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PSYCHONS Hakki Açikalin - 2013

PSYCHONS Hakki Açikalin - 2013. Le point de départ ; Les fondements scientifiques de l’Analyse POEM – Le modèle Psycho - Organique des Etats du Moi. Modèle-pilier scientifiques.

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PSYCHONS Hakki Açikalin - 2013

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  1. PSYCHONSHakkiAçikalin - 2013 Lepoint de départ; Lesfondementsscientifiques de l’Analyse POEM – LemodèlePsycho-OrganiquedesEtatsduMoi

  2. Modèle-pilier scientifiques • LemodèlePsycho-OrganiquedesEtatsduMoi, (POEM) s’appuie sur troispiliersscientifiquesmajeurs; • 1)Lesneurosciences et la théorieDualisteInteractionniste de SirJohn CarewEccles - neurophysiologue, prix Nobel de médecine 1963, selonlaquellele Psyché et lecerveauconstituentdesentitésindépendantes, quiinteragissentaumoyen de la physiquedesquanta.

  3. La Jonction Corps-Psyché • On avait déjà révelé que le psychismeestconstituéd’évènements – et éléments - mentauxappeléspsychons(Açikalin – Caesar – Theodoros). «L’hypothèseestquetouslesévènementset expériencesmentaux, en faitl’agrégatformé par lessensextérieurs et intérieurs,sont un ensemblecompositedontlesélémentsouunitésréalisentdesévènementsmentauxquenousappelleronspsychons». C’est comme les photons sont les éléments essentiels de la lumière. • Cespsychonssontdesinformationsnonmatériellesrégies par leslois de la physiquequantique. • La jonctionCorpsPsychésefait, selonEccles, auniveau des dendrons (structuresmicro-anatomiques; les nano-structures) connectés à leurs «psychons» respectifs (informationspsychiquesonde-particule). Chaquepsychonseconnecte à un dendronexerçantune «gravité» qui construit la structure basique du Psyché.

  4. EtymologiePsyché: Du grec ancien ψυχή, psikhî (âme, souffle de vie) –on: Suffixe concernant une particule. Architecture nanomoléculaire du dendron

  5. Deuxprincipes de la physiquequantique • 2)Deuxprincipes de la physiquequantiqueselonlesquels: • a) La physiquequantique a découvertquela matièreestsimultanémentcorpuscules et ondes, selonletype de mesurequiestfaite. En conséquence, chaquesystèmeorganiqueest «doté» d’unchamporganisateurnonmatérielquiluiestspécifique. • Cequiveut dire quelesstructuresbiologiquesimpliquées dans l’expression, la réceptionou la transformation,sontaccompagnées de leurchamppsychiquespécifique. • b)  Leschampsd’informationsnonmatériels (de deuxpersonnes) peuvententrer en interactionlesunsaveclesautres. Dans cecas, «ils ne formentplusqu'unseulsystèmequicontientl'ensembledespossibilitésdesdeuxsystèmes». CohérentavecJohn CarewEccles(l’agrégatformé par lessensextérieurs et intérieurs):L'intricationquantique – quanticentanglement. • «L'intricationquantique» est un phénomèneobservé en mécaniquequantique dans lequell'étatquantique de deuxouplusieursobjets (oupersonnes) doitêtredécritglobalement,sanspouvoirséparer un objet de l'autrequoiqu'ilspuissentêtrespatialementscindés – splitted in thespace. L’intricationquantiquepouvantconstituerlesystèmeaveclequellespersonnessontdirectementliées».

  6. Troisopérationsbiologiquesfondamentalesde la vie • 3) La biologie, aveclestroisopérationsbiologiquesfondamentales de la vie: •     - Expressiondumouvement de vie,                                              •     -Lechampontologiqueouinné • - Réceptiondesnutrimentsnécessaires à la vie,                        •     - Lechamp de l'altéritéouexterne •     -Transformationoumétabolismeinhérent à la survie et à l’adaptation.    •     - Lechampadaptatif,créatifoudéfensif • La non-prise en compte de l’existence et surtoutlenon-traitementduchampexterneexpliquequecertainesthérapiessoientinterminables et inachevées.

