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SEMINAIRE NATIONAL SUR L EMPLOI DES JEUNES 5 6 7 DECEMBRE 2011, RABAT

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SEMINAIRE NATIONAL SUR L EMPLOI DES JEUNES 5 6 7 DECEMBRE 2011, RABAT

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Presentation Transcript


    2. 2 La problématique de l’emploi revêt un caractère multidimensionnel et comporte des aspects macro-économiques, sectoriels, sociaux et institutionnels. Le poids des jeunes -notamment diplômés- ainsi que celui des femmes, appelées à plus de participation dans l’activité économique, introduisent une équation nouvelle dans la configuration des relations entre un système productif en mutation et qui a pourtant développé une grande capacité d’absorption et la structure d’un marché d’emploi. En effet des progrès sensibles ont permis de ramener le taux de chômage à moins de 10% au cours de ces dernières années (il est passé de 13,4% en 2000 à 9,1% en 2010 au niveau national), dans un contexte où la population active âgée de 15 ans et plus continue à suivre un trend haussier mais où la diversification productive de l’économie marocaine a pu offrir de nouvelles opportunités d’emploi dans les nouveaux secteurs émergents et dans les grands chantiers du bâtiment et des travaux publics. Cependant, l'analyse des déséquilibres du marché de l’emploi continue à poser trois types de problématiques de chômage au Maroc : un chômage d'inadéquation quantitative dû à l'insuffisante création d’emplois, un chômage d'inadéquation qualitative entre l'offre et la demande de main d’œuvre et un chômage de dysfonctionnement qui renvoie à des lacunes au niveau des structures et des mécanismes d'intermédiation du marché du travail. Ces déséquilibres persistent en dépit de la mise en œuvre d’un certain nombre d’initiatives publiques depuis les années 80, visant à améliorer la cadre macro économique de l’emploi et à mettre en œuvre des programmes actifs de promotion de l’emploi favorisant l’insertion des chercheurs d’emploi dans la vie active.   Ainsi, face à ses déséquilibres, le Maroc est interpellé à renforcer sa croissance moyennant une nouvelle échelle de réformes et penser à une politique rénovée, impliquant différents partenaires, en faveur de la création de l’emploi à la fois en plus grand nombre et mieux adaptée aux compétences disponibles. La problématique de l’emploi revêt un caractère multidimensionnel et comporte des aspects macro-économiques, sectoriels, sociaux et institutionnels. Le poids des jeunes -notamment diplômés- ainsi que celui des femmes, appelées à plus de participation dans l’activité économique, introduisent une équation nouvelle dans la configuration des relations entre un système productif en mutation et qui a pourtant développé une grande capacité d’absorption et la structure d’un marché d’emploi. En effet des progrès sensibles ont permis de ramener le taux de chômage à moins de 10% au cours de ces dernières années (il est passé de 13,4% en 2000 à 9,1% en 2010 au niveau national), dans un contexte où la population active âgée de 15 ans et plus continue à suivre un trend haussier mais où la diversification productive de l’économie marocaine a pu offrir de nouvelles opportunités d’emploi dans les nouveaux secteurs émergents et dans les grands chantiers du bâtiment et des travaux publics. Cependant, l'analyse des déséquilibres du marché de l’emploi continue à poser trois types de problématiques de chômage au Maroc : un chômage d'inadéquation quantitative dû à l'insuffisante création d’emplois, un chômage d'inadéquation qualitative entre l'offre et la demande de main d’œuvre et un chômage de dysfonctionnement qui renvoie à des lacunes au niveau des structures et des mécanismes d'intermédiation du marché du travail. Ces déséquilibres persistent en dépit de la mise en œuvre d’un certain nombre d’initiatives publiques depuis les années 80, visant à améliorer la cadre macro économique de l’emploi et à mettre en œuvre des programmes actifs de promotion de l’emploi favorisant l’insertion des chercheurs d’emploi dans la vie active.   Ainsi, face à ses déséquilibres, le Maroc est interpellé à renforcer sa croissance moyennant une nouvelle échelle de réformes et penser à une politique rénovée, impliquant différents partenaires, en faveur de la création de l’emploi à la fois en plus grand nombre et mieux adaptée aux compétences disponibles.

