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PATINOIRE VÉGAPOLIS PROJET PATINAGE SUR GLACE MATERNELLE

PATINOIRE VÉGAPOLIS PROJET PATINAGE SUR GLACE MATERNELLE. LE PROGRAMME D’ÉDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE À L’ÉCOLE MATERNELLE. Agir et s’exprimer avec son corps Patinage sur glace. Arrêté du 25-1-2002 . JO du 10-2-2002 NOR : MENE0200181A RLR : 514-4 MEN - DESCO A4. Compétence spécifique

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Presentation Transcript


  1. PATINOIRE VÉGAPOLISPROJET PATINAGE SUR GLACEMATERNELLE

  2. LE PROGRAMME D’ÉDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVEÀ L’ÉCOLE MATERNELLE Agir et s’exprimer avec son corps Patinage sur glace Arrêté du 25-1-2002 . JO du 10-2-2002 NOR : MENE0200181A RLR : 514-4 MEN - DESCO A4

  3. Compétence spécifique Adapter ses déplacements à différents types d’environnements - se déplacer dans des formes d’actions inhabituelles remettant en cause l’équilibre - se déplacer dans ou sur des milieux instables - se déplacer avec ou sur des engins présentant un caractère d’instabilité

  4. C’est à cette période que se construit le répertoire moteur de base • La locomotion : …………glisser • L’équilibre et les manipulations • Les projections : lancer, recevoir…

  5. La construction de ces actions se fait par étapes  • C’est en s’exerçant librement puis de façon plus guidée que les enfants vont peu à peu construire ces actions • Ces actions se retrouvent seules ou en combinaison

  6. Les actions ne sont pas élaborées pour elles mêmes, mais au travers de la pratique des activités physiques qui leur donnent tout leur sens.

  7. Explorer des espaces proches et progressivement plus lointains

  8. L’espace d’investigation ne doit pas être trop vaste si l’on souhaite que des enfants de cet âge y trouvent des repères. Pendant les activités, l’enseignant doit se situer au plus près du groupe d’enfants, au milieu d’eux si nécessaire.

  9. Les réponses sont d’abord recherchées de manière individuelle, en laissant du temps pour explorer, ressentir, trouver de nouvelles façons de faire.

  10. Toutes ces actions, dont les effets sont particulièrement visibles et perceptibles : - modes de déplacements divers - sensations physiques de déséquilibre, - de vitesse, - d’essoufflement… procurent des émotions variées et permettent d’éprouver un véritable « plaisir d’agir ».

  11. Ces différentes expériences corporelles apportent une véritable éducation à la santé (connaître son corps, ses possibilités physiques, ses réactions à l’effort…) L’enfant apprend peu à peu à prendre des risques mesurés tout en étant attentif à la sécurité, la sienne ou celle des autres.

  12. Les premières actions du jeune enfant sont réalisées pour le plaisir. Il s’agit donc de le laisser jouer. Les situations sont conçues et organisées comme des jeux.

  13. L’enseignant aide ou guide l’enfant lorsque le besoin s’en fait sentir, il lui suggère des solutions nouvelles, il interagit avec lui.

  14. Pour solliciter des actions spécifiques, l’espace sera structuré à l’aide d’objets incitant à l’action ou, au contraire, jouant le rôle d’obstacles. Retour Départ Arrivée

  15. On peut aussi privilégier les les actions de déplacement utilisant des engins à pousser.

  16. Cela suppose une mise à disposition de matériel en quantité suffisante.

  17. A l’école maternelle, l’enfant a besoin de temps pour découvrir l’espace et le matériel. Sans une organisation rigoureuse des activités, il risque de passer plus de temps à attendre son tour qu’à réaliser des actions.

  18. Offrir aux enfants l’occasion de parler de leur activité, mettre des mots sur les émotions ressenties, mieux comprendre ce qui a été vécu et ce qu’il faut faire. Le dessin peut être un relais important.

  19. L’activité physique aide à rendre plus facile la construction de certaines connaissances sur le corps,son fonctionnement, la santé, les différents aspects des principaux éléments, la terre, l’eau, la neige.

  20. Il s’agit pour l’enseignant d’aider l’élève à acquérir : des attitudes, des méthodes, des démarches favorables aux apprentissages.

  21. Ainsi, les situations mises en place par l’enseignant doivent permettre à chaque enfant de choisir son niveau de difficulté, de tenter de nouveaux essais en toute sécurité, de pouvoir recommencer s’il a échoué.

  22. Les élèves doivent pouvoir montrer qu’ils sont capables • de s’engager dans l’action (s’engager en toute sécurité) • de faire un projet d’action (à court terme) • d’identifier et d’apprécier les effets de l’activité (prendre des indices simples, prendre des repères dans l’espace et dans le temps) • de constater leurs progrès

  23. En participant avec les autres à des activités qui comportent des règles, des rôles différents, des difficultés à résoudre, les enfants apprennent progressivement l’intérêt et les contraintes des situations collectives.

  24. LES PRINCIPESDIDACTIQUES ET PÉDAGOGIQUESMIS EN ŒUVRE DANS LE CADREDU PROJET PÉDAGOGIQUEPATINAGE SUR GLACEMATERNELLE

  25. ORGANISATION • Pour limiter les temps d’attente • Pour favoriser un suivi individualisé • Pour ne pas « oublier » les élèves en échec • Pour donner des repères

  26. La classe est partagée en deux groupes • L’enseignant(e) prend un groupe en charge • Le plus souvent possible, tout en ménageant des temps de pause, tous les élèves sont en action

  27. L’espace d’évolution est aménagé • L’aménagement permet la répétition des actions • Les consignes données sont simples, courtes et peu nombreuses

  28. APPRENTISSAGE • Pour tenir compte de l’hétérogénéité • Pour assurer la sécurité des élèves • Pour maintenir leur motivation • Pour favoriser les apprentissages

  29. La limitation maximum des chutes est un objectif prioritaire et permanent • Toutes les situations sont présentées sous forme de jeu • Chaque situation prévoit un aménagement pour les élèves les plus en difficulté

  30. L’utilisation des chaises-luges se prolonge sur trois séances • Les situations permettent plusieurs tentatives • Plusieurs niveaux de difficulté sont proposés à chaque situation

  31. Le choix, pour les élèves, est rendu possible • Des critères de réussite sont définis et identifiables • Le regroupement avec les autres classes n’est pas prévu

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