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Justesse et justice

Justesse et justice. Les semaines de la justesse. Parole Donnée N° 162. Mercredi 31 juillet 2013. Espace Culture et Paix. Notre objectif : Vision 2020. 2. 2. Changer ma vie.

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Presentation Transcript


  1. Justesse et justice Les semaines de la justesse Parole Donnée N° 162 Mercredi 31 juillet 2013 Espace Culture et Paix

  2. Notre objectif : Vision 2020 2 2 • Changer ma vie • Voir ma vie et le monde autrement d’ici 2020 grâce à l’éclairage des Principes de l’Unification, en travaillant sur mon caractère, ma relation avec les autres, la qualité de mon quotidien • Contribuer au changement culturel • Appliquer les Principes de l’Unification au changement culturel et social

  3. Une initiative similaire : inventez 2020 • www.lecercledeseconomistes.asso.fr/le-concours-inventez-2020 • Hugo de Gentile

  4. Dictionnaire du changement => vision 2020 39 thèmes traités sur 120

  5. Les Semaines de la Justesse

  6. Première Partie Discussion par Tables

  7. Aide à la discussion • Définition de la justesse : 1. Qualité de ce qui est justement fondé 2. Qualité avec laquelle une chose est exactement adaptée ou appropriée à ce à quoi elle est destinée.  Synonymes de justesse : authenticité, bien-fondé, bon sens, correction, droiture, exactitude, fidélité, finesse, harmonie, impartialité, justice, logique, netteté, objectivité, pertinence, proportion, précision, raison, rectitude, rigueur, régularité, sincérité, sûreté, vérité

  8. « Toute relation humaine comporte sa justice, sa norme propre : la respecter, c’est traiter chacun de ceux à qui on a affaire avec la nuance exacte qui lui convient, et qui n’est pas déterminée seulement du dehors, par sa place dans la société et les gestes qu’il pose, mais aussi et plus profondément par son être même, ses dons et ses besoins. Être juste, c’est trouver envers chacun l’attitude exacte qui convient ; être justifié, c’est, en cas de débat, démontrer non pas tant son innocence que la justesse de tout son comportement, c’est faire éclater sa propre justice » (Jacques Guillet)

  9. POUR LA DISCUSSION Justesse Justice

  10. Table 1 : la petite justesse qui deviendra grande • Chacun dire d’abord ce que ces phrases évoquent par rapport à sa propre vie. • Depuis votre plus jeune âge, que faites-vous de juste, parfois dans le secret de votre cœur, pour rendre ce monde meilleur ? • « il appartient à chacun, par ses propres choix, jour après jour, d’accomplir l’acte juste, au sens d’un engagement personnel. Penser à l’autre, se soucier de lui. Les choses prennent alors, pour soi et pour la collectivité, une autre signification. On évoque la responsabilité de chacun pour que ce monde soit meilleur, plus harmonieux et plus libre. »

  11. Table 1 • Victor : très jeune, suivre sa conscience. Chaque parole et chaque acte est déterminant. Relation avec sa mère. S’énerver avec sa mère, grave. Même s’il se sent légitime de reprendre sa mère, montre l’affection. Maman très franche. Acte juste, responsable • Alain : 17-18 ans au restaurant, un ami a échangé ticket de caisse, ami furieux, tapé Alain, réaction non-violente. Pratiquer la non-violence chaque jour, convivialité du quotidien • Inoë : faire le bien dès le plus jeune âge. Faire ce que les autres n’aiment pas : exemple la vaisselle (tient cela de sa mère et de son éducation spirituelle. Cantine, donnait les entrées et les desserts • Luc, sensible à la sensibilité des autres, à leurs pensées. Pourquoi les autres font cela; ne jamais blesser les autres. Ne pas chercher à avoir raison si ça heurte. Pas de joute verbale • Guillaume : dans le RER, les esprits s’échauffent. Facile de se plaindre, je préfère rester zen

