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Maladies dominantes liées à l’X et Maladies récessives liées à l’X

c'est un cour de gu00e9nu00e9tique mu00e9dicale. Ce diapositive vous pru00e9sente les diffu00e9rentes maladies, leur pru00e9valence, leur u00e9tiologie, leur traitement ainsi que leur mu00e9thode de Prevention.

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Maladies dominantes liées à l’X et Maladies récessives liées à l’X

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  1. Maladies dominantes liées à l’X et Maladies récessives liées à l’XGénétique Médicale Authentique team bblfsrsrw

  2. plan • Introduction • Généralités • Hyporachistisme résistant à la vitamine D • Déficit en ornithinecarbamyl transférase • Kératose folliculaire • Syndrome de Rhett • Hypoplasie de l’émail et des canaux radicalaires dentaires • Syndrome incontinentiapigmenti

  3. Hémophilie • Maladie de Fabry • Myopathie de Duchenne • Syndrome d’Alport • Daltonisme • Dystrophie • Conclusion • Références Bibliographies Plan (SUITE)

  4. Les maladies monogéniques sont des maladies causées par des mutations dans un seul gène d’un chromosome (autosome ou gonosome) • La myopathie de Duchenne a été la première maladie monogéniquegonosomique décrite cliniquement par le Français Guillaume Duchenne. • L’hemophilie est la première maladie monogénique gonosomique à avoir été décrite génétiquement par l’Allemand Otto W. Küster. Introduction

  5. Définition Les maladies monogéniques gonosomiques sont des maladies causées par des mutations sur le chromosome sexuel (X ou Y) d’un individu. Type Selon le mode d’expression des allèles mutés, on distingue deux type des maladies gonosomiques: • Maladies monogéniques gonosomiques dominantes • Maladies monogéniquesgonosomiques récessives Généralités

  6. Maladies Monogéniques Gonosomiques Dominantes • Un seul allèle du gène muté est nécessaire pour exprimer la maladie • La transmission des maladies monogéniques dominantes liés à l’X se fait généralement de mère en fils, ou de père en fille. Mais les filles, si elles sont hétérozygotes seront moins touché par la maladie. • La transmission est verticale Généralités (Suite)

  7. Maladies Monogéniques Gonosomiques Récessives • Les deux allèles du gène muté sont nécessaires pour exprimer la maladie • La transmission des maladies monogéniquesrécessives liés à l’X, une fille malade doit avoir l’allèle muté sur ses deux chromosomes X • Elles touchent presqu’exclusivement les hommes • Il y a la possibilité de porteurs asymptomatiques ou présentant des signes subcliniques ou bénignes de la maladie Généralités (Suite)

  8. Hyporachitisme Résistant à la vitamine D

  9. C’est une maladie monogénique gonosomique dominante où le corps est incapable de réagir efficacement à la vitamine D, provoquant des troubles métaboliques liées au calcium et au phosphate. Introduction Figure 1 : Fémur normale et un fémur atteint d’hyporachitismeresistant a la vitamine D

  10. Etiologie • Mutation du gène codant pour l’enzyme 1-α-hydroxylase : CYP27B1 • Mutation du gene codant pour le recepteur de la vitamine D : VDR Figure 2 : Un enfant atteint d’hyporachitisme

  11. Signes Les signes les plus fréquentes sont : des troubles dentaires, des crampes musculaires, une faiblesse musculaire et des troubles osseuses. Moyens de Diagnostique • Examen physiques du patient en quête des signes et/ou symptômes de la maladie • Test sanguin (calcémie et phosphatémie) • Tests hormonaux (glandes parathyroïdes) et tests génétiques Signe et Moyen de Diagnostique

  12. Traitement Le traitement est basé sur l’administration de supplément en calcium, en phosphate et en calcitriol. Dans de cas plus sévères, il est basé sur des soins palliatifs en atténuant les symptômes. Prévalence La prévalence de la maladie est 1/20 000 naissances. Traitement et prévalence