  7. Théorie du psychon • La théorie du Psychon est une théorie d'évolution basée sur une continuité des particules-ondes élémentaires jusqu'au Psyché humaine. Les particules-ondes élémentaires sont comme des organismes de base et notre Psyché est fait des particules-ondes élémentaires il y a de milliards d'années. • Au cours de l'évolution, nos psychons (les particules-ondes/unités spécifiques du Psyché) ont été responsables du comportement des atomes, des molécules, des enzymes, des cellules vivantes, des neurones primitives, des animaux primitifs, des primates et de nos ancêtres.

  8. L’ApprocheScientifiqueRéductionniste • Cette approche est basée sur la prémisse que nous, les humains sont en dehors de la nature. Il est admis que le comportement humain dépend des objectifs, des valeurs, de l'intuition et une tendance vers l'ordre. Cependant toute tentative d'admettre des principes analogues de finalité dans la nature est critiqué comme anthropomorphisme. La conscience individuelle est niée d'une part, et considéré comme essentiel, d'autre part, ne dépendant que du contexte. Elle est refusée lorsque le comportement de l'animal est expliqué uniquement par des processus matériels dans le cerveau. Cette conscience est ignorée dans le concept archaïque de l’évolution. Il est essentiel lorsqu'il s'agit du comportement social, le crédo ou les droits de l'homme.

  9. La deuxième loi de la Thermo-dynamique • La deuxième loi de la thermodynamique pourrait être considérée comme l'un des dogmes les plus centraux de la vision scientifique plutôt positiviste archaïque jusqu’aux années 90. Bien qu’il n’existe nulle part dans l'univers des différences de température qui disparaissent durablement, cette loi est considérée comme une importante compréhension de l'évolution de l'univers. En assimilant la disparition des différences de température avec la disparition dans l'ordre, cette loi devient le «principe de l'entropie" l’antithèse d'un point de vue définitif. Dans un objet solide isolé thermiquement, les distributions de température innombrables sont possibles à une énergie thermique donnée. La question se pose de savoir si toutes ces distributions sont aussi arbitraires ou si certaines distributions sont moins arbitraires que d'autres. Même si toutes les règles selon lesquelles ces distributions de température peuvent être classées en fonction de leur caractère arbitraire eux-mêmes dépendent des locaux arbitraires, la répartition uniforme se distingue de toutes les autres distributions indépendamment de ces locaux.

  10. Extension spatiale des particules élémentaires • La taille de nombreux objets n'est pas donnée a priori, mais dépend de la façon dont elle est définie. La taille de la terre dépend de; si l'atmosphère est considéré comme faisant partie de la terre ou non. Si oui, il est difficile de déterminer la taille en raison de la transition continue de l'atmosphère vers l'espace vide. Ces problèmes sont encore plus aigus dans le cas des particules élémentaires. Leur taille est mesurée par leurs effets physiques sur d'autres particules. • La mesure des atomes au moyen de particules qui interagissent uniquement avec les résultats de noyaux atomiques dans un format différent de celui de la mesure au moyen de particules qui interagissent avec la coquille d'électrons. Nous ne pouvons pas décider a priori, si l'effet sur d'autres particules est une conséquence de l'extension spatiale ou d'une action à distance de la particule mesurée. Un atome chargé influence des électrons dans une région qui est beaucoup plus grand que la taille «réelle» d'un atome. Si nous définissons l'extension spatiale par des effets gravitationnels, toutes les particules ont une taille infinie et de la gravitation n'est pas fondée sur des actions à distance. • Que dans de nombreux cas, la distinction entre l'extension et l'action spatiale à distance est arbitraire, nous pouvons voir dans l'examen de particules élémentaires hypothétiques: Chaque particule provoque une attraction qui est inversement proportionnelle à la puissance de la distance à partir de son centre, et une répulsion inversement proportionnelle à la puissance quatre. Comme il n'y a pas de limite au nombre de ces particules d'être pressées dans un volume donné, chaque détermination de la taille des particules est arbitraire, peut-être à l'exception de la sphère où répulsion égale attraction.

