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“ L’homme naît deux fois ” L’homme doit s’éduquer. La famille La cellule familiale éduque

“ L’homme naît deux fois ” L’homme doit s’éduquer. La famille La cellule familiale éduque La pédagogie traditionnelle est avant tout celle du modèle. Idée moderne plus la famille seule Gauthier et Tardiff , début avec les sophistes en Grèce Remise en cause les idées communément admises

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“ L’homme naît deux fois ” L’homme doit s’éduquer. La famille La cellule familiale éduque

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Presentation Transcript


  1. “ L’homme naît deux fois ” L’homme doit s’éduquer. La famille La cellule familiale éduque La pédagogie traditionnelle est avant tout celle du modèle

  2. Idée moderne plus la famille seule • Gauthier et Tardiff , début avec les sophistes en Grèce • Remise en cause les idées communément admises • Alternative à l’Education par la famille.

  3. Remise en cause de la société • Anna Arhendt (La crise de la culture) • plus le recours de la tradition, de la religion et de l’autorité pour se projeter. •  Crise, une des origine de l’idée moderne d’Education.

  4. Des sociétés évolutives ou non • Reprise de Karl Popper et Claude Lévy-Strauss. • les sociétés sont ouvertes ou fermées (Popper) ; • chaudes ou froides (Lévy-Strauss).  

  5. Sociétés froides/fermées vs Sociétés chaudes/ouvertes • Une société est froide ou fermée pas d’évolutions • Les sociétés traditionnelles sont dites fermées, froides. • Forte interpénétration entre la religion, la tradition et l’autorité 

  6. MODELE • L’ensemble des archétypes qu’elle véhicule et qui lui permet de fonctionner. • L’ensemble des valeurs, des doctrines, des croyances,

  7. TRADITION • Une tradition, modèle tout fait qui ne s’interroge pas. • Un homme de tradition suit un modèle tout fait qui conduit ses attitudes et comportements. • Vs • Un homme moderne tente de guider ses propres choix. 

  8. RELIGION • Lien entre le modèle humain et modèle surhumain. • Distinction du profane et du sacré. • Lien avec la vie et la mort. • Ce modèle surnaturel a son pendant, l’anti-modèle.

  9. L’AUTORITE • Modèle humain à imiter qui correspond à la religion, • Modèle qui respecte et fait respecter la tradition. • C’est plutôt le Pater Familias latin.

  10. LE TRIPTYQUE BASE A L ‘ORGANISATION SOCIALE • Société traditionnelle, fermée se fonde sur le triptyque, tradition, religion, autorité • L’ordre des choses est fixé une fois pour toute.

  11. LE TRIPTYQUE BASE A L ‘ORGANISATION SOCIALE • Composantes du modèle traditionnel véhiculées par la famille. • Plus une société est traditionnelle, plus la famille est importante.

  12. LA GRECE : PASSAGE … • Carrefour des échanges. • Modification des systèmes de gouvernement • Expérience de « démocratie » • Le débat, la remise en cause, est un creuset qui libère les sociétés.

  13. LES SOPHISTES • Précurseur de l’idée moderne d’éducation. • Nécessité de l’éloquence • La famille ne suffit plus. • Les sophistes et l’art de convaincre

  14. SOCRATE Socrate s’oppose aux sophistes Méthode nouvelle : apprendre avec les autres, la maïeutique. “ L’art d’accoucher d’autrui ”. L’apprenant forge ses propres pensées la pratique langagière est une faculté structurante

  15. PLATON L’éducation c’est la philosophie. Distinguer le réel et l’absolu La philosophie doit par la raison atteindre l’absolu. L’éducateur fait passer les esprits des apprenants d’étapes en étapes. Différencier les trajectoires

  16. PLATON Processus en étape, de l’enfance à l’âge adulte. Passage de la parole à l’enseignement, l’apprentissage. Entre l’éducateur et l’éduqué, savoir objectif, Modèle de l’éducation classique et humaniste basé sur un corps de savoirs indépendants de l’éducateur. Dépasser les contingences du corps et des passions.

