html5-img
1 / 15

Paulette Padanyi, Université de Guelph 5 e Symposium sur le bénévolat Février 2005

Analyse d’un programme jeunesse qui manque de structure : Les élèves en retirent-ils réellement profit?. Paulette Padanyi, Université de Guelph 5 e Symposium sur le bénévolat Février 2005. Contexte.

Download Presentation

Paulette Padanyi, Université de Guelph 5 e Symposium sur le bénévolat Février 2005

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Analyse d’un programme jeunesse qui manque de structure : Les élèves en retirent-ils réellement profit? Paulette Padanyi, Université de Guelph 5e Symposium sur le bénévolat Février 2005

  2. Contexte • L’engagement américain envers le service commu-nautaire des élèves est renforcé par la législation et le financement fédéraux et ceux des états. • Il n’existe aucun soutien fédéral ou provincial de ce type au Canada. • En 1999, le gouvernement de l’Ontario instituait les 40 heures de service communautaire dans le cadre de son nouveau programme d’études, et les rendait obligatoires à l’obtention du diplôme – aucune évaluation des effets possibles, aucun financement des conseils scolaires, aucune directive ni structure pour la miseen place de ce programme. • Les premiers élèves du secondaire soumis à cette exigence ont obtenu leur diplôme en juin 2003 (la moitié de la « double cohorte »).

  3. Objet de l’étude • McLellan et Youniss (2003) suggèrent que cette exigence de service communautaire non structuré profite moins aux élèves participants que ne le ferait un service structuré. • Notre étude portait sur la question suivante : « est-il plus profitable pour les participants de faire l’expérience d’un service communautaire non structuré plutôt que de n’avoir aucune expérience de cet ordre ? »

  4. Méthodologie • Outil de sondage : adapté de Meinhard et Foster (1998) • Personnes interrogées : étudiants en 1ère année à l’Université de Guelph • Échantillon : 265 réponses valables sur les 320 questionnaires distribués (valables = intacts; 90 % + complets; anciens élèves du secondaire en Ontario) • Date de la collecte : octobre 2003 • Analyse des données : méthodes ANOVA, Х2 ettabulation en croix

  5. Variable explicative : Type d’expérience de service communautaire Groupe 1 : aucune expérience (n = 100) Groupe 2 : seulement le service requis au secondaire (n = 49) Groupe 3 : service réalisé de son propre chef (n = 85) Groupe 4 : service requis au secondaire et service réalisé de son propre chef (n = 31)

  6. Caractéristiques des groupes et structure du service • Groupe 1 (pas d’exp.) et Groupe 2 (service requis seulement) similaires : parents non attirés par le bénévolat; n’assistent pas régulièrement à des services religieux; certains se sentent faibles sur le plan académique • Groupe 3 (de son propre chef) et Groupe 4 (les deux) similaires : surtout des femmes; parents bénévoles; plus susceptibles d’assister aux services religieux; réussissent un peu mieux à l’école • Groupes 2, 3 et 4 : ont généralement travaillé en équipe, ont utilisé diverses sources pour organiser les heures de bénévolat et ont fait du service direct

  7. Caractéristiques des expériences de service

  8. Évaluation d’ensemble des expériences de service communautaire

  9. Variables dépendantes • Estime de soi : échelle à 6 questions (coëfficient α : .7235) • Tolérance de la diversité : échelle à 7 questions (coëfficient α : .7011) • Éthique de travail à l’école : échelle à 3 questions(coëfficient α : .7768) • Responsabilité personnelle et sociale : échelle à 7 questions (coëfficient α : .7184) • Éthique de travail à titre bénévole : échelle à 6 questions (coëfficient α : .8287) • Projets sur le plan scolaire • Projets sur le plan du bénévolat • Faut-il encourager les élèves du secondaire au bénévolat? • Faut-il exiger des élèves du secondaire qu’ils fassent du bénévolat?

  10. ANOVA/Test de Duncan : Indique les points où il n’y a PAS DE DIFFÉRENCES SIGNIFICATIVES entre les groupes

  11. Tabulation en croix (%)

  12. Test Х2: indique là où il y a des DIFFÉRENCES SIGNIFICATIVES ENTRE LES DIVERS GROUPES

  13. Tabulations en croix (%) : Projette de faire du bénévolat plus tard

  14. Conclusions • L’exigence de ce service non structuré semble avoir peu d’effet si ce n’est : • D’augmenter l’intérêt pour le bénévolat à long terme chez les jeunes qui n’en feraient pas autrement, d’où la suggestion d’un effet de sensibilisation. • D’augmenter l’estime de soi, la tolérance à la diversité, et une éthique de travail à l’école chez les élèves qui ont participé au service requis et au bénévolat de leur propre chef, d’où la suggestion d’un effet quantitatif.

  15. Discussion/Prochaines étapes • En règle générale, les élèves du secondaire de l’Ontario qui ont eu leur diplôme en 2003 ont participé au programme contre leur gré; nombre d’entre eux n’ont pas satisfait aux exigences des 40 heures de bénévolat. • Cette étude sera reproduite à l’automne 2005 pour voir si le programme a eu davantage d’effet maintenant qu’il est mieux accepté et fait partie intégrante du programme d’études secondaires ontarien.

More Related