  13. Prévention Il n’existe pas de prévention à proprement parlé puisqu’il s’agit d’une maladie héréditaire. Mais on peut la prévenir en : • Evitant les croisements de personnes malades • Procédant à une prise en charge très tôt de la maladie pour éviter de graves complications. • Conseillant aux malades des visites fréquentes chez le médecin et un régime alimentaire minutieusement équilibré. Hyporachitisme Résistant à la vit D (Suite)

  14. Déficit en ornithinecarbamyl transférase

  15. Introduction C’est un trouble métabolique héréditaire qui touche la capacité du corps à métaboliser efficacement l'ammoniac pouvant être à l’origine de grave complication s’il est accumulé dans le corps. Etiologie • Mutation du gène codant pour l’enzyme OTC, acteur incontournable dans le cycle de l’urée Figure 3 : Réaction montrant la conversion de carbamyl phosphate en Ornithine

  16. Signes Les signes les plus fréquentes sont : des nausées, des vomissements, trouble comportemental et parfois des convulsions. Moyens de Diagnostique • Test sanguin • Tests génétiques Signes et Moyens de diagnostiques

  17. Traitement Le traitement est basé sur l’administration de médicament comme le phenylbutyrate de sodium et des supplément en citrulline. Dans de cas plus sévères, une dialyse est requise d’urgence. Prévalence La prévalence de la maladie est 1-9/100 000 naissances. Traitement et la prévalence

  18. Prévention Il n’existe pas de prévention à proprement parlé puisqu’il s’agit d’une maladie héréditaire. Mais on peut la prévenir en : • Evitant les croisements de personnes malades • Procédant à une prise en charge très tôt de la maladie pour éviter de graves complications • Conseillant aux malades des visites fréquentes chez le médecin et un régime alimentaire pauvre en protéines Prévention

  19. Kératose folliculaire

  20. C’est une maladie qui survient à la suite d’une surproduction de kératine ce qui empêche l’ouverture du follicule pileux et se traduit par une peau tachée et l’apparition de poils incarnés. Etiologie • Cause génétique actuellement inconnue Introduction Figure 4 : Surface de la peau atteint de la kératose folliculaire

  21. Signes Pour reconnaître les signes suspects, on utilise la règle « ABCDE » : • A comme Asymétrie : grain de beauté ni rond ni ovale et dont les couleurs et les reliefs irrégulièrement répartis autour de son centre. • B comme Bords irréguliers : bords déchiquetés mal délimités. • C comme Couleur non homogène • D comme Diamètre : Diamètre en augmentation • E comme Evolution : en de taille, en forme, en couleur ou en épaisseur. Signe

  22. . Figure 5 :Personne atteint de la keratose folliculaire

  23. Traitement Aujourd’hui encore aucun traitement n’est disponible, en revanche il existe quelques solutions afin d’atténuer un minimum la maladie. La kératose pilaire se traite particulièrement à l’aide de médicaments kératolytiques. Le laser à colorant pulsé et le laser Q-switchedNd:YAG 1064 nm se sont révélés efficaces pour traiter les rougeurs du visage. Prévalence Elle touche 40% de la population mondiale : 50% avant 10 ans, 35% entre 11 et 20 ans. Traitement et prévalence

  24. Prévention Il n’existe pas de prévention à proprement parlé puisqu’il s’agit d’une maladie héréditaire. Mais on peut la prévenir en : • Evitant les croisements de personnes malades • Procédant à une prise en charge très tôt de la maladie pour éviter de graves complications • Conseillant aux malades des visites fréquentes chez le dermatologue, une hydratation régulière de la peau et évitant les coups de soleil. Prévention

  25. Syndrome de Rhett

  26. C’est un trouble neurodeveloppementale dont la principale cause est la mutation d’un ou plusieurs gènes qui jouent un rôle important dans le développement du cerveau. Introduction Figure 6 : Enfant toucher par le Syndrome de Rett

  27. une mutation du gène méthyl CpG binding proteine2 (MECP2) sur le chromosome X de l’enfant (Xq28), gène intervenant dans la production d’une protéine appelée methyl-cytosine binding protein 2 (MECP2). Etiologie Figure 7 : Gène responsable du syndrome de Rett

  28. Symptômes L’apparition ou la gravite des symptômes varie d’un enfant à l’autre. Quatre stades sont utilisés pour décrire les symptômes du syndrome de Rett : • Stade 1 ou apparition précoce : Lorsque l’enfant est âgée de 6 à 18 mois il va y avoir un ralentissent discret de son développement, moins de contact visuel, une diminution de l’intérêt pour les jouets, un retard dans l’acquisition de la position assise, un périmètre crânien réduit et des mouvements de tortillement des mains.