  17. Savoir parler Sophistes Savoir argumenter Socrate Savoir éduquer Platon

  18. Epoque et “ Ecole ” Le Maître Les méthodes l’organisa-tion scolaire les matières les valeurs les principes la pédagogie Socrate Antiquité grecque Le philosophe La maïeu-tique la dialectique faire s’exprimer l’appre-nant Aucune. De petits groupes de disciples suivent un maître Le logos Former un être humain complet, corps et esprit, doué du sens critique, esthétique, de raison, d’émotion, penser et se connaître au service de la vérité Apprentis-sage concret à travers lequel l’appre-nant se construit par l’interac-tion langagière avec l’éduca-teur L’interro-gation, la recherche de la vérité par l’argumentation. L’éduca-teur n’apprend rien à l’apprenant, il le questionne pour que se dernier trouve lui-même les réponses

  19. Epoque et “ Ecole ” Le Maître Les méthodes l’organisa-tion scolaire les matières les valeurs les principes la pédagogie Platon Le philosophe (Le savant) La maïeu-tique la dialectique faire s’exprimer l’appre-nant la philoso- phie Le savoir médiateur entre éducateur et apprenant La méritocra-tie, tous les enfants sans distinction sont soumis à l’éduca-tion. Les meilleurs émergent Du concret à l’abstrait. Le but étant la maîtrise de l’abstrait, la métaphysique. L’objectif est la science des idées L’éduca-tion pour refaire le monde. Elle se substitue à la politique L’éduca-teur doit s’appuyer sur des savoirs objectifs à faire acquérir à l’appre-nant. Modèle du triangle.

  20. LES ROMAINS ET LA TRANSITION CHRETIENNE • L’empire romain supplante les grecs, second siècle av. J.C. pour environ deux siècles et demi. • Idéal romain l’Etat • Rome doit beaucoup à la Grèce • Les romains, sur le plan de l’éducation perpétuent ce que les grecs avaient débuté

  21. LACHRETIENTE • Chrétienté se structure sous domination romaine. • Combattue par Rome, devient pilier de l’empire. • Universaliste ; stabilité et intercompréhension; s’impose au riches et pauvres. • Support intellectuel pour l’élite qui peut faire de la théologie.

  22. LACHRETIENTE • Continuité de la religion juive, basée sur l’étude des textes (anciens et nouveaux). • Religion savante, lettrée. • Le christianisme a besoin de l’éducation. • Christianisme modèle «parfait», corps de doctrines, système rationnel de raisonnements

  23. LACHRETIENTE • Vision du monde, culture inspirée des grecs, des écritures juives et du pragmatisme romain (l’organisation de la cité) • Ce modèle est promis à chacun et ce modèle doit être enseigné. • Au 4° siècle Rome et Constantinople se séparent.

  24. Chrétienté et chute de Rome • Au 4° siècle séparation de Rome et Constantinople • Décadence, chute de l’empire romain (476) (1453 Constantinople). • Invasions  régression de la culture de l’écrit. • L’église devient le sanctuaire de la culture.

  25. Chrétienté et chute de Rome • Disparition des écoles païennes, l’église doit transmettre l’héritage gréco-romain. • 6° siècle, l’église fonde des écoles à son service, (monacale, épiscopale, presbytérale). • Durkheim, début de l’école au moyen âge • L’éducation, modèle chrétien (valeurs, normes, pensées, etc.); Instruction avec la formation littéraire (écrire, compter, lire, etc.)

  26. L’apparition de méthodes • Plus que des connaissances, des valeurs • Pas encore pédagogie et réflexion sur l’acte d’apprendre et d’enseigner. • Méthodes impositives, dépendent de la matière • On apprend par ordre, les lettres, les syllabes, les mots, les phrases.

  27. Des méthodes classiques • On rabâche, on attend que l’élève surmonte les difficultés. • La tradition fixe l’ordre des apprentissages, • Les méthodes sont depuis les grecs et les romains basées sur la répétition et l’imitation.

  28. CHARLEMAGNE(742-814) • L’empereur fait alliance avec l’église • Ecoles de l’église en difficulté • Lutter contre la déperdition de la culture écrite, capitulaire de 789 • “ ... que dans chaque évêché, dans chaque monastère, on enseigne les psaumes, les notes, le chant, le comput, la grammaire et qu’on ait des livres soigneusement corrigés. ”

  29. CHARLEMAGNEMéthodes et contenus • Ecole du palais, sorte d’académie d’empire qui se déplace pour l’élite. • Objectif, l’encyclopédisme, avec les sept arts libéraux (remonte à l’antiquité classique reprise au VI° siècle). • Séparation des sciences de la nature et les humanités,

  30. CHARLEMAGNEMéthodes et contenus • Dans le trivium (règle de l’esprit, les formes du raisonnement, avec la grammaire, la rhétorique et la dialectique) • Le quadrivirium (l’arithmétique, l’astronomie, la musique, la géométrie). (enseignement supérieur) • Premier embryon de système scolaire institutionnel.