  11. Afin de définir le centre des particules et de l'extension, un effet de la particule (qui peut aussi être une combinaison de plusieurs effets) est nécessaire. Les particules, n’ayant pas de point central distingué, sont envisageables. Une telle particule peut présenter un effet similaire dans une région centrale. Si l'effet diminue continuellement avec la distance croissante de la région centrale, l'extension spatiale de la particule ne peut être déterminée sans arbitraire. Si l'effet est quantifiable dans l'espace, il est logique de définir en tant que centre de la particule au point, qui est calculée à partir de la distribution de l'effet de la même manière que le centre de gravité est calculé à partir d'une distribution de densité, même dans le cas où ce centre ne peut être déterminée expérimentalement.  • Les photons ne sont ni des points matériels, ni les vagues. Ils ont plus de réalité et leur comportement est plus complexe que prévu par la mécanique quantique. Comme formules mathématiques ils ne précèdent pas la réalité, il n'est pas nécessaire de supposer que toutes les propriétés de photons peuvent être décrites complètement par des formules simples. L'extension spatiale des photons peut dépendre de plusieurs facteurs (par exemple sur la fréquence, la densité de photons). Les photons ont tendance à apparaître et se déplacer en groupe. Il faut distinguer entre l'ingérence d'un photon avec lui-même et les interférences entre photons. Les actions à distance peuvent expliquer la conservation de l'énergie dans tous les cas d'ingérence. La physique moderne accepte que les électrons et autres particules élémentaires ne peuvent être conçues comme étant des ondes ou de particules, juste parce que les ondes et les particules peuvent facilement être décrites mathématiquement. Les électrons (comme les êtres vivants) montrent un comportement différent selon les expériences. Les électrons peuvent apparaître et disparaître en vertu des principes de conservation. Leur comportement complexe repose non seulement sur une base matérielle (énergétique), mais aussi sur les unités particules-ondes qui seront appelés PSYCHONS.

  12. EvolutiondesPsychons • Si vous allumez une lampe de poche, les photons apparaissent, mais il n'y a pas de photons dans la torche dans la façon dont il ya des balles dans un pistolet. Bien que l'énergie nécessaire existe 'réellement' dans la torche, des unités capables d'organiser des quanta d'énergie sous forme de photons n'existent que «potentiellement», avant que la torche soit allumée. Ces unités non matériels seront appelés PSYCHONS. Il ya une continuité de psychons primitifs, qui sont responsables du comportement des particules élémentaires, à psychons humaines (éléments basiques du Psyché), qui ont évolué à partir de psychons primitives sur des milliards d'années. •             Pour une personne à naître, ce qui est requis, est une Psyché humaine. Il est essentiel quand une espèce se divise en sous-espèces. Il va de soi que la continuité de l'environnement est valable non seulement pour les âmes humaines et animales mais aussi pour tous psychons. • Psychons sont les «unités de l'évolution». Pour les gènes ou les êtres vivants, si elles n'étaient pas plus de matière morte très structuré, il n'aurait aucun sens d'aspirer à la reproduction et en même temps de perdre leur identité en raison de l'adaptation évolutive et le développement. Psychons ne changent pas leur identité au cours de l'évolution (comme l’esprit humain n’est pas changeant durant l'ontogenèse). Donc, nos psychés étant des particules et des ondes élémentaires (quantiques) ils sont inchangés depuis ya des millions d'années. •             Les Psychons sont des unités indivisibles, mais la matière est divisible dans la plupart des cas. Les enzymes peuvent former un complexe, qui commence à travailler après avoir atteint une destination dans la cellule. La question est de savoir si il ya un Psychon pour l'ensemble du complexe ou si toutes les enzymes participant ont leurs propres psychons. Toutes ces variantes sont possibles pour psychons. Aussi relations analogues à celle entre le cheval et le cavalier ou entre berger, chien et troupeau sont possibles à différents niveaux de complexité. Un nucléotide d'ARN est constituée de trois parties qui sont évolutivement plus ancienne que l'ensemble de nucléotides: 1) l'ARN de base, 2) le ribose et 3) la chaîne des groupes de phosphate. Les Nucléotides de l'ARN ont plusieurs fonctions dans les cellules vivantes. Par exemple, ils fournissent de l'énergie. Il semble évident que les mêmes molécules peuvent être animés par différents types de Psychon. La continuité de l'environnement maintient l'ordre. Pour les psychons qui animent la matière d'un tel niveau de complexité faible, il ne devrait y avoir aucune différence entre l'inactivité et la mort. (Dans le cas de l'homme la connexion entre le Psyché et le corps avec ses psychons c’est tellement complexe, qu'elle ne peut être construite que pendant l'ontogenèse).