  12. TABLE 2 • « Toute âme qui s’élève élève le monde, toute âme qui s’abaisse abaisse le monde » (Elisabeth Leseur) • Vous étiez dans un groupe. Sans commettre d’erreur particulière de comportement, vous avez manqué de justesse, en ne comprenant pas l’enjeu, en ne vous investissant pas totalement. Nul ne vous a fait de reproche, sinon votre propre conscience, car vous n’avez pas eu l’attitude d’excellence que vous auriez pu avoir. • Au lieu d’être parmi ceux qui tiriez le groupe vers le haut, vous avez senti qu’en manquant d’exigence, vous avez plutôt tiré le groupe vers le bas. Comment expliquez-vous votre comportement d’alors ?

  13. TABLE 2 • Hamid: voulait toujours être délégué de classe. Image de bon élève, mais un peu en trichant. Dans cette position, a tiré le groupe vers le bas. • Gabriel : commercial. Buts individuel et collectif. Délicat de trouver l’équilibre. Chef de groupe pouvait se tromper. Gabriel préférait être discret, parfois à regret. • Nadine et le sport. Pas d’esprit de compétition. Tout faire pour gagner. Elle privilégiait l’amitié dans le groupe • Asae : leader d’un groupe. Pas assez confiance en elle, se confiait pour que ça aille mieux.

  14. Table 2

  15. Table 4 - Résolutions • Parlons de justice : peut-elle être absolue ou tenir compte de ce que sont les hommes ? On dira : tel est riche, voire trop riche, tandis que tel autre est pauvre, inévitablement trop pauvre. On se prendra alors à commenter : « il n’y a pas de justice. » Mais de quelle justice s’agit-il... au juste ? Cette interrogation suffit à se demander si la richesse est légitime du seul fait de son existence ou si elle doit se justifier par l’usage qui en est fait.  Si c’est le cas, alors l’Etat se doit d’intervenir dans la définition de cet usage. En France, il choisit parfois de le faire par l’intermédiaire de l’impôt à qui il confie un rôle de redistribution. La solidarité plutôt que la charité... Pourtant une telle conception de la justice – même motivée par une sorte d’humanisme laïc très noble et louable – laisse un sentiment mitigé. Cela ne s’apparente-t-il pas à une presque confiscation autoritaire de biens gagnés par l’effort individuel et dans le respect des lois ? • Et si ce débat nous invitait à inventer/retrouver une autre idée, proche et lointaine : la justesse. Elle signifie qu’il appartient à chacun, au travers de ses propres choix, de l’édification de sa vie, jour après jour, d’accomplir l’acte juste, non pas au sens d’un principe aveugle mais à celui d’un engagement personnel. Penser à l’autre, se soucier de lui sans condescendance. Les choses prennent alors, pour soi et pour la collectivité, une autre signification et aussi une autre portée. Finalement, on ne dit ici que la responsabilité qui revient à chacun pour que ce monde soit meilleur, plus harmonieux et plus libre. HaimNissenbaum, Rabbin • Dites vos réactions par rapport à ce texte du Rabbin Nissenbaum. Ce discours a-t-il des chances d’être entendu et d’amener un nouvel esprit ? Comment faire progresser la culture de la justesse en France et alléger la législation, l’excès de lois qui finit par tuer la loi

  16. Eva : tous les biens superflus encombrent l’esprit. Richesse matérielle n’apporte pas R.S. Il faut des personnes justes poir faire des lois justes. • Pierre : faut-il utiliser les taxes pour sanctionner ? Économie solidaire • Communication. • Trop de lois tue la loi. Parlementaires : faire des lois. Simplifier les lois. • Coutumes et traditions : honnêteté de la parole donnée. • Entrepreneurs américains : Rockfeller => multiplier les fondations • Entrepreneurs en France – associés bourse pour aider des gens à créer leur entreprise • Aux présidentielles, il faut des parrainages d’élus pour se qualifier. Budget identique. Tous une même somme. • Chacun doit s’investir plus dans la vie publique. gu