  31. LA SCOLASTIQUE • Après Charlemagne, l’empire s’éparpille. • Les croisades redécouverte des grecs. • La théologie, science à partir de la raison. • La scolastique se perd dans les textes, plus d’importance à l’écrit qu’aux faits

  32. LA SCOLASTIQUE • La fréquentation scolaire est très faible et les âges mixtes • Les méthodes sont celles de l’antiquité. • Les objets d’apprentissage sont lire/écire/compter. • Les supports sont la lecture et le chant en latin. • Le psautier est le livre unique.

  33. SCOLASTIQUE, école secondaire • les sept arts libéraux (division de Alciun • Les méthodes sont les mêmes depuis l’antiquité • L’élève apprend par cœur les réponses. • Enseignement oral (écrit difficile) • Enseignement par la lecture.

  34. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • 14° à la fin du 16° ; trois grands courants se dessinent en fonction de trois principes. • * Existence de l’homme par rapport à Dieu • * Existence de l’homme par rapport à lui (animal raisonnable) • * L’observation, la mesure, les chiffres

  35. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • Le renouveau religieux, le protestantisme, la contre-réforme. • Le mouvement humaniste et la redécouverte de l’antiquité • La pensée scientifique et technique, développement des savoirs scientifiques et techniques.

  36. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • Chute de l’empire d’orient, constantinople (1453) • On redécouvre la Grèce et ses apports. • Esthétisation de la culture (redécouverte du corps). • Enseignement Grecs. Grèce comme modèle • Début de l’éducation humaniste.

  37. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • 14°/ 15° nouveaux essais pédagogiques. • Deux grands pédagogues Erasme et Rabelais. • L’intérêt de la relation Maître-Elève. • Utiliser l’enthousiasme de l’enfant  • Adapter l’enseignement à l’enfant. • L’enfant est éducable.

  38. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • Critiques de la scolastique • Erasme, l’enseignant connaît tout • Rabelais, l’encyclopédisme, l’érudition par les langues, sur la morale, sur le corps et l’esprit. • Erasme, esthète, grec/latin instrument au service du modème. • Rabelais, grec/latin, mine de connaissances positives.

  39. LA RENAISSANCE ET L’EDUCATION HUMANISTE • L’enseignement élémentaire, congrégations • Protestants, scolarisation de masse. • Création des collèges, des internats • Les anciens, respect mutuel, émulation, rapports entre le maître et l’élève, les dialogues.

  40. LE XVII° siècle. • La naissance de la pédagogie • Les effets du grand bouleversement religieux • Apparition de l’imprimerie, • Développement du renouveau religieux. • Luther (1483-1546) condamne le catholicisme • Entretenir un rapport concret avec les écrits. • Réforme protestante,contre-réforme catholique.

  41. LE XVII° siècle. • Clivage dynamise création d’écoles et de collèges • préoccupation sociale de l’enfant • Ecoles, contenir la délinquance.

  42. LE XVII° siècle. • 4 facteurs : • ·le protestantisme qui a besoin de l’écrit • ·le catholicisme crée à son tour des écoles en nombre (les jésuites). • ·l’émergence de la notion de l’enfance • ·problèmes urbains posés par les jeunes

  43. Afflux d’élèves, pédagogie n’est pas adaptée. • Il faut une pédagogie, ensemble de méthodes et de procédés détaillés et précis pour faire la classe. • On prendra en considération : • ·le temps • ·l’espace • ·les contenus • ·la discipline.

  44. Coménius • Coménius, la grande didactique • La classe, mixte d’âge • Coménius, méthode infaillible, la grande didactique

  45. Coménius • Faire acquérir des savoirs, scientifiques et littéraires, artistiques, ainsi que de la morale et a piété. • Apprendre, plaisir pour les enfants et les enseignants, que l’on apprenne rapidement. • Parler moins et faire davantage. • l’enseignement-apprentissage, temps et espace de simulation • L’école pour s’essayer.

  46. Démia • Formation des maîtres • “ Une école ouverte, c’est une prison fermée ”. • ambition sociale de l’école reprise par Jean-Baptiste de Lasalle. • Réflexion sur l’enseignement, la pédagogie problème de la formation des maître.

  47. Démia • Jusqu'à présent imitation • Maîtres piètre qualité, faute de mieux. • Les Jésuites, les frères, Démia, même pédagogie dans toutes les classes

  48. LES METHODES DE LA PEDAGOGIE • Quelques élèves, individualisation, ajustement • L’enseignement de masse, autre méthode • Découpages, transmissions, lien avec l’élève. • Bétancour, les Jésuites, de la Salle, Coménius), modèle de la nature qui est adopté.   • Le contrôle, l’ordre, la discipline.

  49. On distingue 4 facteurs : • ·l’enseignement simultané • ·La gestion de l’espace • ·la gestion du temps • ·la direction de l’enfant

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