    3. 3 Depuis leur lancement, les programmes actifs de promotion de l’emploi ont permis l’insertion de plus de 275.000 chercheurs d’emploi au titre du programme « Idmaj », près de 64.000 chercheurs d’emploi au titre du programme et « Taehil » et environ de 12.000 postes d’emploi au titre du programme « Moukawalati ».   Partant des principaux enseignements tirés des travaux d’évaluation qui sont menées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle en collaboration avec l’ANAPEC, il ressort, de manière pressante, la nécessité d’opérer des réajustements dans le sens de promouvoir des emplois décents et de cibler davantage les chercheurs d’emploi les plus en difficulté d’insertion. Il est même question, eu égard aux difficultés structurelles rencontrées par certains programmes, d’explorer de nouvelles pistes et de proposer de nouveaux programmes. Dans le cadre de la démarche participative et de la concertation à large spectre qui sont menées avec les : départements ministériels, partenaires socio – économiques, Conseil économique et social, commission emploi/CVS, organisations des jeunes, organismes internationaux, le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et l’ANAPEC préconisent une panoplie de nouvelles mesures de promotion de l’emploi visant :   l’insertion directe à travers l'emploi salarié et l'auto-emploi; l’amélioration de  l'employabilité par une formation d’adaptation aux besoins des entreprises à travers des formations complémentaires; l’amélioration de la gouvernance du marché du travail et le renforcement du partenariat public - privé; le renforcement du rôle de la région dans la promotion de l'emploi.   En outre, une convention de partenariat signé le 24 mai 2011 entre le Gouvernement et la CGEM préconise la poursuite de la réflexion sur la base des mesures proposées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et des travaux de la Commission Emploi/CVS et ce, dans la perspective d’identifier d’autres mesures et programmes de promotion de l’emploi et de dégager une feuille de route visant à mettre en place une stratégie nationale de promotion de l’emploi. Par ailleurs, et dans un contexte national mouvementé par les revendications des diplômés chômeurs, le Gouvernement a décidé en 2011 d’intégrer plus de 4300 diplômés supérieurs dans la fonction publique et de renforcer le dispositif de formation – insertion en instituant d’une part, la prise en charge, par l’Etat, de la couverture sociale des bénéficiaires de stages dès basculement vers un contrat de droit commun (PCS) et, d’autre part, en mettant en place un contrat d’intégration professionnelle ciblant des jeunes diplômés en difficulté d’insertion (CIP). Les éléments rappelés plus haut et la volonté affichée par le Ministère que de s’inscrire dans une logique de partage et d’échange d’expérience et d’expertise, et sur initiative du Bureau International du travail, il a été convenu de co organiser un séminaire national sur l’emploi des jeunes.   OBJECTIFS DU SEMINAIRE ET ATTENTES La tenue de ce séminaire constitue une opportunité pour faire mûrir la réflexion et obtenir un regard croisé autour d’un projet de feuille de route pour l’élaboration d’une stratégie nationale de l’emploi au Maroc qui s’articule autour de trois axes principaux suivants : (1) Cadre macro économique de l’emploi, (2) Mesures actives de promotion de l’emploi et (3) Gouvernance du marché de l’emploi. Le séminaire, dont les travaux se déroulent sous forme de séances plénières et d’ateliers de travail thématiques, se penchera sur la situation et les défis du marché du travail et l’évaluation quantitative et qualitative des programmes actifs de l’emploi en vigueur, tout en portant un regard sur les bonnes pratiques en matière de mesures de promotion de l’emploi et autres alternatives et options à adopter pour atténuer le chômage notamment celui des jeunes diplômés. En outre, lors de ce séminaire, il sera procédé par le Bureau International du Travail, au lancement du projet « Appui du travail productif et décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ». Ce projet a pour objectif principal d’améliorer l’efficacité des politiques et des programmes de l’emploi des jeunes dans les pays précités ainsi que d’établir un cadre de coopération régional en matière d’emploi des jeunes. Participent à cette manifestation des représentants des départements gouvernementaux, des partenaires socio-économiques, quelques institutions nationales et internationales ainsi qu’un groupe d'experts marocains et internationaux du Bureau International du Travail. Depuis leur lancement, les programmes actifs de promotion de l’emploi ont permis l’insertion de plus de 275.000 chercheurs d’emploi au titre du programme « Idmaj », près de 64.000 chercheurs d’emploi au titre du programme et « Taehil » et environ de 12.000 postes d’emploi au titre du programme « Moukawalati ».   