  17. Deuxième Partie Exposé de Laurent Ladouce, directeur de « Culture et Paix »

  18. Mots CLés Termes usuels Termes unificationnistes Amour Vrai Foi Absolu, Amour Absolu, Obéissance Absolue Fondement de foi et fondement de substance • Satyagraha (force de la vérité et de l’amour) • Communication Non Violente (CNV) • Justice rétributive vs. justice restauratrice • Justesse d’une cause • Justification

  19. Dans cet exposé

  20. Quelques discours actuels sur la justice et la justesse Fiscalité Médiation et CNV Justice restaurative

  21. Justesse et justice Le point de vue de Haim Nissenbaum, Rabbin) • Parlons de justice : peut-elle être absolue ou tenir compte de ce que sont les hommes ? On dira : tel est riche, voire trop riche, tandis que tel autre est pauvre, inévitablement trop pauvre. On se prendra alors à commenter : « il n’y a pas de justice. » Mais de quelle justice s’agit-il... au juste ? Cette interrogation suffit à se demander si la richesse est légitime du seul fait de son existence ou si elle doit se justifier par l’usage qui en est fait.  Si c’est le cas, alors l’Etat se doit d’intervenir dans la définition de cet usage. En France, il choisit parfois de le faire par l’intermédiaire de l’impôt à qui il confie un rôle de redistribution. La solidarité plutôt que la charité... Pourtant une telle conception de la justice – même motivée par une sorte d’humanisme laïc très noble et louable – laisse un sentiment mitigé. Cela ne s’apparente-t-il pas à une presque confiscation autoritaire de biens gagnés par l’effort individuel et dans le respect des lois ? • Et si ce débat nous invitait à inventer/retrouver une autre idée, proche et lointaine : la justesse. Elle signifie qu’il appartient à chacun, au travers de ses propres choix, de l’édification de sa vie, jour après jour, d’accomplir l’acte juste, non pas au sens d’un principe aveugle mais à celui d’un engagement personnel. Penser à l’autre, se soucier de lui sans condescendance. Les choses prennent alors, pour soi et pour la collectivité, une autre signification et aussi une autre portée. Finalement, on ne dit ici que la responsabilité qui revient à chacun pour que ce monde soit meilleur, plus harmonieux et plus libre.

  22. En quête d’une autre voie qui soutienne les personnes sans les opposer, je découvre la Communication Non Violente (CNV ) : une façon de dialoguer, qui prend en compte l’ensemble des besoins vivants, de façon à aboutir à des solutions « satisfait - satisfait ». • Je fais alors choix d’abandonner ma robe d’avocate pour endosser celle, plus légère, de médiatrice. • Dans ma nouvelle pratique professionnelle, j’associe les  processus de médiation  et de CNV. • La Médiation CNV a aussi des vertus pédagogiques : au-delà de la compréhension mutuelle qui fait émerger un accord durable, elle montre à chacune des parties, une voie de communication « non agressive », applicable dans le quotidien.  AU DELA DE LA JUSTICE ... LA JUSTESSE Témoignage d’Annie Gosselin, avocate devenue médiatrice Une robe plus légère • Confrontée aux souffrances vécues par son père lors d’un dépôt de bilan, Annie Gosselin devient avocate spécialisée en Droit des Affaires, et exerce cette activité pendant  22 ans à Paris. • Elle fait alors l’expérience humaine et professionnelle d’une justice insatisfaisante, qui utilise les mots de « parties adverses », « combat », « attaque », « défense ». Cette terminologie exacerbe le conflit, sans opérer de réparation. Si l’affaire s’engage dans une voie contentieuse, les « adversaires » deviennent des « ennemis ».  http://ecoledesmediateurscnv.typepad.com

