractéristique d’une séquence répétitive • il faut que i i  N  il faut que s soit franchissable pour M • Les solutions de C  = 0 pour i  N sont appelées des semi flots de transitions  les flots (plus difficiles à interpréter) sont les solutions de C  = 0 pour i  Z

  15. Semi flots de transitions • L’équation C  = 0 pour i  N est une équation linéaire homogène en nombres entiers • hormis la solution triviale sans intérêt  = 0 toute combinaison linéaire de solutions est aussi une solution • une famille génératrice {, ’, ’’, …}est un ensemble de solutions tel que toute solution peut s’exprimer comme une combinaison linéaire de cette famille • une plus petite famille génératrice ppfg est une famille de cardinal minimal • il est donc nécessaire et suffisant de trouver une ppfg  Analogie avec une base en algèbre linéaire

  16. Semi flots de transitions Carl Friedrich Gauss (1777-1855) • Utilisation des semi flots de transitions : • on calcule une ppfg de solutions de C  = 0 pour i  N  les méthodes de résolution sont inspirées de l’algèbre linéaire, de la programmation en nombres entiers et des méthodes d’élimination de Gauss et Farkas • on recherche dans ces solutions les séquences répétitives s pour un marquage M (en général M0), dont les vecteurs caractéristiques sont les solutions trouvées Gyula Farkas (1847-1930)

  17. Semi flots de places partie du réseau de Petri issu de l’exemple   a0 la transition a0 absorbe 2 jetons et n’en restitue qu’un seul dans la place E1 E1 a1

  18. Semi flots de places a0 la transition a1 absorbe 1 jeton de la place E1 et restitue 2 jetons E1  a1

  19. Semi flots de places a0 pour que les jetons se « conservent » tout se passe comme si le jeton de la place E1 « pesait » 2 fois plus « lourd » que les autres E1 a1  

  20. Semi flots de places • On définit une application  : P  N exprimant l’idée de « poids » d’un jeton dans une place • On peut exprimer l’idée de « conservation » de jetons ainsi pondérés, par l’invariance du produit scalaire  . M =  . M0  M  [M0] • Dans l’exemple précédent, pour  (E1) = 2 et  (p) = 1 pour p ≠ E1, le franchissement de la transition a0 ou a1 conserve la quantité  . M = 2

  21. Semi flots de places • Calcul des valeurs de  :  M  [M0]  s  T* M0 (s> M  vecteur caractéristique de s  . M =  . M0  . C = 0  pour qu’une pondération  permette une conservation pondérée de tout marquage accessible M il faut et il suffit que  soit solution dans N de  . C = 0

  22. Semi flots de places • Les solutions de  C = 0 pour i  N sont appelées des semi flots de places  les flots (plus difficiles à interpréter) sont les solutions de C = 0 pour i  Z • Comme pour les semi flots de transitions, l’équation  C = 0 pour i  N est une équation linéaire homogène en nombres entiers  Il est donc nécessaire et suffisant de trouver une plus ppfm de solutions

  23. Semi flots de places • Invariants • les quantités  M =  M0 pour i  N sont appelés des invariants • Supports • un support de , noté |||| = { p P |  (p) > 0 } • Couvertures • les solutions strictement positives  telles que  p  P (p) > 0 sont appelées des couvertures

  24. Semi flots de places • Théorème • Un réseau de Petri admettant une couverture  est structurellement borné • Preuve • Couverture   M  [M0] .M = .M0 et  p  P (p) > 0   p  P (p).M(p) ≤ .M0   p  P M(p) ≤ (.M0) / (p)

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