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Les documents en histoire

Les documents en histoire. Sélection et utilisation . Types de documents en histoire et leur utilisation dans le système français Sélection des documents par rapport au niveau des élèves Descriptifs des niveaux B1 et B2 du CECR – stratégies et types de supports

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Les documents en histoire

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Presentation Transcript


  1. Les documents en histoire Sélection et utilisation

  2. Types de documents en histoire et leur utilisation dans le système français Sélection des documents par rapport au niveau des élèves Descriptifs des niveaux B1 et B2 du CECR – stratégies et types de supports Stratégies de compréhension à l’écrit et activités types Types de textes et genres discursifs Exemples d’activités de compréhension orale

  3. Qu’est-ce qu’un document? = tout support pédagogique de travail permettant de transmettre des connaissances et de faire acquérir des compétences méthodologiques

  4. Typologies de documents Les documents peuvent être classés selon leur forme (iconographique, cartographique, statistique ou textes – cf. doc Abibac – diapo 32) ou selon leur « provenance » • Le document source • Le document produit de la recherche • Le document sélectionné dans l’actualité • Le document construit par un pédagogue

  5. Le document source = le document par excellence, outil à partir duquel travaille le chercheur en histoire . • C’est d’ailleurs lui qui confère à la « source » le statut de document (d’autres usages initiaux). • Ex: l’œuvre d’art ou l’image animée pour le XXème siècle (l'œuvre de fiction ou l'image d'actualité).

  6. Le document "produit de la recherche" • tout document extrait de la publication d'un universitaire : texte, graphique, tableau statistique, croquis, schéma, etc. • Il peut poser des problèmes de compréhension quand trop "savant"

  7. le document sélectionné dans l'actualité par le pédagogue • Ex: article de journal, document de communication voire de publicité. • utilisé dans méthodologie française, pour l'histoire du temps présent, à partir d'un article actuel, expliquer l'origine historique – (ex: Hors série Le monde: révisions du bac à travers des articles du monde.)

  8. Le document construit par un pédagogue(auteur de manuel ou professeur) • Le plus souvent, ces documents sont produits spécifiquement dans un but de travail avec les élèves. • Ils sont adaptés pour rendre les deux premières catégories de documents accessibles aux élèves. • très fréquemment, ce sont des textes simplifiés (mention fréquente dans les manuels : "D'après tel auteur.") • Il peut s'agir de cartes, croquis ou schémas, d'organigrammes, de tableaux statistiques, de graphiques.

  9. Fonctions du document • Document illustratif Illustre et concrétise des faits exposés sous la forme d’un cours magistral • Document d’accroche Suscite l’attention des élèves en début de séance, les sensibilise de manière vivante à la problématique du sujet • Document preuve Justifie, authentifie la parole du professeur • Document outil Destiné à l’apprentissages de compétences méthodologiques (évaluées dans l’épreuve d’étude de documents à l’examen)

  10. La sélection du document: 2 entrées possibles • Sur le plan scientifique, le meilleur document est le plus fondamental, le plus incontournable, le plus emblématique d'un fait historique majeur • Sur le plan pédagogique, le meilleur document est celui qui est susceptible d'être compris par des élèves + de les intéresser. ⇒critères de lisibilité et d'attractivité

  11. Le meilleur document est-il en fonction de l'âge des élèves, de leurs capacités, de leur niveau de langue ? Il faudrait alors pouvoir proposer des documents de référence par niveau. • Ou bien peut-on utiliser à tout âge/tout niveau les mêmes documents, la seule différence résidant dans l'exploitation pédagogique qui en est faite ?

  12. Niveau de langue B1 B2

  13. TYPES DE SUPPORTS ORAUX B1 B2 des conférences et des discours des programmes télévisés ou radiophoniques sur l’actualité (émissions, reportages, JT) tout type de films en langue standard des enregistrements de conversations animées entre natifs • des bulletins d’informations / revues de presse radiophoniques • des documentaires radiodiffusés (sujets d’intérêt personnel) • des programmes télévisés : brèves interviews, émissions et journal télévisé • des films (intrigue simple) • des conférences ou exposés (sujets familiers) • des enregistrements de discussions entre natifs (langue standard)