  13. LePsychéHumainY • Le Psyché humaine, extrêmement complexe, est le seul processus que nous ne pouvons pas connaître ni de l'extérieur ni de l'intérieur. Tous les sentiments, les perceptions et la compréhension ne sont que des projections de l’appareil psychique. La connaissance objective, ne dépendant pas de l'aspect subjectif de l'intérieur, est impossible. L'objectivité ne peut pas être plus d'intersubjectivité idéale. •             La détermination de l'extension spatiale du Psyché humain constitue un problème similaire que la détermination de l'extension spatiale des particules élémentaires. Après la mort, ces particules n'existent que potentiellement et ne peuvent pas être facilement localisées et déterminées dans l'espace. •             Mais le Psyché peut être perçu et senti par son interaction avec le corps humain. C'est le Psyché qui perçoit les états des différentes régions du cerveau comme une image cohérente de l'objet. Grâce à nos expériences passées, nous le savons, ce qui correspond à la «réalité» des états de notre cerveau. Par exemple, l'image optique en trois dimensions d'une bouteille est constituée de plusieurs composantes subjectives. Ces composantes sont chacun un mélange diffus de souvenirs de perceptions similaires (ou états neuronaux correspondants). En raison de ces souvenirs que nous savons comment aller de notre part afin de toucher la bouteille ce qu’elle crée cette bouteille comme effet dans notre Psyché.

  14. Prédécesseurs de la théorie de Psychon • La théorie du Psychon comme toute autre théorie, a des prédécesseurs. De nombreux éléments de la théorie comme la distinction fondamentale entre «réel» et «potentiel» font déjà partie de la philosophie d'Aristote. La théorie de l'évolution de Lamarck et la monadologie de Leibniz pourrait être considéré comme prédécesseurs les plus importantes; à bien des égards les psychons peuvent être décrits comme des monades de Lamarck. La théorie du Psychon peut aussi être considérée comme une version quantifiée d'une théorie des champs morphogénétiques: Les psychons sont les quanta des champs.

  15. Conscience quantique et holographiqueNeuroQuantology | December 2009 | Vol 7 | Issue 4 | Page 657-664Quantum-holographicinformationalconsciousness ISSN 1303 5150 Quantum-HolographicInformationalConsciousness • L'auteur propose un modèle de conscience quantique et holographique concernant les interactions entre la conscience et l’univers, basé sur les réseaux neuronaux holonomes de Karl Pribram, dans la théorie quantique holographique mis au point par David Bohm, et dans la propriété de non-localité du champ quantique décrit par HiroomiUmezawa. •             Ce modèle est considéré comme une extension du dualisme interactif de Sir John Eccles, d'une interconnexion entre le cerveau et l'esprit par le biais de microsites quantiques nommés dendrites et psychons. On propose un concept dynamique de la conscience considérée comme un flux reliant les holo-informations  sur la dynamique du cerveau quantique holonomique, avec la nature holographique de l’information quantique dans tout l'univers. Ce flux est généré par le mode holographique de traitement de l'information neuronale et peut être optimisé grâce à des pratiques de différents états de conscience élevé qui est supporté par la cohérence des ondes cérébrales. •             Dans les études de cartographie du cerveau – brainmapping, effectuées au cours de l'apparition de ces états harmoniques, nous pouvons voir le tableau spectrale des ondes cérébrales hautement synchronisés et parfaitement ordonnées comme une onde harmonique unique, comme si toutes les fréquences de tous les neurones de tous les centres cérébraux jouent la même symphonie. • Cet état de cerveau très cohérent génère l’holographie non-localet informationnel du champ de la conscience corticale qui relie le cerveau humain et le cosmos holographique. La compréhension de la nature informationnelle et quantique de l'interdépendance cerveau-conscience-univers nous permet de résoudre le vieux problème cartésien matière-esprit, la science unificatrice d'une manière globale à l’aide de physique quantique et la logique moderne – fuzzylogic, le paradigme transdisciplinaire et intégré. Dans cette nouvelle vision du monde, la conscience et les phénomènes transpersonnels deviennent les parties intégrantes de la science et de la nature holo-informationnelle de la Conscience holographique.