Partant des principaux enseignements tirés des travaux d’évaluation qui sont menées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle en collaboration avec l’ANAPEC, il ressort, de manière pressante, la nécessité d’opérer des réajustements dans le sens de promouvoir des emplois décents et de cibler davantage les chercheurs d’emploi les plus en difficulté d’insertion. Il est même question, eu égard aux difficultés structurelles rencontrées par certains programmes, d’explorer de nouvelles pistes et de proposer de nouveaux programmes. Dans le cadre de la démarche participative et de la concertation à large spectre qui sont menées avec les : départements ministériels, partenaires socio – économiques, Conseil économique et social, commission emploi/CVS, organisations des jeunes, organismes internationaux, le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et l’ANAPEC préconisent une panoplie de nouvelles mesures de promotion de l’emploi visant :   l’insertion directe à travers l'emploi salarié et l'auto-emploi; l’amélioration de  l'employabilité par une formation d’adaptation aux besoins des entreprises à travers des formations complémentaires; l’amélioration de la gouvernance du marché du travail et le renforcement du partenariat public - privé; le renforcement du rôle de la région dans la promotion de l'emploi.   En outre, une convention de partenariat signé le 24 mai 2011 entre le Gouvernement et la CGEM préconise la poursuite de la réflexion sur la base des mesures proposées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et des travaux de la Commission Emploi/CVS et ce, dans la perspective d’identifier d’autres mesures et programmes de promotion de l’emploi et de dégager une feuille de route visant à mettre en place une stratégie nationale de promotion de l’emploi. Par ailleurs, et dans un contexte national mouvementé par les revendications des diplômés chômeurs, le Gouvernement a décidé en 2011 d’intégrer plus de 4300 diplômés supérieurs dans la fonction publique et de renforcer le dispositif de formation – insertion en instituant d’une part, la prise en charge, par l’Etat, de la couverture sociale des bénéficiaires de stages dès basculement vers un contrat de droit commun (PCS) et, d’autre part, en mettant en place un contrat d’intégration professionnelle ciblant des jeunes diplômés en difficulté d’insertion (CIP). Les éléments rappelés plus haut et la volonté affichée par le Ministère que de s’inscrire dans une logique de partage et d’échange d’expérience et d’expertise, et sur initiative du Bureau International du travail, il a été convenu de co organiser un séminaire national sur l’emploi des jeunes.   OBJECTIFS DU SEMINAIRE ET ATTENTES La tenue de ce séminaire constitue une opportunité pour faire mûrir la réflexion et obtenir un regard croisé autour d’un projet de feuille de route pour l’élaboration d’une stratégie nationale de l’emploi au Maroc qui s’articule autour de trois axes principaux suivants : (1) Cadre macro économique de l’emploi, (2) Mesures actives de promotion de l’emploi et (3) Gouvernance du marché de l’emploi. Le séminaire, dont les travaux se déroulent sous forme de séances plénières et d’ateliers de travail thématiques, se penchera sur la situation et les défis du marché du travail et l’évaluation quantitative et qualitative des programmes actifs de l’emploi en vigueur, tout en portant un regard sur les bonnes pratiques en matière de mesures de promotion de l’emploi et autres alternatives et options à adopter pour atténuer le chômage notamment celui des jeunes diplômés. En outre, lors de ce séminaire, il sera procédé par le Bureau International du Travail, au lancement du projet « Appui du travail productif et décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ». Ce projet a pour objectif principal d’améliorer l’efficacité des politiques et des programmes de l’emploi des jeunes dans les pays précités ainsi que d’établir un cadre de coopération régional en matière d’emploi des jeunes. Participent à cette manifestation des représentants des départements gouvernementaux, des partenaires socio-économiques, quelques institutions nationales et internationales ainsi qu’un groupe d'experts marocains et internationaux du Bureau International du Travail.