  14. TYPES DE SUPPORTS ÉCRITS B1 B2 des articles de presse et des rapports sur des questions contemporaines des articles spécialisés (domaine professionnel ou non) des lettres formelles (domaine professionnel) des instructions longues et complexes (procédures) des clauses de contrats : conditions et mises en garde des textes littéraires contemporains en prose • tout type d’écrits quotidiens (annonces, brochures, affiches...) • des articles de journaux et de revues des textes de type argumentatif • des nouvelles, des contes • des modes d’emploi • des textes de nature professionnelle (notes de service, lettres circulaires...) • des CV et lettres de motivation • de courts documents officiels • des lettres personnelles des lettres administratives

  15. COMPRÉHENSION GÉNÉRALE DE L’ORAL B1 B2 Peut comprendre une langue orale standard en direct ou à la radio sur des sujets familiers et non familiers se rencontrant normalement dans la vie personnelle, sociale, universitaire ou professionnelle. Peut comprendre les idées principales d’interventions complexes du point de vue du fond et de la forme, sur un sujet concret ou abstrait et dans une langue standard, y compris des discussions techniques dans son domaine de spécialisation. Peut suivre une intervention d’une certaine longueur et une argumentation complexe à condition que le sujet soit assez familier et que le plan général de l’exposé soit indiqué par des marqueurs explicites. • Peut comprendre une information factuelledirecte sur des sujets de la vie quotidienne ou relatifs au travail en reconnaissant les messages généraux et les points de détail, à condition que l’articulation soit claire et l’accent courant. • Peut comprendre les points principaux d’une intervention sur des sujets familiers rencontrés régulièrement au travail, à l’école, pendant les loisirs, y compris des récits courts.

  16. COMPRENDRE EN TANT QU’AUDITEUR B1 B2 Peut suivre l’essentiel d’une conférence, d’un discours, d’un rapport et d’autres genres d’exposés éducationnels/professionnels, qui sont complexes du point de vue du fond et de la forme. • Peut suivre une conférence ou un exposé dans son propre domaine à condition que le sujet soit familier et la présentation directe, simple et clairement structurée. • Peut suivre le plan général d’exposés courts sur des sujets familiers à condition que la langue en soit standard et clairement articulée.

  17. COMPRENDRE DES ÉMISSIONS DE RADIO ET DES ENREGISTREMENTS B1 B2 Peut comprendre les enregistrements en langue standard que l’on peut rencontrer dans la vie sociale, professionnelle ou universitaire et reconnaître le point de vue et l’attitude du locuteur ainsi que le contenu informatif. Peut comprendre la plupart des documentaires radiodiffusés en langue standard et peut identifier correctement l’humeur, le ton, etc., du locuteur. • Peut comprendre l’information contenue dans la plupart des documents enregistrés ou radiodiffusés, dont le sujet est d’intérêt personnel et la langue standard clairement articulée. • Peut comprendre les points principaux des bulletins d’information radiophoniques et de documents enregistrés simples, sur un sujet familier, si le débit est assez lent et la langue relativement articulée.

  18. COMPRÉHENSION GÉNÉRALE DE L’ÉCRIT B1 B2 Peut lire avec un grand degré d’autonomie en adaptant le mode et la rapidité de lecture à différents textes et objectifs et en utilisant les références convenables de manière sélective. Possède un vocabulaire de lecture large et actif mais pourra avoir des difficultés avec des expressions peu fréquentes. • Peut lire des textes factuels directs sur des sujets relatifs à son domaine et à ses intérêts avec un niveau satisfaisant de compréhension.

  19. LIRE POUR S’ORIENTER B1 B2 Peut parcourir rapidement un texte long et complexe et en relever les points pertinents. Peut identifier rapidement le contenu et la pertinence d’une information, d’un article ou d’un reportage dans une gamme étendue de sujets professionnels afin de décider si une étude plus approfondie vaut la peine. • Peut parcourir un texte assez long pour y localiser une information cherchée et peut réunir des informations provenant de différentes parties du texte ou de textes différents afin d’accomplir une tâche spécifique. • Peut trouver et comprendre l’information pertinente dans des écrits quotidiens tels que lettres, prospectus et courts documents officiels.

  20. LIRE POUR S’INFORMER ET DISCUTER B1 B2 Peut obtenir renseignements, idées et opinions de sources hautement spécialisées dans son domaine. Peut comprendre des articles spécialisés hors de son domaine à conditions de se référer à un dictionnaire de temps en temps pour vérifier la compréhension. Peut comprendre des articles et des rapports sur des problèmes contemporains et dans lesquels les auteurs adoptent une position ou un point de vue particuliers. • Peut identifier les principales conclusions d’un texte argumentatif clairement articulé. • Peut reconnaître le schéma argumentatif suivi pour la présentation d’un problème sans en comprendre nécessairement le détail. • Peut reconnaître les points significatifs d’un article de journal direct et non complexe sur un sujet familier.