  29. Symptôme • Stade 2 régression du développement ou étape destructrice rapide: Entre 1 et 4 ans une perte des capacités manuelles intentionnelles et de l’expression orale. Dans cette étape, les mains commencent à faire des mouvements tels que : des torsions, des tapotements et le fait de porter les mains à la bouche de façon répétée. • Des irrégulations respiratoires peuvent apparaitre. L’instabilité et l’initiation des mouvements moteurs peuvent être très compliqués. Certaines filles peuvent avoir des troubles du spectre autistique.

  30. Symptôme (suite) • Stade 3 ou pseudo-stationnaire : Débute entre 2 a 10 ans et peut durer des années. Dans ce stade, il va y avoir des convulsions, des déficits moteurs et une apraxie surviennent fréquemment. La vigilance, les capacités de communication, la durée d’attention et l’intérêt pour ce qui se trouve autour peuvent augmenter au cours de cette étape. • Stade 4 ou stade de régression motrice tardive : Cette stade peut durer des années. Les caractéristiques fréquentes comprennent la scoliose, la diminution de la mobilité, la faiblesse, la spasticité ou la rigidité musculaire. Le langage oral est absent et les mouvements stéréotypés des mains peuvent diminuer.

  31. Epidémiologie et Moyens de diagnostics Epidémiologie La majorité des patients développe une difficulté respiratoire avant 4 ans, 75% à 5,6 ans pour l’apnée et à 8,7 ans pour l’hyperventilation. 70% des patients atteint de cette maladie développe une dysphagie. Une dysfonctionnent respiratoire s’observe dans 80% des patients atteints. Moyens de Diagnostique • Observation des signes et symptômes en clinique • Tests génétiques

  32. Traitement Le traitement du syndrome de Rett comprend une approche multidisciplinaire de la symptomatologie. L’ergothérapie, de kinésithérapie et de thérapie de communication doit être fournie aux patients pour répondre aux besoins de formation et d’auto-assistance a l’alimentation, l’habillage, la mobilité réduite, les difficultés de marche et aux déficits de communication. Prévalence La prévalence de la maladie est 1/10 000-15 000 naissances féminines. Traitement et prévalence

  33. Prévention Il n’existe pas de moyen de prévention spécifique pour cette maladie parce qu’il peut survenir par des mutations spontanées. Cependant, il existe des avancées spécifiques et de recherche médicale qui progresse constamment, et des avancées sont réalisées pour améliorer la prise en charge et le traitement de la maladie Prévention

  34. Hypoplasie de l’Émail et des canaux radiculaires dentaires

  35. Introduction L'hypoplasie de l'émail est une carence qui augmente les risques de caries et de dommages dentaires. La carie et les dommages se produisent souvent dans les fosses, les sillons ou les lignes à l'intérieur de la dent. Etiologie Des mutations génétiques qui affectent le développement de l'émail dentaire Figure 8 : Hypoplasie de l’email

  36. Signes Certains signes d’hypoplasie de l’émail sont évidents, mais d’autres sont plus difficiles à détecter. Avoir un émail dentaire mince peut mener à des Fosses, bosquets minuscules, dépressions et fissures; des Taches blanches et des Taches brun jaunâtre. Moyens de Diagnostique • Consultation odontologique • Tests génétiques Signes et Moyens de Diagnostique

  37. Traitement Pour le traiter, on peut procéder au scellement dentaire, au blanchiment des dents, à la microabrasion dentaire, à la modification de la facettes dentaires, à la mise en place d’implants dentaires. Prévalence La prévalence de la maladie est 1/14 000 naissances aux États-Unis. Traitement et prévalence

