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Le marché français de la téléassistance. 2 septembre 2008. La téléassistance en France et l’Afrata. 1974 : premier service de téléassistance en France (delta 7) Fin des années 80 : la téléassistance devient un métier spécifique 2005 : création de l’Afrata
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Le marché français de la téléassistance 2 septembre 2008
La téléassistance en France et l’Afrata • 1974 : premier service de téléassistance en France (delta 7) • Fin des années 80 : la téléassistance devient un métier spécifique • 2005 : création de l’Afrata • 2007 : la téléassistance reconnue comme service à la personne
Dimension et structure du marché de la téléassistance en France • 310 000 abonnés, dont 220 000 auprès de prestataires membres de l’Afrata (70% du marché) • Taux de pénétration de la téléassistance encore relativement faible : 5,5 % des plus de 75 ans et 13,5 % des plus de 85 ans • Structure oligopolistique : les deux premiers prestataires gèrent près de 45 % des connections , les 5 premiers = 80 % du marché
Taux de pénétration de la téléassistance chez les plus de 65 ans Source : US Census Bureau, Banque Mondiale, OMS, Tunstall Healthcare Group
L’offre de téléassistance en France • 28 conseils généraux sur 100 proposent un service de téléassistance départemental (40 % de la population) • L’offre publique totale représente plus de 50 % des abonnés (CG+CCAS) • Grande disparité des prix (de 0€ à 38 € par mois !!) sur le territoire national
Facteurs de développement dela téléassistance en France Contexte démographique Enrichissement de l’offre grâce aux évolutions technologiques (de la téléassistance à la télésanté) Intérêt économique de la téléassistance (réduction des frais d’hospitalisation liés aux chutes…) Organisation de la profession par l’Afrata
Les freins au développement de la téléassistance • Complexité des modes de financement • L’offre publique de téléassistance ne contribue pas à « tirer le marché vers le haut »
Statistiques d’appels 2007 • 2 millions d’appels traités par les prestataires membres de l’Afrata • 195 000 appels avec interventions • 91 500 chutes • 1,7 % des appels nécessitent un recours aux services d’urgence (pompiers, samu)