  21. RECONNAÎTRE DES INDICES ET FAIRE DES DÉDUCTIONS (ORAL ET ECRIT) B1 B2 Peut utiliser différentes stratégies de compréhension dont l’écoute des points forts et le contrôle de la compréhension par les indices contextuels. • Peut identifier des mots inconnus à l’aide du contexte sur des sujets relatifs à son domaine et à ses intérêts. • Peut, à l’occasion, extrapoler du contexte le sens de mots inconnus et en déduire le sens de la phrase à condition que le sujet en question soit familier.

  22. STRATÉGIES DE COMPRÉHENSION EN B2

  23. STRATÉGIES DE LECTURE • Utilisation du contexte comme aide à la compréhension (informations paratextuelles : situation d’énonciation, images etc.) • Formulation d’hypothèses : anticiper ce que le texte dit à partir des attentes (souvent à partir du titre) • Stratégies variables en fonction des différents types de textes (choisir la stratégie la plus efficace en fonction de la nature du texte et des objectifs de lecture)

  24. 3 types de lecture • Globale: survol du texte, extraction d’une idée générale • Sélective: recherche d’information spécifiques par balayages successifs • Linéaire: besoin de connaître détails du texte et de procéder soigneusement de paragraphe en paragraphe.

  25. Démarche pédagogique pour comprendre un texte • Pré-lecture • Lecture • Post-lecture

  26. 1. La pré-lecture • C’est la phase qui voit les apprenants entrer en contact avec le texte. • Elle comprend les deux moments de la contextualisation et de l’anticipation. • La première est censée donner des informations sur la situation d’énonciation et sur le document qu’ils vont lire (préciser aux apprenants qu’ils vont lire, par exemple, un fait divers, un tract, un courriel, etc., est donc un cas de contextualisation), • la seconde leur permet de faire des hypothèses sur les contenus du document. • La phase de pré-lecture, comme celle de pré-écoute, est importante du point de vue cognitif parce qu’elle sollicite les acquis et le vécu des apprenants sur lesquels vont se greffer les nouvelles acquisitions.

  27. exemples d’activités d’anticipation • remue-méninges sur le sujet du texte (en langue maternelle ou en langue étrangère selon le niveau des apprenants) ; • donner aux apprenants des mots-clés du document à partir desquels ils devront construire un autre texte à comparer avec le document lui-même ; • donner une série de phrases à remettre en ordre et faire faire un résumé du texte à comparer ensuite avec le document lui-même.

  28. 2. La lecture • diversifier les activités selon les objectifs fixés et les types de lecture qui en découlent. On pourra donc • reconnaître les éléments de la situation d’énonciation à travers des indices paratextuels : qui écrit, à qui il s’adresse, où, quand, pour quoi faire... ; • reconnaître des éléments spécifiques (caractères gras, italiques, noms, dates...) ; • reconnaître la typologie du document ; • reconnaître les éléments de cohérence et de cohésion à travers des tâches qui comportent : • le repérage d’indices contextuels ; • la reconstitution d’un texte en désordre ; • le complètement d’un texte lacunaire.

  29. 3. La post-lecture • Différentes fonctions, comme le contrôle, le réemploi et le transfert des acquis dans d’autres contextes. On y retrouve les activités suivantes : • répondre à des questionnaires : à choix multiples, vrai/faux, ouverts • créer un nouveau texte en changeant de typologie (ex.: le contenu d’un fait divers peut faire l’objet d’un courriel écrit par un des participants à l’événement) ; • imaginer la fin d’un récit qui a été supprimée ; • faire une enquête/un sondage pour le journal de l’école (ex.: après avoir lu les opinions des Français sur les voyages à l’étranger...) ; • dessiner une personne, un objet, un lieu... à partir des indices fournis par le texte ; • transformer le texte lu en une typologie de discours oral ayant le même contenu (ex :dramatisation d’un fait divers, coup de téléphone à partir d’un courriel...) ;

  30. Exemple d'activités : langue de la discipline Histoire (CNDP)http://www.cndp.fr/voyage-avec-les-mots/les-mots-des-disciplines/serie/les-douze-mots-de-lhistoire.html • Fiche pédagogique • Film • Audio • correction

  31. Types de documents

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