  23. Justice, justesse : la justice réparatrice http://amicale-ipt-montpellier.blogspot.fr/2012/05/justice-justesse.html • Le principe de la justice "réparatrice" est simple. Il consiste à poser d'emblée que ce qui importe le plus, ce sont les personnes et les relations interpersonnelles. Dans l'Ancien Testament, on trouve ce mot shalom, traduit souvent par paix, mais qui recouvre beaucoup plus. C'est un état de bien-être pour chacun au sein d'une communauté humaine, bien-être par rapport aux autres, à Dieu et à soi-même. • Cette perspective a été utilisée en Afrique du Sud et au Rwanda pour permettre de surmonter les traumatismes pour vivre à nouveau ensemble, Ca ne répare pas l'irréparable, mais ça donne une chance à l'espérance. • des outils permettent de mettre en oeuvreces principes. Il s'agit notamment de permettre à chacun de dire ce qui s'est passé pour lui, pour elle. En effet, bien souvent dans nos tribunaux, ce sont les avocats et les juges qui causent... mais il est rare qu'une parole de vérité puisse émerger et venir poser des mots pour chacun sur ce qui s'est passé. Or c'est essentiel. Pour recommencer à vivre. Pour pouvoir dire "je suis coupable de ça" ; pour pouvoir dire "j'ai souffert de ça". Pour qu'une communauté (les proches, les gens du quartier, la famille élargie, etc.) puisse prendre acte de ce qui s'est passé et soutenir la victime comme l'infracteur pour revenir à une vie acceptable, il faut que ça soit dit. Et que chacun sache, ensuite, les étapes qui mèneront à la possibilité, peut-être, de revivre en harmonie autant qu'il est possible.  • Lorsque la justice "rétributive" s'intéresse à la culpabilité de l'infracteur, la justice "restaurative" s'intéresse aux besoins de chacun (victime, infracteur, communauté) et aux obligations qui en découlent. Lorsque la justice rétributive se préoccupe de la sanction, la justice restaurative recherche la réparation (de la faute lorsque c'est possible, mais surtout des liens humains). Lorsque la justice rétributive réfléchit en termes de torts faits à la société, la justice restaurative parle de torts commis envers les autres et envers soi-même.  • Ce sont deux modèles différents, sans doute complémentaires.  • il y a tout à gagner à repenser notre conception de la justice en mettant au centre le respect de la personne. Ca s'appelle la grâce. Et ça signifie que personne n'est enfermé pour toujours dans la fatalité : la grâce, ça rend libre.

  24. Transformons la justice en justesse, les jugements en sagesse Maudire les siens partout, les accablés de douleursÇa porte pas bonheur, même à son pire ennemi on souhaite pas le malheurOù est l'instinct protecteur ? Baisse pas les bras avant l'heurePour les parents qui font passer le bonheur d'leur enfant avant l'leurVantardise, calomnie, rien qu'tu fuis et tu niesLes mensonges et les gris-gris relèvent de la vilenieC'est débile, ça laisse des traces indélébilesTransformons la justice en justesse, les jugements en sagesse Rohff - Sincère

  25. Justesse et justice chez Gandhi Satyagraha Éliminer les racines de l’injustice en allant au bout de la justesse

  26. Mahatma Gandhi (1869 – 1948) Sa carrière • Né dans le Gujarat (Inde) • Marié à 13 ans, père de 4 enfants • Études de droit en Angleterre (1888-1891), lectures spirituelles et philosophiques, retour en Inde • 1893-1914 : 21 ans juriste et activiste en Afrique du Sud. Met au point la théorie et la pratique de la satyagraha • 1915-1948 : 33 ans de lutte spirituelle et politique pour arriver au Swaraj (complète indépendance de la personne indienne Downloadall sizes Use this fileon the web Use this fileon a wiki Email a linkto this file Informationabout reusing

  27. La pensée centrale de gandhi Donner toute sa puissance la justesse (vérité et bien) pour rétablir la justice (le droit)