  16. Karl H. Pribram (néle25février1919, à Vienne (Autriche) Karl Pribram chercheur en neurophysiologie, psychologie et sciencescognitives à l’université de Georgetown, Washington (États-Unis). Professeur à l’université Stanford, et pionnier de la recherche sur lecortexcérébral et de la definition du système limbique, la relation du cortex frontal au système limbique, le cortex d’association spécifique-sensoriel du lobe temporal et frontal et le cortex moteur classique de cerveau humain. Il a également travaillé avec Karl Lashley à Yerkes Primate Center comme directeur de ce centre. Ilestconnupouravoirdéveloppélemodèleholonomiqueducerveau – holobrain et de la fonctioncognitive et poursacontribution à la rechercheneurologiqueactuelle sur lesengrammes. Théorie En 1969 à l'université Stanford, le Dr Karl H. Pribram, physiologisteducerveaurenommé, suggéraquel'hologrammeoffrait un puissantmodèledesprocessuscérébraux. Cette intuitionrésultad'uneanalogieconsistant à relierdeuxdécouvertescontemporainesinterdisciplinaires : d'unepart la découverte, en physiologie, en 1963, par leprix Nobel de MédecineSirJohn C. Ecclesdesmicrochampsd'Eccles, milliersd'ondesélectriquessepropageant à courtedistancelocalementautour de chacundesmilliers de synapses de chacundesneuronesconstituantlecerveau; d'autrepart, la découverte, en optique, en 1948, de l'holographie par leprix Nobel de physiqueDennisGabor. L'analogieconsistaalors à proposer la thèseselonlaquellecesmilliardsd'ondesducerveaupourraientformerdesinterférencespuisdessortesd'hologrammescérébrauxpouvant, peut-être, servir de supportbiophysiqueauxprocessus de la pensée et de la mémoire. Rappelonsquel'hologrammeest un processusmathématiquedont la portéen'est pas restreinteauseuldomaine de l'optique. En 1971, le DrDavidBohmconforta la théorie de Pribram et soumit la propositiond'uneorganisationholographique de l'univers. Pribramstipulaquenotrecerveausecomportecomme un hologramme et que la vraieréalitésetrouve dans l'énergiequedétectentnossens et pas dans lesobjetsquenousappelonsréels. Pourlui, nossenss'entendentpourcréerl'illusiondumondequinousentoure.

  17. Conscience Informationnelle Holo-QuantiqueQuantum-HolographicInformationalConsciousness L'auteur propose un modèle de conscience quantique et holographique concernant les interactions entre la conscience et l’univers, basé sur les réseaux neuronaux holonomes de Karl Pribram, dans la théorie quantique holographique mis au point par David Bohm, et dans la propriété de non-localité du champ quantique décrit par HiroomiUmezawa. •             Ce modèle est considéré comme une extension du dualisme interactif de Sir John Eccles, d'une interconnexion entre le cerveau et l'esprit par le biais de microsites quantiques nommés dendrites et psychons. On propose un concept dynamique de la conscience considérée comme un flux reliant les holo-informations  sur la dynamique du cerveau quantique holonomique, avec la nature holographique de l’information quantique dans tout l'univers. Ce flux est généré par le mode holographique de traitement de l'information neuronale et peut être optimisé grâce à des pratiques de différents états de conscience élevé qui est supporté par la cohérence des ondes cérébrales. •             Dans les études de cartographie du cerveau – brainmapping, effectuées au cours de l'apparition de ces états harmoniques, nous pouvons voir le tableau spectrale des ondes cérébrales hautement synchronisés et parfaitement ordonnées comme une onde harmonique unique, comme si toutes les fréquences de tous les neurones de tous les centres cérébraux jouent la même symphonie. • Cet état de cerveau très cohérent génère l’holographie non-local et informationnel du champ de la conscience corticale qui relie le cerveau humain et le cosmos holographique. La compréhension de la nature informationnelle et quantique de l'interdépendance cerveau-conscience-univers nous permet de résoudre le vieux problème cartésien matière-esprit, la science unificatrice d'une manière globale à l’aide de physique quantique et la logique moderne – fuzzylogic, le paradigme transdisciplinaire et intégré. Dans cette nouvelle vision du monde, la conscience et les phénomènes transpersonnels deviennent les parties intégrantes de la science et de la nature holo-informationnelle de la Conscience holographique.

