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La facilitation / inhibition sociale

La facilitation / inhibition sociale . Définition : La facilitation sociale est définie comme telle lorsqu’un individu modifie, en l ’augmentant ou en la diminuant, la performance en présence d’un autre individu. Les recherches sur l’humain. Procédure générale :

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La facilitation / inhibition sociale

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Presentation Transcript


  1. La facilitation / inhibition sociale Définition : La facilitation sociale est définie comme telle lorsqu’un individu modifie, en l ’augmentant ou en la diminuant, la performance en présence d’un autre individu

  2. Les recherches sur l’humain Procédure générale : Un sujet fait une tâche en présence d’autrui ou seul (Triplett, 1898) Intérêt de ces premières études : Introduire une condition minimale de comportement social, à savoir la présence ou pas d’une autre personne

  3. Historique de la facilitation sociale Triplett (1898) : place son travail dans le cadre de l’éducation scolaire. Schmidt (1904) : insiste sur l’importance des interactions de même niveaux. Mayer (1904) : trouve une supériorité du travail en groupe qu’il interprète comme provenant de facteurs tels que l’ambition et la compétition.

  4. Historique de la facilitation sociale Réelles expérimentations en Psychologie sociale dans les années 20 Allport (1920) : il sépare de façon conceptuelle l’interaction directe avec autrui et la compétition des effets de co-travail. Allport (1924) : il parle pour le première fois de facilitation sociale. Elle consisterait en une augmentation de la réponse uniquement à la vue et au son provoqué par d’autres effectuant les mêmes mouvements.

  5. Les théories de la facilitation sociale La facilitation sociale prédit une augmentation des performances en présence d ’autrui, cependant d ’autres travaux montrent que la présence d ’autrui fait baisser la performance. Latané, Williams et Horkins (1979) : des individus travaillant ensemble font moins d ’effort que des individus travaillant seuls. Ringelman (1913) : performance moins importantes quand les sujets sont en groupe que lorsqu’ils sont seuls. Husband (1931) : le nombre d ’essais nécessaires à l ’apprentissage d ’un labyrinthe est plus important lorsque les sujets sont en groupe que lorsqu ’ils sont seuls. Il s ’agit donc d ’expliquer ces résultats qui semblent contradictoires

  6. Les théories de la facilitation sociale • Théorie du drive, Zajonc (1965) : • Propose une explication à ces effets contradictoires. • 2 concepts clés : (a) le drive, (b) la réponse dominante. • la présence d’autrui augmente le drive et donc la réponse dominante. • Il propose une facilitation pour les tâches simples et une inhibition pour les tâches complexes. Cottrell (1968) : pour lui l’augmentation du niveau d’activation est apprise association entre présence d’autrui et la notion d’évaluation des performances.

  7. Les théories de la facilitation sociale • Problèmes rencontrés par la théorie du drive (Zajonc, 1965) • Comment savoir quelle est la réponse dominante • modèle qui s’inscrit dans le courant béhavioriste en n’utilisant qu’une partie de la théorie du drive, il n’évoque pas le côté motivationnel, l’intensité dynamique du stimulus et l’inhibition. • Il semble difficile d’établir une hiérarchie des réponses dans les tâches (en dehors des tâches de laboratoire). • Problème lié à la séparation des effets directes et indirectes de la présence d’autrui.

  8. Les théories de la facilitation sociale Après Zajonc, séparation en trois catégories : - Les théories de l’excitation / de l’éveil (dérivées du Drive) - Les théories de la conformité sociale - Les théories des processus cognitifs Paradigme pour tester les effets de facilitation sociale

  9. Théorie de la conformité sociale Ces théories s ’appuient sur un changement dans l ’estimation de comportements particuliers en présence d ’autrui. • Wicklund et Duval (1971) : • - la présence d’autrui augmente la conscience objective de soi. • - pendant la réalisation d’une tâche en état de conscience de soi, les individus s’occupent de leur but en terme de performance. • - l’état de conscience de soi peut mener à un état cognitif aversif si cet état fait prendre conscience d’un décalage entre nos idéaux et le but de la tâche. • - cet état aversif peut devenir un agent motivateur, les individus n’aimant pas se retrouver dans cet état, ils cherchent à mieux faire.

  10. Théorie des processus cognitifs Ces théories permettent de parler d’évènements non observables et ainsi, de sortir du cadre imposé par le béhaviorisme. Le modèle cognitif suppose la réutilisation d’informations stockées. Le comportement est disséqué en étapes temporelles discrètes The distraction conflict theory (Baron, 1986) : - C ’est une théorie attentionnelle - En présence d’autrui il y a conflit entre ce qui est attendu d ’autrui et ce qui est attendu dans la tâche. - Il introduit les effets de comparaison sociale dans les effets de facilitation sociale. Paradigme expérimental avec 3 conditions : - sujet seul - sujet avec autrui qui fait la même tâche - sujet avec autrui qui fait une autre tâche

  11. Confrontation entre la théorie du drive et les théories motivationnelles Muller, Atzeni, Butera (2001) : - Tâche cognitive : conjonction illusoire (Treisman et Gelade, 1981) - Comparaison sociale ascendante / descendante. - Les sujets sont seuls ou en co-action (présence d ’un compère) Résultats : les conjonctions illusoires sont moins importantes en condition ascendante qu’en condition descendante lorsque les sujets sont en co-action. Interprétation en termes motivationnels

  12. Confrontation entre la théorie du drive et les théories motivationnelles

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