  28. La « révolution non-violente » • Gandhi : « La non-violence sous sa forme active consiste en une bienveillance envers tout ce qui existe. C'est l'Amour pur. » • Martin Luther King :« La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit. » • Jean-Marie Muller : « Comme toute exigence éthique, la non-violence présente une double-face : l'une invite à ne pas collaborer avec la violence, l'autre à œuvrer pour la justice. Si l'on s'en tenait à l'étymologie, une traduction possible de ahimsa serait in-nocence*. » * in-nocere : ne pas nuire

  29. सत्याग्रहsatyāgraha de Gandhi Justesse et Sagesse Satya : vérité, graha : saisir La justice et le droit Convaincre l’autre de son bon droit Épuiser d’abord tous les moyens légaux Stratégie Gandhi: chercher d’abord à convaincre l’adversaire de la justesse de ses revendications conviction que l’adversaire doit être gagné non pas par une force physique qui l’écrase, mais par une force morale qui éveille sa conscience. Gandhi a expérimenté « la force injuste de la loi » • Wean (sevrer) et Win (gagner) • « En appliquant le Satyagraha, j'ai découvert, dès le départ que la poursuite de la vérité n'admettait pas que la violence soit imposée à son opposant, mais qu'il doit être sevré de l'erreur par la patience et la sympathie. Ce qui paraît vrai à l’un peut sembler faux à l'autre. La patience signifie souffrance personnelle. La doctrine est la justification du vrai en prenant la souffrance sur soi au lieu de l’infliger à l'adversaire. »

  30. Force née de la vérité et de l’amour • La vérité (satya) implique l’amour, et la fermeté (agraha) génère la force, dont elle est dès lors un synonyme. J’ai donc commencé à parler de Satyagraha, autrement dit la force qui est née de la vérité et de l’amour, abandonnant l’usage du terme anglais « résistance passive »

  31. 21 ans en Afrique du Sud : combat l’injustice raciale et sociale, • 33 ans en Inde : combat l’injustice politique et économique • L’Afrique du Sud et l’Inde étaient toutes deux dominées par le Royaume-Uni. En Afrique du Sud, Gandhi (Indien anglophone) a vu deux minorités blanches ennemies (les anglais et les boers) se nuire l’une à l’autre (guerre des Boers) et infliger une injustice croissante à la majorité noire • En Inde, Gandhi a vu la minorité blanche anglaise durcir son injustice contre la majorité de la population, constituée principalement d’hindous menés par Nehru et de musulmans menés par Jinna) • Gandhi a laissé un héritage crédible en Inde : voisine de la Chine, l’Union indienne a réussi son indépendance et sa modernisation sans céder à la tentation totalitaire ou dictatoriale

  32. Satyagraha global L’éclairage des Principes de l’Unification

  33. Justesse et justice Que puis-je faire de bon par amour et pour la joie ? Que doit-on ne pas faire pour éviter une sanction ?

  34. Discipline intérieure double-face : l'une invite à ne pas collaborer avec la violence, l'autre à œuvrer pour la justice Ne pas mentir, idolâtrer Amour pur, fidèle droiture équité violer, tromper, convoiter, avilir, tuer, blesser, offenser, agresser Rigueur créative Ne pas voler, polluer, piller

  35. uples. L’expérience de la division, de la pauvreté, de la violence extrême • Totalitarisme japonais (25 ans) • Totalitarisme de Kim-Il Sung (passion de la réunification

  36. La SATYAGRAHA Selon les principes de l’unification Perfection But de la Création Nouvelle naissance Voie originelle de l’amour vrai (innocence, pureté) Fondement pour le Messie Satyagraha global voie du sacrifice pour restaurer l’amour vrai Hors de soi, hors-la-loi humain originel Voie de la passion aveugle (culpabilité)