  18. Holographie / Hologramme Comparaison entre la théorie du cerveau holographique - HolographicBrainTheory de Karl Pribram et des modèles plus classiques du système neuronal • L'un des problèmes - auxquels sont confrontés les neurosciences - est de savoir comment expliquer la preuve que les lésions locales dans le cerveau ne compromettent pas de manière sélective une trace mnésique. A noter que dans un hologramme, les dommages restrictifs ne perturbent pas les informations stockées parce que selon le principe de quantum cette information est toujours préservé dans sa fonction d’onde. •             Professeur Karl Pribram a prouvé, à l’aide du Professeur Penrose Roger, ancien patron du département d’Astrophysique à l’Université de Cambridge, que le cerveau met en œuvre des transformations holonomiques qui distribuent l'information épisodique sur toutes les régions du cerveau (et plus tard les "recentre" en une forme codée). • La théorie holonomique basée sur les transformations de Fourier - les informations transformées par le biais des modalités sensorielles dans le domaine spectral seront stockées partout dans le cerveau et puis seront distribuées dans tous les côtés du cerveau. La théorie conventionnelle dit que les caractéristiques particulières du stimulus sensoriel non transformé est stocké dans des endroits séparés dans le cerveau. • Selon la théorie de Karl Pribram les processus dendritiques fonctionnent pour prendre une transformation «spectrale» des «épisodes de perception". Cette information spectrale transformée est mémorisée par les ondes spécialisées et répartie sur un grand nombre de neurones. C'est ces processus de transformation qui nous donnent la conscience. •            L'hologramme quantique, en physique, est un hologramme réalisé à l'échelle quantique, en utilisant par exemple des électrons. Un hologramme quantique est une entité postulée (imaginaire) supposément émise par tous les objets physiques de taille supramoléculaire et contenant de l'information sur toute l'histoire de l'objet l'émettant.