    4. 4 Depuis leur lancement, les programmes actifs de promotion de l’emploi ont permis l’insertion de plus de 275.000 chercheurs d’emploi au titre du programme « Idmaj », près de 64.000 chercheurs d’emploi au titre du programme et « Taehil » et environ de 12.000 postes d’emploi au titre du programme « Moukawalati ».   Partant des principaux enseignements tirés des travaux d’évaluation qui sont menées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle en collaboration avec l’ANAPEC, il ressort, de manière pressante, la nécessité d’opérer des réajustements dans le sens de promouvoir des emplois décents et de cibler davantage les chercheurs d’emploi les plus en difficulté d’insertion. Il est même question, eu égard aux difficultés structurelles rencontrées par certains programmes, d’explorer de nouvelles pistes et de proposer de nouveaux programmes. Dans le cadre de la démarche participative et de la concertation à large spectre qui sont menées avec les : départements ministériels, partenaires socio – économiques, Conseil économique et social, commission emploi/CVS, organisations des jeunes, organismes internationaux, le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et l’ANAPEC préconisent une panoplie de nouvelles mesures de promotion de l’emploi visant :   l’insertion directe à travers l'emploi salarié et l'auto-emploi; l’amélioration de  l'employabilité par une formation d’adaptation aux besoins des entreprises à travers des formations complémentaires; l’amélioration de la gouvernance du marché du travail et le renforcement du partenariat public - privé; le renforcement du rôle de la région dans la promotion de l'emploi.   En outre, une convention de partenariat signé le 24 mai 2011 entre le Gouvernement et la CGEM préconise la poursuite de la réflexion sur la base des mesures proposées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et des travaux de la Commission Emploi/CVS et ce, dans la perspective d’identifier d’autres mesures et programmes de promotion de l’emploi et de dégager une feuille de route visant à mettre en place une stratégie nationale de promotion de l’emploi. Par ailleurs, et dans un contexte national mouvementé par les revendications des diplômés chômeurs, le Gouvernement a décidé en 2011 d’intégrer plus de 4300 diplômés supérieurs dans la fonction publique et de renforcer le dispositif de formation – insertion en instituant d’une part, la prise en charge, par l’Etat, de la couverture sociale des bénéficiaires de stages dès basculement vers un contrat de droit commun (PCS) et, d’autre part, en mettant en place un contrat d’intégration professionnelle ciblant des jeunes diplômés en difficulté d’insertion (CIP). Les éléments rappelés plus haut et la volonté affichée par le Ministère que de s’inscrire dans une logique de partage et d’échange d’expérience et d’expertise, et sur initiative du Bureau International du travail, il a été convenu de co organiser un séminaire national sur l’emploi des jeunes.   OBJECTIFS DU SEMINAIRE ET ATTENTES La tenue de ce séminaire constitue une opportunité pour faire mûrir la réflexion et obtenir un regard croisé autour d’un projet de feuille de route pour l’élaboration d’une stratégie nationale de l’emploi au Maroc qui s’articule autour de trois axes principaux suivants : (1) Cadre macro économique de l’emploi, (2) Mesures actives de promotion de l’emploi et (3) Gouvernance du marché de l’emploi. Le séminaire, dont les travaux se déroulent sous forme de séances plénières et d’ateliers de travail thématiques, se penchera sur la situation et les défis du marché du travail et l’évaluation quantitative et qualitative des programmes actifs de l’emploi en vigueur, tout en portant un regard sur les bonnes pratiques en matière de mesures de promotion de l’emploi et autres alternatives et options à adopter pour atténuer le chômage notamment celui des jeunes diplômés. En outre, lors de ce séminaire, il sera procédé par le Bureau International du Travail, au lancement du projet « Appui du travail productif et décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ». Ce projet a pour objectif principal d’améliorer l’efficacité des politiques et des programmes de l’emploi des jeunes dans les pays précités ainsi que d’établir un cadre de coopération régional en matière d’emploi des jeunes. Participent à cette manifestation des représentants des départements gouvernementaux, des partenaires socio-économiques, quelques institutions nationales et internationales ainsi qu’un groupe d'experts marocains et internationaux du Bureau International du Travail. Depuis leur lancement, les programmes actifs de promotion de l’emploi ont permis l’insertion de plus de 275.000 chercheurs d’emploi au titre du programme « Idmaj », près de 64.000 chercheurs d’emploi au titre du programme et « Taehil » et environ de 12.000 postes d’emploi au titre du programme « Moukawalati ».   