  37. tous les autres seront constitués justes • Par la désobéissance d'un seul homme, tous les autres ont été constitués pécheurs … « justes » « pécheurs » par l'obéissance d'un seul, tous les autres seront constitués justes. (Paul 5.19)

  38. Mal Juste SépaRER LE juste et l’injuste Par la foi, Abel offrit à Dieu un plus excellent sacrifice que Caïn, et par ce sacrifice il a reçu le témoignage d’être juste. (Heb 11.4) Caïn était du méchant et tua son frère. Et pour quelle raison le tua-t-il? Parce que ses œuvres étaient mauvaises et que celles de son frère étaient justes. 1 Jean 3.11-13 Adam Caïn Abel

  39. Sollicitude de dieu pour caïn • « Pourquoi es-tu donc irrité ? Et pourquoi ton visage est-il abattu ? Si tu es bien disposé et si tu t'améliores, ne relèveras-tu pas la tête ? Mais si tu n'es pas bien disposé, le péché n'est-il pas tapi devant ta porte, comme une bête qui te convoite ! Il n'aspire pourtant qu'à t'atteindre ! Mais toi, sauras-tu le dominer ? »

  40. Dieu • Fondement de foi • Offrande symbolique • Figure Centrale • Promesse • Temps • Justification par la foi S’infliger volontairement l’attrition, prendre responsabilité pour le péché de Caïn, faire preuve de contrition Fondement de substance Offrande substantielle Abel, médiateur de Caïn pour revenir vers Dieu Justification « par les œuvres »

  41. Sept principes pour évaluer la justesse d’une action 1. Pourquoi ? des motifs fondés et légitimes 2. Pour quoi : des objectifs pertinents 3. Qui : des partenaires aptes, unis à la motivation et aux buts 4. Quoi : des actions appropriées, nettes, définies, qui font mouche 5. Comment : interaction judicieuse (choix et méthode) 6. Où : un positionnement adéquat, bien voir la situation 7. Quand : un rythme et une vitesse convenables (le bon moment)

  42. 1. Origine Pourquoi : motifs fondés Le cœur (Le Juste) 4. Action appropriée Division 3. Objet 3. Sujet partenaires qualifiés, attitrés mandatés 7. le bon moment 5. interaction judicieuse 6. Positionnement adéquat 2. (union) Pour quoi (pertinence) Objet de bonté pour la joie : c’est bon !

  43. Philosophie unificationniste de la justesse originelle • Le cœur, motif de Dieu en créant tous les êtres • La joie, finalité la plus pertinente de toute action juste (objet de bonté pour la joie de Dieu => Trois Bénédictions) • Maturité et pureté, qualités primordiales de la personne juste • Investir à 100%, unir la parole et l’acte • L’action de donner-et-prendre, méthode idéale de l’action juste • Le fondement des quatre positions, base de l’action juste • L’action d’origine-division-union, chronologie adéquate de l’action juste

  44. Justesse Justice Dehors Corps en relation Groupe Loyauté au groupe Objective Interpersonnelle Norme Souci d’autrui • Dedans • Corps individuel de vérité • Conscience • Fidélité à soi-même • Subjective • Personnelle • Originalité • Amour-propre

  45. Justesse : le corps individuel de vérité et la réalisation de la première Bénédiction. Être, sagesse. Moralité individuelle : intégrité, pureté, modération. Être en soi et pour soi. Conscience • Justice : le corps en relation : éthique, norme, s’ajuster au corps social. Aimer (2e bénédiction) et créer (3e Bénédiction)

  46. La justesse : perfection personnelle • Être • suivre son cœur et sa conscience • Harmonie de l’esprit et du corps • Se dominer soi-même • Corps individuel de vérité (perfection de la personnalité

  47. Justice : le dehors • Aimer • me lier à autrui par le cœur, en suivant une éthique • donner, servir, s’oublier • me situer objectivement • Corps en relation (être pour autrui)

  48. Créer Une œuvre juste, exprimant l’amour vrai

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