  19. Le fonctionnement des quanta hologrammiques • Les quantas émis par chaque objet, que nous avons découverts, colportent de l'information sur sa nature physique. L'hologrammequantique est une structure informationnelle d'un objet physique qui n'est pas locale, c'est-à-dire qui n'est pas restreinte dans le temps ni dans l'espace. L'hologrammequantique est un bon mécanisme pour expliquer pratiquement toutes les manifestations psychiques connues par l'être humain. Nous commençons à comprendre ce qu'est la conscience, et ce que nous semblons en comprendre jusqu'à maintenant est que c'est l'empreinteholographique quantique qui survit probablement infiniment. Elle contient notre histoire, elle enregistre notre passage, ce que nous faisons, et demeure disponible à travers l'avenir. Elle semble être la façon dont la nature préserve nos expériences, c'est en fait la partie non-locale. Elle est la partie informationnelle de chacun de nous, donc tout ce que nous faisons en tant qu'être physique est enregistré dans cette empreinte holographique quantique éphémère, un gigantesque disque dur dans le cosmos. • 1. Même si son modèle sert entreautres à résoudrecertainsparadoxes de l'interprétation de la physiquequantique, l'hologramme de son analogien'est pas nécessairementquantique. En faitl'hologrammen'estqu'unemétaphoreparmid'autres. •  2. Un hologrammeestuneimage en troisdimensionsquiapparaîtlorsqu'uneplaquephotographique dans laquelleestencodéeadéquatementl'information de l'imageestéclairée par unesource de lumièrecohérente tel un laser. Lephénomènephysique de diffractionpermet de constituerpournotreoeildeszonesd'ombres et de lumièrequi font paraîtrel'image (hologramme) en troisdimensions. Pour y parvenir, on encodel'information de l'imageentière dans chaque "morceau" de la plaque. De cefait, toutesectiondu film contient de l'information sur l'objetaucomplet et avecuneseulepartie de celui-cil'imagepeutêtregénérée. • 3. Karl Pribram a développéunethéorieappeléecommunémentthéorieholonomiquedufonctionnementducerveau. Le terme holonomiquefaitréférenceaufaitd'étabirdesrelationsentrecoordonnéesdifférentes. Sathéoriesebase sur lefaitqu'il y a deszonesfibreusesducerveauquisemblentmontreruneactivitéressemblant à unetransformée de Fourierdustimulinerveux. Donclecerveaufonctionne de façonholographique et chaquemorceauducerveaucontientl'ensemble de la pensée et il estimpossible de comprendrelefonctionnement de celui-ci en appliquant la méthoderéductionniste, quiconsiste à regardercequisepassedans différentesparties. Celasuggére un fonctionnementondulatoireducerveau, dans lequel on ne peut pas localiserdifférentsphénomènescomme la pensée, lesémotions, etc. Alors, en gros, lecerveauestcomme un hologramme, c'est-à-dire commeuneplaquephotographiqueoùtoutenotremémoireestencodéemutiples – n - fois. 4. La transformée de Fourierest un outilmathématiquequireprésente, lorsqueappliqué à unefonctiondonnée, la distributiondesvariations de cette fonctionselondifférentsespacements de la coordonnée de référence. Elle permetentreautres, lorsqu'appliquée à unefonctionquidécrit la variation de l'amplitude en fonctiondutemps (coordonnée de référence) d'obtenircesvariations en terme de fréquence (inversedutemps; 1 Hertz = 1 s-1). Un exemple de transformée de Fourierest la visualisation de typeégalisateurdessystèmes de son; cette visualisationestunetransformée de Fouriercontinuedesvibrationsacoustiquesquiproduisent la musiquequenousentendons dans letemps.

  20. Euclidean-BasedGeometric Model • Selon la théorie classique, l’événement principal du calcul dans les neurones est la génération du potentiel d'action. La mise à feu du potentiel d'action (pour une seule cellule ou d'un réseau de cellules) indique le déclenchement d'une perception particulière. Dans le cas extrême (stem cell) l’initiation d'une cellule unique peut déclencher une certaine mémoire ou une perception. Plus généralement, cependant, il serait le tir presque simultané de toute une collection de cellules dans un réseau qui déclenche la perception. La perception serait alors médiée par la propagation de l'action potentielle (à travers l'axone) à d'autres parties du cerveau. Ce serait la réponse émergente d'intégration des "autres parties du cerveau» (y compris les assemblages en parallèle à d'autres modalités sensorielles) qui donne la sensation de la perception.

  21. Autres Aspects de la théorie holonomique - Other Aspects of the holonomictheory • Pribram dit que le temps et l'information spectrale sont simultanément stockées dans le cerveau. Il attire également l'attention sur une limite avec laquelle les deux valeurs spectrales peuvent être simultanément déterminées d'une mesure (Pribram, 1991). Cette incertitude décrit un minimum fondamental défini par Gabor en 1946 (l'inventeur de l'hologramme) comme une information quantique. Pribram dit alors que le cerveau fonctionne comme une "structure dissipative" et il s'organise pour réduire cette incertitude sans cesse.