  38. Prévention Il n’existe pas de prévention à proprement parlé puisqu’il s’agit d’une maladie héréditaire. Mais on peut la prévenir en : • Evitant les croisements de personnes malades • Procédant à une prise en charge très tôt de la maladie pour éviter de graves complications • Conseillant aux malades des visites fréquentes chez le médecin et un régime alimentaire pauvre en protéines Prévention

  39. IncontinentiaPigmenti

  40. Introduction L’incontinentiapigmenti ou syndrome de Bloch-siemens ou syndrome de Bloch-Sulzberger est une maladie génétique rare de transmission dominante lié a l’X qui affecte la peau. Il s’agit d’une maladie avec des anomalies dentaire, d’alopécie, une dystrophie unguéale et des complications viscérales. Elle touche principalement les femmes. Elle est létale chez le fœtus de sexe masculin bien qu’il existe des rares cas chez l’homme. Figure 9 : Enfant atteint d’incontinentiapigmenti

  41. Etiologie La principale cause de cette maladie, ce sont des mutations du gène IKBKG, appelé gène NEMO qui est situé sur le chromosome X. Ces mutations provoquent une incapacité de fonctionnement des cellules de la peau, de la rétine, des dents et du système nerveux et affecte la production de la protéine. Ces mutations peuvent entrainer une altération de la protéine NEMO, ce qui va influencer sur la voie de signalisation du facteur nucléaire Kappa B(NF-kB). Figure 10 : Chromosome X atteint d’incontinentiapigmenti

  42. Prévalence La quantité de personne atteint de cette maladie est estime à environ 1 sur 143 000. La ratio femme/homme est de 20 : 1 C’est-à-dire les femmes affecte plus que les hommes. Les hommes atteints présentes des formes létales dans la petite enfance. Dans 85% des cas cette maladie est causée par la mutation du gène NEMO. Figure 11 : Scoliose dû au syndrome de Rett

  43. Symptômes L’apparition des symptômes peut se faire diffèrent façon d’un individu a l’autre. Il existe plusieurs stades de l’apparition des symptômes : • Stade 1 ou Eruption cutanée  • Stade 2 ou verrues  • Stade 3 ou Hyperpigmentation • Stade 4 ou Hypopigmentation Figure 12 :Des vésicules sur un enfant atteint d’incontinentiapigmenti

  44. Diagnostic • Diagnostic clinique : il peut être établi en présence de lésions cutanées • Diagnostic histopathologique : biopsie cutanée • Diagnostic génétique : le séquençage de l’ADN pour détecter des mutations dans le gène NEMO

  45. Traitement Il n’‘existe pas de moyens efficace qui peut la traiter définitivement. Mais il existe des médicaments qui peuvent aider pour  la prise en charge des symptômes : 1- La prise en charge des symptômes cutanés qui peuvent être traitées par des médicaments topiques tes que les corticostéroïdes pour réduire l’inflammation et des crèmes hydratantes pour soulager la sècheresse de la peau. 2-La prise en charge oculaire 3- La prise en charge dentaire Il faut toujours consulter un généticien pour un suivi médicale régulier pour détecter et de gérer les complications potentielles associes à la maladie.

  46. Prévention Il n’existe pas de moyens de préventions spécifiques de cette maladie. Mais des consultations médicales réguliers, des soins de la peau, des soins oculaires et des soins dentaires sont vraiment nécessaires.

  47. Hémophilie

  48. C’est un trouble métabolique héréditaire qui touche la capacité du corps à métaboliser efficacement l'ammoniac pouvant être à l’origine de grave complication s’il est accumulé dans le corps. Etiologie • Mutation du gène codant pour l’enzyme OTC, acteur incontournable dans le cycle de l’urée Hémophilie Figure 13 : Hémophilie

  49. Signes Les signes les plus fréquentes sont : des nausées, des vomissements, trouble comportemental et parfois des convulsions. Moyens de Diagnostique • Test sanguin • Tests génétiques Signes et Moyens de Diagnostic

  50. Traitement Le traitement est basé sur l’administration de médicament comme le phenylbutyrate de sodium et des supplément en citrulline. Dans de cas plus sévères, une dialyse est requise d’urgence. Prévalence La prévalence de la maladie est 1-9/100 000 naissances. Hémophilie (Suite)

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