Partant des principaux enseignements tirés des travaux d’évaluation qui sont menées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle en collaboration avec l’ANAPEC, il ressort, de manière pressante, la nécessité d’opérer des réajustements dans le sens de promouvoir des emplois décents et de cibler davantage les chercheurs d’emploi les plus en difficulté d’insertion. Il est même question, eu égard aux difficultés structurelles rencontrées par certains programmes, d’explorer de nouvelles pistes et de proposer de nouveaux programmes. Dans le cadre de la démarche participative et de la concertation à large spectre qui sont menées avec les : départements ministériels, partenaires socio – économiques, Conseil économique et social, commission emploi/CVS, organisations des jeunes, organismes internationaux, le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et l’ANAPEC préconisent une panoplie de nouvelles mesures de promotion de l’emploi visant :   l’insertion directe à travers l'emploi salarié et l'auto-emploi; l’amélioration de  l'employabilité par une formation d’adaptation aux besoins des entreprises à travers des formations complémentaires; l’amélioration de la gouvernance du marché du travail et le renforcement du partenariat public - privé; le renforcement du rôle de la région dans la promotion de l'emploi.   En outre, une convention de partenariat signé le 24 mai 2011 entre le Gouvernement et la CGEM préconise la poursuite de la réflexion sur la base des mesures proposées par le Ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle et des travaux de la Commission Emploi/CVS et ce, dans la perspective d’identifier d’autres mesures et programmes de promotion de l’emploi et de dégager une feuille de route visant à mettre en place une stratégie nationale de promotion de l’emploi. Par ailleurs, et dans un contexte national mouvementé par les revendications des diplômés chômeurs, le Gouvernement a décidé en 2011 d’intégrer plus de 4300 diplômés supérieurs dans la fonction publique et de renforcer le dispositif de formation – insertion en instituant d’une part, la prise en charge, par l’Etat, de la couverture sociale des bénéficiaires de stages dès basculement vers un contrat de droit commun (PCS) et, d’autre part, en mettant en place un contrat d’intégration professionnelle ciblant des jeunes diplômés en difficulté d’insertion (CIP). Les éléments rappelés plus haut et la volonté affichée par le Ministère que de s’inscrire dans une logique de partage et d’échange d’expérience et d’expertise, et sur initiative du Bureau International du travail, il a été convenu de co organiser un séminaire national sur l’emploi des jeunes.   OBJECTIFS DU SEMINAIRE ET ATTENTES La tenue de ce séminaire constitue une opportunité pour faire mûrir la réflexion et obtenir un regard croisé autour d’un projet de feuille de route pour l’élaboration d’une stratégie nationale de l’emploi au Maroc qui s’articule autour de trois axes principaux suivants : (1) Cadre macro économique de l’emploi, (2) Mesures actives de promotion de l’emploi et (3) Gouvernance du marché de l’emploi. Le séminaire, dont les travaux se déroulent sous forme de séances plénières et d’ateliers de travail thématiques, se penchera sur la situation et les défis du marché du travail et l’évaluation quantitative et qualitative des programmes actifs de l’emploi en vigueur, tout en portant un regard sur les bonnes pratiques en matière de mesures de promotion de l’emploi et autres alternatives et options à adopter pour atténuer le chômage notamment celui des jeunes diplômés. En outre, lors de ce séminaire, il sera procédé par le Bureau International du Travail, au lancement du projet « Appui du travail productif et décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ». Ce projet a pour objectif principal d’améliorer l’efficacité des politiques et des programmes de l’emploi des jeunes dans les pays précités ainsi que d’établir un cadre de coopération régional en matière d’emploi des jeunes. Participent à cette manifestation des représentants des départements gouvernementaux, des partenaires socio-économiques, quelques institutions nationales et internationales ainsi qu’un groupe d'experts marocains et internationaux du Bureau International du Travail.

    5. Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit : Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit :

    6. Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit : Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit :

    7. Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit : Le programme s’étale sur deux jours et demi comme suit : Une première journée organisée en quatre séances plénières ; Une seconde journée consacrée à trois ateliers thématiques ; Une troisième journée (matinée seulement) consacrée à la présentation des conclusions et recommandations et à l’annonce, par le BIT, du lancement du projet : « Promouvoir l’emploi productif et le travail décent des jeunes au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie ».   Les travaux sont organisés somme suit :

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