  22. Le principe d'incertitude (principe d'indétermination) –The UncertaintyPrinciple - Quantum Physics •             Il est énonce que, pour une particule massive donnée, on ne peut pas connaître simultanément sa position et sa vitesse. Ce principe fut énoncé au printemps 1927 par Werner Heisenberg lors des balbutiements de la Mécanique Quantique. •             Le terme «incertitude» est le terme historique pour ce principe. Le nom de théorème d'indétermination est parfois préféré car le principe ne porte pas sur l'ignorance "subjective" de grandeurs par l'expérimentateur, mais bien sur une impossibilité fondamentale de les déterminer, et même sur le fait que le concept de grandeur précise n'a pas de sens physique. De plus, ce principe étant démontré par les équations, il devient un théorème. •  Les travaux de Max Planck et de Louis de Broglie avaient mis au jour que la nature quantique de la matière entraînait l'équivalence entre des propriétés ondulatoires  et corpusculaires. • La dualité onde-corpuscule confirmée alors par de nombreuses expérimentations posait un problème de fond dans la science de physique. En effet, pour posséder une fréquence et un vecteur d'onde, un objet doit avoir une certaine extension en espace et en temps. Un objet quantique ne peut donc être ni parfaitement localisé, ni avoir une énergie parfaitement définie Un objet quantique ne peut donc être ni parfaitement localisé, ni avoir une énergie parfaitement définie. • De manière simplifiée, ce principe d'indétermination énonce donc que — de façon assez contre-intuitive du point de vue de la mécanique classique — pour une particule massive donnée, on ne peut pas connaître simultanément sa position et sa vitesse. Soit on peut connaître précisément sa position (par ex: à ± 1 mm) contre une grande incertitude sur la valeur de sa vitesse (par ex: à ± 100 m/s), soit on peut connaître précisément sa vitesse (par ex: à ± 0,0001 m/s) contre une grande incertitude sur la valeur de sa position (par ex: à ± 1 km). •             Cependant, si on renonce à considérer la particule en tant qu'objet corpusculaire, l'énoncé de ce principe devient plus intuitif. L'objet quantique ayant une certaine extension dans l'espace et une certaine durée de vie en temps, on le représente alors, non plus par un ensemble de valeurs scalaires (position, vitesse), mais par une fonction décrivant sa distribution spatiale. Toute l'information relative à la particule est contenue dans cette fonction d’onde. Les mesures scalaires effectuées sur cette particule consistent à extraire seulement une partie de cette information, par l'intermédiaire d'opérateurs mathématiques.

  23. StructuresDissipatives • Un système dissipatif (ou structure dissipative) est un système qui opère dans un environnement avec lequel il échange de l'énergie ou de la matière. C'est donc un système thermodynamique  qui opère loin de l'équilibre thermodynamique. Un système dissipatif est caractérisé par la balance de ses échanges (ingestion d'énergie, création d'energie thermodynamique, et l'apparition spontanée d'une brisure de symétrie spatiale (anisotropie) qui peut quelquefois résulter en une structure complexe de la théorie du chaos. Le nouvel état du système est stabilisé grâce à sa «consommation» d'énergie issue de l'environnement. Le terme «structures dissipatives» fut créé par Prigogine. •             Un exemple simple est les cellules de Bénard. Des exemples plus complexes incluent les réactions Belousov-Jabotinsky. L'exemple le plus courant est celui d'un dissipateur de chaleur. •             Un autre aspect notable des structures dissipatives est la brisure de symétrie temporelle qu'elles présentent.

  24. Conclusion • La neuro-physiologieconventionnellepousseefficacementarrière de la ligneentrel'observateur et cequiestobservé (entresujet et objet). Dans letraitementdusignal, il doittoujours y avoirun utilisateur finalpourvoirlesignaltraitéoutransformé. • Dupoint de vueclassiquelecerveauest un dispositifinformatique. Il ya un nombrecroissantd'études, cependant, quimontrequ'il ya descontraintessévèresdecalcul (Penrose, 1994; Rosen, 1991; Kampis, 1991; Pattee, 1995). Par exemple, Penroseutiliseunevariantedu «problème de l'arrêt" pourmontrerquele Psyché ne peut pas être un processusalgorithmique. Rosenaffirmequelecalcul (ousimulation) estunereprésentationinexactedescausesnaturellesquisont en place dans la nature. Kampismontrequelecontenuinformationneld'unprocessusalgorithmiqueestfixéaudébut et aucuneinformation "nouvelle" peutêtreavancée. Patteesoutientque la séparationcomplètedesconditionsinitiales et leséquations de mouvementnécessaire à un calcul ne peutêtre un casparticulier dans la nature. Patteeaffirmequelessystèmesquipeuventfaireleurspropresappareils de mesure,peuventaffectercequ'ilsvoient et avoir "fermeturesémantique". • Ilestpossiblequelecerveautranscende uncomportement de calcul. Si c'estlecas, alors il sera trèsintéressant de voirquelssontlesaspects de la théorieHolo-quantique (Holobrain) de Pribramqui sont en collaborationaveccesidéesnoncalculables.

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